AXE HYPOTHALAMO-HYPOPHYSO- OVARIEN M. Toukam
3- Rôle de FSH et de LH sur l'ovaire. 4- Effets des hormones ovariennes sur l'axe hypothalamo-hypophysaire. 5- Rôle de l'hypothalamus sur la sécrétion de la.
La physiologie et la physiopathologie de laxe hypothalamo
27 juin 2018 HPO : Axe Hypothalamo-Hypophyso-Ovarien. ISL : Installation Progressive et Insidieuse. JAK2: Janus kinase 2. Kpb: Communist Party of Belarus.
Physiologie de laxe hypothalamo-hypophyso-ovarien
Physiologie de l'axe hypothalamo-hypophyso-ovarien. PLAN?: Introduction. Organes et hormones impliqués dans l'axe gonadotrope chez la femme.
Diapositive 1
PHYSIOLOGIE. MATURITE DE L'AXE HYPOTHALAMO. HYPOPHYSO GONADIQUE: • Hypothalamus. GnRF. +. • Hypophyse. -. FSH~LH. +. • Ovaires. Stéroides. ? CARACTERES.
Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale
27 nov. 2003 hypothalamo-hypophyso-ovarien ou d'une anomalie anatomique ... La physiologie de l'axe gonadotrope nécessite la présence de.
Les axes gonadotropes Féminin et masculin
intervenir l'axe hypothalamo-hypophysaire. Les follicules ovariens en maturation sont la principale source d'estrogènes.
Contrôle neuroendocrinien de la reproduction chez les mammifères
27 mai 2020 Les neuro- nes à GnRH constituent la clé de voûte de la fonction de reproduction. Cet axe hypothalamo-hypophyso- gonadique se compose d'un ...
Anatomie et physiologie des glandes endocrines
libération de TSH hypophysaire (qui stimule la glande thyroïde) induits par les hormones ovariennes sur l'axe hypothalamo- hypophysaire.
Puberte.pdf
PHYSIOLOGIE DE LA PUBERTÉ. •activation de l'axe hypothalamo- hypophyso-gonadique: • induit et stimule la sécrétion hormonale ovarienne et testiculaire.
ENDOCRINOLOGIE DE LA REPRODUCTION
Rôle physiologique des stéroïdes sexuels Synthèse d'androgène. Granulosa: Aromatisation. Stéroïdogenèse ovarienne ... Axe hypothalamo-hypophysaire.
Physiologie de l'axe hypothalamo-hypophyso-ovarien
Sécrétion par l'hypothalamus de la GnRh (sécrétion pulsatile) Transfert vasculaire de celle hormone de l'hypothalamus & l'hypophyse Action de la GnRh au niveau de l'antéhypophyse d'où la sécrétion de deux hormones : FSH LH Transfert vasculaire de FSH LH et stimulation ovarienne
Images
B Hypophyse:* Sécrétionparl’antéhypophysededeuxhormones* gonadotropes:FSHLH FSHLHagissentsurl’ovaire:stimulationdelacroissance folliculaireet stéroidogénèse** 1)LH:** **glycoprotéinecomposéededeuxsousunités:chaine ?(prochedecelledelaFSH)etunechaine ?(voisinedela ?HCG)* lacombinaisondesdeuxchainesestobligatoirepouravoir
mPuXb m `upûb...
