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N'hésitez pas à les communiquer à l'adresse communication@aviq.be ! Page 2. AGAJ. Administration Générale de l'Aide à la Jeunesse (ou Direction Générale de 



N°151

Relecture : Serge Jacquinet Guillaine Goosse > Lectorat : Secteurs de l'aide et des soins à domicile



Par les Dr Pascaline D OTREPPE et Manuel DE SCHUITENEER

LE CERCLE ET LE PAYSAGE DE LA MÉDECINE GÉNÉRALE. SOMMAIRE dans Prime Impulseo I) ... Mutualisation des aides (logisitques administratives



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N°151 contact

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La pénurie

de médecins généralistes en zone rurale

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Le défi de la transition

professionnelle De plus en plus, nous allons travailler avec des outils iden- tiques. Ces outils vont structurer la façon de travailler, l"har- moniser et la standardiser. Bonne ou mauvaise évolution de notre système de santé ? La réponse à cette question dépend de nous. Le principal changement viendra du partage d"informations sur les bénéfi ciaires. Les outils qui s"installent dans notre pratique professionnelle arrivent par le métier infi rmier. Ils se diffusent aussi au travers de la coordination. Ils vont également se répandre dans l"aide à la vie journalière. Dans les soins infi rmiers, le dossier infi rmier est informatisé. Il sera très bientôt entre les mains de toutes les infi rmières. Les informations relatives au patient seront disponibles pour tous dès leur enregistrement dans le dossier. Cela signifi e que les autres prestataires pourront y avoir accès. Nous collaborerons plus aisément avec les médecins généralistes. Dans les métiers de la santé, et donc dans le métier infi rmier, l"utilisation du BEL RAI va se diffuser. Cet outil est déjà bien installé dans les projets Protocole 3. Il va continuer à se dé- ployer. Il permet de mesurer la dépendance selon des critères identiques à toute la population belge. Cela veut dire qu"une évaluation avec le BEL RAI permettra plus facilement de comparer et mesurer les besoins de prise en charge entre les personnes. Et ça implique que nous soyons plus qu"aujourd"hui, des professionnels qui utilisons les mêmes critères pour évaluer la situation d"une personne, pour évaluer ses besoins. Pour tous nos métiers, c"est là que se trouve le cap le plus important à franchir. Nous devrons être capables de com- prendre et d"utiliser des critères identiques, de la même façon. Et ceci, tout en restant des humains professionnels capables d"évaluer la situation d"un bénéfi ciaire. Il ne s"agit pas de devenir des machines à utiliser les critères. Pour cela, le fait de partager notre travail sur ces nouveaux outils sera précieux, à condition de travailler en équipe. Nos outils infor- matiques, nos dossiers partagés sur les bénéfi ciaires, nos futurs BEL RAI screener et BEL RAI Home care seront des outils partagés. Cela signifi e que notre regard de soignant sera partagé avec les autres soignants. Il sera plus complet, plus global pour appréhender la personne. Il pourra aussi être précisé par les apports des collègues, des autres prestataires. Pour rencontrer ce défi , nous aurons besoin, plus que jamais d"une vraie capacité à travailler ensemble, à partager les avis, à accepter l"avis différent d"autres personnes qui complète notre propre avis. Le jugement clinique des prestataires devient de plus en plus un jugement clinique partagé. Nous devrons assumer cette évolution avec responsabilité et solidarité. Pour apporter un vrai plus à nos bénéfi ciaires comme nous nous engageons à le faire depuis que nous sommes à leurs côtés.

