[PDF] Oeuvres complètes de Adolphe Retté





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LA PLUME DU LIFE

7 févr. 2019 LIFE GYPCONNECT LA PLUME DU LIFE n° 7 ... la découverte de vautours empoisonnés sur ce même territoire. L'année 2019 allait en revanche être ...



Arthur Conan Doyle - La ceinture empoisonnée

Il écrit avec une plume très grinçante qui donne l'impression de cracher du mépris à tous ceux qui ne seraient pas d'accord avec lui. Summerlee s'est enfoncé 



Auteur(s) Christie Agatha (1890-1976) Titre(s) Miss Marple

Contient Réunit : "L'affaire Protheroe" ; "Un cadavre dans la bibliothèque" ; "La plume empoisonnée". ; "Le miroir se brisa" ; "Le club du mardi".



Tableau 1. Liste des romans dAgatha Christie publiés entre 1920 et

La Plume empoisonnée. 1942 Marple. Lymstock ? campagne. Un cadavre dans la bibliothèque. 1942 Marple. Saint Mary Mead. Berkshire campagne. L'Heure zéro.



Mahomet et les femmes - Anne-Marie Delcambre

La tradition musulmane grâce à la plume d'habiles historiens – souvent des convertis persans du. VIIIe siècle – a fait de Mahomet un mythe



Oeuvres complètes de Adolphe Retté

ANONYME LA PLUME. 31 rue. Bonaparte



La comédie de notre temps : études au crayon et à la plume / par

études au crayon et à la plume. Les enfants les jeunes



Cyrille Thouvenin

LES PETITS MEURTRES D'AGATHA CHRISTIE - LA PLUME EMPOISONNEE Réal : Eric. WORETE . 2003. CHARLES II Réal. Joe WRIGHT.



Les poisons utilisés dans les romans dAgatha Christie

13 févr. 2015 c) Le cyanure d'hydrogène dans les crimes d'Agatha Christie : • La Plume empoisonnée ... http://www.capm.ma/Conduites/CAPM_IT_CAT_Pavot.pdf.



Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de FranceOeuvres complètes de

Adolphe Retté,.... 1

Retté, Adolphe (1863-1930). Auteur du texte. Oeuvres complètes de Adolphe Retté,.... 1. 1898. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet

1978 :

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OEuvrescomplètes

DE

ADOLPHERETTÉ

PROSEI

Rapportssexuels.-Tassantes.

Un^Assassin.

FrontispiceparValèreBernard

\ySW PARIS

BIBLIOTHÈQUEARTISTIQUE&LITTÉRAIRE

SOCIÉTÉANONYMELAPLUME

31,rueBonaparte,31

iSoSPu-~i'71898 f-t"(3Euvrescomplètes DE

ADOLPHERETTÉ

PROSE 1 rZoIAfp[v'1

DUMÊMEAUTEUR

OEUVRESCOMPLÈTES

ÉDITIONIN-i6JÉSUS.

L'ARCHIPELENFLEURS,Vers,1vol3.50

SIMILITUDES,drameenprose,1vol3-5o

CAMPAGNEPREMIÈRE,vers,1vol.3.50

-TREIZEIDYLLESDIABOLIQUES,ivol3-So

ÉDITIONIN-12

ENPRÉPARATION

LASEULENUIT,légendemoderneenprose.

LESBLESSÉS,drameenvers.

SuèdeetlaNorwège.

nu~I~OEuvrescomplètes DE

ADOLPHERETTÉ

PR0SE

FrontispiceparValkreBernard

PARIS

SOCIÉTÉANONYMELAPLUME

31,rueBonaparte,31.

1S98 ZX

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RAPPORTSSEXUELS

Rapportssexuels

grecommeonl'afaitdepuisqueleshommes desespritssinondanslaviequotidienne.

Ons'affole,onsefiloute,onseruine,onsetue

parexemple. empoisonnésdesentimentalismelesautres glissesurleurintellectcommelapluiesurles toits.

IIfaudraitcomprendre,cependant,quenotre

desfortunes,ladiminutioncroissantedutaux corrompentdeplusenplus.Sibienquetantde nepeuventplusgoûterl'amourselonunmode uneennemieàvaincre.Ilsnelavoientplus moralementouphysiquementlavictimede l'hommel'instinctdedestructionentreenjeu enmêmetempsqueVinstinctsexuel.»Les ancienslesavaientquifaisaientdel'Amourle decommettre,forcent,d'habitude,lesfemmes quitombententreleursmains. animaux.Etilssombrentenfindanslafolie géhenneohilsretrouventlessataniques. typesci-dessus.

Maiscertainsqu'uneéducationstupideet

tauxsontfortmalheureux tionnementd'unphallusetd'unevulve.

Dansl'Aventuresensuelle,j'aidoncdonné

tiondelacomédiesociale.

Pauvreyexposeunstentativepourhausserl'a-

reparsasoufranceetquisegardedelapassion commed'unemaladieinfectieuse.Amonsens,

Guermantes,Mai1897.