o Q M i `(¨ H x M x m ` Q x M t Q p ` B M B x M t x H T ` x T ` Q t m p i B Q M p ? x x H x b
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h Q p B i x i ? B b p x ` b B Q M qLa reproduction est une fonction indis-
pensable la survie ainsi qu" l"volu- le contrle du complexe hypothalamo- hypophysaire, ainsi que des gonades qui exercent un rtrocontrle sur ce com- plexe. Vers la fin des annes 1970, laÇGonado-tropin Releasing Hormone
brine) est purifie indpendamment par les groupes de Guillemin et Schally et la squence en acides amins de cette hormone dcapeptide est dtermine, travail qui a t rcompens par le prixNobel de Physiologie et Mdecine en
1977. Cette neurohormone, produite par
l"hypothalamus par des neurones sp- cialiss, stimule la production et la lib- ration d"autres hormones, les gonado- trophines, qui elles-mmes rgulent la production des hormones sexuelles par les testicules ou les ovaires. Les neuro- nes GnRH constituent la cl de vote de la fonction de reproduction.Cet axe hypothalamo-hypophyso-
gonadique se compose d"un ensemble de tissus neuronaux et endocriniens qui communiquent et qui fonctionnent comme une entit hautement intgre dans la rgulation de la reproduction.L"organisation de base de cet axe physio-
animal et sous-tend la comptence en e reproduction chez la plupart oiseaux, les reptiles, les amphibiens, les est principalement focalise sur les nisation fonctionnelle de l"axe hypothalamo-hypophyso- gonadique de mammifères taire hypophysaire qui assure le transport de cette neurohormone jusqu"aux cellules gonadotropes de l"adnohypophyse. Chez pas, les neurones GnRH projettent alors on des deux fonctionnement de l"ensem- blede l"axe HHG.2/Le système GnRH2.1/Le neuropeptide GnRH
Aujourd"hui, plus de 25 formes de
GnRH ont t dcrites. Quatorze d"entre
elles sont prsentes chez les vertbrs (pour revues Kah et al 2007, Tostivint2011). Les GnRH de vertbrs se prsen-
tent sous la forme d"un petit peptide de10 acides amins issu du clivage d"un
prcurseur, la prpro-GnRH.GnRH1, GnRH2et GnRH3, ont t mis
INRAProductions Animales, 2016, numro 4
INRA Prod. Anim.,
2016, 29 (4),255-266
M. MIGAUD
1 , H. DARDENTE 1 , M. KELLER 1 , M. BATAILLER 1 , M. MEURISSE 1D. PILLON
1 1 PRC , CNRS, IFCE, INRA, Universit de Tours, 37380, Nouzilly, FranceCourriel: martine.migaud@inra.frContrôle neuroendocrinien de la reproduction chez les mammifères
L"amlioration des techniques de ma"trise de la reproduction, en particulier le contrle del"ovulation sans injection d"hormones, doit assurer la possibilit d"une reproduction programme
un intgrateur majeur des signaux endocriniens et environnementaux qui contrle la maturation folliculaire et l"ovulation, est un pralable indispensable au dveloppement de mthodes robustes.256/ M. MIGAUD, H. DARDENTE, M. KELLER, M. BATAILLER, M. MEURISSE D. PILLON
INRAProductions Animales, 2016, numro 4
ont vraisemblablement volu partir et Fernald 1998, Fernald et White 1999) et chez plusieurs poissons tlostens (le h areng, le mdaka, le bar europen...) ces paralogues sont tous les trois exprims d ans le cerveau : i)la GnRH de type 1 comprend plu- s ieurs formes de GnRH dont la forme (Ç mammalianÈGnRH). Elle est exprime majoritairement dans des neurones du cerveau antrieur qui envoient leurs projections vers l"EM. Cette forme deGnRH joue un rle majeur dans le sys-
ii)la GnRH de type 2 a t identifie chez le poulet, Gallus gallusÇ chickenGnRH -II ou cGnRH-IIÈ. Elle est retrou-
ve chez la majorit des vertbrs, ainsi qu"une forme identifie chez la lam- proie marine. Cette forme de GnRH est exprime par des neurones localiss dans le msencphale rostral. Elle est exprime chez les ttrapodes, la lamproie marine et tous les tlostens ; iii)la GnRH de type 3 ou sGnRH Ç salmon GnRHÈa t identifie chez quelques tlostens. Cette forme est exprime par certains neurones du cer- forme de GnRH participe au contrle hypophysiotrope (Oka 2002).Les effets des diffrentes GnRH sont
spcifiquement moduls par l"interm- diaire de rcepteurs 7 domaines trans- membranaires dont les voies de signali- sation dpendent des protines Gq et/ouG11 pour activer la phospholipase C, ce
