[PDF] FRANÇAIS b) La classe grammaticale du





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Les classes de mots (mémento pour lenseignant)

On peut aussi répartir les classes de mots en deux sous-classes : – les classes grammaticales contribuent à l'organisation grammaticale de la phrase 





SOUS MAIN FRANCAIS

LA NATURE DES MOTS : LES CLASSES. Nom. Verbe. Déterminant. Pronom masculin/pluriel féminin/singulier. Comment ? noir petit 



Grammaire du français - Terminologie grammaticale

rédigé sous la direction de Philippe Monneret professeur des universités



Les classes grammaticales des mots (ou natures)

Les mots qui ont les mêmes propriétés appartiennent à une même classe grammaticale (nature du mot). Ils peuvent être alors remplacés les uns par les autres 



GRAMMAIRE Sommaire G-1 Les MOTS INVARIABLES Mots

La plupart de ces classes se divisent en sous-classes (par ex : pronoms possessifs Remarque : les mots peuvent changer de classe grammaticale :.



Tableau récapitulatif des classes grammaticales de mots :

Tableau récapitulatif des classes grammaticales de mots : Classes. Sous-classes. Exemples. Mots variables Un ami la fête



Les erreurs dorthographe grammaticale dans les rédactions de

éléments c'est-à-dire la grammaire de la phrase



FRANÇAIS

b) La classe grammaticale du mot « atroces » est celle des adjectifs qualificatifs. vingt fois je me suis arrêtée haletante



LEÇONS + EXERCICES

Les mots sont classés selon dix catégories appelées classes grammaticales. On distingue les classes 6 Identifiez la sous-classe grammaticale du mot du.



Tableau complet des Classes Grammaticales

à dans par pour en vers avec de sans sous sur sauf parmi au-dessus malgré entre en face contre chez selon derrière jusque à travers Permettent de réunir deux mots Conjonctions et locutions conjonctives De coordination mais ou et donc or ni ar Relient des mots ou des groupes de mots de même nature



Tableau récapitulatif des classes grammaticales de mots

Tableau récapitulatif des classes grammaticales de mots : Classes Sous-classes Exemples Mots variables Noms noms communs Un ami la fête un sous-marin noms propres Mozart Saint-Etienne la Loire Déterminants Articles définis



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Classes et fonctions grammaticales Le nom Il sert à savoir de quel objet du réel on parle Il peut être simple ou composé Il peut être commun ou propre Un déterminant accompagne le nom commun Le nom propre débute par une majuscule Ex : Ma table est grise Vos tables sont grises Les coffres-forts sont vides

Quelle est la classe grammaticale d'un mot ?

La classe grammaticale (ou nature d'un mot) est la catégorie à laquelle un mot appartient. Il existe cinq classes grammaticales variables et cinq classes grammaticales invariables. Le nom désigne un être, une chose ou une idée.

Qu'est-ce que la classe grammaticale ?

La classe grammaticale (ou nature d'un mot) est la catégorie à laquelle un mot appartient. Il existe cinq classes grammaticales variables et cinq classes grammaticales invariables. Le nom désigne un être, une chose ou une idée. L' écrivain ne dit que par une habitude prise dans le langage insincère des préfaces et des dédicaces : « mon lecteur ».

Quels sont les classes grammaticales invariables ?

Les classes grammaticales invariables sont : la préposition, l'adverbe, la conjonction de coordination, la conjonction de subordination et l'interjection. La préposition est un mot de liaison qui introduit un complément indirect (COI, complément du nom, complément d'agent, complément circonstanciel). On ne peut pas la supprimer.

Qu'est-ce qui caractérise une classe grammaticale variable ?

Sont rangés dans les classes variables les mots qui peuvent varier en genre (masculin/féminin), en nombre (singulier/pluriel) en mode et en temps, en fonction et en personne (1r e, 2 e, 3 e ). Si je peux l'encadrer par la négation « ne ...pas », c'est un verbe.