PASSANTES

Quefaudrait-ilàcecoeurquis'obstine,

Coeursanssouciah,quileferaitbattre?

IlluifaudraitlareineCléopâtre,

IIluifaudraifHèlieetMélusine,

Etcelle-làr.ommèeAglaureetcelle

QueteSoudanemporteensanacelle.

JEANMORÉAS.

THULÉDESBRUMES

LfaitbiencalmeeettenuitEnse-

velisouslesbouclesdetescheveux, ivreunpeudeteslèvresetdefati- givretajoue?Etpourquoileslucioless'em- commeuncoeur.0grandcalmeodorant, mondesdelafable,cesparaboles,envertiges spiresdeblancheurenharmoniespaiement lumineusesquipleurentselondesrythmes

éoliens?.

Lachambres'enfoncelentementd'unmou-

vementdouxsoudain,secreuseungouffre lactites.

Unjournouveauparaîtlessecondessont

sonoresparletumultedeslamesbatailleuses d'unemaréemontante.

Lerideauselève.Jetesupposelagentille

desterritoiresbleuissantsquecernentdes squammesmicacées.

ÉcouteilestuneIlesiperdueaufonddela

Laprouedenulnaviren'aviolésonunique

envainetenvaindesétendardsd'algues, n -nnu.un.o..n0"0o.o..h"

ParsifalyadoreleSaint-GraalJacquesle

naëlMirandajoueauxéchecsavecFerdi- nandaccoudéeàunbalustrequedulierre dontAstolphe,descendudesonhippogriffe, milaretrouvésonombre.

Ahtulesaiscommemoi,c'estbienlànotre

yeuxdivinsjardinschangeantsdéfiaient lesvaguespareillesdelamerlamentanteet heureuse,notreroyaumeThulédesBrumes.

MonDieunon,c'estlachambrenullement

fatidiqueetlelit.Rienn'estplusdevinable ténébreusesdetachevelurearomale.

Maisécouteencorelecoqchantelacam-

LALÉGENDEDUBONPAUVRE

EsingulierPauvre-vêtud'ailleurs

d'azuretd'or,etquiseglorifiaitd'une largeplumedepaonàsonchapeau tementvoiléecarjesuisainsifatalement solliciteenmoijenesaisquelPrinceCharmant vingt-quatreheures.Jesaisparbleu,quele demonâmemaispuisqueaujourd'hui,ellese lareineMabm'emporte.

Consommatumest,voicilesconjoints

Lapetitesotte,ellearelevésonvoile.Ma

doitluipardonner.»

LePauvres'avance,chapeaubasl'extra-

malgrélesracontarsd'uncertainShakes- genredetransmuervotrehistoireenchef- d'oeuvre.QuelmaussadeindividuMoijesuis plussérieuxet.

Confiez-moivotremain,monbonmonsieur

pourprixdelamale-aventurequejevaisvous débiter,jedemandeseulementunsourirede tendlamain. serezmadamepourcourirlestavernes.Parfois tour,monenfant,continue-t-ilensetournant versJulietteVousmourrezjeunetantmieux, carceseradesolitudeetd'ennui.Ahvous re.Ehbien,pleurezl'angequisebalancedans larmesdeviergeetcemeseracomptélà- haut»

Ungrandsalutchapeauvirevoltant,la

magiqueplumedepaondardéeauxastreset -Pourtantcettecharmantefilleadedoux miraismal.»

Ilgagneunsienami,philosopheetmême

épicieràsesmomentsperdus"Moncher

del'envoyeraulit. auchapeaurencontre,aufondd'unedouteuse cinqcentimeslebol,leseigneurRoméobla- honteuses'échevelle. "Ahahmonchermonsieur,j'aiprédit finiquifaitsonniddanslagueuledessphinx, nonloinduvieuxNil. unpeul'amitiéquejevousporteTitiana. compagner?»

Humblement,RoméosuitlePauvreils.

Divinementverte,autourd'eux,laNuitd'au-

POUPÉED'HIER

Elongsourireartificieletcirconscrit

deblêmeEttelregardvacillants'al- longecommeunehouled'arbresmor- bidementdorésparunsoleild'automne. ondoyancesdemaroussechevelurecette fossetteenmesexquisesmaigresépaules?

Etudiezunpeumaisquellepudeurvous,

muleausecretdemesplussoyeuxparterres. bleôcrépusculeimpatientdepassion

Sivousvouliezseulementcomprendrequel

guêpeacérées'yembusque.

OhNarcissehonteux,s'écrie-t-elle,vous

-meferiezvraimentregrettermoncherpapa

Coppélius.Voyons,daignezm'emmenerau

voixquevousconnaissez,deschoses.fort bienpuisquevousmelesavezapprises. celasuffitdeparvousj'aihurlélongtemps

Luxure.Cesétatsdeservice.

Ahsortons.

saceinture2"sonparfumnem'estpasnou- jemesens,cesoir,uneâmeabsurdement orphelinelaleurrerseraprudent.»

Passeunfiacre.

"Cocher,aubois.»Etilsroulentsansdire- rien.

