[PDF] LES RELATIONS DE POUVOIR Et la personne contrôlante





Previous PDF Next PDF



LES RELATIONS DE POUVOIR

Et la personne contrôlante n'aura pas le plus souvent



PSYCHORIGIDE – ELLE VEUT TOUT CONTROLER

mieux supporter cette personnalité difficile … Un peu de théorie. La psychorigidité fait partie des mécanismes de défense des personnalités obsessionnelles c' 



Prendre soin dun sujet de personnalité évitante La personnalité

Un trouble de la personnalité constitue un arrimage psychologique complexe déviant des traits habituels qui accompagnent les choix



Soins infirmiers - Le malade de personnalité paranoïaque Que

En psychiatrie on définit le terme personnalité comme étant « un ensemble complexe de caractéristiques psychologiques imbriquées qui sont.



Psychothérapie des troubles de la personnalité : quand limpasse n

4 juil. 2013 psychologie du Soi et de la théorie des relations d'objet ... L'attitude contrôlante du client est bien souvent pénible pour le théra -.



PROFIL DES HOMMES À COMPORTEMENTS VIOLENTS AYANT

les hommes utilisent de la violence psychologique et sexuelle envers leur conjointe psychologique



Les spécificités du self dans les troubles du spectre de lautisme

27 janv. 2020 L'étude des concepts du self en psychologie . ... les traits de personnalité les valeurs



Le trouble de la personnalité borderline constitue-t-il un facteur

22 mars 2016 - l'état psychologique cognitif : le type c. Le patient a eu le temps de bien envisager le suicide les idées sont claires avec des gestes.



Décrire la personnalité de quelquun

Regardez la vidéo sans le son. Observez les tenues et les attitudes des 9 femmes. a. Proposez un adjectif pour décrire la personnalité de la femme 



Lapport des théories de lautorégulation dans le vécu des blessures

29 mars 2018 de personnalité répertoriées dans le modèle de stress-blessure (ex. résistance psychologique



Comment gérer les personnes contrôlantes - Nos Pensées

de la personnalité les fondements sous-jacents à une psychologie scientifique de la personnalité ses buts les deux grandes approches qui opposent souvent à tort étude de l’individu dans sa singularité et étude de groupes d’individus pour définir des caractéristiques communes



Personnalité caractère et tempérament : la structure

We explain the rationale for studies of the language of personality and then review the most salient findings from lexical studies of person-descriptors in 16 languages Using a wide range of criteria for the value of a structural model we compare prominent lexically de- rived models

  • Le Visage Dans Le Langage Corporel Des personnes Contrôlantes

    Plusieurs aspects du visage caractérisent le langage corporel des personnes contrôlantes. Quand une personne est spontanée et sincère, elle a tendance à gesticuler en parlant. Ses muscles sont détendus et ses paroles s’accompagnent d’une certaine manière d’expressions cohérentes dans ses yeux, son sourire et son visage en général. Dans le langage c...

  • l’asymétrie Des Postures

    Une autre caractéristique distinctive du langage corporel chez les personnes contrôlantes est la posture de leur corps. En général, elles ont tendance à se positionner et à adopter des gestes qui projettent une supériorité sur les autres.Il est habituel pour ce type de personnes de lever les épaules et d’élargir la poitrine, précisément parce qu’el...

Comment contrôler des personnes ?

L’un des principaux problèmes lorsqu’il s’agit de contrôler des personnes est la difficulté à identifier qui elles sont. Bien que cela puisse sembler simple, elles sont généralement socialement habiles, attrayantes et persuasives. Les techniques de contrôle et de manipulation peuvent être subtiles et déguisées en bonnes intentions.

Qu'est-ce que le langage corporel chez les personnes contrôlantes ?

Une autre caractéristique distinctive du langage corporel chez les personnes contrôlantes est la posture de leur corps. En général, elles ont tendance à se positionner et à adopter des gestes qui projettent une supériorité sur les autres.

Qu'est-ce que le concept de Personnalité ?

Dans un manuel classique publié dès 1937, Allport passe en revue les définitions du concept de personnalité. Il dresse un catalogue de 50 sens différents, qui peuvent être dis- posés le long d’un continuum partant de nos façons d’être observables pour aboutir à notre moi intérieur.

Comment créer des liens avec des personnes contrôlantes ?

Cependant, il est important que vous passiez en revue les conditions qui vous ont amené à créer des liens et à rester dans une relation avec des personnes contrôlantes. Une faible estime de soi, le besoin de plaire aux autres ou la peur du conflit en font partie.

LES RELATIONS DE POUVOIR

Source: Lumière, Janvier/février 1997.

