[PDF] Cours de Topologie L3-math Cours de Topologie L3-math.





Previous PDF Next PDF



Introduction `a la Topologie

1 avr. 2014 Introduction. Ce cours s'adresse `a des étudiants de Licence en mathématiques. Il a pour objectif de donner les bases en topologie ...



Cours de Topologie L3-math

Cours de Topologie L3-math. Renaud Leplaideur 2.1 Notions objets et propriétés topologiques . ... La continuité préserve la topologie .



Cours de Topologie L3-math

Cours de Topologie L3-math. Renaud Leplaideur 2.1 Notions objets et propriétés topologiques . ... La continuité préserve la topologie .



Topologie Appliquée - CEL

3 sept. 2011 Dès lors que la topologie est appliquée plusieurs liaisons entre le vécu des physiciens et les définitions des mathématiciens sont possibles.



Chapitre 1 - Espaces topologiques

La topologie métrique de (X d) est. T = {U ? X ; U est un ouvert}. Donc on peut voir un espace métrique comme un cas particulier d'un espace topologique.



Eléments de topologie et espaces métriques

5 fév. 2016 La topologie est la branche des mathématiques qui étudie la notion intuitive de limite et de continuité. A titre d'exemple considérons.



Topologie analyse et calcul différentiel

ou complexes (et leurs distance et topologie associées) contenues dans le programme du cours de Mathématiques Spéciales MP*.



LA TOPOLOGIE ALGÉBRIQUE

naissance et la petite enfance de la topologie algébrique cette province des mathématiques à qui la science du nombre et de l'espace doit tant.



Enseignement des premières notions de topologie à luniversité

16 jan. 2012 d'un enseignement de topologie à l'université. L'enseignement dont il est ques- tion est intégré dans un cours d'analyse mathématique donné ...



UNIVERSITÉ PAUL SABATIER : PRÉPARATION `A LAGRÉGATION

L'AGRÉGATION DE MATHÉMATIQUES. TOPOLOGIE. PASCAL J. THOMAS. Avertissement. Ces notes constituent un rappel de cours. Elles sont écrites dans.



Topologie pour la Licence - unicefr

en math´ematiques Comme la topologie repose sur relativement peu de connaissances aquises elle pr´esente l’occasion id´eale pour l’´etudiant de combler d’´eventuelles lacunes en logique ou en th´eorie des ensembles C’est la raison pour laquelle la plupart des ´enonc´es sont suivis d’une preuve compl`ete



Introduction a la Topologie - Université Grenoble Alpes

3 Introduction Ce cours s’adresse a des etudiants de Licence en math ematiques Il a pour objectif de donner les bases en topologie indispensables a toute formation en math ematiques Il ne s’agit pas d’un trait e complet sur le sujet qui n’est pas neuf



COURS DE TOPOLOGIE (L3) Universit e Lille 1 - univ-lillefr

COURS DE TOPOLOGIE (L3) Universit e Lille 1 2013-2014 L ea Blanc-Centi 1 ESPACES NORMES ESPACES M ETRIQUES 1 1 Rappels sur les ensembles d enombrables 1 1 1 D e nition



Introduction to Topology - Cornell University

– Let’s just check for two subsets U 1;U 2 ?rst For each x 2U 1 U 2 there are B 1;B 2 2Bsuch that x 2B 1 ˆU 1 and x 2B 2 ˆU 2 This is because U 1;U 2 2T Band x 2U 1;x 2U 2 By (B2) there is



Qu'est-ce que le cours de topologie?

2 3 Introduction Ce cours s’adresse a des etudiants de Licence en mathematiques. Il a pour objectif de donner les bases en topologie indispensables a toute formation en mathematiques. Il ne s’agit pas d’un traite complet sur le sujet, qui n’est pas neuf.

Que faut-il savoir sur la topologie ?

Il contient le strict minimum pour celui qui souhaite poursuivre les ´etudes en math´ematiques. Comme la topologie repose sur relativement peu de connaissances aquises, elle pr´esente l’occasion id´eale pour l’´etudiant de combler d’´eventuelles lacunes en logique ou en th´eorie des ensembles.

Quel est le rôle de la topologie dans la recherche ?

Dans la recherche actuelle, la topologie joue un role fondamental aussi bien en Analyse Fonctionnelle qu’en G´eom´etrie Di?´erentielle ou encore en Topologie Alg´ebrique. Ce cours (de 13 s´eances d’une heure et demi) n’est cependant qu’une introduction aux notions de base.

Quelle est la différence entre topologie et Geometrique?

