Sir Edward B. Tylors definition of culture (1871)
Handout in class: HCW Tylor's definition of culture Session 2. Source: Wikimedia Commons. From Popular Science Monthly 26 (1884): 145. Public Domain.
Tony Bennett - CULTURAL STUDIES AND THE CULTURE CONCEPT
Tylor's Primitive Culture Arnold's definition of culture as the source of all sweetness and light was recognized by the Oxford English Dictionary in 1893.
Cultural Darwinism and Philosophical Idealism in E. B. Tylor: A
"DARWINISM" AND "IDEALISM" IN TYLOR 131 the limited problem of "Tylor's definition of culture" in its specific text; embrace because our overall
Edward B. Tylor
Edward Burnett Tylor was born at Camberwell on October 2 Tylor's vision embraced
Matthew Arnold E. B. Tylor
https://anthrosource.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1525/aa.1963.65.4.02a00010
Matthew Arnold E. B. Tylor
https://www.jstor.org/stable/668930
Archaeology Anthropology
https://www.jstor.org/stable/682590
A Scientific Concept of Culture
Tylor's definition of the word culture the first explicit definition of the term in its anthropological sense
2ATP
La définition de la culture proposée par l'anthropologue britannique Edward Tylor marque un tournant dans la perception de la culture et correspond à la
Culture and Classics: Edward Burnett Tylor and Romanization
and intellectual context of Edward Burnett Tylor the British anthropologist often credited with delineating the first anthropological definition of culture.
[PDF] La notion de culture
Dès le début de son ouvrage Tylor donna une définition de la culture qui a été par la suite citée de nombreuses fois: «La culture ou la civilisation entendue
Éditorial - OpenEdition Journals
15 jan 2003 · Dans son Primitive Culture de 1871 Edward Burnett Tylor posait une définition que ses héritiers doteront d'une valeur canonique : la
[PDF] CM1 : La culture au sens socio-anthropologique 2ATP
La définition de la culture proposée par l'anthropologue britannique Edward Tylor marque un tournant dans la perception de la culture et correspond à la
[PDF] 1 LA CULTURE AU SENS SOCIO-ANTHROPOLOGIQUE - 2ATP
La culture est le concept le plus commun entre les disciplines de sociologie La définition à retenir en première approche est celle de E Taylor en 1871
[PDF] Sir Edward B Tylors Definition of Culture - MIT OpenCourseWare
Edward Tylor's was the first who specified that culture is learned and acquired as opposed to being a biological trait This was revolutionary against the
[PDF] Tylor Edward Burnett - Alain Testart
Tylor reste célèbre par la définition qu'il a donnée de la culture Enfin il est le premier dans un article resté célèbre (1889) à avoir dégagé le modèle
Lhistoire du concept de culture Le destin dun mot et dune idée de
(2 parties et 8 chapitres) adoptant une perspective comparative et critique sur l'évolution du concept de culture depuis la définition d'Edward Tylor en
Culture : une notion polémique? - Érudit
En situant la culture comme ensemble la définition de Tylor se rappro- che de l'idée moderne de système Elle permet de définir les contextes des
Burnett Tylor Edward La recherche le concept de la culture de la
en 1871 Edward Tylor a publié l'essai Culture primitive dans laquelle l'ouverture a présenté la première et la plus importante définition systématique du
[PDF] Sur la notion de culture en anthropologie - Portail HAL Sciences Po
21 sept 2018 · La culture comme complexe de différents traits Cette définition est une des plus usitées dans l'anthropologie En France
Qu'est-ce que la culture selon Taylor ?
Définition de la culture selon Tylor : « Ensemble complexe qui englobe les connaissances, les croyances, les arts, la morale, les lois, les coutumes, et tout autre capacité et habitude acquise par l'Homme en tant que membre d'une société ».Comment se définir la culture ?
«La culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social.C'est quoi la culture selon les auteurs ?
