[PDF] Découvrir le monde à l'école maternelle





Previous PDF Next PDF



Sciences-et-langage-en-maternelle.pdf

la science et parler/penser/écrire. ? Langage oral: proposer supposer



La place du langage dans la démarche dinvestigation en maternelle

Jan 9 2017 Le langage a t-il un rôle sur la construction de ces savoirs ? Pouvons-nous enseigner les sciences en ne passant que par l'expérimentation ?



Sciences et langage à lécole maternelle

Sciences et langage à l'école maternelle. Intitulé de l'animation. A partir de l'exemple de la mise en œuvre d'un défi scientifique en classe 



Comment les sciences permettent-elles de développer le langage à

Sep 4 2019 Étant affectée cette année en classe de moyenne section



Quel rôle peut jouer lenseignement des sciences dans lacquisition

Dec 10 2012 l'apprentissage du langage à l'école maternelle ? ... maternelle pour laquelle les sciences sont regroupées dans le domaine d'activités.





Les sciences à lécole maternelle cest quoi ?

Pourquoi sciences et Langage? (1). • Les activités scientifiques et technologiques répondent à la curiosité et au besoin de comprendre des enfants.



LANGAGE ACTION ET APPRENTISSAGE EN SCIENCES À L

Ces activités ont été mises en œuvre dans deux classes de maternelle (petite section et moyenne section). Nous avons croisé les points de vue de la didactique 



De La Maternelle Destiné Aux Parents

La Structure du Programme d'Études revisé de MCPS pour les sujets (Anglais/arts du langage mathématiques



Un éveil intégré aux sciences aux mathématiques et au langage

pédagogique qui intègre des appren- tissages en langage-mathéma- tiques-sciences en maternelle et au 1er cycle du primaire. Cette démarche se.



Découvrir le monde à l'école maternelle

le langage oral est utilisé dans les interactions en production et en réception il permet aux enfants de communiquer de comprendre d’apprendre et de réfléchir Besoin d’enrichir le lexique et de développer la syntaxe pour permettre les échanges et la construction du raisonnement



Découvrir le monde à l'école maternelle

Peut-on faire des sciences et de la technologie à l’école maternelle ? 11 occasion de les mettre en contact avec des formes langagières plus justes que les leurs propres et dont ils peuvent percevoir le sens grâce aux activités qui auront été menées antérieurement et aux tâtonnements langagiers qu’elles auront suscités



Searches related to langage et sciences en maternelle PDF

En’début’et’en’fin’d’activité’ Le!langage!permet!de!:!! mobiliser!les!élèves!!! définir!l’activité!!! se!rappeler!de!ce!que!l’ona!fait!vuet!compris!!! faire!un!bilan!! envisager!les!activités!ultérieures!! décontextualiser!et!formuler!de!manière!plus!générale!(de!"je"!à!"on") ! ’ En’petite’section’

Qu'est-ce que le langage oral à l'école maternelle ?

16Découvrir le monde à l’école maternelle Le langage oral Les situations de recherche et d’exploration relevant du domaine scientifique présen- tent une richesse et une complexité qui stimulent les interactions de toute nature, qui étayent l’action et la réflexion de chacun.

Que signifie faire des sciences à l’école maternelle ?

Cet exemple illustre ce que peut signifier « faire des sciences » à l’école maternelle. C’est se dire que le monde existe indépendamment de soi et de sa propre volonté, et qu’il est partiellement intelligible. C’est mener une activité à la fois imaginative et orga- nisée sur ce qui se produit devant nous.

Quels sont les objectifs de la première éducation scientifique à l’école maternelle ?

L’un des objectifs importants de la première éducation scientifique à l’école maternelle est de confronter les élèves aux « contraintes de la pensée logique2» et ainsi de contri- buer à la construction de ces instruments intellectuels. Quels instruments intellectuels pour les sciences à l’école primaire ?

Quel est le rôle du langage dans l’apprentissage ?

Dans une vision constructiviste des apprentissages, le langage peut jouer un rôle fonctionnel dans la démarche d’investigation des élèves pour organiser l’action, confronter les résultats et structurer progressivement les connaissances (Vérin, 1988 ; Astolfi, 1991).

"Faire, dire le faire, penser le faire»

3URJUMPPHV 201D SRXU O·pŃROH PMPHUQHOOH)

ƒComment fabriquer un culbuto ?