1En topologie, on prefere parler de points plut^ot que d’elements d’un ensemble. Cette nuance traduit mieux l’intuition geometrique". 2Il n’est pas necessaire de mettre dans la defnition de la distance d(x;y) 2R

Cours de Topologie L3-math

Renaud Leplaideur

Annee 2014-2015

UBO 2

Table des matieres

1 Rappels, preliminaires 5

1.1 Rappels sur les ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

1.1.1 Formalisme ensembliste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

1.1.2 Applications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

1.1.3 Ensemble et structure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

1.2 Cardinalites, ensembles compliques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

1.2.1 Cardinal d'un ensemble-Ensemble (non)-denombrable . . . . . . . . 9

1.2.2 Ensembles compliques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

1.3 Objectifs du cours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

2 Espaces metriques 13

2.1 Notions, objets et proprietes topologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

2.1.1 Denition d'une distance, exemples et contre-exemples . . . . . . . 13

2.1.2 Ensembles ouverts, ensembles fermes . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

2.1.3 Interieur, adherence, ensembles denses . . . . . . . . . . . . . . . . 17

2.2 Suites dans un espace metrique-Espaces complets . . . . . . . . . . . . . . 19

2.2.1 Convergence-divergence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

2.2.2 Caracterisation des adherences et des fermes . . . . . . . . . . . . . 20

2.2.3 Caracterisation des interieurs (et des ouverts) . . . . . . . . . . . . 21

2.2.4 Completude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21

2.2.5 Application de la completude : le theoreme de Baire . . . . . . . . . 24

3 Continuite-Homeomorphismes 27

3.1 Denition. La continuite preserve la topologie . . . . . . . . . . . . . . . . 27

3.1.1 Denition. Caracterisation avec les ouverts et les fermes . . . . . . . 27

3.1.2 Images directes d'ouverts ou de fermes . . . . . . . . . . . . . . . . 28

3.1.3 Notion de topologie. Distances equivalentes . . . . . . . . . . . . . . 28

3.2 Homeomorphismes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

3.2.1 Denition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

3.2.2 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

3.3 Continuite uniforme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

3.4 Theoreme du point xe pour les applications contractantes . . . . . . . . . 33

4 Espaces compacts 35

4.1 Denition a l'aide des recouvrements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35

4.1.1 Preliminaires : topologie induite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35

4.1.2 Recouvrement d'ouverts, intersections de fermes . . . . . . . . . . . 35

3

4 TABLE DES MATI

ERES

4.1.3 Quelques proprietes des compacts et caracterisations des compacts

deR. Exemple du Cantor triadique . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37

4.1.4 Le Cantor Triadique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

4.2 Compacts et suites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

4.2.1 Valeur d'adherence d'une suite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

4.2.2 Caracterisation sequentielle d'un compact. Completude des compacts 39

4.3 Compacts et continuite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

4.3.1 Image d'un compact . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

4.3.2 Applications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

4.3.3 Uniforme continuite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42

5 Espaces Vectoriels Normes 45

5.1 Normes sur un espace . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45

5.1.1 Denition et distance associee . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45

5.1.2 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45

5.2 Applications lineaires continues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47

5.2.1 L'evnL(E;F) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47

5.2.2 Normes equivalentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49

5.3 Compacite et EVN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50

5.3.1 Compacite ou non compacite des boules unites . . . . . . . . . . . . 50

5.3.2 Equivalence des normes en dimension nie . . . . . . . . . . . . . . 51

5.3.3 Application : Partition de l'unite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51

5.3.4 Un critere de compacite dansC0: theoreme d'Ascoli . . . . . . . . . 52

5.4 EVN complets : espaces de Banach . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53

5.4.1 Denition, exemples et une description . . . . . . . . . . . . . . . . 53

5.4.2 Theoreme de Stone-Weirstra . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53

5.4.3 Series et critere de Cauchy. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54

6 Espaces connexes 57

6.1 Denition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57

6.1.1 Un titre a trouver . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57

6.1.2 Caracterisation des connexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57

6.2 Connexes deR. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

6.2.1 Les connexes deR. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

6.2.2 connexite par arc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60

Chapitre 1

Rappels, preliminaires

1.1 Rappels sur les ensembles

1.1.1 Formalisme ensembliste

Un ensembleEest une collection (eventuellement vide)d'elements. L'ensemble vide se note;. Un ensemble decrit a partir de ses element se note avec des accolades. Pour signier quexest un element deEon ecritx2E. Exemple 1.f0;1;2gdesigne l'ensemble compose des 3 elements, 0, 1 et 2.

On dispose d'operation sur les ensembles :

1. L'intersection,\. SiAetBsont deux ensembles,A\Best l'ensemble des elements

qui appartiennent aAet aB.

2. L'union,[. SiAetBsont deux ensembles,A[Best l'ensemble des elements qui

appartiennent aAou aB(c'est a dire a au moins l'un des deux).

