Le cycle de leau
Pour cela il faut commencer par faire un storyboard détaillant les différentes étapes de l'animation. Par exemple : ?. Détailler ensuite les lutins qui seront
Le cycle de leau
Le grand cycle de l'eau cycle naturel. Evaporation. Sous l'action du soleil
LE CYCLE DE LEAU
différentes étapes du cycle de l'eau. Sur les traits: vent fleuve
Analyse du cycle de leau produite distribuée et épurée en Wallonie
comparaison des impacts environnementaux des différentes étapes du cycle anthropique de l'eau de distribution de son captage à son rejet en milieu naturel
Le cycle de leau au siècle des lumières: aperçu à partir dun texte
les étapes du raisonnement selon les différentes hypo- thèses du cycle de l'eau
MAQUETTES INTERACTIVES SUR « LE CYCLE DE LEAU »
maquettes permettent d'expliquer facilement les différents cycles de l'eau le pour comprendre le cycle naturel de l'eau et ses différentes étapes.
Analyse du cycle de leau produite distribuée et épurée en Wallonie
comparaison des impacts environnementaux des différentes étapes du cycle anthropique de l'eau de distribution de son captage à son rejet en milieu naturel
LÉDUCATION À LENVIRONNEMENT ÇA COMMENCE DÈS
Avoir au préalable étudié en classe
DominEAU !
Exemple : si la première carte représente les étapes “précipitation” et Découvrir les différentes étapes du cycle de l'eau.
Le cycle de leau Alloprof
Les différentes étapes du cycle de l'eau · L'évaporation · La transpiration · La condensation · Les précipitations · Le ruissellement · L'infiltration · La circulation
[PDF] Le cycle de leau
Il y a 4 grandes étapes dans le cycle de l'eau : • l'évaporation : le soleil chauffe l'eau des mers océans lacs et rivières et la transforme en vapeur
[PDF] Le cycle de leau - Fondation LAMAP
Le cycle de l'eau est aujourd'hui bien compris : évaporation transport dans l'atmosphère par le vent et les nuages retombée sous forme de pluie et de
[PDF] LE CYCLE DE LEAU
1/ La chaleur du Soleil permet l'évaporation de l'eau des océans mais aussi celle des cours d'eau et des plantes 2/ La vapeur d'eau forme
[PDF] LE CYCLE DE LEAU - IES Lucia de Medrano
différentes étapes du cycle de l'eau Sur les traits: vent fleuve pluie mer glacier rivière neige Dans les étiquettes: infiltration condensation
Le cycle de leau en 6 étapes - Maison de la pêche du Luxembourg
Évaporation et transpiration des végétaux · L'action du vent · La condensation et les précipitations · Le ruissellement et l'infiltration
Comment fonctionne le cycle de leau ? (Schéma PDF) GoStudent
28 jui 2022 · (Schéma PDF) Le grand cycle de l'eau se décompose en 4 étapes : de production d'eau potable (différente des stations d'épuration)
[PDF] Le cycle de leau - Horizon IRD
Principales étapes du cycle La liaison hydrogène et les différentes dispositions des molécules d'eau dans ses trois états IV LES CHANGEMENTS D'ÉTAT
Le cycle de leau - Fondation Danielle Mitterrand
18 mar 2011 · Ce cycle entre le ciel et la Terre suit son cours selon 4 étapes : évaporation condensation précipitations et ruissellement
- L'évaporation.
- La transpiration.
- La condensation.
- Les précipitations.
- Le ruissellement.
- L'infiltration.
- La circulation souterraine.
Où commence le cycle de l'eau ?
Le cycle de l'eau n'a pas de point de départ, mais les océans semblent un bon point de départ. Le soleil réchauffe l'eau des océans; celle-ci s'évapore dans l'air. Les courants d'air ascendants entraînent la vapeur dans l'atmosphère, où les températures plus basses provoquent la condensation de la vapeur en nuages.Quel est le nom du cycle de l'eau ?
Le cycle de l'eau, ou cycle hydrologique correspond à l'ensemble des transferts d'eau (liquide, solide ou gazeuse) entre les réservoirs d'eau sur Terre (les océans, l'atmosphère, les lacs, les cours d'eau, les nappes d'eau souterraine et les glaciers).- A retenir du cycle de l'eau :
Evaporation : passage de l'état liquide à l'état gazeux. Condensation : passage de l'état gazeux à l'état liquide. Solidification : passage de l'état liquide à l'état solide. Fusion : passage de l'état solide à l'état liquide.