Maiselletout-à-coup"Quoi,vousnepar-

lezpas?N'avez-vousfaitprovisiondecon- cetti?» nesaisquelbongénieexprime,enlacoupede monEsprit,lejusd'unevertegrappedesonge.

Qu'yfaire?Jesuis,vousnel'ignorezpas,le

dernierroideThulédesBrumesj'aides devoirs.Souffrezdoncqu'ensilencejevous instaureunpalaisdigneducouchantmystique quiflottedansvosyeux.»

Ohvousêtesbienlibre

encresmontantesdusoir,etlesinvectivesde lavilleverslesimminentesétoiles.

UNSOIRDUPAUVRE

'ARRIVE-lePauvreàlabesace lourdederêvesdemauvaisaloiet d'illusionsquin'aurontcoursjamais correctsinistreunpeuparmaintspom- mentdeverrousd'orlesportesd'unfragile gazesbrunesflottentsurlecheminparcouru l'empreintedemespas.Leventadeschansons tristesdanslesbranchesleventilraconte devieilles,vieilleshistoiresoubliées. lesbranchesjesuislePauvrequividesabesa- cesurl'herbeetsupputesarecettedesjours, derniers.

Voicidejoliscaillouxqu'unepersonnecha-

ritablemedonna,pourlesplusraresjoyauxde ahjenousvoisencoredevantlegrandfeude pommesdepinquimussitait.Moi,grave,les moncherPauvre,vousavezdesregardssingu- sefit-il?lacharitablepersonnefutdans

Voicilaceinturesoiecerise,pasquilleset

verroteriesetplaquesdefauxargent.Ala dansmamémoireMonDieu,commeelleriait autre:"Enfin,l'uniqueprofilparquiderou- unerencontre,unbaiser,unsanglotetsafuite illusoiredontjemeursetn'avoireuquecette niezd'uneâmed'enfantirréelle

Leventfredonnedeschansonsmortesdans

RHAPSODIESENTIMENTALE

SIrOIS,ilss'asseyentauplusfonddela

pourtellesstatuesauxyeuxfigésd'oret baisentleurfrontamerunefrissonnantechose rougerutileaumilieudelacour-et,long- trouble.

Ohlà-bas,dansleurpatriedecoupoles

parcequ'ellessontpartiesunventmigrateur etlesverseraenrêvesurnotrecoeur, pourlerafraîchir.Leroisemeurtmaisles

Cettesinistrechoserouge,aumilieudela

Unautreilagitedesfleursfanéesetdes

oùestleriredel'enfantquipassaparmides commeuncadavre.

LAPETITEDEA

Acampagneunpeufolleoùtupassais,

monpetitrêvenoiretrose1Etton rireengerbesscintillantesdenotes faussesm'amusaitl'oreille. auxsentiersétroitsettoi,commeuneAta- lus,deliserons,decapucines. d'oretdesangautourdusoleilquiagonise tuaimeslerougenonpasuncertainrouge, pareillesàdeslèvresdebacchanteoh vertsombredeshoux. .tombée,jusqu'auchantmatinalducoq?A vesglacésd'argentlunaireetlacymbalede brertouteslescordes.Depuis,nousavons reux.Tum'enasgardésigentimentrancune quejenepuism'empêcherdetepardonnerle malquenousnoussommesfait.

HÉLÈNE

HjÉLÈNE,cesphrases-cinesontpaspour

meprévaloird'unmadrigalverstoi floconslentsd'unecalmeneige,quitomberait depuisdesheuresetdesheures,cependantque lesyeuxetquej'essufflelessyllabesdeton xJ'Orient.Etjemesenssitranquille. tesyeuxunpeubridésetjesuisalors,tout descygnesd'or,ouplutôtdesoies,etqui qu'ilssontdoublésdevideDis,monamie,, n'aurais-tupointd'âme,parhasard? l'odeurdetescheveux.0quelparterrede- airquantàsoi-etleurnuancerosepudique- del'oreille.Jenevousai,dureste,pasfait demalpuisquevoussouriezOhmaiscesourire. aufonddelamerVermeillel'ombredespa- corauxmontentraidement,detoutesparts,oit s'embusquemaintondin-polypequinousfaitla nique.

Tièdemerrutilante,votresourirequel'on

ypensebienàrien

Tut'endors?Viensdansmesbras.Très

en-cielquelaflammetremblotantedelaveil- gourdisenuncrépusculed'Avriljaunes rythmefrôleurunventunpeuaigremepince agréablementlesnerfs-et,commejem'en- sommeilleaussi,parmilevent,lapluiemusi- valsent,pourmoiseul,.lesblanchessyllabes detonnomHélène1

APRÈS-MIDI

^1u'ilfaitchauddehorsLacanicule 'Jkpèsesurlavillequisuffoqueetfume jourlachambreestd'ombrefraîcheetde belleaprès-midinuesurledivanbas.Il lacouronneaufrontdelareinedesgéniesdu

Maispourquoi,ensesregards,unetelleex-

pressionchagrine?. "AhditlePauvre,jedoisavouerquejequotesdbs_dbs24.pdfusesText_30
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