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Habiter le temps ou la poétique des ruines?

Habiter le temps ou la poétique des ruines?. Murielle HLADIK??. « L'effet de ses compositions bonnes ou mauvaises



Habiter le temps ou la poétique des ruines?

Habiter le temps ou la poétique des ruines?. Murielle HLADIK??. « L'effet de ses compositions bonnes ou mauvaises



Traduire lacte dhabiter limpossible dans la poésie de Jacques Dupin

Certes la poésie de Dupin va se fonder sur des ruines. La poésie



RÉFLEXIONS SUR LA MATÉRIALITÉ

16 oct. 2019 La rouille : matière créée par le temps la poésie de l'usure ... dévastations que des ruines



Loeuvre poétique de Léopold Sédar Senghor: esthétique de la

9 mars 2015 nombre de points en particulier sur le temps consacré à son élaboration. ... africaine ; en un mot



La figure de la ville fantôme : tension entre permanence et

entre les temps est mise en évidence dans la définition de la ville fantôme de Martin 73 Roland Mortier La poétique des ruines en France.



RUINES ET RUINE DANS LŒUVRE DE VICTOR HUGO

13 Georges Poulet Études sur le temps humain



On néchappe pas aux ruines « cest que lhomme sassied où la

30 déc. 2021 d'établir un lien à la fois rationnel et poétique avec le temps. ... de façon très consciente et concrète à habiter des ruines.



Stéphanie Chanvallon Anthropologie des relations de lHomme à la

magiques mais qui est en train de provoquer la ruine de l'humanité et le désastre écologique. Le temps est venu de guérir les blessures de l'homme coupé de.



Habiter le temps ou la poétique des ruines*

Habiter le temps ou la poétique des ruines? Murielle HLADIK?? « L’effet de ses compositions bonnes ou mauvaises c’est de vous laisser dans une douce mélancolie Nous attachons nos regards sur les débris d’un arc de triomphe d’un portique



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temps Ou : comment « habiter le temps » ? Si la « poéque des ruines » a traversé l’Occident de Diderot à Volney jusqu’aux ruines de la post?modernité qu’en est?il de ce versant noir de la « poéque de l’habiter » au Japon ? Nous voudrions montrer ici tout un pan oublié — une )#$ '$#$01 — de « l’habiter » qui

1

Stéphanie Chanvallon

sN"»rxxê"ir""i"Nixs" 2 3 " Une recherche universitaire qui participe à la réalisation de soi.

Car depuis la rencontre, la voie se dessine.

Merci à Toi, à tous ceux qui m"ont accompagnée.

Merci à la Nature ».

" Notre devoir est d"entretenir en nous cette paix qui nous permet d"être à l"écoute et de garder l"esprit ouvert » et libre », je me permets de rajouter.

Guardini1

1 Cité in " Suivre son chemin », Helen Exley, Exley S.A., Bierges, 2003 (ouvrage non paginé)

4

Remerciements

La connaissance construite au cours de notre recherche n"est que temporaire, elle évoluera encore au fur et à mesure de notre cheminement personnel, et des avancées scientifiques sur les rapports de l"Homme à la Nature, et vice versa. Un travail de thèse commence un jour, presque indéfini, nourri et engendré par des années d"autres expériences, et il ne s"achèvera pas avec ces lignes, parce ce que notre intérêt très grand pour la compréhension des relations de l"Homme à la Nature fait partie de notre quotidien et parce que l"évolution de l"Homme, de la Nature, nous place dans le continuum du questionnement, de l"observation, de l"envie de comprendre, toujours. Nous n"écrirons peut-être pas la suite, nous l"exprimerons autrement, sans doute. Nous avons accepté les règles de l"élaboration de la connaissance scientifique, même si cela passait par des phases difficiles sur le plan intellectuel. Nous avions besoin de l"aide et du soutien de notre Directeur de Recherche pour avoir un cadre, pour nous aider à prendre du recul, tout simplement pour apprendre à construire une connaissance ; labeur difficile mais ô combien enrichissant. Alors un grand merci à vous, Stéphane Héas. Nous avions sans doute un avantage par rapport à nombre de futurs doctorants, c"est que nous n"avions pas d"enjeu professionnel au terme de ce travail. Nous

avons vécu ces presque trois années de recherche conjuguées à notre activité

professionnelle, sans " enjeu », si ce n"est celui que nous nous sommes imposée à nous-mêmes, donc pleinement accepté et vécu, mais avec une obligation de résultat par rapport au Laboratoire qui nous a accueillie. Nous avons pris un