UNIVERSITÉ DE LIÈGE
Faculté des Sciences Appliquées
Département de Chimie Appliquée
Laboratoire de Génie Chimique
Procédés et Développement Durable
Professeur Angélique LÉONARD
Institut de Chimie ² B6c ² Sart Tilman ² B-4000 Liège (Belgique) http://www.chimapp.ulg.ac.beRapport final
Résumé
épurée en Wallonie
2014Université de Liège
Laboratoire de Génie Chimique
Procédés et Développement Durable
Composition de l'équipe
Prof. Dr Ir Angélique Léonard
Dr Ir Sandra Belboom
Dr Ir Sylvie Groslambert
Rapport Final $QMO\VH GX Ń\ŃOH GH O·HMX SURGXLPH GLVPULNXpH HP pSXUpH HQ JMOORQLHRésumé
Procédés et Développement Durable - ULg 1Table des matières
1 Résumé ............................................................................................................................................................ 2
2 Introduction ..................................................................................................................................................... 3
2.1 Objet de la convention ............................................................................................................................ 3
2.2 Description de l'analyse du cycle de vie .................................................................................................... 4
2.2.1 Généralités ..................................................................................................................................... 4
2.2.2 Méthode ......................................................................................................................................... 7
3 Objectif et champ d'étude ................................................................................................................................ 7
4 Inventaire ......................................................................................................................................................... 8
4.1 Scénarios ................................................................................................................................................. 8
4.1.1 2010 (6,4% eau de pluie ² 76,2% épuration) ................................................................................... 9
4.1.2 15% d'eau de pluie ......................................................................................................................... 9
4.1.3 2020 (6,4% eau de pluie ² 95,7% épuration) ................................................................................... 9
4.1.4 Sans épuration ...............................................................................................................................10
4.1.5 Voiture ..........................................................................................................................................10
4.2 Flux d'eau en Région wallonne ................................................................................................................10
4.3 Données de l'inventaire ...........................................................................................................................14
4.3.1 Captage et potabilisation des eaux souterraines et de surface ...........................................................14
4.3.2 Adduction et distribution ................................................................................................................14
4.3.3 Eau de pluie ...................................................................................................................................14
4.3.4 Égouttage .......................................................................................................................................14
4.3.5 Épuration collective (STEP) .............................................................................................................14
4.3.6 Systèmes d'épuration individuels (SEI) .............................................................................................15
4.3.7 Rejet non épuré .............................................................................................................................15
4.3.8 Mix électrique wallon 2010 ............................................................................................................15
5 Évaluation des impacts et interprétation............................................................................................................16
5.1 Méthodes ...............................................................................................................................................16
5.2 Caractérisation du cycle global ................................................................................................................16
5.3 Caractérisation par étape et par catégorie d'impact ..................................................................................18
5.4 Normalisation des impacts du cycle global ...............................................................................................19
5.5 Comparaison des scénarios .....................................................................................................................20
5.5.1 Scénario voiture .............................................................................................................................20
5.5.2 Influence de la quantité d'eau de pluie collectée et du taux d'équipement épuratoire .......................21
5.5.3 Influence du taux d'équipement épuratoire sur l'eutrophisation ² Méthode IMPACT World+ ...........24
6 Discussions ......................................................................................................................................................26
