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7 déc. 2021 ... je ne sais pas quoi faire. J'ai envie de finir mes études d'assistante sociale. J'ai 25 ans je ne peux pas rester toute ma vie à faire ...
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solitaire toute ma vie. » « Parce que je ne me sens pas bien durant la rencontre Je n'ai pas ce qu'il faut pour me faire des amis. » 3 LE FILTRE.
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Le chantier MP2 a une limite minimale d'âge fixée à 25 ans ce qui “On fait une pause parce qu'on ne sait pas quoi faire. ... vont changer ta vie.”.
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ÉPUISÉE À BOUT
14 juin 2016 Je suis épuisée je ne sais plus quoi faire à part pleurer du matin au soir mon conjoint est alcoolique je ne sais pas si on peut dire ça.
LA COMPLAINTE DUNE FEMME DALCOOLIQUE
23 sept. 2022 Je ne sais pas non plus …. Mais il suffit de partir de reprendre ta vie en main !! – oui en effet mais… plus facile à dire qu'à faire !
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Je ne sais pas. 18. Dirigeants. Jeunes 18-25 ans. 23. 69. 48. 10. 21. 3. 8. Sources : Bpifrance Le Lab enquête Dessiner la société de demain : aspirations.
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« Mes parents s'occupent beaucoup des autres et pas assez d'eux. Moi je préfère m'occuper de moi et de ma famille. Pour moi ils se détruisent ils ne font pas
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14 sept 2014 · Je ne sais plus comment faire je bois depuis l'age de 17 ans et j'en ai aujourd'hui 38 ans et rien n'y fait J'ai fait une cure en début
Comment faire quand on ne sait pas quoi faire de sa vie ?
Si vous ne savez pas ce que vous voulez, il est très probable que votre inconscient le sache parfaitement . Par conséquent, apprendre à développer son intuition est une autre piste à explorer pour vous aider à faire des choix de vie épanouissants.Pourquoi je ne sais pas ce que je veux faire ?
Prendre sa vie en main commence par adopter une attitude positive orientée vers l'action d'une part et vers l'acceptation d'autre part. En effet, travaillons sur nous afin de changer ce qui ne nous convient pas et qui est en notre pouvoir, et acceptons ce sur quoi nous ne pouvons agir.Comment se reprendre en main psychologiquement ?
Pour avoir une idée de ce que vous voulez faire, vous devez d'abord avoir un point de référence, quelque part où commencer. Ce point de référence est basé sur vos expériences passées. Donc si vous n'avez pas accumulé assez d'expériences, alors vous n'obtiendrez pas le résultat que vous escomptiez.
Autour d·Oradour-sur-Glane
Consigne : A partir de la visite d·2UMGRXU LPMJLQH] OH UpŃLP G·un survivant, avant, pendant et après le drame.Récit 1 :
9 juin 1944
$XÓRXUG·OXL HVP XQ ÓRXU PRXP j IMLP NMQMO XQ ÓRXU ŃRPPH OHV MXPUHV un jour comme je les vis depuis 25 ans. Mon mari, Henri, part très tôt le matin, il travaille à Limoges ŃH Q·HVP SMV PUqV ORLQ PMLV OHV trains ne sont pas très rapides dans notre région. Je dois donc P·RŃŃXSHU VHXOH GH PRQ ILOV -HMQ TXL M NLHQP{P 18 PRLVB HO VMLP PMUŃOHU GHSXLV SHXB GRQŃ ÓH SHX[ O·HPPHQHU GMQV QRPUH YLOOMJH Oradour, sans avoir à le poUPHUB +HQUL Q·HVP ÓMPMLV ŃOH] QRXV OM journée, mais cela ne me dérange plus car il a dû passer deux ans en Allemagne, à travailler à cause du Service du Travail Obligatoire. Je me sens chanceuse, maintenant, de pouvoir quand même le voir durant mes soirées ŃH TXL Q·pPMLP SMV SRVVLNOH MYMQPB Ce matin, je suis allée au village avec mon fils, nous avons acheté de la nourriture pour le déjeuner mais également pour le dîner, Henri aime beaucoup manger de bons repas en rentrant du travail. Ensuite, nous sommes MOOpV SULHU j O·pJOLVH Ń·HVP LPSRUPMQP SRXU PRL surtout en temps de