[PDF] Sans titre Qualifier l'homme de conscient





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Le jugement de la conscience morale dans la philosophie pratique

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Stage : la conscience est-elle le propre de l’homme

En quoi les données actuelles de biologie apportent un éclairage sur la question : La conscience est-elle le propre de l'homme ? Et si tel n'est pas le cas si la conscience n'est pas un attribut exclusif de l'homme alors où situer la frontière entre l'homme et les autres êtres vivants ?



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Pourquoi la conscience est une notion propre à l’homme ?

Note obtenue : 18/20. La conscience est une notion propre à l’homme. En effet, la conscience permet de se rendre compte de tout, de nous, de ce qui nous entoure, permettant ainsi de mieux comprendre et de mieux se comprendre, de se définir. Cette capacité est inhérente à l’espèce humaine.

Qu'est-ce que c'est que la conscience ?

De son étymologie latinecum(avec) etscire(savoir), la conscience est la connaissance claire et distincte que l’homme a de lui-même, des actes qu’il pose et du monde dans lequel il est. C’est par elle que l’homme se distingue de l’animal et qu’il se pose comme sujet.

Pourquoi la conscience est-elle indispensable à l'homme ?

Ici, la conscience est donc la valeur absolue qui permet de remettre l'homme au centre et d'en faire la promotion. Ainsi, pour Descartes, la conscience est indispensable à l'homme. Elle le définit et constitue donc un gros avantage. En plus, la conscience permet de conférer à l'homme une autre de ses facultés : la conscience du temps qui passe.

Pourquoi l'homme a-t-il besoin de la conscience ?

En plus, la conscience permet de conférer à l'homme une autre de ses facultés : la conscience du temps qui passe. Elle lui permet d'avoir une certaine expérience et donc d'avancer, d'avoir une certaine progression. L'homme peut donc se projeter et faire des plans. Il n'est plus un simple animal, il pense et anticipe son avenir.

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La conscience, l"inconscientINTRODUCTION

Le langage comporte des expressions contradictoires sur le terme de conscience. On dit " il est inconscient » pour désigner par exemple un évanouissement ou encore un coma. L"homme n"aurait plus conscience de son rapport physique au monde. La conscience se situerait du côté du corps. Cependant on dit aussi " je prends conscience » pour désigner une lucidité progressive du rapport de soi au monde. La conscience se situerait du côté de l"esprit. Comment la définir ? Où la situer ? C"est une interrogation caractéristique de la philosophie moderne qui pense l"homme non pas à partir du monde mais à partir de ses représenta- tions. Qualifier l"homme de conscient fait de lui un sujet c"est-à-dire un support permanent et unique de toutes ses représentations. Mais si la conscience est lacunaire, si on fait l"hypothèse d"un psychisme inconscient, comment penser l"unité du sujet ?A Les manifestations de la conscience L"exemple du dormeur illustre très bien l"état d"inconscience. Quand il se réveille, il s"aperçoit de ce qui se passe en lui et en dehors de lui. La conscience est un savoir accompagnant sa pensée, ses actions. Elle se distingue de l"instinct. C"est un mode d"adaptation naturel, propre à une espèce, régi par le programme génétique. Or la conscience est capable de déroger à l"instinct, elle est capable de dépasser les obstacles quand les conditions extérieures nuisent à l"adaptation. Par exemple, sous l"eau, c"est ma conscience qui m"interdit de respirer pour ne pas me noyer. La conscience et l"instinct semblent s"opposer car la conscience est capable de s"adapter à une situa- tion précise alors que l"instinct est automatique.

4 LE SUJET

La conscience est présente quand plusieurs possibilités sont à envisager, quand un examen est nécessaire. " La conscience, originellement immanente à tout ce qui vit, s"endort là où il n"y a plus de mouvement spontané, et s"exalte quand la vie s"appuie vers l"activité libre », écrit Henri Bergson dans L"énergie spirituelle (1919). Par exemple quand nous apprenons à jouer du piano, notre conscience est vive. Au contraire, l"action est habituelle quand elle se fait d"elle-même. La conscience s"endort car il n"y a plus de choix à poser, par exemple quand je fais le même trajet tous les jours. Le fait d"être conscient est décisif pour l"homme. Dans la mesure où il est conscient, il n"est plus simplement dans le monde, comme un objet. Il est au contraire devant le monde, capable de le connaître, de le comprendre, de le juger, de le transformer. Il se pose comme un sujet, en face d"objets.

