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.

L'Institut Mines-Télécom

présente :

Portrait de l'ingénieur 2030

Portrait réalisé par SocioVision

SOMMAIRE

INTRODUCTION 3

PR263(F7H9( G( I·H1*e1H(85 :

3 DRIVERS POUR DEMAIN 5

Trois Drivers 5

1.1 Mutation 6

1.2 I·ORUL]RQPMOLVMPLRQ 10

1.3 I·+\NULGMPLRQ 13

Conclusion 16

LES 5 TERRITOIRES DE COMPÉTENCES

75$169(56(6 G( I·H1*e1H(85 18

2.1 I·H[SHUPLVH MX ѱXU 18

2.2 I·HQJpQLRVLPp 21

2B3 I·$JLOLPp PMOHQP ŃULPLTXH GH O·qUH GLJLPMOH 24

2.4 La Responsabilité, compétence rare 27

2BD I·LQIOXHQŃH pQHUJLH QRXYHOOH GX SRXYRLU 30

Conclusion 33

LES DÉFIS POUR MINES-TÉLÉCOM 34

Les Écoles face au enjeu des Compétences Clé 34

Conclusion 37

ANNEXE 38

3

INTRODUCTION

I·RNÓHŃPLI HVP GH VPUXŃPXUHU OHV ŃRPSpPHQŃHV PUMQs-

YHUVHV MPPHQGXHV GH O·LQJpQLHXU GH GHPMLQ

Mines-Télécom

pectre de spécialités. f changements lourds dans son environnement qui questionnent autant son projet pé-

élération du

acher à livrer dans les années qui vien- , mais

ʇ La p

dont sont porteuses les jeunes gé- non seulement de leurs ainés mais aussi de leurs confrères diplômés des autres grandes écoles. de Sociovision, est de mettre en évidence les compétences socioculturelles qui sont nécessaires aux ingénieurs pour développer leur influence et leur lea- La dimension relationnelle et collaborative, la maîtrise du facteur humain, et des réseaux sont apparus très clairement comme des com- au leadership. Sur ces différents registres, il apparaît également que les ingé- nieurs ont encore des marges de progression face à leurs confrères diplômés

4 ʇ IM GHX[LqPH SMUPLH GH O·pPXGH V·HVP LQPpUHVVpH MX[ ŃRPSpPHQŃHV PUMQVYHUVHV

GH O·LQJpQLHXU GMQV VRQ pŃRV\VPqPH QMPXUHO ŃHOXL GX ŃOMPS PHŃOQRORJLTXH HP pŃRQRPLTXHB $ILQ G·MSSUpŃLHU ŃH TXL HVP MPPendu des ingénieurs de de- main, deux approches ont été utilisées en parallèle : x Une analyse documentaire internationale x GHV LQPHUYLHRV G·H[SHUPV Les informations ont été collectées au premier trimestre 2014.

La restitution des analyses est en deux phases :

x 8Q ŃMGUMJH SURVSHŃPLI UpVXPp VRXV IRUPH GH PURLV GULYHUV Ń·HVP-à-dire des PHQGMQŃHV ORXUGHV TXL PRGLILHQP GXUMNOHPHQP O·HQYLURQQHPHQP GMQV OHTXHO OHV ŃRPSpPHQŃHV GH O·LQJpQLHXU V·H[SULPHQP. x Une cartographie des compétences transverses en cinq domaines, cons- truite sur un référentiel à deux dimensions.