guerre comme en ce moment. Dans le village, PRXP HVP ŃMOPH LO Q·\ M SMV pQRUPpPHQP G·OMNLPMQPV PRXP OH PRQGH VH ŃRQQMvP HP V·HQPHQG NLHQ Ń·HVP MJUpMNOH GH VMYRLU TXH SHUVRQQH ne peut VH IMLUH GH PMO LŃLB -·ML GpÓHXQp MYHŃ -HMQ ; puis, pendant TX·LO IMLVMLP OM VLHVPH ÓH PH VXLV RŃŃXSpH GH QRPUH PMLVRQ SRXU TXH tout soit propre lorsque Henri sera de retour. Cet après-midi, Jean est chez sa grand-mère, et moi je suis retournée au village pour voir mes amies, Charlotte et Michelle, nous nous voyons régulièrement et nous aimons beaucoup passer du temps ensemble. Cela me fait du bien de penser à autre chose TX·j PM PMLVRQ PRQ ILOV PRQ PMUL RX PrPH MX GpNMUTXHPHQP des Alliés en Normandie (+HQUL P·M H[SOLTXp TX·LOV YHQMLHQP OLNpUHU OM )UMQŃH GHV 1M]LV PMLV LO QH YHXP SMV P·HQ GLUH SOXV malheureusement). Je rentre chez nous aux alentours de huit heures du soir et Henri est rentré avant moi, cela me fait plaisir de OH YRLU V·RŃŃXSHU GH QRPUH enfant. Nous dînons (poulet et haricots verts, Henri en raffole), nous couchons Jean et nous nous racontons notre journée, lui parle de son travail et moi, de mon après-midi avec mes amies.11 juin 1944
$XÓRXUG·OXL HVP O·XQ GHV SLUHV ÓRXUV GH PM YLH MSUqV ŃHOXL G·OLHUB -H VXLV MŃPXHOOHPHQP ŃOH] OM PqUH G·+HQUL GMQV XQ YLOOMJH SURŃOH G·2UMGRXUB -H QH VXLV SOXV ŃOH] PRLB HI6 RQP PRXP NUOpBBB HI6 RQP massacré tout le monde... Les Allemands, les nazis, les SS ont TOUT UMYMJpB 1RPUH YLOOMJH Q·HQ HVP SOXV XQB Ils ont osé venir et massacré PRXPHV OHV SHUVRQQHV TX·LOV ŃURLVMLHQP PRXPHV ŃHOOHV TXL pPMLHQP GMQV le village. +LHU MX[ MOHQPRXUV GH PURLV OHXUHV GH O·MSUqV-midi, les SS ont fait irruption dans les rues du village, ils ont fait sortir tout le monde et nous ont rassemblés sur la place principale. Ils hurlaient des RUGUHV HQ $OOHPMQG Ó·MYMLV OM © chance » de comprendre quelques PRPV G·MOOHPMQG HP GRQŃ Ó·ML SX PUMGXLUH SRXU OHV SHUVRQQHV autour de moi. Personne ne comprenait ce qui se passait ; nous pensions à un appel pour savoir combien nous étions, mais nous avons vite compris que non. Ils ont demandé au maire de faire une VpOHŃPLRQ GH SHUVRQQHV TX·LOV MOOMLHQP PMVVMŃUHUB 1RPUH ŃRXUMJHX[ PMLUH V·HVP VMŃULILp MLQVL TXH VM IMPLOOH PMLV ŃH Q·pPMLP SMV assez SRXU HX[B +HQUL Q·pPMLP SMV Oj HP ÓH VXSSRVH TX·LO QH VMYMLP ŃH TXL VH passait LO QH SRXYMLP SMV PH UMVVXUHU QL P·MLGHU j MOOHU PLHX[B -·pPMLV SpPULILpHB -·MYMLV PRQ ILOV GMQV OHV NUMV PMLV ÓH QH VMYMLV SMV quoi en faire. Le garder avec moi, le cacher " ÓH O·ML JMUGp ŃMU Ó·MYMLV NHVRLQ GH VM SUpVHQŃHB FOMUORPPH P·M ŃULp GHVVXV : " Marie, dépêche-toi, on doit les suivre, ils te tueront ici, sinon !». Je les ai VXLYLV RQ PMUŃOMLP HQ GLUHŃPLRQ GH O·pJOLVHB 1RXV Q·pPLRQV TXH GHV femmes et des enfants. Les hommes, eux, avaient été répartis en plusieurs groupes et avaient été emmenés autre part, nous ne VMYLRQV SMV RZB HOV QRXV RQP HQIHUPpV GMQV O·pJOLVH ŃHPPH pJOLVH TXH je pensais être un endroit de paix, que je connaissais depuis ma naissance, cellH RZ Ó·MYMLV pPp NMSPLVpHB 1RXV MYRQV ŃRPPHQŃp j sentir cette chaleur, une chaleur atroce, et cette odeur âcre de fumée, je me la rappellerai toute ma vie. Puis, nous avons entendu un bruit sourd, le bruit de la cloche qui tombait, le bruit qui nous faisaiP SHQVHU TXH QRXV Q·MYLRQV MXŃXQH ŃOMQŃHB 7RXP OH PRQGH VH NRXVŃXOMLP RQ P·M MUUMŃOp PRQ ILOV GHV NUMV ŃH IXP OM GHUQLqUH IRLV TXH Ó·ML SX OH PRXŃOHUB -·MYMLV SHUGX PRXPH QRPLRQ GX PHPSV ÓH PH repérais grâce à la nuit qui tombait, il devait être dix-neuf heures. -·ML UHSpUp OHV YLPUMX[B -·ML UpXVVL j JULPSHU MX PXU j NULVHU OH YHUUHB -H VXLV PRPNpH PMLV Ó·pPMLV OLNUHB -·ML SOHXUp SOHXUp PRXPH OM QXLPB -H P·MUUrPMLV HP IMLVMLV VHPNOMQP G·rPUH PRUPH TXMQG OHV 66 SMVVMLHQP puis je reprenais ma route, quMQG LOV V·pORLJQMLHQPB 7RXP OH YLOOMJHétait en feu.