qui conduit la mobilisation du calcium par l"inositol phosphate3 (Perrett etMcArdle 2013). C"est par l"intermdiaire
de ces rcepteurs que la GnRH (princi- palement mGnRH et sGnRH) agit sur les cellules gonadotropes hypophysaires et induit la libration des gonadotro- phines.2.2/Ontogenèse des neurones à
GnRH Figure 1.L"axe hypothalamo-hypophyso-gonadique (adapté de Derouiche 2016). La GnRH est synthtise par des neurones dont les corps cellulaires sont localiss dans l"Aire Pr-Optique (APO). Les terminaisons nerveuses de ces neurones GnRH se projettent dans l"minence Mdiane (EM). Les scrtions pulsatiles de GnRH stimulent la scrtion des gonadotrophines, FSHÇFollicle Stimulating
Hormone
Èet LH Ç Luteinising Hormone È. Les gonadotrophines, libres dans la circulation gnrale, stimulent leur tour, la production de stroïdes sexuels. Ces hormones en exercant un rtrocontrle sur l"axe hypothalamo-hypophysaire, rgu- positif pendant la priode pr-ovulatoire en agissant sur les neurones kisspeptine (Kiss) de l"aire Antro-Ventrale Para-Ventriculaire (AVPV), induisant ainsi le pic pr- un rtrocontrle ngatif au niveau de l"EM par l"intermdiaire des neurones Kiss du Noyau Arqu (NA) et sur les cellules gonadotropes adnohypophysaires. Chez lemle les stroïdes sexuels exercent un rtrocontrle ngatif sur l"axe hypothalamo-
hypophysaire.2.3/Neuroanatomie
3/Sécrétion pulsatile de la
GnRH3.1/Caractéristiques de la sécré-
tion pulsatile de la GnRHLes mcanismes molculaires et cellu-laires responsables de la synchronisationde l"activit des neurones GnRH dis-smins dans plusieurs zones de l"hypo-thalamus pour induire des pulses rguliers,restent encore mal connus. Toutefois, ilsemblerait que la signalisation GABAergi-que, le glutamate et la cholcystokinine-1 soient impliqus dans la synchronisa-tion de l"activit pulsatile des neurones GnRH (pour revue Constantin 2011).
3.2/Déclenchement de la puberté
et régulation des cyclesLa pulsatilit de scrtion de la GnRH
intervient aussi dans le processus deINRAProductions Animales, 2016, numro 4
BO NVN PN OVN Figure 2.Migration des neurones à GnRH dans la tête d"un embryon de souris (Adapté de Cariboni et al2007). Reprsentation schmatique dans une coupe de cerveau d"embryon du parcours migratoire des neurones GnRH (points gris) depuis leur origine dans la Placode Nasale (PN) dans la rgion de l"Organe VomroNasal (OVN), leur trajet le long des nerfs olfactifs vomronasaux (NVN), leur entre dans le cerveau au voisinage du bulbe olfactif (BO) et leur migration finale travers le cerveau antrieur basal vers l"hypothalamus. Leur trajet parcoure trois environnements anatomiquement et chimiquement distincts : 1) le compartiment nasal, 2) la jonction nasale /prosenc- phale et 3) le cerveau antrieur basal. dclenchement de la pubert et de la rgulation cyclique (Karsch et Evans1996) et saisonne (Karsch et al 1988)
de la fonction de reproduction (Knobil1990). La pubert correspond la pro-
ques et hormonaux qui engendrent des changements morphologiques, biologi- ques et comportementaux pour aboutir l"activation de la fonction de reproduc- tion. L"axe gonadotrope, activ pendant la priode prinatale, entre en quiescen- ce durant toute la priode de la vie juv- nile. Ë partir de la pubert cet axe est ractiv, ce qui se traduit par l"augmen- tation de la frquence et de l"amplitude des pulses de GnRH conduisant la scrtion de FSH et de LH puis l"ovu- lation ou la production de spermato- zoïdes. L"augmentation de la scrtion de GnRH est rgule par des facteurs hypothalamiques (neuromdiateurs exci- tateurs, inhibiteurs et neuropeptides), priphriques (taux de leptine, ghrline,stroïdes, insuline...) et environnemen- taux(alternance jour/ nuit, stress, prise alimentaire, perturbateurs endocriniens).En plus des facteurs mtaboliques et
environnementaux, le fonctionnement des neurones GnRH est aussi rgul par des facteurs gntiques. En effet, des muta- veloppement du bulbe olfactif (KAL1ouFGFR1) affectent galement la pubert.
