Ladjectif en anglais et en français
27 Mar 2015 Mais qu'est-ce que la « désémantisation » au juste ? 236. – La position des LVAdj varie-t-elle en fonction du nombre d'épithètes ?
HENKEL - Les interactions adjectif-déterminant en anglais et en
cumulant plusieurs modes de qualification en même temps (épithète + attribut) ont été exclus. Il s'est ainsi avéré que les taux d'occurrence des différents
Les interactions adjectif-déterminant en anglais et en français
2 Jul 2015 épithète ni attribut les SN sujets d'un prédicat attributif mais ... Il s'est ainsi avéré que les taux d'occurrence des différents modes de.
la description linguistique - natures et fonctions des mots et des
lorsqu'il est ce qu'on appelle « adjectif substantivé » (ex. the poor). épithète est prototypiquement placé devant le nom en anglais mais certains.
UNIVERSITY OF GHANA LEGON
FLE et qu'il soit consulté avant l'enseignement de cette partie de la grammaire Contrairement à l'adjectif épithète en anglais qui est normalement placé ...
La tête du groupe nominal : lhypothèse du DP dans les théories
3 Jun 2021 certain élément est la tête d'un syntagme et que les autres dépendent ... En effet un adjectif épithète en anglais n'est pas marqué pour le ...
Faut-il continuer à parler dattribut et dépithète dans lEurope d
d'extension européenne non plus. Par exemple en grammaire anglaise
Untitled
épithète on ne peut pas s'étonner que les grammaires du français mo- anglais offre deux adjectifs épithètes juxtaposés
Chapitre XII : LADJECTIF
L'adjectif en anglais est invariable quel que soit le nom qu'il qualifie. I.1. DIFFÉRENTS TYPES D'ADJECTIF a) les adjectifs répertoriés comme tels dans le
Faut-il continuer à parler dattribut et dépithète dans lEurope d
d'extension européenne non plus. Par exemple en grammaire anglaise
J’ai besoin de faire travailler les adjectifs 1 Quel besoin
- Les adjectifs sont invariables en anglais ; l’épithète se place avant le nom (hormis une ou deux exceptions pour des raisons historiques ainsi galore) - Un adjectif dans un groupe nominal a besoin d’un nom (the blue car) ou d’un pronom (the blue one) hormis dans quelques rares cas de reprise avec faible
Pourquoi les adjectifs épithètes sont-ils importants ?
La construction de l'épithète liée est directe : l'adjectif ou le participe est directement placé avant ou après le nom auquel il se rapporte. Les épithètes servent à enrichir des noms en leur apportant des précisions : ce sont des extensions du groupe nominal minimal (= déterminant + nom).
Quelle est la différence entre un adjectif épithète et un attribut ?
Concrètement, l’adjectif épithète se trouve dans le groupe nominal, avant le nom. À l’inverse, l’adjectif attribut du sujet est toujours précédé d’un verbe d’état ( be, become, seem, etc.). Or, faites bien attention : en anglais, un adjectif composé qui s’écrira avec des tirets lorsqu’il est épithète, s’écrira sans tirets lorsqu’il sera attribut !
Comment l'adjectif épithète s'accorde-t-il avec le nom?
Le nom « épithète » est féminin : on écrit « une épithète ». Lorsqu'il qualifie le nom « adjectif », le mot « épithète » s'accorde au masculin singulier : « un adjectif épithète li é . »
Comment on écrit épithète ?
Le nom « épithète » est féminin : on écrit « une épithète ». Lorsqu'il qualifie le nom « adjectif », le mot « épithète » s'accorde au masculin singulier : « un adjectif épithète li é . » 2. La construction de l'épithète liée
Past day
La tête du groupe nominal : l"hypothèse du
DP dans les théories génératives
Philip Miller Geoffrey K. Pullum
Université de Paris University of Edinburgh
philip.miller@u-paris.fr pullum@gmail.comThis paper is submitted for publication in a special issue ofCORELA : Cognition, Répresentation, Langagede-
riving from the conference 'Théories linguistiques en dialogue : La détermination du nom", held at Université de
Grenoble Alpes on 21 November 2019. This is the final draft version dated June 3 2021. Please do not cite, quote,
or distribute it without contacting the authors first.Cet article est soumis pour parution dans un numéro spécial deCORELA : Cognition, Répresentation, Langage
issu de la conférence 'Théories linguistiques en dialogue : La détermination du nom", Université de Grenoble
Alpes le 21 November 2019. Version soumise à impression du 3 juin 2021 June 3. Merci de ne pas citer ni distri-
buer sans avoir d"abord contacté les auteurs.ResuméCet article discute l"analyse en termes de DP qui domine actuellement dans la grammaire
générative chomskienne, à savoir, l"idée que la tête du groupe nominal est le déterminant, plutôt que le
nom. Nous commençons par une discussion des notions de tête et de dépendance et passons en revue
différents critères classiques permettant de décider quel élément est la tête dans une construction donnée.