FH PMPLQ ÓH VXLV MOOpH j SLHGV ŃOH] IXŃLHQQH OM PqUH G·+HQUL RZ Ó·ML UHPURXYp PRQ PMULB F·HVP j ŃH PRPHQP-Oj TXH Ó·ML UpMOLVpBBB -·ML SHUGX PRQ ILOV Ó·ML SHUGX PHV MPLHV Ó·ML SHUGX PHV SMUHQPV Ó·ai perdu mon village.11 juillet 1944
$XÓRXUG·OXL ŃHOM IMLP XQ PRLV TXH OH PMVVMŃUH V·HVP SMVVpB IM douleur est toujours là. Je suis toujours chez ma belle-mère. Nous YLYRQV ŃOH] HOOH MYHŃ +HQULB HO PUMYMLOOH HP ÓH P·RŃŃXSH GH OM PMLVRQ avec Lucienne. Je Q·MUULYH SOXV j VRXULUH HQŃRUH PRLQV j ULUHB IM SHLQH HVP PURS SURIRQGHB -·ML SHUGX PRQ ILOV Ó·ML PRXP SHUGX ! Ma vie ne sera plus jamais la-PrPHB -H Q·ML SOXV ULHQ GH OXL QL PrPH XQH SORPRB -·ML MXVVL SHUGX PHV MPLHV PM IMPLOOHB -·ML PRXP SHUGX LO Qe PH UHVPH SOXV TX·XQ PMUL HP XQH NHOOH-mère. Je suis sortie de ma chambre, de mon lit, il y a seulement une semaine. Je pleure NHMXŃRXS PRLQV ŃMU ŃHOM Q·MUUMQJHUM ULHQ ŃHOM QH OHV IHUM SMV UHYHQLUB (Q UHYMQŃOH ÓH QH SMUOH SMV NHMXŃRXS ÓH Q·\ MUULYH SMV.0MOJUp OH IMLP TX·+HQUL PUMYMLOOH LO M pPp G·XQH JUMQGH MLGHB HO M
également été dévasté par cette nouvelle. Nous nous sommes beaucoup réconfortés, même si cette douleur sera gravée en moi à jamais.1RXV GHYRQV \ UHPRXUQHU MXÓRXUG·OXLB $OOHU YRLU O·pPMP du village.
$OOHU YRLU ŃH TX·LO HQ UHVPHB -H VXLV PHUULILpH j O·LGpH G·\ MOOHUB (VP-ce que je vais réussir à y aller ? Je ne sais pas. Mais je sais que je dois le faire. Pour mon fils. Maintenant, je dois sortir de chez moi, je dois vivre. Je dois vivre pRXU OXL SRXU TX·LO VRLP ILHU GH PRLB -H GRLV VRUPLU UHSUHQGUH PM YLH HQ PMLQB HO IMXP TXH ÓH OH UHQGH ILHUB HO Q·MXUM SMV eu le temps de vivre sa vie, alors je dois le faire pour lui.1RXV YHQRQV GH UHQPUHU GX YLOOMJHB HO Q·HQ UHVPH SOXV ULHQB 6HXOHPHQP
des ruines. Ils ont fait le compte des victimes. Plus de six ŃHQPVB -·\ ML YX OH QRP GH -HMQ FOMUORPPH 0LŃOHOOH HP GH PHV SMUHQPVB -·ML HVVM\p GH PH UHPHQLU GH SOHXUHU PMLV HQ YMLQBBB IXŃLHQQH P·M PHQXH par les épaules HOOH MXVVL P·M NHMXŃRXS MLGpH HP G·MLOOHXUV Ń·HVP HOOH TXL P·M IMLP ŃRPSUHQGUH TXH ÓH GHYMLV YLYUH SRXU -HMQB (OOH P·M IMLP ŃRPSUHQGUH TX·LO PH UHVPMLP PRQ PMUL HP TXH ÓH Q·MYMLV SMV PRXP SHUGX TXH ÓH SRXUUML P·HQ VRUPLUB -·ML SOHXUp SHQGMQP XQ PRLV PMLQPHQMQP LO IMXP TXH P·HQ VRUPH et que je reprenne ma vie en main. $ORUV ÓH O·ML MLGpH j SUpSMUHU OH GvQHU QRXV MYRQV SUpSMUp GX SRXOHP et des haricots verts pour Henri. Nous avons beaucoup discuté à PMNOH Ń·pPMLP OH PHLOOHXU UHSMV TXH Ó·ML SMVVp GHSXLV OH 11 ÓXLQB -·ML réussi à parlHU VMQV \ SHQVHUB -·ML PrPH UpXVVL j VRXULUH ŃHOM P·M IMLP GX NLHQB 0MLQPHQMQP LO HVP PHPSV GH P·HQ VRUPLU HP GH recommencer à vivre.Ilona MONTURON,
3ème 2
Récit 2 :
Vendredi 9 juin 1944