3. L'inclusion,. SiAetBsont deux ensembles, ecrireABsignie que tous les

elements deAsont aussi elements deB. On dit alors queAest unsous-ensemble ou une partiedeB.

4. Le produit,AB, designe l'ensemble descouplesdont la premiere coordonnee est

dansAet la deuxieme dansB, c'est a dire

AB=f(x;y); x2A; y2Bg:

Nier l'inclusion,A6Bsignie queAcontient un element qui n'est pas dansB. Ainsi, ;est inclus dans tout ensemble. L'intersection et l'union peuvent se faire sur une famille quelconque. Ainsi, l'intersec- tion de deux ensembles permet de denir par recurrence l'intersection d'un nombre ni d'ensembles. Mais on peut aussi avoir une intersection (ou une union) innie :

Exemples 2.

n2NAndesigne l'intersection que tous les ensemblesAnc'est a dire x2 \n2NAnsi et seulement si8n; x2An: S x2IAxdesigne l'union desAx, c'est a dire queyappartient a cette union si et seule- ment siyappartient a l'un (au moins) desAx. 5

6 Chapitre 1. Rappels, preliminaires

Exercice 1

1/ Decrire\x2]1;1[[x";x+"] avec" >0 xe.

2/ Decrire[x2]1;1[[x";x+"] avec" >0 xe.

3/ Decrire\x2]";"[[x1;x+ 1] avec" >0 xe.

L'inclusion est une relation d'ordre partielle sur les ensembles. Relation d'ordre signie que

1. l'inclusion est re

exive :AA, .

2. L'inclusion est transitive : siABetBCalorsAC.

3. L'inclusion est antisymetrique : siABetBA, alorsA=B.

Remarque 1.Cette derniere propriete permet de verier dans la pratique l'egalite de deux ensembles. On montre la double inclusion. DireA(Bsignie queAest inclus strictement dansB, c'est a direABetB6A. SiEest un ensemble, on denit un nouvel ensemble, appele ensemble des parties de Eet noteP(E) qui est l'ensemble des sous-ensembles deE. Comme; EetEE, P(E) n'est jamais vide; il contient;etE(si celui-ci n'est pas vide). Sixest un element deE,fxgest unsingleton, c'est a dire un ensemble qui ne contient qu'un unique element, cet element etantx. Ainsifxg E, ce qui s'ecrit aussifxg 2 P(E). On prendra soin de ne pas confondrexetfxg. L'un est un element deE, l'autre un sous-ensemble deE. Exemple 3.Ainsi les ecrituresxEetfxg 2En'ont aucun sens.

Dans ce cours on utilisera souvent des cha^nes d'appartenance du type :x2UAce qui signie quexest un element d'un ensembleUqui est lui un sous-ensemble deA.

Exemple 4.On pourra ecrirex2 fxg E.

Lemme 1.1.1.Soit(Ai)i2Iune famille de sous-ensembles deE. On poseBi:=EnAi.

Alors\

i2IA i=En[ i2IB i Demonstration.Par denition du complementaire un element deEappartient a exacte- ment l'un des ensemblesAiouBi. Direx2 \Aisignie quexest dans tous lesAidonc dans aucunBidonc dans le complementaire de[Bi. Reciproquement, direx2En [Bisignie quexn'est dans aucunBidans dans tous lesAi.1.1.2 Applications

Premieres denitions

Etant donnes deux ensemblesEetF, on appelleapplicationdeEversFtoute operation qui consiste a associer a chaque elementxdeEun element (et un seul) dans

1.1. Rappels sur les ensembles 7

F. Souvent, on donne un nom a l'application, et souvent ce seraf, et l'element associe a xse notef(x). On note aussi f:x7!x pour dire qu'on considere l'applicationf. L'ensembleEest l'ensemble de depart, l'en- sembleFest l'ensemble d'arrivee. Ils ne sont pas necessairement identiques (ni de \m^eme nature"). Sixest un element deEetf:E!Fune application,f(x) s'appellel'imagedex parf. Siyest un element deF(ensemble d'arrivee) et si on ay=f(x), alors on dire que xestunantecedentdeyparx. Sixn'a qu'une seule image, l'elementypeut lui avoir plusieurs antecedents (ou aucun). Une applicationf:E!Fse caracterise par songraphe. Le graphe defest l'ensemble des elements deEFde la forme (x;f(x)). Il est courant de parler d'une application a partir de son expression enxlorsque celle ci existe. C'est cependant unabus de langage source d'erreurs de d'incomprehensions. Exemple 5.On parle dex2pour decrire l'application qui associe a chaquexdeRson carre,x2=x:x. On voit aussiexpourx7!exou encore sin(x) pour l'application sinus ou sin.