Sur base de ceux-ci, nous proposons une série d"arguments suggérant que la position classique est en
réalité la bonne et que c"est bien le nom qui est la tête du groupe nominal. Nous étudions ensuite une
série d"arguments et d"analyses spécifiques qui ont été avancés en faveur de l"analyse en termes de DP
et montrons pourquoi nous ne les considérons pas comme convaincants. En conclusion, nous notons que
le choix entre les analyses NP et DP n"est peut-être pas une question empiriquement décidable si l"on
s"autorise les représentations syntaxiques très abstraites qui sont actuellement en vogue dans le cadre de
la linguistique générative chomskienne. Mots clés: Hypothèse DP, têtes, syntagme nominal, déterminants, syntaxe abstraiteAbstractThis paper discusses what is known in the generative literature as the 'DP-hypothesis", i.e.,
the idea that the head of the Noun Phrase is actually the Determiner, rather than the Noun. We start by a discussion of the notions of heads and dependency and the classical criteria for deciding whichitem is the head in a given construction. Using these we provide a series of arguments suggesting that
the classical position is correct and that the Noun is the head of the NP. We then discuss a series of
specific arguments and analyses that have been advanced in support of the DP analysis, showing why we do not believe them to be convincing. We conclude by observing that the choice between the NPand DP analyses may not actually be an empirical issue if one allows the very abstract kind of syntactic
representations currently fashionable within Chomskyan generative linguistics. Keywords: DP-hypothesis, heads, Noun Phrase, Determiners, abstract syntax1 Introduction
Cet article propose de faire le point sur la question de la tête du groupe nominal : est-ce, comme on le suppose traditionnellement, le nom (ce qui justifie la dénomination de groupeno-minal)? Ou est-ce, au contraire, le déterminant? Cette dernière analyse conduirait à rebaptiser
le groupe nominal comme syntagme déterminant ('Determiner Phrase", DP), comme le font ac- tuellement de nombreux générativistes (voir, par exemple, Abney 1987, Bernstein 2001, Larson 12019). Pour aborder cette question de façon fructueuse, il nous faut commencer par examiner
de plus près la notion de dépendance et les arguments qui peuvent justifier de considérer qu"un
certain élément est la tête d"un syntagme et que les autres dépendent de lui 1.1.1 Quelques préliminaires terminologiques
Avant d"entrer dans le vif du sujet, faisons deux petits points terminologiques. D"abord, dansle paragraphe qui précède, nous avons utilisé trois dénominations pour désigner la catégorie qui
généralement utilisé en linguistique, 'syntagme nominal"; (iii) le terme nouveau 'syntagmedéterminant", introduit récemment par certains générativistes. On se trouve en effet face à un
problème pour désigner l"entité à l"étude puisque les termes disponibles préjugent de la réponse
à la question. En appelant un syntagme 'syntagme nominal", on présuppose que le nom en est latête. A l"inverse, en l"appelant 'syntagme déterminant", on présuppose que c"est le déterminant.
le terme scolaire 'groupe nominal", profitant de ce qu"il est moins chargé au niveau théorique.
Le second point concerne la distinction entre catégorie et fonction, qui est habituelle et bien connue, à la fois dans les traditions grammaticales anglophone et francophone. Ainsi, dans une phrase comme (1) : (1)The wind brok ea lar gebranch.