ASD COMD

UND STÉMUD

Brice MANY, Directeur général de la FASD

EdA i contact

LA REVUE DE L"AIDE ET DES SOINS À DOMICILE

> Éditeur responsable :

Brice Many > Rédactrice en chef : Guillaine Goosse > Comité Scientifi que : Elisabeth Darras, Serge Jacquinet,

Dominique Lamy, Brice Many, Alexandra Tasiaux

> Correspondants régionaux : ASD Hainaut-Oriental, Cécile Baillez, Christine Magnien. > Contribution :

Dr Thierry Van der Schueren (SSMG), Brice Many, Guillaine Goosse, Gaël Verzele, Dr Michaël Bernier, Dr Paul De

Munck, Dr Jean Laperche, Céline Legrand, Isabelle Dossogne, Dr Justine Perdaens, Anne-Sophie Paquet

> Photos :

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Relecture :

Serge Jacquinet, Guillaine Goosse > Lectorat : Secteurs de l"aide et des soins à domicile, des soins de santé en général et de

l"action sociale

> Conception et mise en page : Olagil - Tél : 02 375 65 15 - www.olagil.be > Abonnement : 12fi par an (20fi pour l"étranger) ou

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à la seule condition d"indiquer la source et de nous envoyer un exemplaire de la publication. > Contact : communication@fasd.be > Contact

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e année • n°151 • Hiver 2017-2018 Tél. : 02 735 24 24 • Fax : 02 735 85 86 • communication@fasd.be Suite à notre grand concours CONTACT, 128 personnes ont participé et ont tenté leur chance de gagner un smartphone d"une valeur de 200E ! Il n"y a qu"un seul gagnant : il s"agit de Frédéric Berra de l"ASD du Hainaut Oriental ! Bravo à lui ! Nous en profitons pour vous partager quelques résultats significatifs à l"issue du sondage :

92,7% d"entre vous considèrent que la fréquence trimestrielle

est la bonne. Vous êtes 61,3% à aimer recevoir la Revue Contact à votre domicile.

48,2% des personnes ayant répondu sont satisfaits du contenu

des articles proposés dans la Revue. Voici également quelques thématiques proposées par les partici- pants et que nous aborderons dans les prochains numéros de la Revue Contact : les soins palliatifs, le diabète, l"euthanasie en Belgique, les rôles de l"AS à l"ASD : métier en mutation, l"alimen- tation des personnes âgées, les médecines alternatives,... Nous en profitons également pour vous partager le fait que nous avons relancé le Groupe des correspondants régionaux ce qui assurera aux prochains numéros du Contact un lien plus fort avec nos différentes régions. Notre ambition est de faire de la Revue Contact un outil utile dans vos pratiques au quotidien. TRI MES

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Merci à tous pour votre participation,

et encore félicitation au gagnant !

Les résultats

de notre concours iaedmpéLésrtértg opésdéttléntzfisfifd a eén Rédacteur : Guillaine Goosse d"après les Eches prévention FASD/CESI .INLTN8MEAINL-R8HNLÉNLPAR0NITNL N3MLVNLHEIA-NVMN8LÉNL0EL E8MLÉNVL E7ILÉNL R3PRA8L8•E2A8LE3LHAN3aL-ETNLE3aLVAM3EMARIVLÉ•8R3MEIMNVLNML PAR0NIMNVLE3aU3N00NVLPR3VL R388AN1LeM8NLTRI-8RIM•NVLÉEIVLPRVL 8EC

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Lorsque l"on parle de la pollution de l"air, on pense généralement aux polluants atmosphériques rencontrés lors de nos activités en extérieur: déplacements, promenades, activités sportives, jardinage,... Pourtant, la pollution interne de nos lieux de vie et de travail est également préoccupante par sa fréquence et sa concentration, ainsi qu"en raison du temps que nous passons dans ces locaux. Nous sommes exposés à de très nombreuses substances chimiques. En effet, les meubles, peintures, revêtements de sol, produits d"entretien, plantes etc sont autant de sources émettant diverses substances, pas toujours anodines. L"air que nous respirons fait partie de notre environnement. La respi- ration est indispensable à la vie et chacun d"entre nous devrait pouvoir bénéfi cier d"un air aussi pur que possible. L"air que nous respirons est un mélange d"azote (78%) et d"oxygène (21%) ainsi que des traces de vapeur d"eau, de CO 2 et de gaz rares. Quand on dit que notre air est pollué, cela signifi e qu"il contient, en plus de cette composition de base, différentes poussières et substances polluantes. oisLhoomEphascnsoèipuswsoèn Egupnmus Les polluants sont essentiellement émis par les activités humaines (moyens de transport, production industrielle, chauffage des loge- ments, agriculture,...). Il y a une unanimité pour affi rmer que le mélange de ces émissions a un effet négatif sur notre santé. Les polluants agissent entre eux, ce qui aggrave les effets toxiques spécifi ques.

