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Développement : Conclusion : Lidée dinconscient exclut-elle lidée

Introduction : Approche générale : on présente l'inconscient sans se prononcer sur la liberté car il s'agit ici de poser le sujet sans trancher.



Méthode de la dissertation philosophique

5 janv. 2021 comment rédiger le brouillon (section 1);. 2. la composition de l'introduction du développement et de la conclusion. (sections 2 à 4) ;. 3.



introduction Linconscient aux sources du mythe moderne

aussi fille du philosophe William Godwin et de l'une des premières féministes Cette introduction est issue d'un précédent article publié sous les ...



annales de philosophie terminale a

Toute dissertation comprend trois parties : Une introduction qui pose le Sujet 2 : L'hypothèse de l'inconscient exclut-elle la liberté ?



La conscience et linconscient

C'est la psychanalyse dont l'une des figures fondatrices fut Sigmund Freud (1856-1939)



Stage : la conscience est-elle le propre de lhomme ? Le but de ce

A la suite du texte le philosophe allemand instaure une différence entre le Représentation inconsciente



Inconscient - Psychaanalyse

Philosophie des Unbewussten traduite en Philosophie de l'Inconscient première apparition du mot en français. Parallèlement



Scribbr

Introduction : Le texte intitulé « Une difficulté de la psychanalyse » est extrait de l'ouvrage L'Inquiétante. Etrangeté et autres essais de Sigmund Freud 



FICHE DE RÉVISION DU BAC

Philosophie - Bac L/ES/S. L'inconscient. 1. LE COURS. [Série – Matière – (Option)]. [Titre de la fiche]. La notion. Le terme peut s'entendre en deux sens au 



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Cette intuition est nécessaire pour qu’en l’absence de code connu et commun l’analyste puisse donner un sens aux symboles singuliers à l’oeuvre dans les productions inconscientes L’esprit de l’analyste doit pour cela être entièrement disponible et se trouver dans une « attention flottante »

Quelle est l’introduction d’une dissertation de philosophie ?

L’introduction d’une dissertation de philosophie est différente d’une introduction de dissertation juridique. Elle doit introduire votre sujet philosophique et intéresser votre lecteur. Elle doit aussi permettre à un lecteur profane de comprendre votre sujet et votre angle d’attaque pour le traiter.

Comment rédiger une introduction de philosophie ?

L’introduction ne se rédige pas directement après la lecture ou le choix du sujet de philosophie. Nous vous conseillons de commencer par définir les termes du sujet une fois le sujet de la dissertation révélé. Ensuite, faites un brainstorming, trouvez votre problématique et définissez votre plan.

Quelle est la place de l’inconscient dans la connaissance ?

Le concept d’inconscient a donc une place dans la connaissance : il est le postulat de la théorie psychanalytique. En ce sens, l’inconscient n’échappe pas à une forme de connaissance : il est l’objet même de la psychanalyse, qui aura une longue postérité après Freud, avec par exemple Jung ou Melanie Klein.

Quels sont les caractéristiques de l’inconscient ?

Il existerait des caractéristiques communes à l’inconscient de tout homme, légitimant le fait de parler de l’inconscient comme d’une entité propre, indépendante et faisant qu’il est possible de connaître l’inconscient en général, de connaître son être, ses caractéristiques.

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LA CONSCIENCE, L'INCONSCIENT, LE SUJET

Version complétée et corrigée en février 2011

INTRODUCTION

La conscience, comme le suggère l'étymologie latine " cum " signifiant " avec " et " scientia "

signifiant " savoir ", est le savoir immédiat qui accompagne chacune de mes pensées c'est-à-

GLUH GHV VHQVMPLRQV GHV LPMJHV GHV ÓXJHPHQPV GHV YRORQPpV HPŃ" PMLV MXVVL OHV UpIOH[LRQV que je fais sur mes pensées. Sans la conscience, il y aurait des pensées que je n'apercevrais pas donc qui n'auraient aucune

valeur pour moi La conscience semble cependant connaître des intermittences. Peut-on dire

que le rêveur qui ne se souvient pas de son rêve a pensé sans en avoir conscience ? Que peut

on dire du somnambule ? L'absence de mémoire est-elle une absence de conscience ? Qu'est-ce que donc la conscience ? A quelles conditions est-on conscient ?