'Le vent a cassé une grosse branche." les deux groupes nominauxthe windeta large branchont la même catégorie, mais n"ont pas la même fonction : le premier est sujet, le second est objet direct. Cependant, si la tradition grammaticale distingue différentes fonctions pour les groupes nominaux (et les groupes adjec-tivaux, qui peuvent avoir les fonctions épithète ou attribut), elle reste muette sur la fonction
du verbe et du déterminant. On peut attribuer cette lacune terminologique au fait que, dans laplupart des cas, ces catégories remplissent systématiquement la même fonction, ce qui semble
rendre une étiquette fonctionnelle redondante. Néanmoins, dans le cadre de la discussion quisuit, il sera très utile de distinguer la catégorie déterminant de sa fonction. Il nous faut donc
un néologisme pour désigner celle-ci. La grande grammaire descriptive de Huddlestonet al.2002 propose une terminologie nouvelle pour l"anglais, appelant la catégorie 'determinative"
et la fonction 'determiner" (ce dernier terme étant traditionnellement utilisé pour la catégorie
en anglais). Nous calquons cet usage en français : nous utiliserons désormais 'déterminant"pour désigner la fonction (ce qui est cohérent avec la morphologie du français : le déterminant
est l"entité qui détermine), et 'déterminatif" pour désigner la catégorie. On peut noter que les
noms de catégories 'substantif" et 'adjectif" partagent le même suffixe que 'déterminatif", ce
qui donne une certaine cohérence intuitive à cette nouvelle terminologie.Cette distinction entre la catégorie déterminatif (notée 'D", en parallèle à 'N" pour nom
et 'A" pour adjectif) et la fonction déterminant est particulièrement utile pour l"anglais. Eneffet, outre la catégorie des déterminatifs (qui inclut les articles,a(n),the; les démonstratifs,
this,that; les numéraux cardinaux,one,two, ... ; et un nombre limité de quantificateurs et demots apparentés :all,any,both,each,either,every,few,many,most,much,neither,no,none,1. Nous tenons à remercier Rob Truswell qui a partagé avec nous ses notes sur l"hypothèse DP, qui nous ont
été très utiles dans l"écriture de cet article. Nous remercions aussi Denis Bouchard, Eric Corre, Anne Jugnet,
Laure Gardelle, John Payne, Brett Reynolds et Annie Zaenen pour leurs remarques sur une version préliminaire
du manuscrit. 2 several,some, par exemple), les groupes nominaux au possessif peuvent également avoir la fonction déterminant, comme dans les exemples suivants : (2) a. I read thegirls" book. 'J"ai lu le livre des filles." b.I read their book. 'J"ai lu leur livre."
21.2 L"hypothèse DP
L"analyse en termes de DP, parfois appelée 'l"hypothèse DP", (où DP abrège 'Determiner Phrase"- ou 'Determinative Phrase" dans la terminologie que nous proposons; en français Syn-tagme Déterminatif, SD) a été développée dans Abney 1987. Il convient d"abord de distinguer
cette analyse de l"idée qu"il puisse y avoir un syntagme dont la tête est le déterminatif mais qui
ne serait pas le groupe nominal traditionnel. Cette dernière hypothèse est solidement fondée
(et développée en détail pour l"anglais par Jackendoff 1977, par exemple). En effet, il est clair
que certains membres de la catégorie des déterminatifs peuvent avoir leurs propres modifieurs. Ainsi, on peut considérer queso many(l.17 du corpus) est un syntagme déterminatif ayant ledéterminatifmanypour tête, modifié par l"adverbe de degréso. De même, dansvery nearly all,
very nearlymodifie le déterminatifall. Dans leur grande grammaire de référence de l"anglais,
Huddlestonet al.2002 proposent d"ailleurs cette terminologie, appelant ces syntagmes des DP.L"analyse à laquelle réfèrent les générativistes chomskiens (voir la section 1.1. de Miller
2021 pour une présentation de la grammaire générative et des différents courants générati-
vistes) lorsqu"ils parlent 'd"hypothèse DP" n"est pas celle-là. Il s"agit simplement d"analyser
les groupes nominaux comme ayant pour tête le déterminatif, plutôt que le nom. Ainsi, la tête
dethe artist('l"artiste", ex. 6, l. 22 du corpus) serait le déterminatifthetandis queartistseraitle complément régi par ce dernier. De même, dansthe worst mistake of your life('la pire erreur
de ta vie", ex. 3, l.9 du corpus), l"article définitheserait la tête, tandis queworst mistake of your
lifeserait le complément régi par l"article. Ou encore, que dansa full-time artist('un artiste à
plein temps", l.16 du corpus), l"article indéfiniaserait la tête etfull-time artistson complément.
Les arbres suivants illustrent les analyses DP et NP pour deux de ces exemples, la tête de laconstruction étant soulignée :2. Rappelons les raisons qui conduisent les grammairiens de l"anglais à traiter un possessif commetheir
comme un pronom et non comme un déterminatif. D"abord, il apparaît dans une position qui peut accueillir un
groupe nominal (à condition qu"il soit au cas possessif), comme le montre la variante (2-a). Ensuite, l"accord se
fait non pas avec le nom tête (bookest singulier), mais avec l"antécédent, ici, les filles. L"usage en anglais est donc
parallèle à celui des pronoms génitifs en latin, qu"on peut illustrer par la traduction de (2-a), 'Legi librum earum",
où le pronom génitif féminin plurielearums"accorde avec son antécédent et non avec le nom têteliber, qui est
masculin singulier. A l"inverse, en français, le possessif est un déterminatif parce qu"il s"accorde avec le nom tête,
et non avec le possesseur, et parce qu"il est impossible de le remplacer par un groupe nominal complet.