ƒComment conserver les feuilles récoltées ?

ƒComment naissent les escargots ?

¾Construire une séquence

¾Dégager les étapes de la démarche

¾Lister les compétences langagières en jeu Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

DémarcheCulbutoHerbier Reproduction

Situation de

départ

Différents objetsDécouverte

environnement,

ÓMUGLQMJH "

eOHYMJH G·HVŃMUJRPV

Questionnement Comment fabriquer un

culbuto ?

Comment gardernotre

collection ?

Faireconnaître nos

plantations ?

Comment naissent

les escargots ?

Suppositions Quelque chose de

lourd dedans

On essaie

Onregarde

Les aplatir

Regarder herbier

Chercher dans un

documentaire

Observer

Chercher dans un

documentaire

InvestigationsEssais

OuvertureG·XQ

culbutos

Décrire la feuille

Mettre en relation

O·MUNUH HP OH IUXLP

Mettre sous presse

Feuilleter des docs

pour chercher des images, observer, décrire, comprendre

Synthèse

collective

Structuration Affiche Herbier Affiche

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

Apprentissages langagiers

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

NomsverbesAdjectifs/

adverbes

Culbuto, objet,

balle, boule, boite, plastique, verre, bois, du lest: cailloux, billes, coton, pâte à fixer, pâte à modeler,

Culbuter, se

balancer, se relever, se redresser, remonter, rouler, pencher, revenir à sa position de départ(initiale), bousculer, fixer, coller

Rond, lourd,

vrai/faux,

Debout/couché,

en-haut/en bas, en dessous, dedans vers l'avant/l'arrière, sur le côté, d'un côté à l'autre, se balance/ne se balance pas Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

€En petit groupe V

H[SULPHU GLUH ŃH TX

RQ MLPHCQ·MLPH

pas, décrire, dire ce qu'on a fait. Prise de notes, photos. (Evaluation diagnostique) €En regroupement: raconter, expliquer, confronter les LGpHV O·HQVHLJQMQP UHSUHQGCLQPURGXLP OH YRŃMNXOMLUH nécessaire. €Tri/classement : utiliser le vocabulaire pour expliquer, justifier, argumenter ses choix.

Trace écrite: c'est/ce n'est pas... parce que.

€Questionnement: pourquoi les uns se redressent et pas les autres ? €Suppositions: il y a peut être quelque chose dedans, c'est peut rPUH" €Lister le matériel nécessaire pour expérimenter. Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. €Prévoir: je pense ...je vais mettre...je vais essayer... €Expérimenter: comparer des matériaux, moyens de

IL[MPLRQ"

Dessinner: dicter une légende, expliquer, commenter €Vérifieren ouvrant un ŃXONXPR Ń·HVP comme, il y a/il

Q·\ M pas"

€Restituer, synthétiser

il faut: |une boite ronde ou en forme de boule |une bille, un caillou |de la pâte à modeler ou à fixer |IL[HU O·RNÓHP HQ NMV

€Elaborer une trace écrite.

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. €Mise en projet G·XQH UpMOLVMPLRQ individuelle, listedu matériel nécessaire, des actions à réaliser et dans quel ordre. €Fabricationpar un groupe, photos de chaque action, essai des culbutos, discussions/validation. €Langageà partir des photos, les remettre dans l'ordre pour réaliser une fiche de fabrication qui servira à expliquer comment fabriquer un culbuto aux autres groupes €Communicationà une autre classe ou aux parents Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. €Sac à culbuto: tous les jours on se rappelle du contenu du sac ensuite un enfant rajoute un élément qu'il sait nommer et dont il a retenu la fonction. €Dessins d'observation: dictée à l'adulte du titre, des légendes, explications, commentaires. €Photos à commenter: dire ce qu'on a fait, tirer au sort une photo et décrire O

RNÓHPCO

MŃPLRQ"

€Jeu de la marchande : dessiner les éléments à demander, légender avec l'enseignant, demander au marchand (enseignant/enfant).

€Jeuxde Kim, lotos, dominos...

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. €Quelle étape de la démarche ? Avant/après ?

ƒFamiliarisation pratique, jardinage.

ƒQuestionnement: "que mangent les vers de terre ?»

ƒInvestigations: semis.