Voici les 4 polluants principaux :

1. WND ÈCEÉMRTUND I HND pénètrent plus ou moins profondément dans

nos voies respiratoires et nos poumons. Il n"est donc pas étonnant qu"elles soient à l"origine de troubles comme l"asthme, la bronchite chronique ou les problèmes cardiovasculaires.

2. L"exposition aux SYVXND XCSÉN associée à d"autres polluants

entraîne une augmentation de la mortalité par affections respi- ratoires et cardiovasculaires.

3. WSSHN est un gaz irritant qui altère le fonctionnement des voies

respiratoires et des poumons.

4. WN LNHPHN est un des composants du pétrole et de l"essence. Il

a des effets toxiques aigus uniquement à très haute concentration dans l"air où il affecte le système nerveux central. oisLhoomEphascnsoèipus wsoèpaEgupnmuscnMs"JEpenaEM • WN OSHSYVXN XN RCELSHN , surnommé le "tueur silencieux", inhalé se fi xe sur l"hémoglobine du sang. De cette façon, les globules rouges ne sont alors plus capables de transporter de l"oxygène. Dans les cas de concentrations élevées en monoxyde de carbone, cela peut s"avérer mortel. Une exposition à des concentrations plus faibles de CO peuvent entrainer des intoxications chroniques avec maux de tête, une fatigue chronique, des nausées,... • WN ÈUSOL est un métal lourd pouvant constituer un polluant dange- reux dans un habitat ancien. Celui-ci pénètre dans le corps par in- gestion (jeunes enfants qui portent à la bouche des poussières ou écailles de peinture), par la respiration (poussières lors de ponçage) et à travers la peau (cosmétique à base de khôl). L"intoxication au plomb provoque des signes peu spécifi ques : trouble de concentra- tion, de mémorisation et du sommeil, trouble de l"humeur, douleurs abdominales,... mongeneraliste.be

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6 • CONTACT 151 • HIVER 2017-2018

La fumée de tabac est le premier polluant intérieur : elle augmente très nettement le risque pour la santé lié aux autres substances. paHhsMiaEgs wschepbpon

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• c-peh-progoy-p peuvent contaminer notre intérieur lorsqu"on les utilise sur des plantes d"intérieur ou pour éliminer des insectes dans notre logement. Les effets de ces produits varient en fonction de leur composition. De manière générale, on constate l"atteinte du système nerveux, mais aucun organe n"est à l"abri de leurs effets. • Les h-arBaAnr-Bape-dyugaodo-dp : de très nombreuses substances sont suspectées, même à des doses très faibles, d"influencer l"équi- libre des hormones sexuelles, mais aussi thyroïdiennes et de l"insu- line. On sait aujourd"hui que même à très faibles doses, ils s"accumulent dans l"organisme et que leurs effets se renforcent les uns les autres. Quatre catégories de personnes sont plus sensibles aux conséquences de la pollution atmosphérique. • Les h-apudd-penrr-odr-pey-eMnsnyo-pegTaudoPB-p, principalement d"asthme et d"autres atteintes pulmonaires et de maladies cardio- vasculaires. Les actions, notamment inflammatoires, des polluants, aggravent les effets de ces maladies. • Les v-MM-pe-dg-odr-p. Une pollution importante peut accroître le risque: - de retard de croissance du foetus, - d"avoir un bébé de petit poids à la naissance, - de naissance prématurée. • Les -dvndrpey-eMuodpey-exNendp. L"association entre une pollution par particules fines et une augmentation de la mortalité au cours de la première année de vie est probable. Elle est liée à des causes respiratoires. • Les h-apudd-peVl-p. Elles sont fragilisées par une baisse de l"ef- ficacité de leur système immunitaire. n€ JussBroudey-esmnoae-Lrlao-Ba Pour réduire l"exposition aux polluants, il est certainement utile de s"informer sur la présence de pics de pollution ou de pics d"ozone. Les pics de pollution surviennent plutôt en hiver. Ils sont le résultat de l"accumulation de polluants produits essentiellement par les gaz d"échappement des véhicules, auxquels se cumulent les rejets liés au chauffage des bureaux et logements et à l"activité industrielle.

