[PDF] 6. Fiche citations Andrew Niccol concernant le nom





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Bienvenue à Gattaca de Andrew Niccol - Fiche élève

Et qu'elle sépare le personnage central de la femme à sa droite ? Au contraire les deux hommes sont côte à côte : en vous aidant éventuellement du synopsis



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C'est à la même époque que Niccol parvient à tourner Gattaca premier film au budget plus modeste. L'histoire de Vincent Freeman



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Problématique : La séquence propose à des élèves scientifiques de Gattaca est un film américain de science fiction qui a été réalisé par Andrew Niccol.



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Nathan 2012 - La photocopie non autorisée est un délit. © Nathan



Bienvenue à Gattaca A.Niccol

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Gattaca : le futur imparfait

Il s'établit ensuite à Los Angeles pour y faire des films qui Gattaca. Entre drame science-fiction et polar



Bienvenue à Gattaca

La carrière d'Andrew. Niccol a connu le succès dès ses débuts avec The Truman. Show (qu'il a écrit) et. Bienvenue à Gattaca. Même si ses films.



Bienvenue à Gattaca — Fiche élève

Vincent devra redoubler de vigilance et de ruse pour échapper à la police ? Andrew Niccol le futur en question. Le Néozélandais Andrew Niccol commence sa.



Bienvenue à Gattaca

La carrière d'Andrew. Niccol a connu le succès dès ses débuts avec The Truman. Show (qu'il a écrit) et. Bienvenue à Gattaca. Même si ses films.



6. Fiche citations

Andrew Niccol concernant le nom de la base spatiale Gattaca : • « Guanine adénine



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From Gattaca to Los Angeles LISTENING: COMPREHENSION Part 1 A Underline the transparent words that you hear Then use the words underlined to explain briefly what you have understood in each sentence 1 technology — couples — fortune — manipulate — consequence — nature — favour



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Gattaca Andrew Niccol’s popular 1997 science fiction film explores the role genetic engineering is projected to play in the not-so-distant future within the realm of bioethics The film begins by introducing both sides of the ethical debate through the opening credit “Consider God’s handiwork; who can straighten

When was Gattaca released?

Confidently conceived and brilliantly executed, Gattaca had a somewhat low profile release in 1997, but audiences and critics hailed the film's originality. It's since been recognised as one of the most intelligent science fiction films of the 1990s.

Is Gattaca a good movie?

From Amazon.co.uk. Confidently conceived and brilliantly executed, Gattaca had a somewhat low profile release in 1997, but audiences and critics hailed the film's originality. It's since been recognised as one of the most intelligent science fiction films of the 1990s.

What does La Gata mean in Spanish?

The spanish meaning is “la gata”. However, the use of the article (la) is not necesary. So, you can say “gata” or “mi gata” (my cat). In Spanish is “la gata”, as in most of spanish words, we have the female version changing the “o” at the end of the word with and “a” and changing the article “el” with “la”.

What is the Gattaca method?

This is the method portrayed in GATTACA, though taken to the nth degree, by screening against vast numbers of mutations at once. In the present, the technique is used to diagnose inheritance of usually just one, very specific mutation, where one or both parents are known to be carriers.

6. Fiche citations

I. Onomastique : des noms porteurs de sens- Le nom des personnages principaux : • Vincent Freeman : " le prénom Vincent vient du latin vincere -vaincre. Vincent est celui qui doit lutter pour devenir un homme libre (a free man) »1• Jerome Eugene Morrow : " le prénom Jerome évoque le mot génome (ensemble du matériel génétique des organismes vivants) tandis que le nom Morrow pourrait être une allusion au titre de l'épisode The Long Morrow » ; " Eugene Morrow, parfait produit du génie génétique, porte ses qualités dans son prénom (deuxième prénom). En effet, Eugene, du grec Ευγενιος (eugenios) peut se traduire par "bien né». C'est de là également que vient le terme eugénisme. »• Irene Cassini : " Cassini était le nom d'un grand astronome franco- italien. Au XVIIe siècle, Jean-Dominique Cassini a été le premier à observer une division dans les anneaux de Saturne qui porte son nom, la division Cassini. A la même époque, il a également découvert quatre satellites de Saturne, Japet, Rhéa, Téthys et Dioné. » ; " le nom de Cassini a aussi été donné à une sonde spatiale qui est arrivée aux abords de Saturne en 2004

»• Les détectives : " dans la version originale, les policiers sont justement surnommés les 'hoovers', en référence à la fois à ces aspirateurs (" hoover » en anglais) et au dirigeant mythique de la CIA, J. Edgar Hoover » (G. Shaïmi sur le site courtefocale.com)- Andrew Niccol concernant le nom de la base spatiale Gattaca : • " Guanine, adénine, thymine et cytosine. La société dépeinte dans le film a fait de cette séquence le nom de la ville, un peu comme s'il s'agissait là de son tribut à la génétique. C'est donc le nom de la ville, mais aussi d'une société et, on pourrait dire, d'un état d'esprit. »2 Les interprétations qui suivent concernant les noms des personnages sont en grande partie tirées d'un dossier pédagogique de M. 1Pares, " Gattaca : le futur imparfait », disponible en ligne https://lewebpedagogique.com/hdagourdeliane/files/2015/02/Histoire_des_Arts_Gattaca__2_.pdf Sauf mention contraire, les citations d'A. Niccol sont tirées de " Andrew Niccol - on making GATTACA