L'auteur y définit la culture comme un « tout complexe qui inclut la connaissance, la croyance, l'art, la morale, le droit, la coutume, et toutes les autres capacités et habitudes acquises par l'homme comme membre de la société » (p. 1).- La culture est, selon le sociologue québécois Guy Rocher, « un ensemble lié de manières de penser, de sentir et d'agir plus ou moins formalisées qui, étant apprises et partagées par une pluralité de personnes, servent, d'une manière à la fois objective et symbolique, à constituer ces personnes en une collectivité
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CM1 : La culture au sens socio-anthropologique
I - LE CONCEPT DE CULTURE
A) LA COMPLEXITE DE LA CULTURE
DE L'EVOLUTIONNISME SOCIAL ...
La SOCIALISATION désigne la manière avec laquelle on acquière tous les éléments façonnant notre culture
propre, elle apparait au coeur des sciences sociales comme l'est aussi le terme CULTURE.Ce terme n'a pas toujours été défini de la même manière dans le langage savant et courant. En effet, une des
spécificités des sciences humaines est d'utiliser des concepts qui sont également mobilisés dans le langage
courant.Exemple :
Quand je parle en langage courant, il y a des termes spécifiques que je n'utilise pas.En sciences humaines, on utilise du vocabulaire utilisé dans le langage courant. Certains de ces termes
ont des définitions proches, d'autres ont de nombreuses définitions (comme le terme cultureLa définition de la culture proposée par l'anthropologue britannique Edward Tylor marque un tournant dans la
perception de la culture et correspond à la définition que l'on garde aujourd'hui. Au dernier tiers du XIXème
siècle, Tylor qui fut l'un des premiers anthropologues écrit en 1871 dans Culture Primitive (ou Primitive Culture
en anglais) :" La culture est ce tout complexe comprenant à la fois les sciences, les croyances, les arts, la morale, les lois, les
coutumes et les autres facultés et habitudes acquises par l'homme dans l'état social » è Cette définition a un caractère novateur à l'époque où Tylor la propose.A l'époque (fin du 19
ème
siècle), la pensée dominante à la fois dans la société civile, intellectuelle et politique,
est la pensée dite évolutionniste.Dans ce courant de pensée ceux qui s'intéressent aux différentes cultures, aux différents peuples, considèrent
qu'il existe un sens évolutif des cultures les plus primitives, sauvages, simples, barbares, c'est-à-dire selon eux
les moins civilisées vers des peuples avec une civilisation beaucoup plus complexes, fines qui se trouvent en
haut de l'échelle de l'évolution. On séparait les civilisations en fonction de leur niveau de culture.
Les civilisations qui se considèrent en haut de l'échelle sont celle d'Amérique du Nord et d'Europe de l'Ouest.
Il n'est pas indispensable de retenir la citation, ce qui est surtout important ici c'est de comprendre le sens de cette citation. Bien retenir cependant le nom de l'auteur ainsi que son ouvrage et la date de celui-ci.Cours de Mme. PENCHAUD - Année 2019-2020
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Quand on pense de cette manière, on se considère civilisé et plus que certains peuples. Quand on parle de
civilisation, on pense à des espaces géographiques qui se propagent de plus en plus. En termes de sciences
humaines, la pensée évolutionniste soutient donc l'idée que la civilisation désigne une population qui propage
sa culture aux peuples moins civilisés (peuples plus primitifs).Le terme " civilisation » n'est pas plus neutre que " culture », il s'inscrit dans la pensée évolutionniste.
Cette vision de la culture s'inscrit dans le processus de colonisation.Il y a un autre courant de pensée, qu'on a tendance à confondre avec l'évolutionnisme, qui tend à penser que
les peuples n'ont pas de possibilité d'évolution, qu'ils sont différents et que cela ne changera pas.
On peut se demander alors :
Comment des intellectuels ont pu penser que nous étions plus évolués ? Cette pensée était cependant déjà plus
humaine, plus anthropophile vis-à-vis des autres cultures, comparées aux pensées qu'il y avait à l'époque.
À la même époque, l'évolutionnisme biologique se développe notamment à travers la théorie de l'évolution de
Darwin (cf. UE1). Ce rtains disent que l'évolutionnisme social, la pensée év olutionniste, aurait inspiré les
biologistes. On est dans ce qu'on appelle un paradigme. C'est-à-dire que toute la population pense de la même
manière dans plusieurs domaines différents.La définition que Tylor donne de la culture est une première brèche dans l'évolutionnisme social. Il essaie de
combattre cette idée de hiérarchie entre les cultures. Il soutient que toute culture est complexe et qu'elles sont
toutes composées des mêmes éléments sous différentes formes.Il ajoute à cela un caractère universel.