Les pics d"ozone

surviennent eux plutôt en été.

Lors de ces pics, il

est fortement recommandé d"éviter les efforts en plein air. Car les efforts s"accompagnent d"une augmentation de la fréquence respira- toire et du volume d"air inspiré, donc de la quantité d"ozone qui irrite nos muqueuses. -reC-drosnroud Puisque nos lieux de vie sont envahis de substances polluantes et de vapeur d"eau, l"aération est primordiale. Dans la majorité de nos anciens logements et lieux de travail, il est recommandé d"ouvrir bien grand la fenêtre, au moins deux fois par jour, pendant 10 à 15 minutes, pour renouveler l"air et diminuer la concentration des émanations chimiques. EÉTM-ALV-eTNÉTI88M3/LETISE2TT2EM838L ETHTRITqNRRL83NÉT ETR•I3MTHTé • un taux accru de naissances de bébés ayant un poids inférieur à 2,5 kg • des ylgGpehalMnrBalp • des Tuphornsopnroudp supplémentaires (lors de pics de pollution notamment). Ainsi, une augmentation de la concentration des particules fines respirables est cor- rélée à une augmentation des admissions à l"hôpital pour infarctus du myocarde. • des Mnsnyo-pea-phoanruoa-p (asthme, bronchite chronique (BPCO), insuffisance respiratoire aigüe. • des Mnsnyo-pegnayouCnpgBsnoa-p (angor, infarctus, etc). des réactions allergiques (cutanées, oculaires, des voies respiratoires, etc) • des gndg-ap. iT,T2NÉ8I28T171T,Tb3SEMTta1imta1l

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Gaël Verzele, Directeur Aide à la Vie

Journalière à la FASD

PREMIER

ÉCHELON

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PREMIER ÉCHELON

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Il ressort des derniers chiffres de la Com-

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Médecin Généraliste en région hennuyère Association Belgique des Syndicats Médicaux (ABSyM) †NDTÉGEMREM

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En 2016, il y avait 3.467

MG en activité en

Région wallonne.

Parmi eux, environ

60% étaient des hommes

qui avaient en moyenne près de 57 ans.

Toutefois, parmi les MG

actuellement dans la vingtaine, on compte

4 fois plus de femmes

que d'hommes. sHmThL"EcHEv"cHxhmTEE cc cx cc czPfix cc cfizPAx cc cAzPzfix cc c9zfix cc cà-??UqçUvhcS.B?çq-ôN-q.

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Les zones rurales

sont peu denses, ce qui contraint les MG premières lignes) à des trajets importants pour les soins à domicile.quotesdbs_dbs32.pdfusesText_38
[PDF] Secteur Recherche Santé

[PDF] Dr Aser J. BODJRENOU. Dernière mise à jour: Mai 2008

[PDF] Pour information : Administration générale des Personnels de 'Enseignement Cellule P.T.P. Réf : P.T.P. RW04/CLH/2003-2004

[PDF] Activité réservée 3.6.5

[PDF] Annexe II INFORMATIONS SUR LES AIDES D'ÉTAT EXEMPTÉES AU TITRE DU PRÉSENT RÈGLEMENT

[PDF] GROUPE VALORIALE VALORIALE FORMATION

[PDF] Par le Menu Démarrer, vous pouvez accéder soit directement à un dossier, soit à l ensemble des dossiers de votre profil.

[PDF] MISE EN ŒUVRE DU CONTROLE EN COURS DE FORMATION

[PDF] - Plan du Site - Consignes Générales Sécurité Sûreté Environnement

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