ƒRésultats, analyse, réponse à la question initiale.

ƒStructuration des apprentissage.

€Quelles situations de langage ?

ƒRappel des séances précédentes et mise en projet.

ƒInvestigation: va-et-vient entre des échanges en petit groupe et des traces écrites (dessins +mots/phrases, cahier d'expérience),

ƒDe nouvelles questions se posent, réinvestissement du lexique appris autour des végétaux.

ƒIntroduction de loupes pour voir la bouche: méthodologie

ƒUn groupe fait des recherches documentaires puis les deux groupes communiquent ce qu'ils ont trouvé.

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

Quelles interactions entre sciences et langage ?

ƒUsages différents du langage hors de l'école, sciences en classe = vécu commun aux élèves.

ƒSciences : motivation, agir, en même temps apprendre de la science et parler/penser/écrire.

ƒLangage oral: proposer, supposer, exposer, expliquer, argumenter, contester, penser.

ƒProduction de phrases complexes, se détacher du faire pour raisonner sur le fond et non pas raconter.

ƒProgressionde la maternelle au cycle 3:

|GH OM ŃRQVPLPXPLRQ G·XQ ŃMSLPMO G H[SpULHQŃHV HP OLQJXLVPLTXH HQ maternelle, de représentations mentales, |vers plus de rationalité et les écrit en sciences plus particulièrement au cycle 3. Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

€Répond à la curiositéet au besoinde comprendre des enfants. Motivation et vécu commun facilite la prise de parole et les interactions.

€Le langage va permettre aux enfants de sortir du "faire» SRXU V·LQPHUURJHU VXU OHXUV MŃPLRQV HP MOOHU YHUV XQH compréhension plus rationnelledu monde.

€IM PLVH HQ PRPV GH O·MŃPLYLPp ŃRQGXLP j O·HQULŃOLVVHPHQP GX lexique et de la syntaxe.

€I·HQIMQP ŃRQVPUXLP VRQ UMLVRQQHPHQP HQ PrPH PHPSV TXH les compétences langagières nécessairesà son élaboration.

€La structure des phrases se complexifie TXMQG O·RNÓHP même de la communication devient plus précis.

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. €le langage oral est utilisé dans les interactions, en production et en réception, il permet aux enfants de ŃRPPXQLTXHU GH ŃRPSUHQGUH G·MSSUHQGUH HP GH UpIOpŃOLUB ¾%HVRLQ G·HQULŃOLU OH OH[LTXH HP GH GpYHORSSHU OM V\QPM[H pour permettre les échanges et la construction du raisonnement. €le langage écrit permet de garder trace, réfléchir, MQPLŃLSHU V·MGUHVVHU j XQ GHVPLQMPMLUH MNVHQPB ¾Tout en permettant de réinvestir lexique et syntaxe. Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. le langage permet: €de parler avec précision des objets ou des faits: nommer, décrire, comparer, qualifier, quantifier, catégoriser, ordonner. €G·pŃOMQJHUdes points de vue, de commencer à raisonner: questionner, commenter, mettre en relation, justifier son point de vue. IM UHIRUPXOMPLRQ SMU O·MGXOPH MPqQH SOXV GH SUpŃLVLRQV HP favorise une formulation des connaissances de mieux en mieux organisée. Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

Le langage permet de :

€mobiliser les élèves,

€GpILQLU O·MŃPLYLPp

€VH UMSSHOHU GH ŃH TXH O·RQ M IMLP YX HP ŃRPSULV

€faire un bilan,

€envisager les activités ultérieures,

€décontextualiser et formuler de manière plus générale. Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

€GpPHUPLQp SMU OH VXÓHP G·pPXGH

€Décliné en noms communs, verbes, adjectifs

€Réfléchi en terme de niveau de classe

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. €De type séquentiel : des repères temporels (au début, G·MNRUG HQ SUHPLHU MYMQP SXLV HQVXLPH ÓXVPH MSUqV SOXV PMUG OH OHQGHPMLQ MX NRXP GH 3 ÓRXUV j OM ILQ HQILQ"B

€GH P\SH ŃRQGLPLRQQHO VL" MORUVB

€GH P\SH SURSRUPLRQQHO SOXV " SOXV"

€GH P\SH MQMORJLTXH ŃRPPH"Ó·ML NHVRLQ GHBB €De type comparatif : repérage de points communs et de différences Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

Interaction permanente entre :

€une démarche active vécue par les élèves, €GHV pŃOMQJHV OMQJMJLHUV TXL SHUPHPPHQP O·H[SOLŃLPMPLRQ

€HP OM YLH G·XQ JURXSH ŃOMVVH TX·LO IMXP SHQVHU ŃRPPH XQH petite communauté de " chercheurs ».

