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Extrait de cours SVT

colonne le nom du micro-organisme et dans la troisième s'il est pathogène ou non. La peau est une barrière naturelle aux micro-organismes. Coupe transversale ...



brevet : révisions de svt

Le corps possède des barrières naturelles contre les microbes pathogènes c'est la peau et les muqueuses. Quand les micro-organismes franchissent la peau ou 



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30‏/03‏/2013 Non remboursable à partir du 31 mars 2013. DCI. Dosage en estrogène. Spécialité23. C3G : Contraceptifs oraux EP de troisième génération (non ...



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Tome 1 pollution (15 juillet)

15‏/07‏/2023 ... 3eme ou 4eme jour la toux dégénère et je dois l'emmener consulter notre ... anthropique ou naturelle. Les méthodologies d'évaluation de l ...



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SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE

(SVT). Page 11. 1. Sciences de la Vie. Première Ces cellules sont spécialisées dans la protection et constituent une barrière naturelle très efficace vis-.



Partie II La protection de lorganisme.

(Voir TP 2 : La transmission des micro-organismes : La contamination). Parfois la peau



Document 2 la peau et les muqueuse des barrières naturelles

La peau et les muqueuses sont des barrières naturelles qui assurent une protection efficace contre les invasions microbiennes. Toutefois.



Partie II La protection de lorganisme.

Les modes de contamination sont très divers et concernent toutes les barrières naturelles de l'organisme : Le passage peut se faire de muqueuse à muqueuse au 



Untitled

I) Les microbes et barrières naturelles Des barrières naturelles (peau muqueuses et leurs ... La troisième sert de témoin. On garde ensuite les trois.



Partie 2 : protection de lorganisme

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SVT M. PERENNES 2005-2006 Nom : Prénom : 3 : Date : Sciences

SVT M. PERENNES. 2005-2006 3ème PROTECTION DE L'ORGANISME 2004/2005. Correction. ... gastrique est une barrière naturelle de notre corps. Exercice 3 :.



Document de synthèse – Méthodes contraceptives

30 mars 2013 C3G : Contraceptifs oraux EP de troisième génération (non remboursables)4 ... Le préservatif masculin est une méthode barrière.



E manuel SVT troisième.pdf

SVT. CLASSE DE TROISIEME http://lewebpedagogique.com/arnaud/. Auteur : Liliane Arnaud Soubie Ils sont arrêtés par les barrières naturelles.



Présentation PowerPoint

Classeur numérique de SVT Niveau 3ème. AFFICHER le classeur en PAGE DOUBLE. « Affichage de page » « Deux pages ». Ou cliquez sur Alt A puis f puis x.



3. Analyse des effets négatifs et positifs 3.1- Impact sur le milieu

sur la végétation naturelle et sur les cultures riveraines : maraîchage général on n'en distingue que deux



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Le corps possède des barrières naturelles contre les microbes pathogènes c'est la peau et les muqueuses. Quand les micro-organismes franchissent la peau ou 



La contamination par les micro-organismes - Cours SVT 3ème

Résumez dans un tableau les deux grands types de barrières du corps humain Illustration de la barrière chimique au niveau de l'estomac barrière chimique 



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Comment le corps se protège ? L'organisme possède des barrières naturelles permettant de limiter la pénétration des micro-organismes • La peau est une barrière 



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Les modes de contamination sont très divers et concernent toutes les barrières naturelles de l'organisme : Le passage peut se faire de muqueuse à muqueuse au 



Les barrières naturelles - SVT cjr

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Qu'appelle-t-on « contamination » ? La contamination est l'entrée d'un microbe dans un organisme Les barrières naturelles sont donc franchies (05 pt)



[PDF] Activité 2 : Des barrières pour limiter lentrée des micro-organismes

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[PDF] CS Activité 3 : Les barrières naturelles de notre corps

MULIAVA F SVT - SEQ 2: La menace fantôme PARTIE B: CS Situation problème : Certaines parties du corps sont recouvertes de microbes et d'autres non 



Risques infectieux et protection de lorganisme – 3ème – Cours – SVT

La plupart des microorganismes est inoffensive voire utile à l'Homme mais certains sont pathogènes : ils provoquent des maladies II Les barrières naturelles 

:
brevet : révisions de svt 2018

Révisions pour le brevet

Collège de Varens Passy

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Programme de 5ème 4ème et 3ème