On rappelle quef:E!Fest dite :

1.injectivesi chaqueyde l'ensemble d'arrivee aau plusun antecedent parf. Cela

signie aussi que toute paire d'elementsxetx0dierents dansE,f(x)6=f(x0), ou encore, que sif(x) =f(x0), alors (necessairement)x=x0.

2.surjectivesi tout elementyde l'ensemble d'arrivee aau moinsun antecedent par

f.

3.bijectivesi elle est injective et bijective.

Exemple 6.exp une une bijection deRdansR+.x7!x2n'est ni injective ni surjective lorsqu'on la considere comme une application deRversR. Elle est injective si on restreint l'ensemble de depart aR+et surjective si on restreint l'ensemble d'arrivee aR+egalement. Sif:E!Fest une bijection, chaqueydeFadmet un unique antecedent parf.

Cela denit une autre application, inverse def, notee (souvent)f1. Elle verief(x) =y()y=f1(x)Images et preimages d'ensembles

On considere une applicationfdeEversF.

Denition 1.1.2.SiAest une partie deE, l'ensemble des points images parfdes elements deAse notef(A). SiBest une partie deF, l'ensemble des elements deE ayant une image parfdansBse notef1(B). Remarque 2.Il s'agit denotations. Il faut apprendre a distinguerf(x) def(fxg), f

1(y) (valable seulement sifest bijective) etf1(fyg).

Question 1.Les operations ensemblistes\et[sont-elles preservees parf?

8 Chapitre 1. Rappels, preliminaires

On retiendra: les operations ensemblistes ne sont pas necessairement preservees par les images directes mais le sont par les images reciproques :f

1(B\B0) =f1(B)\f1(B0),f

1(B[B0) =f1(B)[f1(B0).1.1.3 Ensemble et structure

Rappels surR

On rappelle que l'ensemble des rationnelsQest strictement inclus dansRet que tout intervalle non vide deRcontient une innite de rationnels et d'irrationnels. On rappelle queRest caracterise par la propriete de la borne superieure : toute partie non vide majoree admet une borne superieure (c'est a dire un plus petit majorant).

Structure

On prendra soin de ne pas confondre un ensembleEavec ce m^eme ensembleEmuni d'un structure. Par exemple l'ensemble des nombres reelsRpeut-^etre muni (ou non) de plusieurs structures :

1.Rest groupe (muni de la loi +).

2.Rest un anneau (muni des lois + et).

3.Rest un corps.

4.Rest unR-espace vectoriel de dimension 1.

5.Rest le complete deQ.

6.Rest unQ-espace vectoriel de dimension innie non-denombrable.

Lorsque l'ensemble est muni d'une structure, on a des operations qui ont du sens, d'autres qui n'en n'ont pas.

Exemple 7.A-t-on l'egalite 2 =42

Oui si on travaille dansQ, non si on travaille dansZ. Plus precisement,42 n'existe pa dansZ. Etant donnes deux ensemblesEetFequipes d'une m^eme structure, on est naturelle- ment amene a etudier les applications allant deEversFet qui preservent la structure, c'est a dire qui transporte la structure surEvers la structure surF. On parle de mor- phisme (qui preserve la forme). Exemple 8.Morphismes de groupes, d'anneaux, de corps, applications lineaires, etc. Dans ce cours, la structure s'appellera une topologie et les applications qui preservent cette structure sont les applications continues. On cherche aussi a caracteriser les morphismes injectifs, surjectifs et bijectifs, et aussi les morphismes bijectifs dont l'application reciproque est aussi un morphisme.

1.2. Cardinalites, ensembles compliques 9

1.2 Cardinalites, ensembles compliques

1.2.1 Cardinal d'un ensemble-Ensemble (non)-denombrable

Lorsqu'un ensemble a un nombre ni d'element, ce nombre s'appelle decardinalde l'ensemble. Les choses deviennent plus compliquees des que l'on passe en cardinalite innie. Denition 1.2.1.Un ensembleEest dit denombrable s'il est en bijection avec une partiequotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
[PDF] topologie exercices corrigés l2

[PDF] texte arabe traduit en francais

[PDF] cours traitement de signal analogique pdf

[PDF] traitement de signal cours ppt

[PDF] traitement de signal matlab pdf

[PDF] exercices corrigés traitement de signal pdf

[PDF] cour sur les etude des signaux(pdf)

[PDF] livre audit comptable et financier pdf

[PDF] mission daudit comptable et financier

[PDF] exercices corrigés audit comptable et financier pdf

[PDF] audit général cours pdf

[PDF] livre zootechnie gratuit

[PDF] mémento de zootechnie pdf

[PDF] cours zootechnie alimentation

[PDF] zootechnique et production animale pdf