[PDF] Lenvironnement en Île-de-France - Mémento 2011





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Lenvironnement en Île-de-France - Mémento 2011

couronne le nombre de mètres carrés par habitant va augmenter de. 240%



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L"environnement en Île-de-France - Mémento 2011 L"urbanisme et l"habitat 81

L"urbanisme

Les espaces urbains

L"urbanisation de l"Île-de-France s"étend de Paris intra-murosvers la couronne périurbaine et le long des vallées. La superficie des espaces urbains La superficie des espaces urbains est de 256948ha dont: espaces urbains construits: 193796ha7; espaces urbains ouverts: 63152ha.

Source: IAU îdF, Mos 2008.

Les espaces urbains représentent un peu plus de 21% de la superficie régionale, dont 16% d"espaces urbains construits et 5% d"espaces urbains "ouverts», c"est-à-dire ni construits ni imperméabilisés: parcs, jardins, terrains de sport non revêtus...

L"habitat individuel est le premier poste

de l"espace urbain, dont il repr

ésente

47% (soit 10% de la superficie régio-

nale). Le second poste en superficie cor- respond aux infrastructures de transportqui représentent plus de 12% de l"espace urbain et 2,5% de l"espace régional.

Le système régional des espaces ouverts

(SREO), parti e intégrante du projet de schéma directeur de la région Île-de-France (Sdrif), s"appuie sur une organisation radioconcentrique de l"espace régional, fondée à la foisL"urbanisme et l"habitat

L"A14, autouroute urbaine payante,

et la ligne d u RERA à Nanterre (92).J.-C. Pattacini/IAU îdF

L"environnement en Île-de-France - Mémento 2011 L"urbanisme et l"habitat 82

Données de baseCalcul des densités

Surface

totale en haSurface urbanisée au sens large du projet de Sdrif en 2008 en haSurface urbanisée au sens strict du projet de Sdrif en 2008 en haSurface des espaces d"habitat en 2008 en haPopulation en 2008*Emploi en 2008**Parc de logements en 2006***Densité brute en 2008 en hab./haDensité des espaces urbanisés en 2008 en hab./haDensité humaine des espaces urbanisés en 2008 en (hab. + emplois)/haDensité des espaces d"habitat en 2008 en hab./haDensité des espaces d"habitat en 2008 en logt/ha Paris10 5319 4756 4824 0782 199 5001 870 0361 334 814209339232430539 Hauts-de-Seine17 55815 05711 3677 3451 557 5001 031 635744 95789137103172212 Seine-Saint-Denis23 68521 39415 7199 7721 517 000570 588604 06564977198155 Val-de-Marne24 48419 72314 5579 6921 311 500540 853577 63554906694135 Petite couronne65 72756 17441 64326 8094 386 0002 143 0761 926 6576710578116164 Seine-et-Marne592 48973 65548 78038 4081 301 500466 277528 550227182434 Yvelines230 57151 10134 88226 5911 409 000585 256578 669640283953 Essonne182 13043 83630 43122 5651 209 500466 734488 762740283854 Val-d"Oise125 34634 26823 40117 1021 167 000425 505451 559950344668 Grande couronne1 130 536202 860137 494104 6665 087 0001 943 7722 047 540437253549 Île-de-France1 206 795268 509185 619135 55211 672 5005 956 8845 309 0111063436686 *Source: Insee, estimation de population. **Source: Insee, Estel données provisoires. ***Source: Insee, RP2006.

Densités par département en 2008

L"environnement en Île-de-France - Mémento 2011 L"urbanisme et l"habitat 83

sur la géographie (confluence du réseau hydrographique Seine-Oise- Marne au centre de la région) et sur l"armature urbaine francilienne, qui correspond à des proportions contrastées d"occupation du sol : trame verte d"agglomération (environ 90% urbain, 10% rural); ceinture verte (40% urbain, 60% rural); espace rural (10% urbain, 90% rural).