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Sommaire

La planète Terre ................................................................................................................................................. 4

Les séismes .......................................................................................................................................................... 5

Les volcans ........................................................................................................................................................... 6

La structure de la Terre .................................................................................................................................. 7

La tectonique des plaques ................................................................................................................................ 8

I·MŃPLYLPp OXPMLQH HP O·HQYLURQQHPHQP ........................................................................................................... 9

Les caractères et les gènes ........................................................................................................................... 10

La mitose ............................................................................................................................................................ 11

La méiose et la fécondation ........................................................................................................................... 12

I·pYROXPLRQ GHV rPUHV YLYMQPV ......................................................................................................................... 13

La nutrition des animaux ................................................................................................................................ 14

La nutrition des végétaux............................................................................................................................... 15

La reproduction sexuée .................................................................................................................................. 16

La reproduction humaine ................................................................................................................................ 17

La grossesse ...................................................................................................................................................... 18

Les hormones ..................................................................................................................................................... 19

Le système nerveux ......................................................................................................................................... 20

Les organes du mouvement ............................................................................................................................ 21

La circulation du sang ...................................................................................................................................... 22

IHV PLŃURNHV HP O·LQIHŃPLRQ ............................................................................................................................. 23

IHV GpIHQVHV GH O·RUJMQLVPH .......................................................................................................................... 24

Collège de Varens Passy Page 4

La planète Terre

La Terre dans le système solaire

IH V\VPqPH VROMLUH HVP IRUPp G·XQH pPRLOH OH VROHLO MXPRXU GH OMTXHOOH gravitent huit planètes, quatre planètes

rocheuses puis quatre planètes gazeuses.

La Terre a une température PR\HQQH GH 1DƒF ŃH TXL SHUPHP GH JMUGHU GH O·eau j O·pPMP OLTXLGHB

La masse GH OM 7HUUH HVP VXIILVMQPH SRXU UHPHQLU OHV JM] HP SHUPHP MORUV G·rPUH HQPRXUpH G·XQH atmosphère.

Ces deux ŃRQGLPLRQV RQP SHUPLV O·MSSMULPLRQ GH OM Vie LO \ M 3 PLOOLMUGV HP 800 PLOOLRQV G·MQQpHV SXLV XQH

diversification du monde vivant à la suite des grandes catastrophes géologiques et climatiques

Les saisons

La Terre tourne autour du soleil en un an selon une orbite en forme G·HOOLSVHB (OOH PRXUQH MXVVL VXU HOOH-PrPH HQ XQ ÓRXU MXPRXU GH O·axe des pôles. FHP M[H Q·HVP SMV SHUSHQGLŃXOMLUH MX SOMQ GH O·RUNLPH LO SHQŃOH GH 23ƒ Ń·HVP j ŃMXVH GH ŃHPPH inclinaison TX·LO \ M GHV saisons sur la Terre. Pour VLPXHU XQ SRLQP GH OM 7HUUH RQ LQGLTXH O·MUŃ GH ŃHUŃOH HQPUH ŃH SRLQP HP O·équateur Ń·HVP OM OMPLPXGHB Entre les deux tropiques 23ƒ XQH IRLV GMQV O·MQQpH OH VROHLO VH trouve à la verticale au dessus de nous. Au delà du cercle polaire (67°), il y a au moins un jour où le soleil ne se couche pas et au moins un jour où il ne se lève pas.

Les climats

On peut classer les climats du monde

en trois zones :

Les climats froids :

polaire, montagnard

Les climats tempérés :

océanique, continental, méditerranéen

Les climats chauds :

désertique, tropical, équatorial

On caractérise un climat par

les températures et les précipitations.

I·énergie solaire HVP OM PrPH j O·pTXMPHXU RX MX[ S{OHV PMLV TXH ŃHPPH pQHUJLH HVP ŃRQŃHQPUpH VXU XQH SHPLPH

VXUIMŃH j O·pTXMteur ce qui apporte une plus grande chaleur.