Ø Chaque culture est spécifique avec ses spécificités et son originalité.Ø On ne peut pas hiérarchiser les cultures.
Tylor est l'un de ceux à commencer à contredire la pensée évolutionniste tout en tenant encore malgré
cela certains propos qu'on pourrait considérer évolutionnistes. Lui aussi est baigné dans sa culture donc il est
influencé par son époque. Il essaie de sortir de cette pensée évolutionniste tout en gardant une forme de
tonalité évolutionniste.Cela se dévoile dans le titre de son ouvrage Culture Primitive. Le terme " primitif » est en effet un terme propre
de l'évolutionnisme et qui quelques années après ne sera déjà plus utilisé. On peut voir cela avec en tête l'image d'une échelle qu'on peut grimper de plus en plus avec la possibilité de devenir de plus en plus civilisés. Il est très important de ce souvenir de ce point, en effet, on ne peut pas se dire que Tylor n'est pas du tout évolutionniste. Ses écrits sont baignés par cette pensée. ATTENTION pour les QCM !Cours de Mme. PENCHAUD - Année 2019-2020
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...AU CONCEPT SCIENTIFIQUE DE CULTURECette nouvelle manière de penser, introduit une nouvelle manière de faire de l'anthropologie et d'apprendre à
connaitre les autres cultures. Avant, on utilisait la comparaison pour créer une hiérarchie. Avec ce changement
de pensée on va faire en sorte d'éviter la comparaison systématique.Pour cela, on va effectuer des monographies. C'est-à-dire des études par la description de tous les éléments
avec le pl us d'exhaustivité possibl e et le plus de détails possibles de la culture qu'on veut étudie r. Les
monographies de la fin du XIXème
siècle représentent des volumes énormes extrêmement détaillés et permettentde limiter la comparaison. C'est un nouvel accès à la connaissance qui fait partie de ce changement de pensée.
Toute comparaison n'est pas hiérarchisation mais dans l'esprit évolutionniste ce l'est.Il y a aussi une autre modification de l'accès à la connaissance d'autres cultures c'est l'observation participante.
Les premiers anthropologues, soit ne sont jamais allés sur le lieu des peuples qu'ils étudiaient, soit de manière
très brève, on parlait d'anthropologie de bureau. Ils récoltaient les infos par les commerçants, les colons, mais
ceux-ci rapportaient un jugement biaisé.La nouvelle manière de penser qui se développe prône l'anthropologie de terrain dans le but de développer un
regard plus objectif sur les peuples étudiés. Il faut être baigné dans la culture pour la comprendre. C'est le
principe de l'observation participante.QCM 1 : CONCERNANT LA DEFINITION DE CULTURE, QUELLES SONT LA OU LES PROPOSITIONS EXACTES ? A)LadéfinitionproposéeparTylors'inscritdanslecourantdepenséeévolutionniste.B)TylorestencomplèteoppositionaveclapenséeévolutionnisteC)LacultureestvueparTylorcommequelquechosed'universel.D)Tylorconsentàhiérarchiserlescultures.E)Aucunedesréponsesci-dessusn'estexacte Correction QCM 1 : Réponses : C A)FAUX,aucontrairemêmesiTyloresttoujoursenpartieinfluencéparcecourantdepensée,cettedéfinitiontendàsoulignerlacomplexitédesculturessansaucunehiérarchisation.B)FAUX,malgréunevolontédesedétacherdececourant,sontravailestinfluencéparlasociétédel'époquequiprônecettepensée(exempledel'utilisationduterme"primitive»)C)VRAI,eneffet,chaquepeuplepossèdeuneculturepourTylorcontrairementauxévolutionnistesquinel'attribuaientqu'auxpeuples"civilisés».D)FAUX,c'estcequiledifférenciedelapenséeévolutionnisteE)FAUX
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Exemple : un anthropol ogue Evans -Pritchard s'est intéressé aux N uers du Sud Soud an. Il fait de
l'observation participante. Il va vivre quelques mois, quelques années, parmi ce peuple complètement