6.1 Résultats et perspectives ..........................................................................................................................26
6.2 Limites de la méthodologie ACV appliquée au cycle anthropique de l'eau ................................................29
7 Conclusions .....................................................................................................................................................31
8 Acronymes ......................................................................................................................................................32
9 Références ......................................................................................................................................................33
10 Remerciements ...............................................................................................................................................36
Rapport Final $QMO\VH GX Ń\ŃOH GH O·HMX SURGXLPH GLVPULNXpH HP pSXUpH HQ JMOORQLHRésumé
Procédés et Développement Durable - ULg 21 Résumé
L'analyse du cycle de vie de l'eau produite, distribuée et épurée en Wallonie, intégrant la récolte
de l'eau de pluie par les habitants, a pour but de déterminer quels sont les impactsenvironnementaux associés à la consommation d'eau par les particuliers. L'année de référence est
2010 et l'unité fonctionnelle correspond à 1 m³ d'eau utilisé par un citoyen wallon, incluant à la
fois l'eau de distribution et l'eau de pluie.Un modèle du cycle de vie complet est élaboré afin d'estimer les impacts des différentes étapes
du procédé et de mettre en évidence l'importance relative des éléments constituant ces étapes. Le
modèle inclut sept phases essentielles: 1) captage et potabilisation des eaux souterraines et desurface, 2) adduction et distribution, 3) récolte de l'eau de pluie, 4) collecte des eaux usées et
égouttage, 5) épuration collective, 6) épuration individuelle, et 7) rejet sans épuration1. Les
résultats sont analysés au moyen de la méthode ReCiPe midpoint.Les catégories d'impact les plus affectées par la production et l'utilisation de 1 m³ d'eau sont
l'eutrophisation des eaux de surface, l'épuisement des ressources minérales et fossiles et le
changement climatique.Les étapes les plus impactantes globalement sont les stations d'épuration collectives (STEP), ainsi
que le captage et la potabilisation. Ces étapes se caractérisent par leur consommation d'électricité
et de produits chimiques et le rejet d'effluents conservant une charge résiduelle non nulle (bienque fortement diminuée) après épuration par les STEP. L'eutrophisation est également
directement liée à l'élimination de la fraction des eaux usées qui est rejetée sans aucun traitement
(ni individuel, ni collectif). L'épuisement des ressources minérales est principalement dû aux
matériaux utilisés dans les réseaux d'adduction et de distribution. Les étapes les moins
importantes sont identifiées comme étant la récolte d'eau de pluie, les systèmes d'épuration
individuels (SEI) et les égouts. L'impact des infrastructures est globalement assez faible en raison de
la durée de vie de ces installations et de la grande quantité d'eau à laquelle elles se rapportent.
À titre de comparaison, et sur base de la méthode ReCiPe endpoint (score unique), l'impact de la
consommation de 1 m³ d'eau par un citoyen wallon équivaut à un trajet en voiture (selon la moyenne belge) de 6,9 km. Autrement dit, l'impact global à long terme de la consommationjournalière d'eau par personne (environ 100 litres) correspond à celui d'un parcours de moins de
1 km en voiture.
L'analyse du cycle de vie de l'eau anthropique a permis de déterminer la façon dont la
consommation d'eau par les citoyens wallons agissait globalement sur l'environnement. Les étapesles plus impactantes du cycle ont été mises en évidence, ainsi que les catégories d'impact les plus
affectées. L'examen de la façon dont chacune des étapes influence négativement les écosystèmes
a fourni des indications sur la façon de diminuer l'impact environnemental de la consommation humaine d'eau dans le futur.1 Une fraction des eaux usées n'est ni collectée ni traitée
Rapport Final $QMO\VH GX Ń\ŃOH GH O·HMX SURGXLPH GLVPULNXpH HP pSXUpH HQ JMOORQLHRésumé
Procédés et Développement Durable - ULg 32 Introduction
2.1 Objet de la convention
Une analyse du cycle de vie (ACV) de l'eau de distribution en Région wallonne a été réalisée il y a
XQH GL]MLQH G
MQQpH MYHŃ SRXU UpIpUHQŃH O
MQQpH 2000 GMQV OH ŃRQPH[PH G·XQ SURJUMPPH GHrecherche intitulé PIRENE (Programme Intégré de Recherche Environnement-Eau) [21]. Le but de
la présente étude est de mettre à jour les modèles et calculs développés dans le cadre de ce
programme avec des données plus récentes, pour permettre d'établir un écobilan2 complet de la
production et de la distribution d'eau potable en Wallonie, ainsi que de son épuration aprèsutilisation. Une analyse de son cycle de vie est réalisée à partir de ces données actualisées, au
moyen des méthodes et bases de données récentes, et en accord avec les règles préconisées par
l'Union Européenne. La référence pour l'actualisation des données est l'année 2010.La méthodologie de l'analyse du cycle de vie doit permettre d'estimer l'influence de la substitution
d'une partie de l'eau de distribution par d'autres systèmes d'approvisionnement, tels que l'eau de
pluie, en termes d'impacts environnementaux, de consommation des ressources et d'émission depolluants. Dans cette optique, un écobilan de l'utilisation de l'eau de pluie en Wallonie est
également réalisé.