Il nous est toutes et tous arrivé, à un moment de notre existence, de faire quelque chose que nous

n'avions pas envie de faire parce que quelqu'un faisait pression sur nous, ou encore d'inciter une

personne à faire quelque chose malgré elle, de la manipuler. Qu'il s agisse de choses entraînant

peu de conséquences ou de choses graves. Il n'en demeure pas moins que les relations dans le

cadre desquelles de telles choses arrivent constituent des relations de pouvoir. Ce type de relations

étant monnaie courante, nous vous donnons ici des moyens de les reconnaître et de vous en sortir.

Qu'est-ce au juste qu'un jeu de pouvoir?

Un jeu de pouvoir est un comportement faisant en sorte que la personne qui l'exerce essaie d'avoir une emprise sur l'autre dans le but de gagner ou de conserver un contrôle sur elle. La personne

contrôlante cherche ainsi à faire faire, dire, penser ou ressentir par l'autre ce qu'elle veut que l'autre

fasse, dise, pense ou ressente, ceci contre sa volonté ou à son insu. Le jeu de pouvoir produit la

plupart du temps un malaise chez la personne qui le subit. On reconnaît un jeu de pouvoir par la présence d'un double message, c'est-à-dire d'une distorsion entre le message explicite (direct), et le

message sous-entendu (indirect), le message implicite étant ce qui est dit verbalement alors que le

message sous-entendu étant la plupart du temps véhiculé par les attitudes, le message non-verbal.

Prenons pour exemple le cas d'une femme qui dit à son conjoint: "Tu n'as pas envie d'aller au

cinéma ce soir.» En formulant ainsi sa demande réelle, qui est en fait: "J'ai le goût d'aller au cinéma.

Veux-tu m'accompagner?», la femme en question forme simplement sa demande sous forme

d'affirmation en espérant que l'autre comprendra son attente et répondra à son envie. Si le film est

mauvais, son conjoint ne pourra lui reprocher d'avoir pris l'initiative de la sortie; s'il lui fait des

reproches directs, elle pourra toujours s'en sortir en disant: "Je ne t'ai pas demandé de m'accompagner.» C'est ce qu'on appelle exercer du pouvoir sur l'autre à son insu et contre sa volonté. Et la personne contrôlante n'aura pas, le plus souvent, conscience de ce comportement car cela se

produit la plupart du temps de façon inconsciente. Il peut s'agir d'une situation où l'on ne veut à

aucun prix faire face à un refus. De même, utiliser la flatterie pour amener quelqu'un à faire ce qu'on

attend d'elle ou de lui ("Je sais que je peux compter sur toi!») pour que l'autre se sente mal à

l'aise de refuser ou susciter sa pitié ("Je suis vraiment très mal pris.») pour l'en culpabiliser constituent de

subtiles exercices de pouvoir; de même, l'auto-dénigrement dans le but que l'autre se sente

supérieur et joue au sauveteur ("Je suis incapable de faire et je ne sais vers qui me tourner.»);

entrent aussi dans ce type de jeu de pouvoir le chantage affectif, l'intimidation etc., jusqu'à des

menaces à peine voilées (par exemple si devant votre hésitation on vous dit qu'un refus pourrait

vous causer la perte de certains avantages; et si, pis encore, on vous dit: "... et ce ne sont pas des

menaces.», il y a prise de contrôle sur votre volonté)...

Il existe donc ce qu'on appelle une complicité circulaire entre la personne qui subit la pression et

celle qui l'exerce en ceci que la victime accepte, inconsciemment ou involontairement, d'entrer dans

le jeu de l'autre. C'est une importante prise de conscience à faire, surtout chez les personnes qui se

plaignent de subir le pouvoir de quelqu'un d'autre depuis plusieurs années. Revenons à notre

exemple précédent ("Tu n'as pas envie d'aller au cinéma ce soir.»). La personne qui accepte de

prendre la décision à la place de l'autre est complice du pouvoir que l'autre tente d'exercer sur elle.

C'est la même chose si elle répond à la flatterie de l'autre ou à son 666666666auto-dénigrement et

fait ce que l'autre attend d'elle même si elle n'en a pas le goût. Et quand une personne a utilisé ce

genre de tactique pour obtenir ce qu'elle voulait et qu'elle y a réussi, elle s'en servira encore,

deviendra manipulatrice et cela risque d'entraîner qu'elle abusera de sa victime et de bien d'autres

personnes "vulnérables».

Pourquoi est-ce si difficile de dire non?