Les courants GH PMVVHV G·MLU GMQV O·atmosphère HP G·HMX GMQV OHV océans SHUPHPPHQP MXVVL G·H[SOLTXHU OHV

différents climats. On peut dire que les climats dépendent de trois facteurs : - La latitude (ensoleillement, courants atmosphériques) - La proximité des océans (courants marins) - I·MOPLPXGH

$ŃPXHOOHPHQP QRXV VRPPHV HQ SpULRGH GH UpŃOMXIIHPHQP ŃOLPMPLTXH j ŃMXVH G·XQ effet de serre dû à des gaz qui

empêchent la chaleur de repartir dans O·HVSMŃH HP GRQP OM ŃMXVH HVP SULQŃLSMOHPHQP O·MŃPLYLPp OXPMLQHB

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Les séismes

Les effets des séismes

Un séisme peut provoquer des déformations du paysage, des dégâts aux constructions et de nombreuses victimes.

I·LPSRUPMQŃH GHV GpJkPV HVP O·intensité macrosismique meVXUpH SMU O·échelle EMS notée de I à XII, elle est plus

LPSRUPMQPH MX QLYHMX GH O·épicentre HOOH GLPLQXH HQ V·pORLJQMQPB Un séisme se manifeste par des vibrations du sol. Les vibrations du sol sont enregistrées par des appareils appelés sismomètres. Les enregistrements obtenus sont des sismogrammes.

I·RULJLQH GHV VpLVPHV

A partir du foyer, situé en profondeur, des ondes sismiques se propagent dans toutes les directions et provoquent les vibrations du sol. Au foyer, situé sur une faille active profonde, il y a des forces SHUPMQHQPHV TXL V·H[HUŃHQP VXU OHV roches. Ces roches MŃŃXPXOHQP OHQPHPHQP GH O·pQHUJLH HP cassent brutalement en libérant cette énergie qui est alors transportée par les ondes sismiques dans PRXPHV OHV GLUHŃPLRQV HP ÓXVTX·j OM VXrface où elles

MPPHLJQHQP HQ SUHPLHU O·pSLŃHQPUH.

2Q PHVXUH O·pQHUJLH OLNpUpH SMU OH VpLVPH VXU

O·échelle de Richter RQ O·MSSHOOH OM magnitude.

La répartition mondiale des séismes

Dorsales océaniques Montagnes continentales Fosses océaniques

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Les volcans

Le principe des éruptions volcaniques

Une éruption volcanique se manifeste par une sortie de lave et de gaz,

Ń·HVP OH magma.

La pression du gaz très chaud propulse la lave.

Les magmas fluides donnent des coulées de lave

ou éruptions effusives et les magmas visqueux donnent des explosions avec des projections de matériaux ou éruptions explosives.

IM VPUXŃPXUH GH O·MSSMUHLO YROŃMQLTXH

Le magma est contenu dans un réservoir magmatique situé à quelques kilomètres de profondeur. F·HVP GH OM PMPLqUH PLQpUMOH HQ IXVLRQ TXL ŃRQPLHQP TXHOTXHV éléments solides et du gaz. Les produits sortant par les cheminées IRUPHQP O·pGLILŃH YROŃMQLTXHB Le refroidissement du magma donne des roches volcaniques qui contiennent des cristaux plus ou moins gros et surtout du verre.

La répartition des volcans sur la Terre

Dorsales océaniques Cassures continentales Iles océaniques Fosses océaniques

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La structure de la Terre

Les profondeurs de la Terre

La vitesse des ondes sismiques varie dans les

profondeurs de la Terre. Cela démontre que notre Terre est constituée de matériaux différents disposés en couches.

La lithosphère solide et rigide repose sur

O·asthénosphère solide et molle.

On distingue la lithosphère continentale épaisse de 100 Km environ et la lithosphère océanique un peu moins épaisse.

La lithosphère est un puzzle

La répartition mondiale des séismes et des volcans fait MSSMUMvPUH XQH VRUPH GH SX]]OH G·XQH GRX]MLQH GH SLqŃHV, ce sont des plaques de lithosphère rigide qui flottent sur

O·MVPOpQRVSOqUH PROOHB

Les plaques ne sont pas les continents, ce sont des morceaux de lithosphère continentale et océanique.

Exemple : la plaque indienne

L·MOLJQHPHQP Ges séismes et des volcans actifs détermine la frontière entre les plaques de lithosphère.

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La tectonique des plaques

Les mouvements des plaques

En 1915 Wegener a constaté que les continents peuvent s·HPNRvPHUB Il en a déduit que ces continents étaient collés et se sont séparés.