Par ailleurs, je ne connais pas la provenance de certains désirs ou de certaines réactions

comme si derrière les manifestations conscientes de mon esprit agissait un autre moi-même ? De même je change et pourtant je rapporte ces changements à moi-même. Alors comment maintenir une unité à travers ces divers comportements, ces aspects contradictoires ou changeants de moi ? Qui suis-je véritablement si les manifestations de ma personnalité peuvent être contradictoires ?

C'est pourquoi, un point de vue différent du mien pourrait me troubler et me forcer à

reconstruire cette unité, si bien que je recherche l'amitié de personnes avec qui j'ai des points

communs ou dont l'amitié ou le regard admiratif me rassurent sur ce que je suis. En même

temps, cette considération qu'autrui porte sur moi peut m'objectiver, transformer cette liberté

que je revendique en un ensemble de qualités permanentes et ainsi m'étouffer. Qui suis-je moi

qui aspire à être reconnu mais qui en même temps ne supporte pas d'être reconnu à travers un

regard qui me réduirait à une chose ? Mais alors puis-je être moi pour moi, pour ma conscience

si je ne suis pas sans cesse en relation avec autrui, cet autre qui comme moi est un sujet et qui

pourtant diffère de moi ? Ne suis-je pas moi à travers cette relation avec les autres sujets qui

ne sont pas pour moi que des objets (dans la mesure où ils mes ressemblent à travers leur

aspiration à être reconnu libre et auteur de leurs actes), à travers cette intersubjectivité ?

Quel est ce sujet (du latin " subjectum " signifiant " jeté dessous ") que je revendique être

derrière ces manifestations changeantes ou ces qualités apparentes et réductrices ? Ce

substrat, cette substance par lesquels je subsiste tout en changeant a-t-il un contenu ou n'est-il

qu'un contenant des qualités et des accidents contingents qui affectent et colorent mon

existence ? En même temps, comme l'indique l'usage grammatical du pronom sujet (" je " par exemple), le

sujet désigne l'auteur des actes. Par cette notion est induite celle de responsabilité à l'égard de

mes actes.

Le sujet est-il ce principe d'unité de ce que je suis à travers les différents aspects que je donne

de moi-même ou est il ce moi dont ma conscience s'efforce de maintenir l'unité difficile, ce moi

divers et bariolé ?

N'existe t-il pas une partie de moi-même qui échappe à ma conscience, une partie inconsciente

qui vient parfois perturber l'image consciente que je me fais de moi-même ?

I/DESCRIPTION DE LA CONSCIENCE

1- L'insaisissabilité de la conscience : la conscience n'est pas un objet comme les

autres mais la faculté toute subjective par laquelle des objets me sont donnés

La conscience fait partie de ces réalités dont je sais ce quelles sont tant qu'on ne me demande

pas de les définir mais sitôt qu'on me le demande, j'ai bien du mal à les définir.

Remarquons que le temps fait aussi partie de ces réalités comme le faisait remarquer Saint 2

Augustin dans ses Confessions : le passé n'est plus, l'avenir n'est pas encore et le présent si

tôt que je me penche sur lui est déjà passé.

" Toute conscience est conscience de quelque chose » fait remarquer Husserl : cela signifie

qu'aucune conscience ne peut se rencontrer sans un objet dont elle est consciente.

La conscience est inobjectivable , je ne peux la réduire à un objet dont je prendrais conscience

car elle est au contraire ce grâce à quoi les objets sont donnés à ma conscience. La réduire à

un objet, c'est la dénaturer et rater sa spécificité.