Nous devons tout d'abord comprendre d'où viennent les jeux de pouvoir et pourquoi nous les

utilisons. En fait, nous y sommes poussés par nos peurs inconscientes et la première peur qui nous

fait faire des choses que nous n'avons pas envie de faire est celle du rejet. Nous avons peur du

conflit et de la confrontation. Nous avons, en quelque sorte, peur de déplaire à l'ami ou au patron,

de blesser le conjoint ou d'être rejeté par le parent. Mais peur de la confrontation en cache une

autre plus profonde, celle d'être confronté à soi-même. Car dès que nous acceptons le conflit, nous

nous exposons à la critique et risquons ainsi d'entendre à notre sujet des choses désagréables que

nous ne voulons pas entendre ou admettre. Et cette peur d'être confronté à soi-même, elle aussi en

cache une encore plus profonde, celle du changement; si j'accepte d'entendre ces critiques, je vais

devoir changer certaines attitudes ou croyances. Cela me fait perdre une certaine sécurité, bouscule

mon cadre de référence. Et si on accepte le changement, d'autres peurs de plus en plus

inconscientes, enfouies en nous-même et donc difficiles à détecter nous poussent à entrer dans des

jeux de pouvoir: il y a entre autre la peur de la mort, qui cache celle de vivre.

Comment se sortir de ces relations abusives?

Il existe une façon de se sortir de cette dynamique. Elle consiste à trouver en soi un équilibre qui

nous permettra de ne plus nous laisser ébranler par les jeux de pouvoir. Nous atteindrons cet

équilibre tout d'abord en nous ancrant dans notre corps; il est inutile d'essayer de désamorcer les

relations de pouvoir si nous n'utilisons pas toute la puissance de notre corps, si nous travaillons

seulement au niveau de notre esprit. Il s'agit donc de prendre une bonne position d'équilibre, d'avoir

les deux pieds bien posés au sol, les jambes bien droites et légèrement écartées, les bras le long du

corps (si l'on est assis, poser les bras sur les genoux), le dos bien droit. Cette position permet de

prendre contact avec son centre d'énergie et de mettre notre mental en équilibre.

On appelle cette technique, l'ancrage dans les émotions. En effet, ce sont les émotions qui nous

indiquent si quelque chose va ou ne va pas. C'est donc avec elles qu'on détermine la limite entre ce

qui est acceptable et ce qui ne l'est pas. Et il est essentiel que l'on sache ce que l'on veut et ne

veut pas afin de désamorcer les jeux de pouvoir. Un autre type d'ancrage est important, voire essentiel dans notre démarche: l'ancrage dans la relation en question et les faits objectifs; en d'autres termes, on ne parle avec notreinterlocuteur que de ce qui nous concerne tous les

deux, on n'accepte pas de parler de choses concernant des absents, ce qui interférerait dans notre

relation. Finalement lors de conflits, on s'en tient à ce qui s'est dit ou produit, sans chercher à se

justifier car c'est ce qui donne naissance aux jeux de pouvoir. J'endosse la part de responsabilité qui

m'appartient et laisse l'autre assumer celle qui lui revient.

Il est toutefois important de noter que la personne qui décide de briser un jeu de pouvoir s'expose à

la rupture de sa relation avec la personne contrôlante. En effet, il est possible que l'autre refuse de

modifier la relation en cause; on n'a aucun contrôle sur ce qui adviendra par la suite de cette

décision, et attendre de l'autre qu'elle ou il change consisterait en un autre jeu de pouvoir dans

lequel on serait la personne contrôlante. Pour éviter d'être confronté à de telles situations, il est

important de ne pas attendre trop longtemps dans une relation avant d'exprimer son malaise.

Malheureusement, la peur du rejet (on préfère s'embarquer dans un jeu de pouvoir plutôt que de

briser une relation) et du conflit nous empêche de nous exprimer et on laisse trop longtemps les

choses se dégrader. Mais si une telle attitude est efficace à court terme, elle est inappropriée à

moyen ou long terme puisque la victime d'un jeu de pouvoir finira toujours par se lasser et la relation

prendra inévitablement fin.

En terminant, considérant le fait que les relations basées sur de jeux de pouvoir sont destinées à

prendre fin tôt ou tard, il vaut mieux, selon moi, se respecter dans ce que l'on vit et accepter les

risques de rupture qu'engendre toute démarche de désamorçage de relations de pouvoir et oser

tenter de rebâtir une telle relation sur des bases plus satisfaisantes pour soi et en respectant l'autre

plutôt qu'en répondant à ses attentes.quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
[PDF] personne controlante psychologie

[PDF] personne contrôlante au travail

[PDF] trouble personnalité controlante

[PDF] personne controlante amour

[PDF] exercice verbe faire au présent ce1 a imprimer

[PDF] 10 phrases avec le verbe faire

[PDF] faire et dire au présent ce1 lutin bazar

[PDF] exercice verbe faire au futur simple

[PDF] exercices verbe faire au présent

[PDF] exercice ce1 verbe dire et faire au présent

[PDF] verbe faire exercices ? imprimer

[PDF] verbe faire ce1

[PDF] tirade de créon commentaire

[PDF] contrat marché de travaux maison individuelle

[PDF] contrat de marché de travaux privés