De nos jours on sait que ce sont les plaques qui contiennent les continents qui ont bougé et il y a

trois possibilités : IHV SOMTXHV V·pŃMUPHQP HOOHV GLYHUJHQP IRUŃHV G·extension. Les plaques se rapprochent, elles convergent, forces de compression.

Les plaques coulissent, forces de cisaillement.

Les frontières de divergence

IHV IRUŃHV G·H[PHQVLRQ pŃMUPHQP OHV

plaques de quelques centimètres par an au niveau des dorsales océaniques cela ouvre une fente appelée rift qui se comble en même temps par de la lave qui PRQPHB FHPPH OMYH GXUŃLP HP Ń·HVP Oj TXH OM nouvelle lithosphère océanique se forme.

Voilà pourquoi on observe au niveau des

GRUVMOHV GHV VpLVPHV G·H[PHQVLRQ HP GHV

volcans effusifs sous-marins.

Les frontières de convergence

La lithosphère océanique vieille devient plus dense et V·HQIRQŃH MORUV GMQV O·MVPOpQRVSOqUH HQ JOLVVMQP VRXV une autre plaque, c·HVP OH SOpQRPqQH GH subduction qui donne une fosse océanique et une chaîne de montagne comme la Cordillère des Andes. F·HVP LŃL TXH OM lithosphère océanique est détruite mais cela est compensé par celle qui est créée au niveau des dorsales.

Remarque : Lorsque ce sont deux lithosphères

continentales TXL V·MIIURQPHQP LO Q·\ M SMV GH VXNGXŃPLRQ mais une collision qui forme une chaîne de montagne

ŃRPPH O·+LPMOM\MB

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L·MŃPLYLPp OXPMLQH HP O·HQYLURQQHPHQP

Les écosystèmes

F·HVP XQ PLOLHX GMQV OHTXHO OHV rPUHV YLYMQPV RQP leur cycle de vie et des relations entre eux.

Les espèces sont différentes selon les

conditions climatiques et physiques du milieu, elles constituent la biodiversité GH O·pŃRV\VPqPHB Les écosystèmes évoluent naturellement mais O·H[SORLPMPLRQ GHV UHVVRXUŃHV PHUUHVPUHV SMU O·+RPPH ŃRQPUMULH ŃHPPH pYROXPLRQ HQ PRGLILMQP les équilibres : CO2, surpêche, pesticides, espèces invasives.

La biomasse

F·HVP OM PMVVH PRPMOH GHV rPUHV YLYMQPV MQLPMX[ ŃOMPSLJQRQV NMŃPpULHV HP YpJpPMX[ G·XQ pŃRV\VPqPHB

La dégradation de cette biomasse se fait dans le sol pour aboutir à de la matière minérale et cela produit de

O·pQHUJLH HVVHQPLHOOHPHQP GLVVLSpH VRXV IRUPH GH ŃOMOHXUB

Cette matière minérale du sol ainsi que le CO2 GH O·MLU VHURQP XPLOLVpV SMU OHV végétaux chlorophylliens pour leur

croissance et en retour ils UHÓHPPHURQP GH O·R[\JqQH Ń·HVP OM photosynthèse.

6L OM GpJUMGMPLRQ GH OM NLRPMVVH HVP LQŃRPSOqPH MSUqV SOXVLHXUV PLOOLRQV G·MQQpHV RQ MNRXPLt à la formation

G·O\GURŃMUNXUHV RX énergies fossiles (charbon, gaz et pétrole).

La combustion de la biomasse fossile ou actuelle, SMU O·+RPPH, pour en H[PUMLUH GH O·pQHUJLH, produit du CO2 qui

entraîne un effet de serre GMQV O·MPPRVSOqUH HP GRQŃ XQ réchauffement climatique.

Les responsabilités humaines

3ULYLOpJLHU OHV VRXUŃHV G·énergies renouvelables et aussi limiter la consommation d·énergie.

I·eau douce (lacs, fleuves, eau souterraine, glaciers et banquise) UHSUpVHQPH 3 GH O·HMX VXU 7HUUH GqV 202D GH

nombreux pays atteindront la limite de leurs réserves en eau douce.

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Les caractères et les gènes

Les caractères héréditaires

Chaque personne présente des caractères physiques GH O·HVSqŃH OXPMLQH MYHŃ GHV YMULMPLRQV

LQGLYLGXHOOHVB I·HQVHPNOH GH ŃHV ŃMUMŃPqUHV RNVHUYMNOHV V·MSSHOOH OH phénotype.