$XÓRXUGOXL ÓH VXLV U˔YHLOO˔H PU˙V P˭P SMU PRQ PMUL +XNHUP PRXUQMQP et virant dans le lit. Il est très anxieux des événements de ces derniers jours. En effet, nous avons appris que la Gestapo avait arrêté des villageois dans une commune voisine il y a une dizaine de jours. Une heure après, je réveille les enfants, Marie, Yvan et André. Ce dernier, du haut de ses trois ans et demi, VH O˙YH VMQV VRXŃL HP VOMNLOOe prestement, tandis que Yvan, son frère aîné, a bien du mal à sortir de VRQ OLP ŃH PMPLQB HO PMUULYH VRXYHQP GH UHPRQPHU GMQV OHXU ŃOMPNUH SRXU OXL UMSSHOHU OOHXUHB +MNLPXHOOHPHQP 0MULH M PRXÓRXUV OH VRXULUH G˙V TXHOOH RXYUH XQ LO PMLV MXÓRXUGOXL ŃH QHVP SMV OH ŃMVB (OOH GRLP V˼UHPHQP VHQPLU ŃH P˔OMQJH GLQTXL˔PXGH HP GH[ŃLPMPLRQ ŃOH] VRQ S˙UH et elle se doute que quelque chose se prépare. A sept heures et demi, tout le monde est prêt.6XU OH ŃOHPLQ GH O˔ŃROH ˋ PM JUMQGH VXUSULVH QRXV MYRQV encore
ŃURLV˔ XQH PURXSH G$OOHPMQGVB FHX[-ŃL QRQP ÓMPMLV ˔P˔ PU˙V SU˔VHQPV dans le village, mis à part ces derniers jours. Ils nous dévisagent, de OMXP HQ NMV GH OHXU UHJMUG GXQ NOHX JOMŃLMOB $UULY˔V ˋ O˔ŃROH 0MULH HP KYMQ PHPNUMVVHQP HP V˔ORLJQHQt. Nous poursuivons notre chemin MYHŃ $QGU˔ ÓXVTXˋ VRQ ˔ŃROHB FRPPH ˋ VRQ OMNLPXGH LO PH ŃˉOLQH HPILOH ÓRXHU MYHŃ VHV ŃRSMLQVB FHVP MORUV TXH ÓML ŃURLV˔ OM P˙UH GXQ
ŃMPMUMGH G$QGU˔ TXL PM MSSULV TXH GHV UXPHXUV ŃLUŃXOHQP VXU XQ certain débarquement des Américains en Normandie, il y a environ trois jours. Elle a ajouté que, selon certaines personnes, les Allemands vont certainement remonter vers le Nord pour repousser les Alliés. GH UHPRXU ˋ OM PMLVRQ ÓH PMPPMTXH MX P˔QMJH ; cela me prend deux bonnes heures. Bien que la maison ne soit pas immense, les piles de linge et la poussière exigent beaucoup de mon temps. Ensuite, je PMŃŃRUGH XQH SMXVH GXQH GHPL-OHXUH MXPRXU GXQ OLYUH HP GXQ ŃMI˔B Le ciel est nuageux, le soleil se cache derrière de nombreux nuages, OHV RLVHMX[ QH ŃOMQPHQP SOXV OHV MUNUHV VMJLPHQP HP OH ÓMUGLQ QHVP SMV très fleuri, comparé aux printemps passés. Ces moments si rares de ŃMOPH HP GH GRXŃHXU PMSMLVHQP HP PH UHSRVHQP NHMXŃRXS HQ PHPSV QRUPMO PMLV HQ ŃH PRPHQP ŃH QHVP SOXs le cas. Je suis très préoccupée, LQTXL˙PH PMLV ÓML OHVSRLU TXRQ QRXV OLN˙UHB (Q HIIHP GHSXLV SOXVLHXUV jours, les nazis traquent chacun de nos faits et gestes, ils nous surveillent bien plus que de coutume. De plus, ils semblent stressés, énervés à ŃURLUH TXH TXHOTXH ŃORVH VH SU˔SMUH HP TXLOV QRQP SMV OH GURLP GH VH UMPHUB 3XLV HVP YHQXH OOHXUH GH SU˔SMUHU ˋ PMQJHUB FH PLGL XQH VRXSH GH SMPMPHV QRXV M PLV GX NMXPH MX ŃXU ŃMU ŃHV GHUQLHUV temps, il est difficile de trouver de la nourriture. A midi pile, le couvert était mis et Hubert et les enfants sont rentrés de leur matinée G˔ŃROH HP GH PUMYMLOB IH YRLOˋ PRXP VMOH ŃRPPH ŃOMTXH PLGL HP ŃOMTXH soir, passer des heures sans fin à réparer des voitures pour nous nourrir doit être éprouvant... A