avec eux.Certains anthropologues ont quand même décidé de rester dans leur bureau mais envoyaient des équipes
d'étudiants faire de l'observation participante.DIVERSITES ET INVARIANTS CULTURELS
L'étude de la diversité et des invariants au sein des cultures semble se rapprocher d'une conception scientifique
de la culture.Cette appréhension scientifique de la culture va se décliner en deux théories anthropologiques :
- Le culturalisme porté par l'anthropologue Margaret Mead. - Le structuralisme avec comme figure principale Françoise Héritier.Ø LECULTURALISME:
Le culturalisme est un courant qui prend racine dans la diversité des cultures. Les scientifiques qui participent
au développement de ce mouvement vont aller sur le plus de continents possibles voir le plus de culture
possible, pour prôner la diversité culturelle.Margaret Mead est une femme qui correspond à ce courant, elle fut la première femme à obtenir un poste
universitaire. Elle a également connu plusieurs divorces. En temps qu'anthropologue de terrain, elle part dès 24
ans sur des continents très lointains pour étudier la diversité culturelle.C'est l'une des premières à avoir utiliser la méthode visuelle pour illustrer la diversité des cultures notamment
en se servant de la photographie. Elle va étudier les cultures dans leur plus grande originalité, dans les plus
grands détails. Elle analyse notamment la gestuelle et les contacts corporels.Exemple de photographies tirées d'un article " balinese character : a photographic analysis » 1942.
Elle est surtout connue pour avoir analyser les contacts des parents avec leurs enfants.Bien distinguer ces deux courants !
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Ø LESTRUCTURALISME:
Le structuralisme soutient qu'il existe une assise culturelle commune au-delà de la diversité. Le structuralisme
repère les invariants culturels.La spécialité de Françoise Héritier est de rechercher l'invariant culturel que le masculin est supérieur au féminin
dans toutes les cultures. Notre structure de penser est binaire et tout retombe sur la binarité du masculin et
féminin.On retrouve cette binarité avec de nombreux termes (Dur/mou, froid/chaud, gauche/droit, actif/passif...).
On peut faire l'exercice de trier ces éléments en éléments féminins et masculins. Les catégories féminines seront
toujours dévalorisées et vues comme négatives contrairement aux catégories masculines qui sont positives.
Par exemple, si on prend le doublet actif/passif. Dans nos sociétés, l'actif est relié à l'activité public, à
l'extérieur et apparait associé au masculin et donc valorisé contrairement au passif, signe d'inaction,
associé au féminin et dévalorisé.B) QUELQUES ELEMENTS D'UNE CULTURE
LA CULTURE COMME ACTION :
La culture se met en action dans l'ensemble de nos gestes, nos pensées, nos agissements.Ma culture c'est celle qui transparait dès que je parle, je pense, j'utilise mon corps. La culture c'est aussi ce qui
va transparaitre dans mes connaissances (même dans mes connaissances les plus scientifiques).En effet, les théories scientifiques ne sont jamais indépendantes du contexte culturel dans lequel elles se
développent.L'épistémologie est une discipline qui prend pour objet la connaissance scientifique. Les théories scientifiques
peuvent toujours être comprises par les épistémologues. Ceux-ci arrivent à cerner les raisons culturelles du
développement d'une théorie scientifique.Pour illustrer, il n'existe pas " une » médecine mais " des » médecines, car à chaque époque correspond
une différente manière de penser le corps et les maux du corps.La culture a une influence sur les théories scientifiques et sur la compréhension de celles-ci.