Des neurotransmetteurs comme le
glutamate et le GABA contrlent l"acti- vit des neurones GnRH en exerant des actions antagonistes. Une des hypo- responsables du dclenchement de la pubert repose sur la leve d"inhibition des neurones GnRH par les neuronesGABAergiques hypothalamiques suivie
d"une action stimulatrice du glutamate sur la pulsatilit des neurones GnRH conduisant l"augmentation de la fr-quence des pulses de GnRH (Bourgui- gnon et al1997).Des facteurs de croissance parmi les-
quels le TGFα Ç Transforming GrowthFactor α È, Ojeda et al2008) ou bien la
prostaglandine E2 (Clasadonte et al2011), qui sont produits par les astrocytes ou les tanycytes, des cellules astrogliales loca- lises dans l"hypothalamus et pour cer- taines en contact troits avec les neuro- nes GnRH, modifient le microenviron- nement de ces neurones et ont une action sur la scrtion de GnRH. et son rcepteur le Kiss1R(GPR54) jouent galement un rle important dans le dclenchement de la pubert. En effet, de la naissance jusqu" la priode pr- pubertaire la kisspeptine est indtectable puis, stimule par l"estradiol, la produc- tion augmente jusqu" aboutir l"induc- tion de l"activation des neurones GnRHINRAProductions Animales, 2016, numro 4
258/ M. MIGAUD, H. DARDENTE, M. KELLER, M. BATAILLER, M. MEURISSE D. PILLON
Encadré1.Les techniques d"immunohistochimie.
un traceur (figure 1A), il est possible de visualiser l"immunomarquage en microscopie optique (figure 1B) ou lectronique.
Une prparation rigoureuse du tissu biologique est essentielle et repose sur 3 tapes au pralable l"immunomarquage :
un tat aussi proche que possible de leur tat natif. Le fixateur couramment utilis est le paraformaldhyde ;
2) l"imprgnation par un milieu d"inclusion (paraffine, rsine) ou conglation pour durcir le tissu ;
3 ) la ralisation des coupes histologiques (vibratome, microtome, cryostat, ultramicrotome...). L es principales tapes d"une raction immunohistochimique sont les suivantes : a) permabilisation des membranes (saponine, Triton...) ; - b) saturation des sites non spcifiques (glatine, BSA, srum...) ; - c)incubation dans l"anticorps primaire (Ac I) ;- e)incubation dans l"anticorps secondaire (AcII) coupl une molcule fluorescente, un traceur enzymatique (peroxydase,
phosphatase alcaline) ou l"or colloïdal.De nombreux fluorochromes sont disponibles sur le march. Ils ont l"avantage de pouvoir tre combins entre eux (longueurs
d"ondes d"mission ou d"excitation diffrentes) pour raliser des immunomarquages multiples (figure1 A et B).
Figure 1.Principe de l"immunohistochimie.
(A)Schma de l"immunomarquage multiple en fluorescence illustr en B.Plateau d"Imagerie Cellulaire, PRC) :fibres de cellules gliales nestine (vert) ; corps cellulaires de neurones immatures
double cortine (DCX ; magenta) ; noyaux de cellules souche Sox2 (blanc) ; noyaux cellulaires colors en Hoechst (bleu).
BA et par voie de consquence, de l"axe HHG.4/Le réseau de neurones à
GnRH4.1/Les neurones kisspeptidergiques
INRAProductions Animales, 2016, numro 4
Encadré2.Le comportement sexuel.