PONDICHÉRY 2018

FRANÇAIS

I. GRAMMAIRE ET COMPÉTENCE LINGUISTIQUE,

COMPRÉHENSION ET COMPÉTENCE D'INTERPRÉTATION

Grammaire et compétences linguistiques

1) Ligne 25 : " ces atroces petits corps lisses et froids ».

a) Le groupe nominal " ces atroces petits corps lisses et froids » fait référence aux " serpents » cités à la ligne 24. b) La classe grammaticale du mot " atroces » est celle des adjectifs qualificatifs. Cet adjectif fonctionne avec et complète le nom " corps ». Les autres mots de la même classe grammaticale que le mot " atroces » sont les adjectifs qualificatifs " petits », " lisses » et " froids ».

2) a) Réécrivez le passage suivant en remplaçant " une couleuvre » par " des serpents ».

" vingt fois je me suis arrêtée, haletante, en trouvant sous ma main, près de la " passe-rose », une

couleuvre bien sage, roulée en colimaçon régulièrement, sa tête en dessus, ses petits yeux dorés me

regardant ».

" vingt fois je me suis arrêtée, haletante, en trouvant sous ma main, près de la " passe-rose »,

des serpents bien sages, roulés en colimaçon régulièrement, leur tête en dessus, leurs petits

yeux dorés me regardant » b) Réécrivez le passage suivant en mettant les verbes conjugués à l'imparfait de l'indicatif.

" C'est un village, et pas une ville ; les rues, grâce au ciel, ne sont pas pavées ; les averses y roulent

en petits torrents, secs au bout de deux heures ; c'est un village, pas très joli même, et que pourtant

j'adore. »

" C'était un village, et pas une ville ; les rues, grâce au ciel, n'étaient pas pavées ; les averses y

roulaient en petits torrents, secs au bout de deux heures ; c'était un village, pas très joli même,

et que pourtant j'adorais. »

3) Ligne 17 : " Des prés verts les trouent par places ».

La fonction de " les » est complément d'objet direct du verbe " trouent ». Ce pronom remplace le groupe nominal " les bois ».

4) Ligne 22 : " battus ».

Le participe passé " battus » s'accorde avec le complément d'objet direct masculin pluriel

" les ». Ce pronom se trouvant avant le verbe conjugué au passé composé, l'accord du participe

passé se réalise avec le complément d'objet direct (et non avec le sujet) bien qu'on soit en

présence d'un te mps comp osé de l'auxiliaire " avoir ». Quand un verbe e st compos é de

l'auxiliaire " avoir » et que le complément d'objet direct de ce verbe se trouve avant lui-même,

alors on doit accorder le participe passé avec ce complément d'objet direct. Compréhension et compétences d'interprétation :

1) a) Lignes 15 à 21 : quelles sont les caractéristiques attribuées aux bois dans le

troisième paragraphe ? (3 points). Les caractéristiques attribuées aux bois sont définies par des mots et groupes de mots de différentes clas ses grammaticales. On trouve notamment des adjectif s qualificatifs :

" profonds », " envahisseurs » (ligne 16), " belle (contrée) » (ligne 19), et " superbes » (ligne 18).

Autrement dit, on comprend, avec ces derniers, que les bois ont une taille conséquente et sont majestueux. Le reste du texte confirme cette analyse puisqu'il dit qu'ils sont abondants

et majoritaires (" moutonnent et ondulent jusque là-bas, aussi loin qu'on peut voir », " les bois

superbes dévorant tout »). Aussi, on comprend qu'il y a peu d'habitations et d'aménagements

dans ces bois puisqu'il y a peu " de toits rouges » de façon que c'est bien la couleur verte qui

prédomine. b) Quels sont les éléments du paysage qui échappent aux " bois superbes dévorant tout » ?

Ce sont des " prés verts » qui échappent aux bois en ce qu'ils " les trouent par places », c'est-

à-dire qu'ils se faufilent entre les différents arbres et s'imposent d'une certaine manière.

2) Lignes 28 et 29 : " mais quelles terreurs ! Tant pis, je finis toujours par y retourner ».

Pour quelles raisons Claudine finit-elle toujours par retourner dans les bois ?