Le médecin est formé à une manière de penser et il vient à rencontrer des personnes qui ne sont pas baignées
dans la même culture. Il peut donc y avoir des confrontations autour de la compréhension de la maladie et de
l'éventuel traitement à mettre en place. La différence de compréhension est centrale dans la relation médecin/patient. C'est un élément à bien retenir qui sera revu dans d'autres cours de Mme Penchaud.Cours de Mme. PENCHAUD - Année 2019-2020
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L'histoire de la médecine c'est l'hi stoire de tra itement de diagnostic de plus en plus efficace. C'est une
perspective évolutionniste.On pourrait dire " La médecine qui se fait à l'heure actuelle est la plus efficace au regard de médecines autres,
dans certaines circonstances pour certaines pathologies. » Ce qui me parait être une évidence doit toujours être
questionné !La compa raison a ses limites puisque chaque médecine se développe dans d es contextes socio-culturels
différents. Même les connaissances scientifiques sont le produit d'une culture. LA CULTURE COMME UN ENSEMBLE PLUS OU MOINS FORMALISE :Il y a des éléments culturels auxquels nous pouvons facilement avoir accès, dont on peut facilement se rendre
compte parce qu'ils sont formalisés dans nos différents codes (par exemple inscrits dans la loi).
Il y a certaines choses que l'on n'accepte tellement pas dans notre culture, qu'on choisit de l'inscrire dans la loi
comme un interdit." Pour comprendre les principaux éléments d'une culture, il suffit de se pencher sur les textes législatifs »
(Durkheim)On peut alors se demander ce qui spécifie la culture occidentale par rapport à d'autres cultures. On peut en
avoir une idée par les maquettes pédagogiques.Exemple :
Un anthropologue venu d'une société étrangère se demande quels sont les éléments de la culture
médicale français. Il peut d'abord regarder les modalités d'enseignement des étudiants de médecine.
Pourquoi fait-on passer un concours aux étudiants de médecine ? Il y a plein d'autres corps de métiers
où on peut faire confiance aux professionnels sans pour autant qu'ils aient passés un concours. Cela
révèle des éléments de la culture médicale.La formation n'est pas seulement les cours mais aussi toute une éducation à une manière de penser... c'est
moins manifeste dans les maquettes d'enseignement mais ça contribue à la culture.LA CULTURE COMME APPARTENANCE
Un individu ne porte pas à lui seul une culture spécifique. Une culture est partagée collectivement. Donc il se
développe au sein d'une culture un senti ment d'appartenance en partageant des valeurs et des normes
communes à d'autres personnes. (cf. cours sur la socialisation)Cependant, les différentes cultures peuvent regrouper plus ou moins de monde. Il peut exister également au
sein d'une culture des sous-cultures.Une sous-culture correspond à une culture qui partage des éléments culturels d'une culture globale mais qui
s'en distingue par quelques aspects. C'est à dire qu'un groupe social possède une culture propre au sein d'une
culture plus globale, partagée par un plus grand nombre de personnes dont le groupe fait lui-même parti.
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Exemple :
La culture des étudiants en médecine peut être consi dérée com me une sous-culture de la cul ture
médicale.On peut également penser la culture des étudiants en médecine comme une contre-culture. C'est un
univers culturel que l'étudiant en médecine est dans l'obligation de côtoyer. On parle de contre-culture
si ceux-ci par exem ple résiste à la culture médicale qu'on veut leur imposer, ou s'il s'oppose aux
représentants de la culture médicale.LA CULTURE COMME ENSEMBLE COHERENT
La culture présente un certain nombre de normes et de valeurs qui font système, qui forment un ensemble
cohérent. En tout cas les individus de cette culture les considèrent cohérent. Ce ne sont pas juste des éléments
disparates qui se juxtaposent de manière hasardeuse.LA CULTURE COMME ACQUISITION
La culture c'est une acquisition qui commence dès la naissance, peut-être même avant (on entend dès le ventre
de la mère des mots, des sons qui sont associés à notre culture).La période d'acquisition de cette culture, est ce qu'on appelle la socialisation (cf. cours 2). Les enfants sont des
êtres qu'on socialise à longueur de journée. On les socialise en valeurs et en normes.La socialisation culturelle c'est l'apprentissage de valeurs et de normes (qui sont elles-mêmes complètement
dépendantes entre elles). Il est important de bien connaitre les 5 caractéristiques de la culture et de savoir à quoi celles-ci se réfèrent.quotesdbs_dbs12.pdfusesText_18[PDF] différence entre culture et civilisation pdf
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