Penser à :

€Proposer des situations où un enfant/un groupe sait quelque chose que les autres ne savent pas.

€IM YHUNMOLVMPLRQ VXU O·MŃPLRQ GRQQHU OHV PRPV SRXU MLGHU OHV HQIMQPV j GLUH HP j VH GLVPMQŃLHU GH ŃH TX·LOV IRQP

€La répétition pour aider à la mémorisation €La formulation des questions incitatives : pourquoi ? comment ? Comment tu le sais ? €Les interactions verbales entre les enfants, recherche en JURXSH" Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

3HUPHPPHQP G·H[SOLŃLPHU HP GH VPUXŃPXUHU OHV MŃTXLV

€prises de notesenregistrements pour garder en mémoire les conceptions initiales, ce qui a été fait ou observé, €traces intermédiaires: mots/étiquettes, récoltes, empreintes, photos légendées, compte rendu de sortie,

UpMOLVMPLRQV ŃROOMJHV"

€listespour anticiper une activité ou transmettre à un tiers, €comptes rendusG·RNVHUYMPLRQ RX µG·H[SpULHQŃHV´ PH[PH illustré de photos ou de dessins, relevés de mesures, tableau schéma en GS, €affichesréalisées ensemble pour structurer les connaissances. Elles participent à la capitalisation des apprentissages. Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. €une partie collective: souvent la reproduction des affiches qui se trouvent dans la classe pendant l'étude d'un thème. €une partie plus individuelle: traces des expériences faites par l'enfant: des photos de lui qui réalise une action avec un commentaire "dicté» au maître, des dessins de ce qu'il vient de réaliserHP TX·LO ŃRPPHQPH j O·HQVHLJQMQPB Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

€Prolonger des observations.

€Éveiller la curiosité des élèves.

€Apporter des réponses.

€Entraîner la reformulation.

€Amener du lexique et de la syntaxe.

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg. €6XSSRUP G·MSSUHQPLVVMJH -outil de transmission du savoir. €2Q RNVHUYH TX·j SMUPLU G·XQ TXHVPLRQQHPHQP GRQQpB I·RNVHUYMPLRQ M PRXÓRXUV XQH ILQMOLPp Ń·HVP XQ PR\HQ HP non un but en soi. €Il permet de représenter de manière rigoureuse un objet observé à un moment précis et de distinguer le nécessaire

GH O·MŃŃHVVRLUHBB

€HO SHUPHP j O·HQVHLJQMQP GH ŃRQVPMPHU OH GHJUp GH Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

€Site des CPD sciences

€Programmes et ressources pour le cycle 1(Eduscol) €Découvrir le monde à l'école maternelle(séquences matière, objets, vivant) €Le langage à l'école maternellep.143-144

€DVD les vers de terre

€DVD V.Bouyssescience et langage

€Vocabulaire C1(progression/programmation)

€Site de Lamap

€L'observation à l'école maternelle

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.

8QH TXHVPLRQ NHVRLQ G·MLGH "

pascale.zimmermann@ac- strasbourg.fr

MERCI DE VOTRE ATTENTION

Pascale Zimmermann, CPD sciences, Académie de Strasbourg.quotesdbs_dbs15.pdfusesText_21
[PDF] qu est ce que la démarche d investigation

[PDF] la démarche d'investigation définition

[PDF] ateliers scientifiques en maternelle

[PDF] démarche d investigation en sciences

[PDF] a quoi sert la démarche d'investigation

[PDF] situation déclenchante poids et masse

[PDF] programme physique chimie 5ème

[PDF] projet pédagogique art plastique

[PDF] objectifs arts plastiques maternelle

[PDF] fiches pédagogiques arts plastiques *cycle 3

[PDF] objectif pédagogique peinture maternelle

[PDF] étapes démarche de projet st2s

[PDF] démarche d'étude st2s

[PDF] demarche de projet sanitaire et social

[PDF] demarche d'etude