treize heures, les voilà déjà repartis et me voilà GH QRXYHMX VHXOHB+HXUHXVHPHQP TXH 0MGMPH 5$9(I OM YRLVLQH GHQ IMŃH GRLP SMVVHU SRXU IMLUH GH OM ŃRXPXUH MYHŃ PRLB FHVP OXQH GH PHV passions favorites avec la lecture, à vrai dire cela me change les idées. Lorsque ma grand-mère me gardait autrefois, elle passait ses après- midis à recoudre les nombreux pantalons que mon grand-père usait au jardin ou dans le garage en bricolant, il adorait ça, tout comme PRL OMLGHUB 0M JUMQG-P˙UH PM GRQŃ MSSULV ˋ ŃRXGUH HP PM HQVHLJQ˔ tout son savoir-IMLUH TXMQG ÓML HX GRX]H MQVB 0MGMPH 5MYHO HP PRL SMVVRQV OMSU˙V-PLGL ˋ ŃRXGUH HP ˋ GLVŃXPHU MXPRXU GXQ PO˔ HP GH SHPLPV JˉPHMX[ TXHOOH ŃRQIHŃPLRQQHB $ YUML GLUH ÓH QH VXLV SMV XQH NRQQH ŃXLVLQL˙UH MX ŃRQPUMLUH GHOOHB Cet après-midi, notre principal sujet GH GLVŃXVVLRQ M ˔P˔ OM SU˔VHQŃH GH OM PURXSH G$OOHPMQGV NLHQ V˼UB $ TXMPUH OHXUHV HP GHPL ÓH SMUV ŃOHUŃOHU OHV HQIMQPV ˋ O˔ŃROHB (Q UHQPUMQP LOV SUHQQHQP XQ O˔JHU JR˼PHUB (QVXLPH RQ VMPPMTXH ˋ OM PˉŃOH la plus éprouvante : LES DEVOIRS ! Pour Marie et Yvan, les devoirs sont compliqués. En effet, Yvan traine et met du temps à se mettre en place, tandis que Marie a des difficultés. Pour André, bien que la maîtresse ne lui donne pas de devoirs, nous lui en donnons avec son S˙UH ŃMU VLQRQ LO SMVVH VRQ PHPSV ˋ VH PRTXHU GH VM VXU HP GH VRQ IU˙UHB 8QH IRLV ILQL ŃHVP PRXP OH PRQGH GHORUVB IHV HQIMQPV MGRUHQP ÓRXHU GMQV OH ÓMUGLQ QRXUULU OHV SRXOHV VH URXOHU GMQV OOHUNH IMLUH GH OM VRXSH MYHŃ PRXP ŃH TXLOV PURXYHQP GMQV OM ŃRXUB IHV YRLU VMPXVHU MLQVL ŃHOM PH IMLP PHOOHPHQP GH NLHQ HP PH GRQQH HQŃRUH SOXV GHVSRLU HQ OMYHQLU A FH IXP XQ ŃRXUP PRPHQP GH U˔SLP TXL PM SHUPLV GRXNOLHU les circonstances. Après la toilette, nous avons mangé un bon bouillon et les enfants sont partis au lit. Après les avoir bordés, je range la cuisine, je débarrasse la table et lave la vaisselle. Je monte rejoindre mon mari. Avant de GRUPLU LO PMSSUHQG TXXQ GH VHV ŃROO˙JXHV MXUMLP HQPHQGX GLUH TXH les maquis de la compagnie Francs-tireurs et partisans installés dans les bois des communes voisines à Le Four (à Cieux, au nord) à environ huit kilomètres d' Oradour ont mis le feu à un pont où des officiers MOOHPMQGV VH PURXYMLHQPB FHVP MORUV TXH ÓH G˔ŃLGH GH OXL IMLUH SMUP GH ce quH PRL ÓML MSSULV ÓML NLHQ MSHU˒X GHV VROGMPV MOOHPMQGV TXL préparaient leurs affaires et qui les rangeaient dans leur paquetage. HOV MYMLHQP OMLU NLHQ SUHVV˔VB +XNHUP PH UMVVXUH HQ PH GLVMQP TXLOV allaient sans doute nous laisser tranquilles à présent, tant ils ont hâte GH SMUPLUB IHVSRLU PH JMJQH ˋ QRXYHMXB (P VL OHV QM]LV MOOMLHQP HQILQ QRXV UHQGUH QRPUH OLNHUP˔ MSU˙V ŃLQT MQV GRŃŃXSMPLRQBBB 1˔MQPRLQV allemand dire à ses troupes : " A 7XOOH MXÓRXUGOXL GHV VROGMPV GH notre nation ont été tués, il va falloir prendre notre revanche et montrer aux Français qui domine », mais Hubert est déjà endormi.0RL ÓH PHPV GX PHPSV ˋ PURXYHU OH VRPPHLO MQ[LHXVH ˋ OLG˔H GHV