IHV ŃMUMŃPqUHV TX·RQ UHPURXYH GMQV OHV JpQpUMPLRQV VXŃŃHVVLYHV VRQP GHV ŃMUMŃPqUHV OpUpGLPMLUHVB

Les facteurs environnementaux peuvent modifier certains caractères mais ces modifications ne sont pas héréditaires.

I·LQVŃULSPLRQ GHV ŃMUMŃPqUHV

Les caractères héréditaires sont inscrits sur nos chromosomes qui se trouvent dans le noyau de nos cellules. FOMTXH ŃHOOXOH G·XQ rPUH OXPMLQ SRVsède 46 ŃOURPRVRPHV TX·RQ UMQJH SMU paires et par taille pour établir un caryotype. La 23ème paire est différente selon le sexe :

XY SRXU O·ORPPH HP XX pour la femme.

IM QMPXUH GHV ŃOURPRVRPHV HP OH PRGH G·LQVŃULSPLRQ I·ADN est une moléculH TXL V·HQURXOH ORUV GH OM multiplication cellulaire et devient un chromosome.

8Q VHJPHQP G·$G1 V·MSSHOOH XQ gène qui commande un caractère héréditaire.

I·HQVHPNOH GH QRV JqQHV V·MSSHOOH OH génotype.

Deux allèles

identiques Deux allèles différents IHV GHX[ MOOqOHV V·H[SULPHQP 8Q MOOqOH V·H[SULPH dominant),

O·MXPUH HVP PXHP récessif)

Génotype

Phénotype Groupe A Groupe AB Groupe A

Un gène occupe la même position sur

lHV GHX[ ŃOURPRVRPHV G·XQH SMLUHB Un gène présente des versions différentes appelées allèles. Le gène " groupe sanguin » peut présenter la version A ou B ou o Comme nos chromosomes sont par paires, pour un même gène, les solutions sont

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La mitose

Le caryotype de mes cellules

IHV ŃHOOXOHV GH O·RUJMQLVPH SRVVqGHQP la même information génétique que la cellule-±XI GRQP HOOHV

proviennent par multiplications (on dit aussi division cellulaire). Si bien que toutes mes cellules possèdent les mêmes chromosomes.

Sauf mes cellules reproductrices.

Le principe de la multiplication cellulaire

IM PXOPLSOLŃMPLRQ G·XQH ŃHOOXOH HVP SUpSMUpH SMU OM

ŃRSLH GH ŃOMTXH ILOMPHQP G·$G1B

FHOM V·MSSHOOH OM duplication.

(QVXLPH O·$G1 V·HQURXOH en chromosomes pour IMŃLOLPHU OM UpSMUPLPLRQ GH O·LQIRUPMPLRQ JpQpPLTXHB Il y a alors une séparation de chaque chromosome double en deux chromosomes simples identiques.

Puis la cellule se sépare en deux.

Chacune des deux cellules formées reçoit 23

paires de chromosomes identiques à ceux de la cellule initiale

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La méiose et la fécondation

Le caryotype des cellules reproductrices et la méiose

Au cours de sa formation, chaque cellule reproductrice ou gamète reçoit un chromosome de chaque

paire. IHV ŃOURPRVRPHV G·XQH paire se répartissent au hasard et chaque cellule reproductrice contient

23 chromosomes.

Les gamètes produits par un individu sont génétiquement différents. FH SOpQRPqQH V·MSSHOOH OM 0pLRVHB HO V·MJLP G·XQH © division de la cellule ». Le caryotype de la cellule-±XI et la fécondation La fécondation rétablit le nombre de chromosomes à 46.

Lors de la fécondation, le spermatozoïde V·XQLP j O·RYXOH, ils participent à la transmission de

O·LQIRUPMPLRQ JpQpPLTXHB 3RXU ŃOMTXH paire de chromosomes, un chromosome vient de notre père et

O·MXPUH GH QRPUH PqUH Gonc, pour un gène donné, un allèle vient du père et O·MXPUH de la mère.

Chaque individu issu de la reproduction sexuée possède un programme génétique qui le rend unique.

Bilan de la méiose, la fécondation et la mitose

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L·pYROXPLRQ GHV rPUHV YLYMQPV

Histoire de la vie sur Terre

Les êtres vivants ont tous un point commun

Les êtres vivants ont tous une unité de structure : la cellule avec ADN, cytoplasme et membrane.