Claudine finit toujours par retourner dans les bois car elle y trouve certains éléments agréables

bien que d'au tres soie nt terrifiants. Par exemple, elle tro uve " jolies » le s " chenilles

veloutées » et les " araignées des bruyères ». Dans la façon dont elle les décrit, on comprend

que le paysage et ce qui le compose la fascinent. En outre, on comprend aussi que Claudine

apprécie se promener dans ces bois car il s'agit d'une activité qui la différencie des personnes

qu'elle côtoie. C'est justement le fait qu'ils soient " terrifiants » qui lui permet de se démarquer

des " filles (qui l') agacent », qui on peur " de se déchirer aux ronces » et des " petites bêtes »

(dernier paragraphe).

3) Lignes 30 à 32 : " ça a peur de se déchirer [...] fatigué ». Qui le pronom " ça » désigne-

t-il ? En qu oi ce choix de pronom est-il surpren ant ? Pourquoi est-il selon v ous employé ?

Le pronom " ça » désigne les " petites grandes filles » qui agacent Claudine. Le pronom est

surprenant dans la mesure où il permet d'habitude de désigner des objets, des paysages, parfois des animaux mais très rarement des personnes humaines. On aurait plutôt tendance à utiliser le pronom personnel elles qui permet, en outre, de les désigner en genre et en nombre.

Ici, " ça » est utilisé selon un vocabulaire familier et qui marque le mépris que Claudine ressent

vis-à-vis de ces filles.

4) Claudine est-elle heureuse de vivre à Montigny, dans ce " pays fait de collines et

vallées » ? Le début du texte laisse sous-entendre que Claudine n'appr écie pas particulièrement Montigny. Notamment, elle reprend, en la niant, la description que son livre de géographie en fait. " Montigny-en-Fresnois, jolie petite ville de 1950 habitants, construite en amphithéâtre sur la Thaize ; on y admire une tour sarrasine bien conservée...». Elle explique qu'une telle

description ne lui évoque aucun paysage, que parler de construction " en amphithéâtre » et

de " ville » repr ésente une amélioration de la réalit é, une sorte d'emph ase. Néanmoins,

Claudine a établi cette correction de la description afin d'expliquer comment est réellement

Montigny, " un village, pas très joli même, et que pourtant (elle) adore ». En effet, c'est bien le

côté champêtre de cet endroit qui fait que Claudine est heureuse d'y vivre. On a la sensation

qu'elle n'est pas particulièrement à l'aise avec le côté urbain de ce lieu ; ce pourquoi elle " n'y

mourr(a) » sûrement pas. Cependant, elle est heureuse de pouvoir profiter de la nature qu'on y trouve.

5) Comparez le texte et l'image : les deux documents offrent-ils la même représentation

de l'enfance et de ses jeux ? L'image et le texte ne donnent pas exactement une représentation similaire de l'enfance et de ses jeux. Le tableau de Renoir met en scène une Fille au cerceau, comme le titre l'indique. On

peut observer une enfant, bien vêtue, à l'air calme, réalisant une activité de plein air. Ce dernier

point est similaire aux occupations de Claudine dans le texte. Mais, on remarque que l'exercice

du cerceau se réalise dans un jardin alors que les jeux de Claudine sont liés à une nature plus

sauvage, qu'on réalise dans les bois, au milieu des animaux et insectes (" serpents », ligne 24 ;

" chenilles » et " araignées », ligne 31) et qui font parfois font peur. A la fin du texte, on

comprend que Claudine a justement la sensation de se détacher, de par ses activités, des " petites grandes filles » (ligne 30) semblables à celle représentée sur le tableau.

II. DICTÉE

Nous allons réaliser quelques commentaires quant à cette dictée. En outre, nous allons pointer

en rouge les accords qu'il y avait à réaliser entre les noms et leurs adjectifs. Aussi, nous allons

surligner en vert les difficultés grammaticales et de conjugaison que l'on pouvait trouver. Enfin, nous discriminerons en orange les mots qui comportent une difficulté de lexique. Ah ! les bois, les chers bois de Montigny ! À cette heure-ci, je le sais bien, comme ils bourdonnent ! Les guêpes et les mouches qui pompent dans les fleurs des tilleuls et des sureaux font vibrer toute la forêt comme un orgue ; et les oiseaux ne chantent pas, car à midi ils se tiennent debout sur les branches, cherchent l'ombre, lissent leurs plumes, et regardent le sous-bois avec des yeux mobiles et brillants. Je serais couchée, au bord de la Sapinière d'où l'on voit toute la ville, en bas au-dessous de soi, avec le vent chaud sur ma figure, à moitié morte d'aise et de paresse...