Dimanche 11 juin 1944
En général, le samedi, de nombreux habitants de Limoges viennent faire leurs provisions, en empruntant le tramway de Limoges dont lePUMÓHP GXUH XQ SHX SOXV G
XQH OHXUH PMLV OLHU SHUVRQQH QHVP YHQXBBB
FHVP MORUV TXH YHUV TXMPRU]H OHXUHV les soldats allemands ont fait LUUXSPLRQ GMQV PM GHPHXUHB HOV QRXV RQP GRQQ˔ ORUGUH ˋ PM IMPLOOH et à moi de nous rendre au Champ de Foire. A cet endroit, se trouvait G˔Óˋ GH QRPNUHX[ OMNLPMQPV G 2UMGRXUB HOV MYMLHQP PRXV OH YLVMJH fermé, pétrifié. Des hRPPHV GHV IHPPHV ŃRQPLQXMLHQP GMUULYHU GH PRXVOHV Ń˭P˔V P˖PH OHV HQIMQPV MYMLHQP ˔P˔ H[PUMLPV GH O˔ŃROHB 4XHOTXHV
instants après, la Waffen SS au grand complet nous a divisés en deux groupes GXQ Ń˭P˔ OHV IHPPHV HP OHV HQIMQPV HP GH OMXPUH OHV Oommes.0M ILOOH HP PRL MYRQV ˔P˔ ŃRQGXLPHV SMU GHV VROGMPV MUP˔V ÓXVTXˋ O˔JOLVH
du village tandis que mes deux fils et mon mari, eux, ont été emmenés vers une grange. Les femmes du village, les mamans avec leurs bébés, les enfants des écoles sont tous enPU˔V GMQV O˔JOLVH PRXV PHUULIL˔VB 7RXPHV OHV P˙UHV SRXVVMLHQP GHV ŃULV GH PHUUHXUB -˔PMLV PRL-même effrayée, mais je tentais de ne pas le montrer pour rassurer ma fille. Elle me PHQMLP IRUP OM PMLQ HP VMJULSSMLP ˋ PRLB 1RXV GHYLRQV ˖PUH XQH ŃHQPMLQH entassés dans le lieu saint du village, à attendre notre sort. Les secondes SMUMLVVMLHQP GHV OHXUHV HP OHV PLQXPHV GHV ÓRXUVB IMQJRLVVH ˔PMLP pressante, ma fille se blottissait de plus en plus contre moi, à mesure que les minutes passaient. Vers seize heures enfin, de jeunes soldats RQP IMLP OHXU HQPU˔H HP RQP G˔SRV˔ SU˙V GX ŃOXU XQH VRUPH GH ŃMLVVH YROXPLQHXVH GH OMTXHOOH G˔SMVVMLHQP GHV ŃRUGRQV TXLOV RQP HQIOMPP˔V TXHOTXHV PLQXPHV SOXV PMUGB IH IHX VHVP U˔SMQGX GMQV PRXPH O˔JOLVHB Une explosion soudaine a eu lieu et a laissé place à une épaisse fumée noire et suffocante. Chacun gémissait de frayeur, à moitié asphyxié, et LUUHVSLUMNOHB 4XHOTXXQ M HQIRQŃ˔ OM SRUPH GH OM VMŃULVPLH R˾ ÓH PH suis glissée, suivie de ma fille. Epuisées, nous nous sommes assises sur une PMUŃOH GH OHVŃMOLHU PMLV OHV 66 ˋ OMII˼P RQP G˔ŃRXYHUP QRPUH UHIXJH HP ont tiré sur toutes les personnes qui se trouvaient là, dont ma fille qui fut abattue sous mes yeux. Par PLUMŃOH ÓH QML SMV ˔P˔ PRXŃO˔H QL NOHVV˔HB -ML MORUV G˔ŃLG˔ GH IHUPHU OHV \HX[ HP GH VLPXOHU OM PRUP TXMQG OHV 66 RQP IMLP OH PRXU GH OM SL˙ŃHB -XVPH ˋ Ń˭P˔ GMQV O˔JOLVH PRXP SU˙V ÓHQPHQGMLV OHV UMIMOHV GHV ŃRXSV GH IHX BBB FHVP MORUV TXXQ QXMJH GH IXP˔H PM HQYHORSS˔H PH SHUPHPPMQP HQILQ GH SUHQGUH OM IXLPH HP de me dissimuler derrière le maître-MXPHO TXH ÓMYMLV UHS˔U˔ GHSXLV OMSL˙ŃH R˾ ÓH PH PURXYMLVB G˙V TXXQH RŃŃMVLRQ VHVP SU˔VHQP˔H ÓH PH VXLV