Les informations nécessaires au cadrage prospectif (les " Drivers ») ont été collectées

YLM HQPUHPLHQV G·H[SHUPV HP YHLOOH GRŃXPHQPMLUHB La structuration en cinq domaines de compétences a été construite en tenant compte des attentes des entreprises et des fédérations professionnelles exprimées par OHV H[SHUPV GHV LQLPLMPLYHV SULVHV SMU G·MXPUHV pŃROHV RX LQVPLPXPLRQV j O·pPUMQJHU HP GX SURILO GHV LQJpQLHXUV GpŃULP GMQV OM SOMVH SUpŃpGHQPH GH O·pPXGH. Les entUHPLHQV G·H[SHUPs ont exploré 3 grands registres : x Les évolutions du contexte économique, technologique, sociétal x IM SOMŃH HP OH U{OH GH O·LQJpQLHXU GMQV O·HQPUHSULVH GH GHPMLQ x Les forces et faiblesses des ingénieurs français et de leur formation 5 1

PR263(F7H9( G( I·H1*e1IEUR :

3 DRIVERS POUR DEMAIN

T rois Drivers Les changements HQ ŃRXUV GH O·HQYLURQQHPHQP GH l·HQVPLPXP 0LQHV-Télécom peuvent se résumer à trois grandes tendances lourdes : SOLQHV MOLPHQPpH SMU OM JORNMOLVMPLRQ GHV GpILV ŃRPPH GHV VROXPLRQVB FHŃL V·RSqUH HQ SMUPLŃXOLHU VRXV O·LPSXOVLRQ GX QXPpULTXH PMLV pJMOHPHQP VRXV O·LQIOXHQŃH GH OM transition énergétique. Une Horizontalisation du système socio-économique qui modifie les logiques G·LQPHUPpGLMPLRQ GMQV O·HQPUHSULVH HP UHPHP HQ ŃMXVH HQ SURIRQGHXU OH UMSSRUP MX savoir. Une hybridation des cultures techniques, économiques et sociétales qui met en YMOHXU GHV PHUULPRLUHV QRXYHMX[ j O·LQPHUIMŃH GH SOXVLHXUV GRPMLQes, avec le " de-

sign » comme culture emblématique. MUTATION Driver 1HYBRIDATIONDriver 3HORIZONTALISATION Driver 2

6 1.1 Mutation

La mondialisation, qui a pris forme à la fin des années 80, entre dans sa deuxième phase, avec au terme O·pPHUJHQŃH GH OM FOLQH ŃRPPH JUMQGH SXLVVMQŃH PHŃOQo- logique potentielle. Le numérique est devenu le liant universel des cultures tech- QLTXHV ÓRXMQP MLQVL XQ U{OH GpPXOPLSOLŃMPHXU GH O·LQQRYMPLRQ PMLV pJMOHPHQP GH Gé- stabilisation des ordres anciens. Enfin, les enjeux considérables de la transition énergé- tique et du développement durable en général deviendront critiques dans plusieurs parties du monde dès 2030.

IM ŃRQYHUJHQŃH GH ŃHV PURLV IMŃPHXUV PHP HQ SOMŃH OHV ŃRQGLPLRQV VLQRQ G·XQH UXp-

PXUH GX PRLQV G·XQH PXPMPLRQ RZ OM PHŃOQRORJLH ÓRXH XQ U{OH PRPHXU HP ŃHQPUMOB

Alors que la première phaVH GH OM JORNMOLVMPLRQ MYMLP PLV OM ILQMQŃH MX ѱXU GX

ŃOMQJHPHQP ŃHPPH QRXYHOOH PXPMPLRQ UHPHP O·LQJpQLHXU MX ŃHQPUH HP OXL GRQQH poten- tiellement des responsabilités inédites.

HO \ M SOXV G·XQ VLqŃOH HP GHPL " O·LQJpQLHXU » a été le fer de lance de la Révolution

HQGXVPULHOOHB HO M pPp O·ORPPH GH O·LQGXVPULHB 3OXV PMUG OM PHUPLMULVMPLRQ SXLV OM ILQMQŃLMUi-

sation des économies ont mis le " business man » au centre du jeu. IHV PXPMPLRQV HQ ŃRXUV UHPHPPHQP O·LQJpQLHXU MX ŃHQPUH PMLV RQ Q·MPPHQG SOXV de lui la PrPH ŃORVHB HO Q·M SOXV OH PRQRSROH GH O·LQQRYMPLRQB HO Q·\ MXUM SMV GH UHPRXU HQ Mr- ULqUH YHUV O·kJH G·RU GHV 7UHQPH *ORULHXVHVB La Révolution en cours fait converger à terme trois facteurs dont la dynamique semble à ce jour irréversible : - La mondialisation, phase II - Le numérique universel - La transition énergétique La mondialisation, Phase II