Cette étude s'inscrit dans les politiques de la Communication de la Commission Européenne
concernant la Stratégie thématique du 6ème programme d'action pour l'environnement sur les
ressources naturelles (COM(2005)670 final) qui a pour objectif global de "réduire les impacts
environnementaux négatifs engendrés par l'utilisation des ressources naturelles tout en restant
dans une économie d'expansion", ainsi que l'initiative phare "Une Europe efficace dans l'utilisation
des ressources" relevant de la Stratégie Europe 2020 (COM(2011)21) qui a notamment pour
objectif de "garantir une exploitation plus durable des ressources et conduire à une croissanceéconome en ressources et à faible émission de carbone". Elle correspond également à la feuille de
route pour "Une Europe efficace dans l'utilisation des ressources" (COM(2011)571 final) qui viseentre autres à définir des objectifs à moyen et court terme ainsi que les moyens pour parvenir à
utiliser plus efficacement les ressources".La réalisation d'un écobilan complet de l'eau potable en Wallonie doit permettre d'établir une
comparaison des impacts environnementaux des différentes étapes du cycle anthropique de l'eaude distribution, de son captage à son rejet en milieu naturel après usage, et de définir des choix
stratégiques quant aux options optimales à envisager pour les développements futurs des systèmes
concernés.Les résultats de cette étude ont notamment pour but d'être valorisés dans les rapports sur l'état de
l'environnement wallon (SPW-DGO3-Direction de l'État Environnemental). Un chapitre devrait yêtre prochainement consacré à l'utilisation efficace des ressources en Wallonie, en particulier les
ressources en eau.2 Écobilan: Processus d'analyse des impacts environnementaux d'un produit: extraction et transformations
des matières premières, impacts des habitudes de consommation, fin de vie du produit, etc. Il peut
déboucher sur une Analyse du Cycle de Vie. Rapport Final $QMO\VH GX Ń\ŃOH GH O·HMX SURGXLPH GLVPULNXpH HP pSXUpH HQ JMOORQLHRésumé
Procédés et Développement Durable - ULg 42.2 Description de l'analyse du cycle de vie
2.2.1 Généralités
I·MQMO\VH GX Ń\ŃOH GH YLH (ACV) est définie comme une méthode qui "étudie les aspects
HQYLURQQHPHQPMX[ HP OHV LPSMŃPV SRPHQPLHOV PRXP MX ORQJ GH OM YLH G·XQ SURGXLP Ń·HVP-à-dire du
NHUŃHMX j OM PRPNH GH O·MŃquisition de la matière première à sa production, son utilisation et à sa
destruction" (Figure 1). Figure 1: Illustration de l'approche "cycle de vie" La méthodologie de l'analyse du cycle de vie est codifiée par les standard internationaux ISO14040 et 14044 [17, 18]. Elle comprend quatre étapes essentielles (Figure 2):
1. GpILQLPLRQ GH O·RNÓHŃPLI HP GX ŃOMPS GH O·pPXGH: identification du but de l'étude, du
produit (ou service) à examiner, et établissement des frontières du système (ce qui est pris
en compte ou non dans l'étude).2. Inventaire (du cycle de vie, ICV): détermination des consommations (entrants) de
ressources (matière, énergie) et des émissions dans l'environnement (sortants) associées à
chacune des étapes du système étudié.3. Évaluation des impacts (du cycle de vie, ÉICV): conversion des données de l''inventaire
en impacts environnementaux potentiels.4. Interprétation GX Ń\ŃOH GH YLH HQ IRQŃPLRQ GHV RNÓHŃPLIV GH O·pPXGH.
Figure 2: Les quatre étapes de l'analyse du cycle de vie [29] Rapport Final $QMO\VH GX Ń\ŃOH GH O·HMX SURGXLPH GLVPULNXpH HP pSXUpH HQ JMOORQLHRésumé
Procédés et Développement Durable - ULg 5L'évaluation des impacts environnementaux à partir des données de l'inventaire recourt à des
méthodes développées par des équipes internationales et validées par la Commission
Européenne3. IHV PpPORGHV G·pYMOXMPLRQ GHV LPSMŃPV SHUPHPPHQP GH PUMQVSRVHU OHV données de
O·HF9 LQPUMQPV HP H[PUMQPV G·XQ SURGXLP HQ LPSMŃPV SRPHQPLHOV VXU O·HQYLURQQHPHQP (Figure 3). Pour
ŃH IMLUH ŃOMTXH PpPORGH ŃRPSRUPH SOXVLHXUV ŃMPpJRULHV G·LPSMŃt, telles que les changements