dirigée vers le grand vitrail par lequel je PH VXLV OLVV˔H ˋ OMLGH GXQ HVŃMNHMX HP GH PRXPH OM IRUŃH TXH ÓML SX SXLVHU HQ PRLB (P Oˋ LO PM fallu encore affronter un saut de plus de trois mètres pour me retrouver ORUV GH O˔JOLVHB 4XMQG ÓML UHSULV PHV HVSULPV ÓH PH VXLV UHQGX ŃRPSPH TXXQH IHPPH MŃŃRPSMJQ˔H GH VRQ N˔N˔ PMYMLP VXLYLH ÓH OML MORUV aidée à descendre. Malheureusement, son enfant effrayé ne cessait pas GH ŃULHU ŃH TXL M MOHUP˔ OHV 66B FHV GHUQLHUV QRQP SMV O˔VLP˔ ˋ QRXV PLUHU dessus. Ma compagne et son bébé ont été tués et moi NOHVV˔HB -ML TXMQG P˖PH U˔XVVL ˋ PH PUM˟QHU ÓXVTXMX ÓMUGLQ YRLVLQ HP ˋ PH GLVVLPXOHU SMUPL OHV UMQJ˔HV GH SHPLPV SRLVB FHVP ˋ SHLQH MXÓRXUGOXL MX[ alentours de dix-VHSP OHXUHV TXXQH GMPH PM PURXY˔H HP ŃRQGXLPH GMQV un village voisin. Heureusement qXH ÓMYMLV U˔XVVL ˋ MPPUMSHU HP ˋ JOLVVHU mon journal intime dans ma poche avant de rejoindre le point de UMVVHPNOHPHQP OLHU ŃMU ˋ OOHXUH TXLO HVP ŃHVP OM VHXOH ŃORVH TXL PH UHVPH GH PM YLH GMYMQPBBB -H PH VHQV PRPMOHPHQP SHUGXH G˔VRULHQP˔HB (Q une sHXOH ÓRXUQ˔H PRXPH PM YLH M NMVŃXO˔ ÓML SHUGX PRQ PMUL HP PHV enfants, mon village et ses habitants. Une question me hante :Pourquoi Oradour-sur-Glane ? Pourquoi nous ?
Mardi 20 juin 1944
$SU˙V SOXV GXQH VHPMLQH ŃORX˔H MX OLP ÓH PHQPH HQILQ G˔ŃULUH malgré OH SHX GH IRUŃH TXL PH UHVPHB $ YUML GLUH ŃHVP OM VHXOH ŃORVH TXL PH maintient. La femme qui est venue me sauver dans le jardin, le lendemain de ce fichu massacre, est en fait une infirmière. Elle VMSSHOOH %ULJLPPHB (OOH PM UMPHQ˔H ŃOH] VHV SMUents dans un village YRLVLQ HP VRŃŃXSH GH PRL GHSXLV OH 11 ÓXLQB 3RXU PRXP GLUH OH OXQGL PMPLQ MX U˔YHLO ÓML ˔P˔ SULVH GXQH IRUPH PLJUMLQHB $ ŃHOM VMÓRXPMLHQP ULHQ MYMOHUBBB -Mi sombré dans un profond désespoir, pendant neuf ÓRXUV GXUMQP OHVTXHOV ÓH VXLV UHVP˔H ŃORX˔H MX OLPB -˔PMLV PHOOHPHQP IMLNOH TXLO P˔PMLP GLIILŃLOH GH SMUOHUB -H QH ŃHVVMLV ÓMPMLV GH SHQVHU PRXV ŃHV terribles moments refaisaient surface, sans cesse, la voix de mon mari HP GH PHV HQIMQPV ˔PMLP ŃRPPH XQ ˔ŃOR GMQV PHV RUHLOOHVB -˔PMLV ˋ OM UMLVRQ HP PM VXSSOL˔H GH QH SMV PH OMLVVHU PRXULUB $XÓRXUGOXL ULHQ QH VHVP MUUMQJ˔ PLV ˋ SMUP OH IMLP TXH ÓML U˔XVVL ˋ manger et à me lever. Néanmoins, toujours les mêmes images et les P˖PHV SHQV˔HV QH PH OMLVVHQP MXŃXQ U˔SLPB -ML PRXP SHUGX LO QH PH reste plus rien mais je me dois pour tous ces gens de me battre et de ŃRQPLQXHU ˋ YLYUHB FHVP GXU de se dire que ces soldats allemands sont encore en vie, eux. Ils mériteraient de subir la pire des tortures. A leur SOMŃH ÓH VHUMLV OMQP˔H SMU PM ŃRQVŃLHQŃH ÓH QRVHUMLV P˖PH MIIURQPHU OH UHJMUG GHV MXPUHV HP SRXUPMQP ÓH VXLV ŃHUPMLQH TXH ŃH QHVP SMV le cas. Malgré tous ces drames, je vais essayer tant bien que mal de vivre àVL PM YLH VHPNOH V˖PUH MUU˖P˔H !