» de Douglas Eby disponible sur le 2site Talent Development.Page sur 14BIENVENUE À

GATTACA - ANDREW NICCOL (1997)

2. Citations d'Andrew Niccol. - sur le rôle de la science-fiction : • " La science fiction est le cheval de Troie de la narration. Les gens ne voient pas les idées qui sont dedans tant qu'ils sont divertis. Ils ne se disent pas : 'Cette histoire parle de moi.' Même si c'est le cas. » (A. Niccol commente sa filmographie sur première.fr)• " J'aime la science-fiction qui ne parle pas seulement de technologie et d'informatique, mais qui garde des points de contact avec notre monde. » (Interview d'Olivier Delcroix et Marguerite Tiounine publié le 18/04/2013 sur LeFigaro.fr)- sur le film comme questionnement sur les dérives de la science et la manipulation génétique • " Comment pourrions-nous regarder dans les yeux un parent qui porte le gène de la maladie de Huntington par exemple et lui dire 'Nous ne devrions jamais trafiquer le génome humain.' C'est tout simplement ridicule, parce qu'en ce qui concerne les maladies génétiques, c'est un cadeau du ciel. Le problème réside dans le fait de franchir la ligne entre santé et perfectionnement et alors, où s'arrête-t-on ? Des dents qui ne sont pas bien alignées : est-ce un défaut génétique ? Et qu'en est-il de la calvitie précoce ? Où s'arrête-t-on ? Et chacun délimiterait alors sa propre limite, au fur et à mesure que ces choses deviennent de plus en plus possibles.Et ces possibilités existent véritablement. Je ne date jamais le film pour cette raison spécifique. Aujourd'hui on peut choisir le sexe et on peut éviter de nombreuses maladies génétiques en concevant un enfant dans cette boîte de Petri. Et cette étrange pression sociale qui naîtra quand on optera pour un enfant conçu naturellement, comme avant, sera de plus en plus forte : les gens diront : 'Pourquoi vous infligez cette maladie à votre enfant ?' C'est ainsi qu'une étrange honte sociale se développera. À la fin, il se peut qu'on en arrive à un point où le patrimoine génétique sera tellement réduit que l'espèce en viendra, dans les faits, à s'éteindre. Il se peut que les hommes petits et chauves soient porteurs d'un avantage génétique et qu'on les élimine tous. »• " C'est comme avec les drones de 'Good Kill' : on peut les utiliser sagement ou non. Il y a la même sorte d'ambiguïté intéressante. L'ingénierie génétique peut guérir de terribles maladies, mais à un moment donné, on traverse une ligne quand on dit : 'Je veux que cette personne mesure 1m90 et ait les yeux bleus.' La santé et le perfectionnement sont deux choses différentes, mais ce n'est pas nécessairement une question de bien ou de mal. » (A. Niccol commente sa filmographie sur première.fr)- sur le film comme le récit ancien d'un dépassement de soi et de son destin• " D'une certaine manière c'est une histoire déjà ancienne, qui raconte le triomphe de l'esprit humain. Bien que son esthétique soit moderne, c'est tout de même l'histoire d'un Page sur 24