immense plaisir à rencontrer, à lire, à chercher, à écrire. Explorer, découvrir,

comprendre, partager, changer... sont source de grands contentements intellectuels et émotionnels. Ceci s"acquiert et s"inscrit bien en soi. C"est un joli chemin, une rencontre avec soi, une rencontre avec l"Autre. Nous remercions toutes celles et ceux qui ont permis cette recherche, par leurs

expériences, leur vécu, leur intimité parfois dévoilée, partagée. Merci tout

simplement pour la confiance qu"ils nous ont accordée et le don d"eux-mêmes. Nous remiercions les auteurs qui ont contribué à la construction de notre connaissance. Nous remercions les membres du jury qui se sont intéressés à notre travail et ont accepté de nous aider à avancer encore vers d"autres réflexions. Merci à la Nature. Merci à ces Etres de la Mer qui sont venus à notre rencontre, nous apporter une connaissance et une transformation encore difficile à saisir totalement. Et merci à tous ces chemins croisés dont nous ne soupçonnons même pas l"importance. Merci tout simplement à la Vie qui semble si bien faire les choses... 5

SOMMAIRE

Préambule

Introduction

L"HOMME ET LA NATURE, OU COMMENT INTERROGER LE VIVANT Visée de cette étude des relations de l"Homme à la Nature

Sur le plan théorique

De l"engagement " Inside-Outside »

Sur le plan pratique

Définitions

15 15 18 32
66
...L,fè,L,"... L-è," lc"esêt"ns"dc"mcNêts""

CHAPITRE I :

L"Homme dénaturé, la Nature désacralisée

CHAPITRE II :

Une peur ancestrale, multiforme et complexe

CHAPITRE III :

Dominer, gérer, s"approprier, détruire

Incohérence première et questionnements

CHAPITRE IV :

Entre réalité et leurre

Premier élément de la dialectique : l"Homme face à lui-même 69
85
103
117
146
(,).è,f,"... L-è," lc"mcNêts"ég»ês"i"Nixsxs"N"

CHAPITRE I :

Des hommes et des femmes en quête de Nature

Intermède

Retour vers la Nature - Des " remédiations » à la peur 167
224
6

CHAPITRE II :

L"Homme communique et communie avec la Nature

CHAPTIRE III :

L"Homme et l"Autre animal

CHAPITRE IV :

De ces pratiques " empruntées » au chamanisme pour la quête et/ou la reconstruction de soi

Pour conclure à ce jour...

La Nature est mise en boîte, mais la Nature est aussi en nous... 231
275
365
408
-LSè-è,f,"... L-è,"

CHAPITRE I :

Entre le meilleur et le pire, la nature humaine ?

CHAPITRE II :

Penser l"Homme et la Nature autrement

449
468
FIN

D"ETAPE

494

ANNEXES 535

7

PREAMBULE

" Le signe du courage, à notre époque de conformisme, est la capacité de rester fidèle à ses convictions - non pas par entêtement ou par défi (ce qui est un réflexe de défense et non de courage), ni pour avoir raison envers et contre tout, mais simplement parce qu"elles représentent les valeurs auxquelles on croit ». May 2 Notre recherche peut sembler déroutante sous certains aspects, peu orthodoxe, mais notre objectif est qu"elle se justifie sur le fond et dans sa forme, pour que nous exprimions au mieux ce qui au départ n"est qu"expériences personnelles et trajectoire de vie. Nous nous plaçons avec volonté dans une démarche anthropologique particulière tout en étayant notre démonstration sur les travaux d"auteurs comme Bergeron, Marshall, Terrasson, Lestel. L"intitulé de notre thèse : " Anthropologie des relations de l"Homme à la Nature », vient poser un cadre à l"intérieur duquel nous pouvons inscrire notre recherche. En effet, au travers de la population étudiée, par les modalités d"acquisition des données, notre travail se construit dans une perspective de l"anthropologie telle que la présente Kilani : " La démarche anthropologique prend comme objet d"investigation des unités sociales de faible ampleur à partir desquelles elle tente d"élaborer une analyse de portée plus générale, appréhendant d"un certain point

de vue la totalité de la société où ces unités s"insèrent » (1992, 33). Cet auteur

rappelle que désormais " la société moderne est aussi la société de l"anthropologue » (1992, 15). Nous interrogeons des faits qui prennent corps dans notre société, et si donc la sociologie se distingue entre autres de l"anthropologie par son intérêt prioritaire pour la modernité (Kilani, 1992), nous pouvons envisager que notre recherche relève aussi de cette discipline. Nous aurions ainsi pu l"intituler " Socio- anthropologie... », puisqu"à la lumière de la réflexion sur les relations de l"Homme à la Nature, nous interrogeons entre autres des problématiques qui affectent les sociétés contemporaines. Notre projet anthropologique vise une lecture du " local » et du " global » (Kilani, 1992), de l"unité humaine, des " singuliers pluriels » (Bouvier, 1997