Les densités

Quelle qu"en soit la définition utilisée, la densité rend également compte de cette organisation concentrique, avec des ruptures de niveaux de densités entre Paris, les départements de petite couronne et ceux de grande couronne. L"agglomération centrale s"étend de manière radioconcentrique selon une double dynamique: en "tache d"huile» (que les schémas directeurs régionaux successifs ont voulu contrecarrer), et en "doigts de gants» le long des vallées et des infrastructures de transport. La localisation des cinq villes nouvelles (Cergy-Pontoise, Évry, Saint- Quentin-en-Yvelines, Sénart, Marne-la-Vallée) sur les plateaux a voulu rompre avec la tendance historique à l"urbanisation des vallées. Ces villes nouvelles ont surtout été constituées dans la recherche d"un polycentrisme. Cependant, elles ont été implantées à 30km à peine du centre de Paris et, bien qu"ayant été accompagnées par des dis- positifs de zones naturelles d"équilibre (ZNE) et de ceinture verte régio- nale, elles finissent par être rattachées à l"agglomération centrale. De plus, ces villes nouvelles accueillent peu de fonctions urbaines

stratégiques telles que des sièges sociaux de grandes entreprises,des activités de conseil ou des centres de recherche privés. Et c"est

encore moins le cas des villes de l"espace rural (pôles de centralité de l"espace rural dont les principaux: Melun, Meaux et Mantes). Tout cela mène au constat que l"armature urbaine de l"Île-de-France relève d"un polycentrisme faible par rapport à d"autres régions métropolitaines européennes, les fonctions stratégiques continuant à se polariser sur le centre de l"agglomération. En 2006, l"agglomération (ou unité urbaine) de Paris s"étend sur les huit départements de la région et 396 communes, couvre 23% du territoire régional et regroupe 88% des Franciliens. L"aire urbaine de Paris (ensemble constitué par l"unité urbaine de Paris et toutes les communes dont au moins 40% des actifs travaillent dans l"agglomération de Paris) correspond assez bien aux limites adminis- tratives régionales, allant au-delà au nord et à l"ouest, mais restant en deçà à l"est, reflétant ainsi le centrage géographique sur l"agglomération parisienne.

La consommation d"espaces agricoles et naturels

par l"urbanisation

Consommation d"espaces agricoles

et naturels, selon le dispositif d"observation de la consommation des espaces agricoles et naturels (Ocean)

1982-19902005 ha/an

1990-19992449 ha/an

1999-20081237 ha/an

Source : IAU îdF, Mos.

Évolution annuelle des espaces

urbains, au sens strict du projet de schéma directeur de la région

Île-de-France (Sdrif)

1982-1990+ 1 116 ha/an

1990-1999+ 1 558 ha/an

1999-2008+ 907 ha/an

Source : IAU îdF, Mos.

L"environnement en Île-de-France - Mémento 2011 L"urbanisme et l"habitat 84

La différence de valeurs entre la consommation de l"espace mesurée selon les règles du Sdrif et du programme d"o bservation de la consom- mation des espaces agricoles et naturels (Ocean) est due au fait que le projet de Sdrif ne prend pas en compte la superficie des grandes infrastructures de transport ni des grands équipements sportifs (golfs, hippodromes,...), alors qu"Ocean cumule l"ensemble des espaces agricoles et naturels disparus au profit de l"urbanisation.

Les espaces verts urbains

La création d"espaces verts publics a connu une éclipse presque totale après le second Empire. À partir des années soixante-dix, les pouvoirs publics définissent une politique ambitieuse pour une meilleure offre en espaces verts. La circulaire ministérielle du 8 février 1973 marque une étape en consacrant les espaces verts publics en tant qu"équi- pements structurants d"intérêt public. Elle fixe comme objectif: 10m 2 /hab. en zone centrale et 25 m 2 /hab. en zone périurbaine. Cette "norme», reconnue au niveau international par l"Organisation mondiale de la santé (OMS), va orienter les politiques des collectivités publiques pour atteindre ces objectifs. En trente ans, le nombre de mètres carrés par habitant va croître de manière spectaculaire. Entre 1970 et 2001, dans Paris et la petite couronne, le nombre de mètres carrés par habitant va augmenter de

240%, passant de 2,6 m

2

à 8,6 m

2 Depuis les années 2000, la politique des espaces verts publics entre dans une nouvelle phase. Un ralentissement de la création d"espaces verts, conjugué à une augmentation globale de la population francilienne,

La superficie d"espaces verts par habitant

et par commune en 2009 (Paris et petite couronne)

Carte: "La superficie d"espaces

verts par habitant et par commune en 2001 (Paris et petite couronne)» sur www.iau-idf.fr