homme qui déjoue ce qui est prévu. Il se trouve que ce sont des prévisions génétiques. Cette idée m'intéressait autant que la science. »- sur les inventions pour faire un film d'anticipation avec un petit budget :• Niccol se souvient des premières réunions avec Jan Roelfs, le chef décorateur, au cours desquelles ils discutaient des voitures du film : " C'est très difficile d'imaginer la voiture du futur. En particulier quand vous n'avez pas le budget pour le faire. Et au même moment, nous avons tous les deux eu en tête la même voiture : la Studebaker. Une chose étrange s'est passée avec Studebaker au fil des ans : ils avaient ces formes rondes, aux courbes de bulles, puis ils ont confié la conception à Raymond Loewy et pendant deux ans ils ont produit la Avanti, puis ils ont visiblement devenus frileux et sont revenus à l'ancien modèle. Mais c'était-là une voiture qui était tellement en avance sur son temps. »• A. Niccol compare le fait de faire un long métrage à un marathon : " Si je pouvais donner un conseil à quelqu'un, ça serait de faire un entraînement de survie juste avant de s'embarquer dans un truc pareil. En particulier quand vous essayez de créer le futur, parce que chaque objet... les gens viennent et disent : 'Bon, Andrew, c'est quoi le stylo du futur ; c'est quoi l'ampoule du futur ? ' Et quand vous n'avez pas l'argent pour créer ces choses, j'ai juste décidé de tirer beaucoup de choses du passé et du présent dans le futur et d'utiliser des modèles classiques. »• au sujet de son directeur de la photographie, Slawomir Idziak et du travail sur les couleurs : " Il a été un collaborateur majeur pour moi car, comme nous ne pouvions pas reconstruire un monde, nous l'avons en quelque sorte peint : nous avons tourné avec des filtres et ajouté cette teinte jaune sur un grand nombre d'extérieurs afin de leur donner un look " jaunice » ou plutôt un look doré. Mais ça a aussi changé l'aspect de tous les objets contemporains qui erraient devant la caméra. »• concernant le choix de tourner dans un décor naturel, lele Centre municipal du Comté de Marin au nord de San Francisco, il dit " C'est un cas typique où la nécessité fait naître l'invention. » ; " Au départ, nous étions circonscris à Los Angeles, et nous n'arrivions pas à trouver un bâtiment dans la limite des 30 miles qu'ils aiment vous donner, qui pourrait incarner la philosophie de Gattaca. Et en remontant la côte, vous trouvez ce bâtiment qui a quelque chose d'héroïque dans son architecture. Nous l'avons aussi choisi parce qu'il correspond à une période au cours de laquelle les gens avaient foi en l'avenir. Aujourd'hui ça n'existe plus vraiment. Les lignes du bâtiment étaient aussi d'une grande aide, quand nous avons conçu les décors, car nous pouvions y refléter toutes ces lignes : c'est un monde où il ne devrait y avoir aucun recoin où un grain de poussière pourrait se cacher. C'est un univers tellement précis et aseptisé, où on s'imagine que n'importe quel follicule capillaire peut vous trahir. »Page sur 34

3. Bienvenue à Gattaca : quelques pistes d'interprétation...- Esthétique rétro-futuriste, couleurs et décors• " comme l'indique un carton, nous sommes "Dans un avenir pas très lointain". Les voitures ont des carrosseries rétro : une Citroën DS coupé française, une Studebaker Avanti américaine, ainsi que plusieurs Rover P6 britanniques. Seul le bruitage vient rappeler qu'elles sont dorénavant à propulsion électrique. » (Jean-Luc Lacuve, site du Cinéclub de Caen) • " Bienvenue à Gattaca est un film de science-fiction qui n'utilise que fort peu les codes visuels du genre : les trucages, les objets et les décors futuristes, voire extravagants, n'ont pas cours. » (Henri Philibert-Caillat, sur le site libresavoir.org)• " Certaines scènes sont tournées dans des tons froids et métalliques, tandis que d'autres sont filtrées, notamment les flash-back très nostalgiques, qui font penser aux vieilles photos jaunies par le temps. Ces contrastes permettent de mettre en évidence le manque d'humanité qui règne à Gattaca, le manque cruel de chaleur humaine dans cet espace où les candidats de l'élite se livrent une compétition féroce. On y assiste à la dépersonnalisation de l'individu dans la linéarité des décors, dans l'uniformité des costumes et dans les coiffures. Tout est standardisé et normé. » (F. Rodriguez-Nogueira)- Questionnements soulevés par le film • " Dans ce film, le débat est on ne peut plus actuel, puisqu'il consiste à poser la question de notre attitude face à ce choix de l'eugénisme. » (François Rodriguez-Nogueira, La société totalitaire dans le récit d'anticipation dystopique de la première moitié du XXe sicèle, et sa représentation au cinéma.)• " seul compte le corps collectif et idéal façonné par l'intervention génétique. Écho lointain et à venir des conceptions nazies, Bienvenue à Gattaca se présente comme une allégorie des sociétés totalitaires égarant l'homme dans une abstraction théorique et déshumanisée. » (Floriane Lopez, Le simulacre contemporain : corps et identité dans le cinéma de science-fiction)• " Dans un film comme Bienvenue à Gattaca, la fiction réécrit le réel ; indirectement, elle éclaire les bouleversements qui s'esquissent à la fin du XXe siècle et le futur qu'elle image est le reflet anamorphosé de nos peurs et de nos désirs refoulés. » (F. Lopez)• au sujet de la base Gattaca : " En raison du soutien qu'elle apporte au recours à la conception in vitro doublée d'une sélection génétique drastique, elle participe à une discrimination dans le monde du travail et, beaucoup plus largement, au sein de la société. » (Dictionnaire du cinéma fantastique et de science-fiction. Frank Lafond)La science-fiction • " Ce genre artistique ne parle pas du futur mais résonne des problèmes, préoccupations et espoirs de notre époque. La science-fiction matérialise les angoisses contemporaines, les rend visibles, présentes, vivaces. En les projetant dans un avenir possible, la science-fiction apprivoise les bouleversements de la société. » (O. Dyens dans La condition inhumaine. Essai sur l'effroi technologique) Page sur 44

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