3), pour une compréhension plus étendue du

genre humain, et par une approche de différentes composantes : sensorielles, émotionnelles, cognitives, psychiques, spirituelles. Pour Bouvier, la " socio-anthropologie » répond au contexte culturel, au regard critique porté par la sociologie sur ses propres analyses de résultat et sur la façon particulière dont l"anthropologie observe les faits sociaux. Il met entre autres en avant le souci " d"approfondir la connaissance de l"Autre et du Même, du Soi et

2 Cité in " Suivre son chemin », Helen Exley, Exley S.A., Bierges, 2003 (ouvrage non paginé)

3 Pierre Bouvier, " L"objet de la socio-anthropologie : Crise, déstructuration, recomposition,

perdurance », Socio-Anthropologie, N°1, L"objet de la Socio-anthropologie, 1997, [En ligne], mis en

ligne le 15 janvier 2003. Disponible sur : http://socioanthropologie.revues.org.document27.html.

Consulté le 19 février 2009

8

de l"Altérité 4». Or, cette dernière justification est bien le propos même de

l"anthropologue, tel que défini par Kilani (1992). Nous défendons ainsi la position de l"intitulé de notre recherche qui assure et évite, par l"emploi d"une nouvelle terminologie, de " noyer » notre démarche dans les champs disciplinaires déjà bien vastes des Sciences Humaines. Car l"anthropologie, à elle seule, permet de couvrir notre recherche dans toutes ses dimensions : " L"anthropologie se définit désormais comme la science des diversités culturelles et sociales » (Kilani, 1992,

20). Par " Anthropologie des relations de l"Homme à la Nature », nous précisons

le sujet de notre recherche. Selon Eileen Caddy, " le secret pour que quelque chose marche dans notre vie, c"est avant tout de désirer profondément qu"il en soit ainsi ; de croire avec foi que cela peut marcher ; d"en garder en toutes circonstances une conscience claire et de suivre avec attention les étapes successives de cette réussite, sans laisser la moindre place à l"incertitude ou au doute »

2. Ceci vaut pour un instant de vie

comme pour un projet sur plusieurs années, tel que ce travail de recherche et la construction de la connaissance. Le temps n"est qu"échelle de perception, la façon de faire est, elle, un état d"esprit doublé d"un guide. Nous allons, par notre thématique, " grossir » le rang de ces femmes qui, en sciences sociales, écrivent sur la Nature et les animaux, parce que " l"animal est un objet féminin », parce que " les femmes feraient preuve d"une plus grande sensibilité vis-à-vis du vivant et de sa préservation » (Staszak, 2002). Il ne s"agit cependant pas ici de naturaliser davantage cette féminité de l"objet. Cette relation soulignée par Staszak confirme un lien préférentiel étant donné les divisions sociales, professionnelles, etc., de la masculinité et de la féminité, notamment au sein des sociétés occidentales. Nous avons compris que ce projet de recherche, puis notre engagement pour réaliser une Thèse de Doctorat sur les relations de l"Homme à la Nature, n"arrivait pas là par hasard. Dans une conjonction de faits, comme un lien entre un passé finissant et un futur possible, cette recherche a tissé notre reconstruction de " soi ». Nous avions entendu à maintes reprises sur les bancs universitaires, que " faire de l"ethnologie, c"est quelque part se réconcilier avec l"être humain », nous ajouterons aujourd"hui que c"est avant tout se réconcilier avec soi-même, étape inévitable et indispensable pour pouvoir rencontrer l"autre. Et quand nous disons " rencontrer », ce n"est pas pour décrire la situation de deux corps physiques en contact dans un espace et un temps donné, c"est bien réussir l"accueil et l"écoute, être dans le donner et le recevoir, en acceptant tout possible. Et nous emploierons à plusieurs reprises ce mot " tout possible » dans ce travail. La rencontre est à la fois l"inattendu, le déroutant, le surprenant, la confidence,quotesdbs_dbs14.pdfusesText_20
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