Cela indique que tous les êtres vivants ont une origine primordiale commune.

Les variations de quelques caractères cellulaires déterminent les quatre grands groupes G·rPUHV

vivants : bactéries, végétaux, champignons et animaux. Les caractères communs et les liens de parenté

Les espèces apparaissent et disparaissent, les espèces fossiles et actuelles ont un lien de parenté.

Une nouvelle espèce possède des caractères héréditaires nouveaux qui sont apparus.

F·HVP OH SULQŃLSH GH O·évolution.

I·+RPPH HVP XQ SULPMPH

I·+RPPH HVP XQH HVSqŃH MQLPMOH TXL HVP MSSMUXH VXU OM 7HUUH VHORQ OH SURŃHVVXV GH O·pYROXPLRQB

I·+RPPH QH © descend » pas du singe, O·+RPPH HVP XQ VLQJHB

IM POpRULH GH O·pYROXPLRQ

F·HVP FOMUOHV Darwin TXL GpYHORSSM OM POpRULH GH O·pYROXPLRQ HQ 18DEB

IM SUpVHQŃH GH ŃMUMŃPqUHV QRXYHMX[ V·H[SOLTXH SMU GHV mutations GH O·$G1 MX ŃRXUV GHV JpQpUMPLRQV HP

seuls les caractères qui présentent un avantage vont subsister, les autres vont disparaître triés par la

sélection naturelle.

I·pYROXPLRQ GH OM OLJQpH OXPMLQH

A partir de notre ancêtre commun

avec les chimpanzés, il y a eu des transformations qui ont donné les diverses espèces humaines depuis

VHSP PLOOLRQV G·MQQpHVB

Notre espèce Homo sapiens est

apparue, il y a 200 000 ans.

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La nutrition des animaux

Les besoins des cellules et des organes

FOH] O·+RPPH OHV RUJMQHV SUHQQHQP GMQV OH VMQJ OHV VXNVPMQŃHV GRQP LOV RQP NHVRLQB Les muscles

prennent GH O·oxygène et du glucose GMQV OH VMQJ HP LOV \ UHÓHPPHQP GX GLR[\GH GH ŃMUNRQH HP G·MXPUHV

déchets.

La respiration

I·R[\JqQH GH O·HQYLURQQHPHQP GRLP MOOHU ÓXVTX·MX[ RUJMQHVB FH U{OH HVP MVVXUp SMU O·appareil

respiratoire. Les appareils respiratoires diffèrent selon les espèces et le milieu de vie.

La digestion

CH U{OH HVP MVVXUp SMU O·appareil digestif.

Les aliments de notre environnement doivent

passer dans le sang pour atteindre nos organes où ils seront utilisés.

Certains aliments sont des mélanges de grosses

molécules.

Ils doivent être transformés par les sucs

digestifs, ils sont dissous et deviennent tout petits SRXU PUMYHUVHU OM SMURL GH O·LQPHVPLQB

I·H[ŃUpPLRQ

Les reins filtrent le sang pour pOLPLQHU GMQV O·XULQH OHV déchets azotés (urée) produits par nos organes ORUVTX·RQ PMQJH GH OM YLMQGHB Et aussi pour évacuer les VXNVPMQŃHV HQ H[ŃqV ŃRPPH O·HMX RX OH VHOB

I·MSSURYLVLRQQHPHQP GH O·RUJMQLVPH HQ MOLPHQPV HP HQ R[\JqQH VHUP j OM croissance, au fonctionnement

HP j OM SURGXŃPLRQ G·énergie.

Pour échanger des substances avec le milieu extérieur on a des organes qui possèdent de bonnes

VXUIMŃHV G·pŃOMQJH : grandes, fines et riches en vaisseaux sanguins.

F·HVP OH ŃMV GHV poumons MYHŃ OHXUV PLOOLRQV G·alvéoles GH O·intestin avec ses millions de villosités et des

reins avec leurs millions de néphrons.