seulement de rgulations physiologiques prcises, mais galement de la syn- c hronisation des ces mcanismes avec des interactions comportementales adap- tes entre les individus de sexe oppos. Ainsi, ces comportements sont hautement synchroniss avec les rgulations physiologiques provenant de l"axe hypothalamo- voies gnitales femelles. Chez les vertbrs suprieurs, le mle produit un grand nombre de spermatozoïdes tout au long de son existence. Ë l"inverse, la femelle ne produit qu"un nombre assez limit d"ovocytes. En conditions naturelles, tant donn le cot investi par la femelle dans la reproduction (gestation, investissement dans l"levage des jeunes...), celle-ci a donc intrt choisir de s"accoupler avec un mle prsentant les meilleures qualits. Cependant, ce choix du partenaire sexuel est videmment b iais sous l"effet de la domestication o c"est l"leveur qui dcide du moment de des processus de slection en levage. Sur le plan comportemental, l"expression des comportements sexuels est haute- ment synchronise avec le moment de l"ovulation ; ainsi, la femelle est rceptive aux avances du mle dans une courte fentre temporelle situe autour de l"ovula- tion au cours de laquelle, elle va rechercher la proximit du mle. En fonction des les individus mettent gnralement un certain nombre de signaux sexuels (odeur, vocalisations, coloration de certaines parties du corps...) afin d"attirer un partenaire sexuel. Une fois les deux partenaires runis, le mle ralise gnrale- ment une parade sexuelle laquelle la femelle rpond en adoptant une posture spcifique. Ces comportements, qui traduisent la motivation des deux partenaires, sont qualifis de comportement apptitifs. Ë ces comportements fait gnrale- ment suite un comportement actif d"acceptation du mle par la femelle, permettant ce dernier d"exprimer une squence assez strotype comprenant montes, intromissions et menant l"jaculation. L"organisation de cette squence comportementale est sous la dpendance de divers acteurs neuroendocriniens. Parmi ceux-ci la dynamique de scrtion des chez le mle), hormones produites au niveau gonadique (ovaire et testicule), et leurs actions au niveau crbral, notamment au niveau hypothalamique, jouent un rle majeur dans le dclenchement des comportements sexuels. Ë ct des facteurs physiologiques, les stimulations sociales sont galement Ainsi, la connaissance des mcanismes comportementaux lis la reproduction chez les petits ruminants (ovins, caprins) o l"volution naturelle de la photopriode induit une saison d"anoestrus (repos sexuel) au printemps, l"introduction d"un mle sexuellement actif induit l"ovulation chez une proportion importante des femelles. Cet effet est appel Ç effet mle È et est utilis afin d"obtenir des nais- sances en contre-saison, c"est--dire l"automne. Dans ce cadre, le niveau d"activit sexuelle du mle est un facteur cl pour induire l"ovulation des femelles. par un traitement photopriodique adapt, permettent d"induire une rponse ovu- latoire chez la plupart des femelles. Acontrario, l"introduction de mles restant exposs la photopriode naturelle et donc normalement peu actifs cette saison, n"induit pas de rponse ovulatoire chez les femelles. L"intrt de cette mthode est qu"elle permet de se passer des traitements hormonaux normalement ncessaires pour obtenir des naissances cette priode sanitaires, environnementaux ou de bien-tre animal, l"effet mle est actuellement la seule mthode actuellement autorise en levage biologique o l"utilisation desINRAProductions Animales, 2016, numro 4
260/ M. MIGAUD, H. DARDENTE, M. KELLER, M. BATAILLER, M. MEURISSE D. PILLON
4.2/Les stéroÔdes sexuels
4.3/Rétrocontrôles des stéroÔdes
sexuels a)Contrle neuroendocrine des cycles ovariens b)Les rcepteurs aux stroïdes sexuelsChez les mles comme chez lesfemelles, la libration de GnRH et desgonadotropines est contrle par les st-roïdes sexuels par l"intermdiaire dertrocontrles positifs ou ngatifs surl"hypothalamus vialeurs rcepteursspcifiques (Scott et al 2000).
c)Les rtrocontrles stroïdiens5/Facteurs endogènes et exo-
gènes influençant l"activité des neurones à GnRH5.1/La photopériode chez les
animaux saisonnésSous les latitudes tempres, les ani-
maux sont soumis des changements saisonniers de leur environnement comme des variations du climat et de la disponibilit des ressources alimentai- res. Diffrentes stratgies existent pourquotesdbs_dbs23.pdfusesText_29[PDF] Facteurs de croissance GH et IGF : physiologie de cet axe
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