climatiques, la toxicité humaine, O·MŃLGLILŃMPLRQ etc. L'estimation des impacts dans chaque
catégorie repose sur des modèles scientifiques de causes à effets qui permettent de modéliser le
devenir de chaque substance, de son émission (ou GH VRQ H[PUMŃPLRQ ÓXVTX·j VHV UpSHUŃXVVLRQV
potentielles VXU O·HQYLURQQHPHQP c'est-à-dire OHV PUMQVIRUPMPLRQV TX·elle opère sur les milieux) et
les dommages potentiels qui pourraient en résulter. HO H[LVPH MXÓRXUG·OXL PURLV P\SHV GH PpPORGHV
les méthodes intermédiaires, orientées problèmes (dites "midpoint"), les méthodes de dommages (dites "endpoint"), OHV PpPORGHV O\NULGHV RIIUHQP OHV GHX[ QLYHMX[ G·pYMOXMPLRQ LQPHUPpGLMLUHV HP dommages).IHV ŃMPpJRULHV G·LPSMŃP LQPHUPpGLMLUHV VH VLPXHQP MX PLOLHX GH OM ŃOMvQH GH ŃMXVHV j HIIHPV (moyen
terme) PMQGLV TXH OHV PpPORGHV HP OHV ŃMPpJRULHV G·LPSMŃP GH GRPPMJHV VH PURXYHQP j OM ILQ GH
cette chaîne (long terme).Il existe HQYLURQ XQH TXLQ]MLQH GH PpPORGHV G·pYMOXMPLRQ GHV LPSMŃPV. Parmi elles, figurent les
nouvelles approches en toxicité et écotoxicité proposées par le modèle USEtox [30] ou la
méthode multicritère ReCiPe conçue aux Pays-Bas [12]. Elles font partie des méthodes
recommandées par les ILCD Handbooks3 [8, 9, 10]. ReCiPe intègre notamment l'indicateur"changement climatique" tel que modélisé par le Groupe d'Experts Intergouvernemental sur
l'Évolution du Climat (GIEC) et qui fait consensus au niveau international (IPCC 2007 ²Intergovernment Panel on Climate Change4).
La première phase d'évaluation des impacts consiste à classer chaque élément de l'inventaire de
cycle de vie dans les catégories choisies. Vient ensuite la caractérisation, qui permet G·Rbtenir
une réponse quantitative. Des indicateurs environnementaux sont calculés pour chaque catégorie
en utilisant des facteurs équivalents, appelés facteur de caractérisation, définis lors de la
modélisation des chaînes de cause à effet. $X PHUPH GH ŃHPPH pPMSH O·LPSMŃP HQYLURQQHPHQPMO GH
chaque émission ou consommation est exprimé dans une unité spécifique à la catégorie étudiée.
La caractérisation peut être orientée "problèmes" (intermédiaire, midpoint) ou "dommages"
(endpoint) (Figure 3). Par exemple, les émissions de gaz à effet de serre, qui sont les indicateurs
du changement climatique, sont exprimées en kg équivalent CO2 [6], et 1 kg de méthane (CH4) ou 1 kg de protoxyde d'azote (N20) équivalent respectivement à 25 et 298 kg de CO25. À ce
point-ŃL O·LPSMŃP HVP GH P\SH LQPHUPpGLMLUHB 3MU OM VXLPH LO HVP SRVVLNOH GH PUMGXLUH ŃHPPH
contribution aux changements climatiques en dommages potentiels sur la santé humaine et laTXMOLPp GHV pŃRV\VPqPHVB I·LPSMŃP HVP MORUV GH P\SH GRPPMJHB La caractérisation est une phase
obligatoire de l'ACV selon la norme ISO 14044.3 La Politique Intégrée des Produits (COM(2003)302) a identifié l'analyse du cycle de vie comme étant le
"meilleur cadre pour évaluer les impacts environnementaux potentiels d'un produit". Elle a souligné la
nécessité d'une Plateforme sur l'ACV. Le Centre Commun de Recherche (Joint Research Centre - JRC) a
répondu à ces besoins en établissant une Plateforme Européenne sur le Cycle de Vie (European Platform on
Life Cycle Assessment - EPLCA), à travers laquelle on a facilité entre autres le développement du Système
de Référence Européens pour les Données relatives au Cycle de Vie (European reference Life Cycle Data
Systems - ELCD), et le Manuel du Système International de Référence pour les Données Relatives au Cycle
de Vie (International reference Life Cycle Data System Handbook ² ILCD).4 GIEC (français) = IPCC (anglais).
5 Le modèle considère le Potentiel de Réchauffement Climatique dans une perspective de 100 ans.
Rapport Final $QMO\VH GX Ń\ŃOH GH O·HMX SURGXLPH GLVPULNXpH HP pSXUpH HQ JMOORQLHRésumé
Procédés et Développement Durable - ULg 6Figure 3: 5HOMPLRQV HQPUH OHV GRQQpHV GH O·HF9 OHV ŃMPpJRULHV Gquotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
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