Le numérique universel

La transition énergétiqueMUTATION Driver 1

7 La mondialisation, phase II

La première phase de la mondialisation avait surtout impacté les systèmes de produc- PLRQ LQGXVPULHOOH HP G·pŃOMQJH OHV SM\V pPHUJHQPV HP M JpQpUp XQH ŃRPSptitivité gé- néralisée par les coûts. Ses effets sont encore majeurs. La deuxième phase de la mondialisation modifie en profondeur les conditions de

VXŃŃqV GH O·LQQRYMPLRQ.

Au sein des pays développés, O·H[SpULHQŃH le savoir-faire exclusif et la programma- tique perdent de leur importance. Les partenariats, la localisation de la R&D, la

ŃOMVVH PRQGLMOH MX[ PMOHQPV HP O·MUPLŃXOMPLRQ MYHŃ OM ILQMQŃH GHYLHQQHQP SULRULPMLUHVB

La " Destruction Créatrice » devient le modèle dominant des marchés technolo- giques, moinV GRPLQpV TXH SMU OH SMVVp SMU OHV ŃRPPMQGHV G·pPMP VXUPRXP HQ (u- rope. En France, la majorité du tissu des PME doit encore se mondialiser.

HO HQ HVP GH PrPH G·XQH JUMQGH SMUPLH GX V\VPqPH pGXŃMPLI VXSpULHXU. Le numérique universel

La vague atteindra progressivement toutes les activités humaines. FORXG H27 %LJ GMPM" les annonces se succèdent, qui présagent une quantification GX PRQGH HP GHV SHUVRQQHVB 2U TXL GLP TXMQPLILŃMPLRQ GLP ŃOMPS G·RSSRUPXQLPp SRXU

O·LQJpQLHXUB

Le numérique, comme la Révolution Industrielle, puis financière, crée des utopies,

mais aussi de nouvelles classes de problèmes (ex : protection de la vie privée, sécuri-

Pp SURSULpPp".

IH PUqV JURV VHŃPHXU GH OM VMQPp Q·M HQŃRUH pPp TXH PUqV SHX PRXŃOp SMU OH QXPpULTXHB Or, la santé connective VHUM SURNMNOHPHQP ULŃOH G·LQQRYMPLRQV GH UXSPXUH G·LŃL GL[

ans, générant toute une classe de nouveaux métiers, à la frontière du médical et de

O·LQJpQLHXU.

F·HVP OH IMŃPHXU TXL LPSMŃPH OH SOXV OH PpPLHU GH O·LQJpQLHXU PMQP MX QLYHMX GH OM IRr- mation que de O·MPSOHXU GH OM GHPMQGH HP GH OM SUpGRPLQMQŃH GHV MŃPHXUV pPUMn- gers.

8 La transition énergétique

À peine commencée, elle exige, pour être supportable, des technologies de rupture et une prise de risque technologique importante Le système énergétique, mais également la mobilité sous toutes ses formes, est im- pacté par une explosion des contraintes. Une partie des solutions passe par le déve- ORSSHPHQP GH O·pŃRQRPLH GH OM IRQŃPLRQQMOLPp HP GHV 366 TXL VH OHXUPH j GHV RNs- tacles culturels lourds.

HŃL Ń·HVP OH OpJLVOMPHXU TXL SUHQG O·LQLPLMPLYH PMLV OM SULVH GH ULVTXH PHŃOQRORJLTXH UHVPH

SOXV TXH ÓMPMLV GMQV OHV PMLQV GH O·LQJpQLHXU. La prise de risque technologique est nécessaire pour assurer la rupture dans ces do- maines, comme dans celle de la réduction de la dépeQGMQŃH j O·pJMUG GHV PMPé- riaux rares.