Manon COSTEDOAT, 3ème 2
Consigne : Imaginez une exposition photo. Choisissez un lieu dans le village martyr et décrivez le.
(P VL 2UMGRXU P·pPMLPŃRQPpH"
: " Souviens- toi /Remember ». Les gens ont encore la volonté que ce village, que ce crime ne soit pas oublié. Je redoutais le moment où je devrais franchir cette " porte » qui pour moi est comme une machine à boulversé de penser que 63 ans plus tôt, des enfants, des femmes, des hommes, des personnes âgées avaient comme moi, marché, neEsteban R
" nyme de fêtes et de bons moments avait été pour ses habitants le début du massacre.Créant plusieurs groupes, les SS les menèrent à des endroits différents dans la ville. Notre " guide » nous
bâtiment, regardant les soldats qui préparaient leurs crimes. Aurai-je été pétrifié ? Aurai-éroïque
en essayant de sauver un petit ? Ou, aurai-je essayé de fuir ? Je me posais ces questions lorsque notre
-ci : Aurai-je été de ce côté des mitrailleuses ? Non, évidemment que NON !!! Dégouté, je reculais et
sorti de ce trottoir. »Esteban R
" -coiffeur. Cette image pour moi est émouvante car dans cet ambiance pesante, froide ; c --cinous voyons les impacts de balles qui ont percuté le monument lors du massacre. Pour moi, ce lieu était un lieu
de recueillement et savoir que des centaines de personnes sont morts dans ce lieu de paix me rend triste.
Dorian C.
" L accueillir que 150 personnes, mais les nazis étant ! Au centre, ils ont déposé une caisse pour les personnes àarrivée mais la mère oui. Elle fait une chute de 3 mètres en voulant partir et heureusement y parvient. »
Margot D.
" des enfants. Cette école se trouvait sur la droite du -sur-Glane. Nous entrons dans une petite cour entourée de murs de pierres.Au premier plan, nous voyons un platane. Nous pouvons imaginer tous les enfants qui ont joué autour, en riant.
troiNinon R
ouvert avec deux a et horrible ce qui est arrivé à ces enfa ; rire ; jouer à cache-cache ; un, deux, trois, soleil dans la cour de rErine P.
" Après avoir vu la plupart des lieux de massacres et de recueillement, no. -sur-Glane qui se trouve au Sud-Est du village, oncette dernière a presque entièrement fondu. On distingue aussi une fenêtre ne possédant plus de vitraux. On
peut aussi observer des murs en pierres très abimés par les flammes destructrices et le temps. Malgré tout, on
voit aussi le restes des voûtes qui résistent au temps. Dans cette église, auront péri, entassés, plus de quatre
e ce village témoignant de la monstruosité et de la cruauté deJulien D
des défunts de la première guerre mondiale (1914-1918) et sur laquelle on voit deux gros impacts de balle.
enfermés et surtout car il y a eu 453 morts. Les nazis ont tué les femmes et les enfants de façon horrible car ils
les ont enfermés puis ils leur ont jeté des grenades à gaz. Pour vérifier que tout le monde était mort, les nazis ont
pas plus de toit mais le clocher est ants. »Gabriel L.
" Tous ces bâtiments sont délabrés et brulés. Je suis triste pour tous ces villageois à qui on ne pouvait rien
reprocher mais qui sont morts mitraillés personnes furent achevées et brulées. les murs. Sur les plaques, on peut lire : " ICI, LIEU DE SUPLICE » et " RECUEILLEZ VOUSphotographie en hommage à toutes les personnes qui commençaient une journée normale mais qui ont été tués
par de SS. Je ressentais aussi du mépris envers ces soldats qui ont été barbares et ont assassinés ces 207
enfants, des femmes et des hommes innocents sans raison. »Joachim L.
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