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La nutrition des végétaux

IM QXPULPLRQ G·XQH SOMQPH YHUPH

Les cellules chlorophylliennes ont besoin pour se nourrir seulement de matière minérale. FHPPH PMPLqUH PLQpUMOH Ń·HVP O·HMX HP OHV VHOV PLQpUMX[ TXL VH PURXYHQP GMns la terre HP MXVVL OH GLR[\GH GH ŃMUNRQH TXL VH PURXYH GMQV O·MLUB

Pour absorber le CO2 GMQV O·MLU

les feuilles possèdent des stomates.

Pour absorber les sels minéraux

HP O·HMX GMQV OH VRO OHV racines

possèdent des poils absorbants.

Pour fabriquer leur matière

organique avec cette matière minérale, les plantes vertes ont besoin de lumière.

F·HVP OM photosynthèse.

Ensuite elles rejettent du

dioxygène.

Les plantes vertes

fabriquent la matière organique à partir de matière minérale, ce sont des êtres vivants autotrophes.

Elles occupent toujours la

première place dans les chaînes alimentaires.

Le transport des aliments

chez les plantes

Les vaisseaux du bois

PUMQVSRUPHQP O·HMX HP OHV Vels

minéraux, des racines vers les

IHXLOOHV Ń·HVP OM sève brute.

Les vaisseaux du phloème

PUMQVSRUPHQP O·HMX OHV VXŃUHV HP

G·MXPUHV VXNVPMQŃHV RUJMQLTXHV

des feuilles vers tous les autres

RUJMQHV GH OM SOMQPH Ń·HVP OM

sève élaborée.

Une cellule végétale

contient de la chlorophylle.

Collège de Varens Passy Page 16

La reproduction sexuée

Pour se reproduLUH OHV rPUHV YLYMQPV GRLYHQP G·MNRUG fabriquer des cellules reproductrices sexuées

TX·RQ MSSHOOH MXVVL GHV gamètes O·ovule est le gamète femelle et le spermatozoïde est le gamète mâle.

(QVXLPH Ń·HVP OM fécondationB I·XQLRQ HQPUH O·RYXOH HP OH VSHUPMPozoïde donne une nouvelle cellule, la

cellule-±XI qui deviendra un embryon puis un nouvel être vivant.

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La reproduction humaine

La puberté

Pendant la puberté, les organes génitaux commencent à fonctionner avec les règles ou les éjaculations,

ce sont les caractères sexuels primaires. Les caractères sexuels secondaires apparaissent (poils, seins,

voix qui mue). *UkŃH j PRXV ŃHV ŃOMQJHPHQPV j OM SXNHUPp O·rPUH OXPMLQ GHYLHQP MSPH j VH UHSURGXLUHB

I·origine des règles

F·HVP O·utérus TXL HVP j O·RULJLQH GX VMQJ GHV règles. Les règles sont un faible écoulement de sang mêlé à des débris cellulaires qui dure entre 3 et

8 jours, elles apparaissent à la puberté.

Le 1er jour du cycle féminin correspond au

1er jour des règles et ce cycle dure 28 jours en

moyenne. La ménopause correspond à un arrêt des règles

HP GHV RYXOMPLRQV YHUV O·kJH GH D0 MQV.

I·MSSMUHLO JpQLPMO féminin

Il sert à la production des ovules, la rencontre des gamètes et la grossesse. Dès sa naissance, une femme possède dans ses ovaires un million de futurs ovules. A la puberté, ces futurs ovules vont mûrir un

SMU XQ HP V·HQPRXUHU G·XQ IROOLŃXOHB

Lorsque l·RYXOe est mûr, il sort dH O·RYMLUH Ń·HVP

O·RYXOMPLRQ au 14ème jour du cycle.

Les spermatozoïdes projetés au fond du vagin

YRQP UHPRQPHU O·XPpUXV SXLV OHV PURPSHVB

Si O·RYXOH UHQŃRQPUH XQ VSHUPMPR]RwGH HQ OMXP de la trompe, la fécondation aura lieu.

I·MSSMUHLO JpQLPMO PMVŃXOLQ

Il sert à la production et au transport des

spermatozoïdes. La production a lieu dans les tubes séminifères des testicules, 10 millions de spermatozoïdes par heure à partir de la puberté.

Le sperme est un liquide nourricier provenant

des vésicules séminales et de la prostate.

I·érection est un durcissement et un

gonflement du pénis par un afflux de sang.

300 millions de spermatozoïdes sont expulsés

SMU O·XUqPUH MX PRPHQP GH O·éjaculation.

Collège de Varens Passy Page 18

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