2Q MVVLVPH SOXV JORNMOHPHQP j O·ORUL]RQ YLQJP MQV MX NHVRLQ GH PURXYHU GHV VROXPLRQV

en rupture en simultané sur plusieurs types de ressources rares : eau, énergie, métaux. Cela ouvre probablement des possibilités pour des formations adaptées, en particu-

OLHU SRXU OHV VHUYLŃHV G·LQIUMVPUXŃPXUH SXNOLTXH GHV JUMQGV SM\V pPHUJHQPV. Autres Mutations : le médical, enfin ?

G·MXPUHV PXPMPLRQV OLpHV MX[ VŃLHQŃHV GX YLYMQP SHLQHQP HQ UHYMQŃOH j pPHUJHU

freinées, soit par le législateur et le juriste, soit par la faiblesse du modèle économique.

Toutefois, le développement généralisé de " métriques » dans le domaine de la santé,

par exemple, via la généralisation des capteurs, combiné au vieillissement de la po- pulation, va accéléUHU OM SHUŃHSPLRQ G·XQH XUJHQŃH G·LQQRYMPLRQ GMQV OHV UHJLVPUHV médicaux et paramédicaux. Le point-clé reste ici le modèle économique, très dé- pendant du législateur. IM SHUŃpH SRPHQPLHOOH GH O·LQJpQLHULH SMUMPpGLŃMOH RXYUH GH QRXYHOOHV SHUVSHŃPLYHV

SRXU O·LQJpQLHXU PMLV OHV SM\V RŃŃLGHQPMX[ pYLPHQP SRXU O·LQVPMQP G·RXYULU OM SRUPH ÓXUi-

GLTXH j XQH QRXYHOOH ŃOMVVH GH IMŃPHXUV G·LQpJMOLPpV VRŃLMOHVB I·$VLH SRXUUMLP MOOHU NHMXŃRXS SOXV YLPH GMQV ŃH GRPMLQH QRQ SMU MYMQŃH VŃLHQPi- fique, mais grâce à un cadre juridique moins limitatif pour la prise de risque.

tion et leur transformation en usages. Il rebat les cartes et change tout : la façon de travailler,

notre culture rationnelle française, cette révolution challenge notre pays comme aucun autre au

Jean-Louis Fréchin, NoDesign

gé. »

Michel Bénard, Google

" Pouvoir traiter les atomes comme des bits est la nouvelle utopie de la Silicon Valley, nourrie par les rêves de Chris Anderson, mais aussi par des centaines de Start-Up. Les déceptions se-

ront probablement immenses, mais la possibilité de rupture est bien réelle. Si elle a lieu, la mu-

tation aura des conséquences majeures sur le quotidien. »

" Le département de la Défense (DOD) a financé le développement des technologies de rupture

depuis plus de cinquante ans. GPS, Internet, supra-conducteurs, réalité augmentée, sont nés des

besoins du DOD. Cela fait près de dix ans que nous planchons avec les meilleurs sur le Big Da- cial. Les problèmes éthiques seront considérables. »

MIT CDOIQ (Big Data) Symposium, 2013

10 1.2 I·ORUL]RQPMOLVMPLRQ

IH UqJQH GH O·LQJpQLHXU entrepreneur

Les évolutions technologiques et sociologiques convergent pour donner une auto- QRPLH HP XQH MJLOLPp ŃURLVVMQPHV MX[ MŃPHXUV HP HQ SMUPLŃXOLHU j O·XVMJHU ILQMOB IH PUMQVIHUP GH SRXYRLU VXU O·XVMJHU VH PUMGXLP SMU XQH UpGXŃPLRQ PUqV IRUPH GH O·LQPHUPpGLMPLRQ GMQV OM ŃRPPXQLŃMPLRQ OH ŃRPPHUŃH O·HQPUHSULVH YRLUe

O·HQVHLJQHPHnt (mooc).