Colette, Claudine à l'école, 1900.

Commentaires :

- " à » : à ne pas confondre avec le verbe a de avoir. - " où » : à ne pas confondre avec la conjonction de coordination ou. - " vibrer » : à ne pas confondre avec le participe passé vibré. Si vous cherchez à obtenir des astuces pour ne pas confondre les homophones et savoir bien

accorder certains éléments, n'hésitez pas à consulter nos fiches, nos vidéos de notions ainsi que La

Démo de Maux, courte web-série sur l'orthographe.

III. RÉDACTION

Sujet d'imagination

Évoquez un lieu de votre enfance qui a représenté pour vous un espace de jeux et de découvertes.

Votre texte mêlera description et narration et cherchera à faire partager les sensations et les

sentiments que vous avez alors éprouvés.

Voici un court exemple de ce qui aurait pu être réalisé. Votre texte aurait pu avoir une tonalité

totalement différente ainsi qu'être plus long.

C'était un pré ou plutôt un petit jardin abandonné. Les épis de blé lui donnaient un côté

champêtre. On se trouvait une rue en dessous de celle où j'habitais. C'était la ville, c'était le

gris du bitume, c'était le bruit des voitures mais c'était aussi ce petit morceau de doré, de jaune

et de violet. Et, il y avait mon ami, ce jeune homme à la tête blonde, dont les cheveux étaient

semblables à des épis de blé. Il se fondait dans le décor. Et, on jouait à cache-cache. Ce jour-

là, je le cherchais et j'entendais son rire se perdre dans l'air lourd du soleil et de la pollution.

Je criais son nom et il ne répondait pas. Quand tout à coup, à courir trop vite, je tombai et, en

relevant la tête, j'aperçus un sourire, blanc comme les nuages de ce ciel partiellement bleu. Et,

moi aussi, je me mis à rire, rire de joie, de simplicité et d'harmonie face à la gentillesse d'un

ami et la beauté de cette aire de jeux.

Sujet de réflexion

Vivre à la campag ne ou vivre en ville : selon vous, où un en fant trou ve-t-il le plu s de possibilité de jeux et d'aventures ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur votre expérience, sur les textes étudiés en classe ainsi que sur votre culture personnelle. Voici quelques arguments et exemples que vous auriez pu utiliser : - jeux champêtres dans la nature : • Éveil des sens qu'évoquent la poésie et les récits lyriques.

Novembre, Flaubert, 1842.

• Diversité des paysages, des insectes, de la faune et de la flore. • Liberté de mouvement et sécurité qui permettent de jouer. à Possibilités d'explorations et de découvertes. - aventures dans la ville : • Beauté des immeubles, des lumières et des odeurs variée s. Nuits étoilées sur le Rhône, Vincent Van Gogh, 1888. • Diversité des cultures, des personnes, des monuments, etc.

English man in New York, Sting, 1987.

• Mobilité parfois réduite quant à l'espace disponible mais aussi plus vaste et variée de

par les moyens de transport.

MAIS :

- Dans la ville : • Sensations de perdition dans la masse de personnes, dans les bruits, dans les odeurs.

Charleroi, Paul Verlaine, 1874.

Tableaux de Pawel Kuczynski. Are you lost in the world like me, Moby and Void Pacific

Choir, 2016.

• Dangers. Les enfants dans Les Misérables, Victor Hugo, 1862.

Cosette balayant, Émile Bayard, vers 1879.

- Dans la campagne : • Tranquillité trop prononcée. • Répétition, monotonie.

Conclusions :

• Diverses possibilités liées aux individus et aux endroits en particulier.

Captain Fantastic, Matt Ross, 2016.

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