Par ma conscience je m'aperçois que je perçois des objets, je ne peux donc tout au plus

qu'apercevoir ma conscience sans jamais la percevoir comme un objet. Au lieu de chercher l'objet, cherchons ses manifestations et les significations.

2. La conscience source de ma misère et de ma dignité.

Comme l'explique Pascal dans le fragment intitulé " Le roseau pensant " de ses Pensées

(fragment 347 de l'édition de Brunscwicg), la conscience me révèle à la fois ma finitude et ma

dignité. Par ma conscience, je me rends compte que je suis un être fragile (" L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; ". Je ne peux même pas m'enorgueillir de conquérir

l'espace et la durée car je me rends compte que ma puissance est finie, limitée (finis, en latin,

signifie limité) tout comme ma vie est limitée dans le temps, condamnée par la mort, quels que

soient les progrès des sciences et de leur application à la médecine. Néanmoins, la puissance

démesurée de la nature n'a aucune valeur pour elle puisqu'elle n'en a pas conscience alors que

la conscience de la brièveté de ma vie et des limites de mes actions donne à chaque instant de

cette vie et à chacune de ces actions un prix dont je sais qu'il dépend de ce que j'en ferais, d'où

ma dignité que m'apporte cette responsabilité spécifiquement humaine issue de la conscience.

C'est pourquoi selon Pascal, toute la morale a pour principe de travailler à bien penser.

3. La conscience comme durée

a) La conscience comme mémoire.

Selon Bergson " qui dit conscience dit avant tout mémoire ", " la mémoire est là où la

conscience n'y est pas " (conférence intitulée " La conscience et la vie " dans L'énergie

spirituelle) : Deux types de mémoires (à ne pas confondre avec les deux types de mémoire que Bergson distingue dans Matière et mémoire):

-mémoire volontaire à laquelle on fait appel pour faire resurgir un événement dans notre

conscience -mémoire spontanée qui retient ce qui vient juste de se produire. Cette mémoire automatique pèse sur ma conscience présente et est indispensable pour que le présent ait un sens dans ma perception.

Il faut que je me souvienne des mots débutant une phrase pour qu'à la fin de celle-ci, je puisse

la comprendre. De même pour la musique que j'écoute : il faut retenir les notes précédentes

pour percevoir une mélodie sinon on n'entendrait que des bruits. b) La conscience comme attente et attention. Selon Bergson, toute conscience est anticipation ou attente de quelque chose ; lorsque je suis conscient je suis toujours en train d'attendre quelque chose de l'avenir.

Si ma conscience n'attend plus rien, elle est un songe et donc presque inconsciente car la

conscience suppose une attention.

Si on ne s'attendait à rien, on ne serait jamais surpris. Et même ne s'attendre à rien s'est

s'attendre à la tranquillité donc à quelque chose. c) La conscience comme durée.

"Retenir ce qui n'est déjà plus, anticiper sur ce qui n'est pas encore " permet de faire durer le

temps, l'instant présent dans la pensée sinon l'instant " se réduirait à l'instant mathématique ",

à une limite purement théorique entre l'avant et l'après, sans aucune épaisseur de durée.

3

Seul le temps subjectif, celui de la conscience a une durée. Le temps objectif n'est jamais

qu'une mesure à partir d'un nombre de phénomènes qui se répètent. 24h =rotation de la terre

sur elle-même par rapport au soleil. Le temps conventionnel se rapporte toujours à autre chose que lui-même.

Le temps apparaît donc comme une réalité subjective produite par la conscience : d'après Kant,

le temps est une forme a priori de la sensibilité commune à tous les hommes donc universelle bien que subjective. D'où l'impression que le temps passe plus ou moins vite.

Si une chose existe, les parties qui la composent doivent aussi exister. Or les parties qui

(Augustin, Confessions, livre XI, chap. XIV). ! Ou pour le dire dans les termes de Merleau-

4. La conscience est sélection

La perception consciente s'apparente à l'émergence d'une forme sur un fond. La psychologie de la forme (" Gestalt theorie ") montre que la conscience se concentre sur un

sujet et plonge ainsi le reste dans le flou, le réduit en quelque sorte à néant, dirait Sartre qui

désigne ce processus par le terme de néantisation.