Les activités protégées historiquement des nouveaux entrants par la lourdeur des mé- diations nécessaires sont en difficulté. IH PUMQVIHUP GX SRXYRLU YHUV O·XVMJHU PHP MX SUHPLHU SOMQ OM QRPLRQ GH " client » et " G·XVMJH », au détriment du centrage sur les structures, les organisations, les plans. IM ILJXUH GH O·LQJpQLHXU HQPUHSUHQHXU GpSMVVH ŃHOOH GX JpQLH RX GX JUMQG SOMQLILŃa- teur (oQ VH SOMLP j UMSSHOHU MXÓRXUG·OXL TXH OH JpQLH G·(LIIHO HVP G·MYRLU VX UMVVHPNOHU

une " dream team », gérée sans OLpUMUŃOLH HP VXUPRXP G·MYRLU VX SMUOHU MX[ ILQMQŃLHUV.

I·HQJpQLHXU HQPUHSUHQHXU Q·HVP SOXV O·ORPPH GH OMNRUMPRLUH TXL M IMLP OM GpŃRXYHUPH magique et déposé un brevet, mais celui qui est capable de transférer à son client tout le pouvoir que peut donner O·MYMQŃH PHŃOQRORJLTXH ŃHOXL TXL M " O·HPSMPOLH » client. entrepreneur

AccélérationHORIZONTALISATION Driver 2

11 I·qUH GX ŃROOMNRUMPLI ŃORLVL

Les flux de communication V·LQYHUVHQP HQ SMVVMQP GX YHUPLŃMO j O·ORUL]RQPMO : le " peer- to-peer » UHPSOMŃH OM PUMQVPLVVLRQ G·MXPRULPp RX G·H[SpULHQŃH HP UHQPUH GLUectement dans la chaîne de valeur en " open source ». Dans un monde en réseau, la barrière à O·HQPUpH Q·HVP SOXV OH NUHYHP PMLV OH UpIpUHQŃHPHQP GMQV OHV Q±XGV GX UpVHMXB Le " collaboratif » JpQpUMOLVp V·LPSRVH et, de plus en plus, est même imposé.

I·LQIOXHQŃH UHPSOMŃH O·MXPRULPpB I·LQIOXHQŃH HVP MX[ UpVHMX[ ŃH TXH O·MXPRULPp HVP MX[

organigrammes : un " magnet » TXL RULHQPH OHV IOX[ G·MŃPLRQ SROMULVH OHV GpŃLVLRQV Face à la démocratisation du savoir, la composante humaine et interactionnelle, voire émotionnelle, dans la transmission du savoir revient au premier plan pour traiter tout ce que les Mooc ne peuvent livrer : le " coach » et le " mentor » sont devenus aussi importants que " O·HQVHLJQMQP » et le " formateur ».

Cette culture du " coaching » HVP G·MXPMQP SOXV XPLOH TX·HOOH V·LQVŃULP GMQV XQ MSSUHQPLs-

sage par le " faire » avec les autres et pas par mimétisme cognitif personnel avec le spécialiste. Le savoir-faire collaboratif est une alternative à la force brute du " Big Data ». Ce fac- teur est celui TXL SUpVHQPH OHV GpILV OHV SOXV ORXUGV SRXU O·HQVHLJQHPHQP PMLV MXVVL SRXU tionnel. Accélération décentrée IM UpGXŃPLRQ GHV QLYHMX[ OLpUMUŃOLTXHV HP G·LQPHUPpGLMPLRQ OH GpŃloisonnement in- terne/externe, génèrent une accélération générale des processus de changement. La vitesse et la réactivité priment sur les fonctions de mémorisation et de capitalisation (ex : jeux vidéo). Pour les start-XS ŃHOM VH PUMGXLP SMU PRLQV G·" incubateurs » et plus

G·" accélérateurs ».

IH ŃRQPU{OH G·XQ PRQGH ORUL]RQPMO QH SMVVH SOXV SMU O·RSPLPLVMPLRQ GHV V\VPqPHV PMLVquotesdbs_dbs4.pdfusesText_8
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