3 (3) a. DP D 0D the NPN 0N artist b. NP DP D 0D the N 0N artist (4) a. DP D 0D a NPN 0A full-timeNartist
b. NP DP D 0D a N 0A full-timeNartist
Cette idée a été suggérée informellement par John Lyons dans les années 1970. Elle a ensuite
été proposée de façon plus détaillée dans la littérature générative, d"abord par Szabolcsi 1983
en référence au hongrois puis par Fukui et Speas 1986. Elle a été développée en détail par
Steven Abney dans sa thèse de 1987, soutenue au MIT 3. Afin d"évaluer les conséquences de l"analyse DP et de la comparer à l"analyse classique entermes de NP, il est utile de réexaminer brièvement les notions mêmes de dépendance et de tête
ainsi que les critères dont on dispose pour justifier l"idée qu"un certain élément soit la tête au
sein d"une construction. C"est ce que nous ferons dans la section suivante2 Les notions de dépendance et de tête
2.1 La relation de dépendance
L"idée selon laquelle la relation de dépendance est au centre de la théorie syntaxique est ancienne. Comme le montre, p. ex., Dominicy 1982, ce concept est central au 18 esiècle dans les travaux de Dumarsais, Beauzée et, en particulier, Condillac. En France aujourd"hui, elle est surtout connue par l"oeuvre posthume de Lucien Tesnière,Eléments de syntaxe structu- rale(Tesnière 1959), qui constitue le point de départ des recherches contemporaines sur les grammaires de dépendance (voir Marneffe et Nivre 2019 pour une synthèse récente avec denombreuses références bibliographiques). On retrouve aussi la notion de dépendance dans les3. Tentant un compromis, Radford 1993 suggère que le déterminatif et le nom sont tous deux têtes du groupe
nominal. Outre que cette analyse enfreint le principe central des systèmes de dépendance (voir section suivante),
on consultera Payne 1993, publié dans le même volume, pour des arguments contre cette idée. 4 travaux des structuralistes états-uniens, comme Bloomfield 1933 et Harris 1951 : les construc-tions dites 'endocentriques" ont une tête dont dépendent les autres éléments de la construction.
On peut représenter les relations de dépendance traditionnellement reconnues pour notre phrase exemple (1) sous la forme d"un graphe comme (5). Celui-ci indique quethedépend de wind, qui lui-même dépend debroke; outre ces deux relations de dépendance directe, on peut dire quethedépend indirectement debroke. De même,aetlargedépendent debranch, quidépend aussi debroke, ce dernier étant la tête de la phrase, dans la mesure où il ne dépend de
rien. A l"inverse, tous les éléments de la construction dépendent, directement ou indirectement,
de sa tête. (5)Thewindbrokealargebranch2.2 La relation de constituance
Parallèlement à la notion de dépendance, on trouve aussi une idée plus récente, liée en par-
ticulier au structuralisme états-unien, à savoir le concept de constituance, ou structure syntag-
matique : une phrase se découpe en constituants immédiats qui peuvent eux-même contenir des constituants plus petits. Ainsi, notre phrase exemple (1) reçoit traditionnellement la structure syntagmatique représentée en (6). Celle-ci indique comment la phrase se divise en constituants plus petits et, en outre, indique la catégorie grammaticale de chaque constituant. Chaque motforme individuellement un constituant et reçoit une catégorie. Ainsi,theetasont des détermi-
natifs (D, pour 'determinative"),windetbranchsont des noms (N, pour 'Noun"),largeest un adjectif (A, pour 'Adjective") etbrokeest un verbe (V, pour 'verb"). En outre la séquencethe windest un constituant de catégorie syntagme nominal (NP, pour 'Noun Phrase"), de même que a large branch; la séquencebroke the branchforme un syntagme verbal (VP, pour 'Verb Phra- se") et, enfin, l"ensemble de la phrase forme un constituant de catégorie phrase ou 'proposition" (S, pour 'sentence"). (6) S NP D the Nwind VPV broke NPD aAlarge
Nbranch
52.3 Compatibilité des relations de dépendance et de constituance et théo-
rie X-barre Comme le montrent les travaux de Bloomfield et Harris, les relations de dépendance et lesquotesdbs_dbs24.pdfusesText_30[PDF] séquence complément du nom cm1
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