Exemples :

- rendez-vous de Pierre dans un café : l'attente dans L'être et le néant de Jean-Paul Sartre.

- exemple de mauvaise foi : voulant garder le charme de l'ambigu, la jeune femme préfère ignorer une partie de son corps (sa main que vient de saisir le jeune homme) et se concentrer à la conversation dans son sens littéral sans tenir compte des connotations implicites pour ne pas avouer son consentement. La conscience peut donc à la fois se concentrer sur un objet ou au contraire faire totalement abstraction d'un objet, ce que Sartre désigne par l'expression "mauvaise foi".

5. La conscience est synonyme de choix (autre texte possible : Bergson " Que se passe-t-il

quand une de nos actions cesse d'être spontanée pour devenir automatique ? La conscience V

HQ UHPLUH" FRQVŃLHQŃH HVP V\QRQ\PH GH ŃORL[B H[PUMLP GH OM ŃRQVŃLHQŃH HP OM Yie " dans

L'énergie spirituelle)

Sartre généralise cette faculté pour dire qu'elle peut me faire être ce que je ne suis pas encore

ou ce que je veux être : je ne suis plus pour moi ce que je suis en moi-même, je suis ce que je

ne suis pas encore, je me projette comme étant ceci, je dépasse ce que je suis en moi pour me projeter comme un autre moi. Le pour soi que je suis par ma conscience (pour laquelle je suis quelque chose pour moi) dépasse l'en soi que je suis pour se faire être un autre en soi que je deviens.

Par la conscience, je suis en situation perpétuelle de choix : " L'homme est condamné à être

libre " parce qu'il est un être conscient, appelé sans cesse à choisir d'être ce qu'il est. Par son

existence, l'être conscient constitue peu à peu son essence qu'il sera à la fin de sa vie.

"L'existence précède l'essence". L'existence n'est pas la réalisation d'une essence

prédéterminée.

Certes je ne choisis pas ma situation mais au sein de ma situation déterminée, j'ai toujours la

possibilité de choisir, je suis même condamné à choisir, même de rester le même, telle est ma

condition d'homme. C'est même parfois dans les situations les plus déterminées que la

possibilité de choisir se fait le plus sentir. Selon Sartre, mon existence détermine peu à peu mon essence.

Ainsi, l'homme n'est pas ce qu'il est mais ce qu'il fait de lui : " l'homme est ce qu'il n'est pas et

n'est pas ce qu'il est " L'être en soi désigne l'être des choses qui sont ce qu'elles sont.

L'être pour soi est l'être de la conscience qui nous donne la capacité à nier ce qu e l'on est pour

4 projeter la conscience vers ce qu'on veut être.

L'être conscient a donc une double réalité : une chose dans le monde mais qui de plus sait qu'il

est et se représente soi-même à soi-même (cf. texte de Hegel tiré de Esthétique).

Le pour soi peut se " néantiser " car il peut nier ce qu'il est en soi pour se faire devenir autre.

Le pour soi dépasse l'en soi car il et sans cesse en projet. Donc mon essence est sans cesse en construction ; mon existence construit mon essence. A la mort, privé de conscience, je suis seulement ce que je suis. II/ LA CONSCIENCE COMME SOURCE DE LA CERTITUDE QUE J AI DE MON EXISTENCE

1- la conscience comme source de certitude que j'ai de mon existence

A chaque fois que je me rends compte que je pense (que mes pensées soient vraies ou non), je suis certain de mon existence, explique Descartes au début de la deuxième des Méditations