L"environnement en Île-de-France - Mémento 2011 L"urbanisme et l"habitat 85

s"est soldé par une évolution négative sur les dix dernières années. D"une part, peu de nouveaux parcs sont créés devant la raréfaction du foncier facilement mobilisable et son coût croissant. Ce ralentis- sement de la création de nouveaux espaces verts s"explique aussi par l"augmentation des coûts d"entretien liée à l"augmentation du patrimoine, qui se conjugue avec l"enjeu nature en ville pour favoriser la diffusion des modes de gestion différenciée. Une problématique liée est celle de la reconfiguration des espaces verts conçus dans les années soixante-dix-quatre-vingts qui ont plus ou moins bien vieilli. D"autre part, une augmentation globale de la population francilienne, notamment dans les départements des Hauts-de-Seine et de la Seine- Saint-Denis, dilue l"offre en espaces verts publics. L"évolution du ratio du nombre de mètres carrés par habitant devient ainsi négative pour six départements sur huit. La tendance est beaucoup plus perceptible dans la petite couronne que dans la grande couronne. Entre 2001 et

2009, la croissance la plus frappante est celle du département de la

Seine-et-Marne avec une augmentation de près de 18%. L"urbanisation récente de ce département, avec le développement des deux dernières villes nouvelles, Sénart et Marne-la-Vallée, et la montée en puissance de la politique départementale en faveur des espaces naturels sensibles (ENS) expliquent cette croissance. Paris voit sa surface d"espaces verts par habitant évoluer légèrement de +0,5%. L"effet de ce ralentissement est atténué par le maintien de l"offre globale en espaces verts et par la réduction de certaines zones de carence. Globalement, les départements de la petite couronne se rapprochent du seuil de 10m 2 par habitant sans compter les bois ouverts au public.Paris propose un ratio de 3,9m 2 (9,3m 2 avec les bois de Boulogne et de Vincennes). Les communes présentant un ratio de moins de 1m 2 /hab. d"espaces verts publics ne sont plus que 10 en 2009 contre

13 en 2001. Certains secteurs très carencés perdurent -la boucle

de Gennevilliers, le nord de Paris, le nord du Val-de-Marne- tandis que d"autres secteurs tendent à se réduire -le sud-est des Hauts-de- Seine, le sud-ouest du Val-de-Marne, le sud de la Seine-Saint-Denis. Les départements de la grande couronne dépassent tous le seuil de 25m
2 sauf le Val-d"Oise avec 13m 2 . Une partie des carences peut être résolue en améliorant les accès aux espaces verts existants, notamment en rétablissant des franchissements d"infrastructures de transport. Les objectifs chiffrés du district de la région parisienne, évalués en

1964 à la mesure d"une région métropole de 14millions d"habitants

prévue en 2000, sont presque atteints pour les espaces verts, mais pas pour les forêts et les bases de loisirs. Ce décalage avec les objectifs est à moduler puisque la population n"est que d"environ

11,6millions en 2007. Les objectifs pour les bases de loisirs sont

peut-être disproportionnés par rapport à la demande actuelle. En revanche, on sait, par des enquêtes assez récentes et par les obser- vations de terrain, que les besoins en matière de forêts publiques ne Source: District de la région parisienne en 1964. Superficies en haSituation 1964Objectif 2000Situation 2009

Forêts publiques6000014000094300

Espaces verts urbains publics30001500014490

Bases de plein air et de loisirs- 240003230

L"environnement en Île-de-France - Mémento 2011 L"urbanisme et l"habitat 86

sont pas complètement satisfaits. Cela occasionne des problèmes de surfréquentation des forêts ouvertes au public, et de fréquentation " de fait » des forêts privées qui contribuent à compenser l"insuffisance de l"offre en forêts publiques dans certains secteurs. Petit à petit, le projet de trame verte d"agglo mération prend forme. Cet ensemble de jardins et parcs publics, reliés entre eux par des liaisons vertes, décrit pour la première fois dans le plan vert régional de 1995, marque le coeur de l"agglomération. L"importance de la cou- ronne boisée (94300ha ouverts au public), la création des bases de plein air et de loisirs (3230ha), l"augmentation constante de l"offre en espaces verts (14490ha de parcs et jardins) et l"appari tion des espacesquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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