Métaphysiques. Ma conscience me révèle mon existence. Alors cesserais-je d'exister si je

cessais de penser ? Mais qui suis-je moi qui suis certain d'exister ? Si je veux me définir (par exemple comme un animal raisonnable), il faudra toujours donner

une définition des mots de cette définition et être sûr de ces définitions. Et comme je ne suis

pas certain de tout ce que je perçois par mes sensations ou par mon imagination, " je ne suis

précisément parlant qu'une chose qui pense " quel que soit le contenu de mes pensées. Je tire

une conclusion ontologique (=concernant mon être, " ontos " en grec signifiant " être ") à partir

d'une certitude concernant la connaissance de mon être. Alors, la pensée n'est pas seulement un mode d'être parmi d'autres de mon âme, elle devient la substance de mon âme. Peut être qualifié de substance ce qui est sous les apparences, derrière les changements de

mes qualités, derrière les accidents que je subis et qui sont liés à autre chose que moi même

qui demeure malgré tous ces changements. Par exemple, à la suite d'un accident, mon

apparence physique peut changer mais aussi certains de mes traits psychologiques, et pourtant c'est de moi qu'il s'agit. Rigoureusement parlant, la substance est ce qui n'a besoin que de soi même pour exister. En

ce sens, seul Dieu est substance car les hommes sont crées par lui, dépendent de lui.

La substance se définit en extension par ces attributs : l'âme se définit par la pensée et celle-ci

se manifeste par des modes (volonté, entendement, sensation, imagination) et chaque mode connaît des accidents (telle ou telle volonté, telle ou telle image, etc).

La substance apparaît donc comme un principe d'unité à travers la diversité de mes pensées ;

en l'occurrence, ma pensée c'est-à-dire ma conscience est le principe d'unité à travers la

variété de mes pensées. Pour Kant dans la Critique de la raison pure (" Esthétique transcendantale "), la conscience

indépendamment des représentations qui peuvent l'affecter est un principe qui opère

l'unification à travers des représentations c'est-à-dire des pensées diverses.

La conscience est a priori au sens où elle est la condition de possibilité d'une expérience, d'une

représentation c'est-à-dire une pensée. Kant distingue un moi empirique et un moi transcendantal : =>PRL HPSLULTXH PHV PUMLPV GH ŃMUMŃPqUHV HPŃ" =>moi transcendantal : sujet considéré dans sa pure faculté de conscience indépendamment des différentes pensées qu 'il va former et dont il est la condition de possibilité

2- Conséquences

a) Un dualisme de l'âme et du corps (thèmes " la matière et l'esprit ", " le vivant ")

La certitude de mon existence résulte de ma pensée abstraction faite de la réalité extérieure ou

de mon corps.

Si mon corps et les réalités extérieures ne sont pas nécessaires pour prouver mon existence, ne

sont-elles pas néanmoins nécessaires pour exister ? Ou bien y-t-il une vie après la mort du corps? La pensée n'est donc pas seulement un mode d'être mais un attribut substantiel sans lequel je 5 ne peux exister. Le modèle du corps vivant pour Descartes n'est pas un corps animé par une âme mais une machine qui peut fonctionner seule. D'où une conception mécaniste du corps. Les animaux sont des corps-machines car ils n'expriment que des besoins alors que même le plus imparfait des hommes est capable d'exprimer des pensées qui ne sont pas que la manifestation de besoins donc il a une âme. Au contraire pour quelqu'un comme Freud la distinction corps-pensée n'est pas si tranchée et

mes pensées commencent par s'étayer sur l'énergie des pulsions du corps qui visent

primitivement à satisfaire des fonctions organiques même si l'homme ne se contente jamais de satisfaire seulement des fonctions organiques. Toutefois, même pour Descartes, l'âme et le corps entretiennent des relations que l'on peut appeler, en un sens classique, des passions.

L'âme peut agir sur le corps qui en subit les volontés mais, inversement, le corps peut agir sur

l'âme de sorte que " je ne suis pas logé dans mon corps comme un pilote en son navire " auquel je commanderais comme à une machine passive.quotesdbs_dbs15.pdfusesText_21
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