B La conscience réfléchie

La conscience peut adopter plusieurs attitudes : ou bien être absorbée par une action (conscience immédiate), ou bien revenir sur elle-même. Dans ce cas, je me prends pour objet de ré? exion. C"est l"activité de la conscience ré? échie. Si je dis " j"ai chaud », je ne saisis pas seulement la chaleur, je me saisis moi-même comme ayant chaud. Descartes dans les Méditations métaphysiques (1641) met en évidence cette saisie. " Je suis, j"existe est nécessairement vraie toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit » ou encore " je pense donc je suis », Discours de la méthode (1637). Dès que je pense et au moment où je pense, j"ai en même temps et nécessairement conscience d"exister. Toute pensée est consciente, elle s"accompagne toujours du savoir de celui qui pense, autrement dit de la certitude, pour le sujet, d"exister. Je peux dans un premier temps douter de tout sauf de ma propre exis- tence puisque le doute implique la pensée, laquelle appelle la certitude de l"existence du sujet pensant. Dès lors, l"ensemble du domaine interne à la conscience (pensée, sentiments, perception, compréhension...) m"apparaît comme totalement certain. Aussi ne pouvons-nous rien connaître en dehors de la conscience. Or si la pensée consciente est indubitable, le monde reste douteux. Comment avoir conscience alors que l"on peut douter du monde ? Si nous avons conscience de nous-mêmes, nous avons conscience du monde également. La conscience ne peut être séparée du monde. Sans cette unité originaire de la conscience de soi qui procure aux représentations leur cohérence, non seulement le monde serait pur chaos, mais au lieu d"une conscience une et identique, " j"aurais un moi aussi divers et d"autant de couleurs qu"il y a de représentations dont j"ai conscience », écrit Emmanuel Kant dans Anthropologie du point de vue pragmatique (1798). Le sujet ne peut prendre

La conscience, l"inconscient 5

conscience de lui-même qu"à travers son activité. La connaissance que nous avons du monde nous est personnelle, relative, car elle est issue de l"appréhension du monde tel qu"il nous apparaît, mais peut-être pas tel qu"il est. Nous ne percevons que des phénomènes, non des choses en soi. Le phénomène signi? e ce qui advient à notre conscience par le biais de notre sensibilité et de nos facultés. Par conséquent, la connaissance que nous avons est subjective. La conscience de soi n"est pas et ne peut pas être connaissance absolue de soi.

C L"inconscient

Dans la plus simple perception, nous pouvons faire l"expérience de tout ce qui échappe à la conscience. Quand on entend la mer, on ne perçoit pas le bruit de chaque vague. Les données de la conscience apparaissent lacunaires. Je n"ai pas conscience de tous les a? ects qui me traversent. La conscience n"est pas maîtresse de tous les états de conscience (les idées, sentiments, désirs...) qui viennent à elle. L"homme n"est pas transparent à lui-même. Sigmund Freud avance même l"hypothèse d"un inconscient psychique. Cette réalité psychique constituée de désirs, de fantasmes... posséderait un mode de fonc- tionnement et des caractéristiques propres. L"inconscient serait à l"œuvre à l"insu de la conscience. Freud présente le psychisme comme constitué de trois instances. Le ça est le pôle pulsionnel inconscient gouverné par le principe de plaisir. Le moi cherche à satisfaire les pulsions du ça, tout en tenant compte du principe de réalité. Il est aussi sans qu"il le sache, soumis aux exigences du surmoi, constitué par l"inté- riorisation inconsciente des interdits parentaux et sociaux. Le moi apparaît comme médiateur des intérêts opposés du ça et du surmoi. La conscience n"est plus " que la partie émergée de l"iceberg », Introduction à la psychanalyse (1916-1917). Le sens de nos comportements nous échappe car les causes remonteraient à des traumatismes a? ectifs subis pendant l"enfance et refoulés ensuite. L"homme est alors dans une complète illusion, il croit que sa conscience est source de connaissance. Or, écrit Freud dans Une di? culté de la psychanalyse (1917), " il se passe dans la vie psychique bien plus de choses qu"il ne peut s"en révéler à la conscience ». Cette méconnaissance de soi peut être dangereuse, elle peut le faire tomber gravement malade. Freud relate dans Études sur l"hystérie (1895) le cas d"Élisabeth. Cette jeune ? lle éprouvait des symptômes hystériques (névrose caractérisée par des symp- tômes d"apparence organique (convulsions, paralysie, douleurs...) et des troubles psychiques (hallucinations, délire, angoisse...). Ces symptômes étaient apparus à la mort de sa sœur. Freud montre que cette jeune ? lle avait éprouvé une tendre

6 LE SUJET

inclination pour son beau-frère, mais toute sa personne morale révoltée avait refusé de prendre conscience de ce sentiment. Ce violent con? it entre le ça et le surmoi étant si insurmontable qu"il a été refoulé. La cure psychanalytique permet alors au malade de prendre conscience des traumatismes des forces inconscientes. Freud invite l"homme à " rentrer en lui-même » dans Une di? culté de la psychanalyse pour

éviter de tomber malade.

D Le sujet : le problème de l"identité

L"étymologie latine de sujet sub-jectum signi? e ce qui est jeté sous. Le mot fait donc référence à quelque chose de sous-jacent, qui se tient comme un support. quelque chose qui se tient dessous. Ainsi, dans la philosophie moderne, la notion de sujet renvoie à ce qui, dans l"être humain, constitue le fond de ses rapports avec la réalité. Dire que l"homme est sujet, c"est dire qu"il est au fondement de ses actions et de ses représentations, de sa relation au passé et à l"avenir, de la relation aux valeurs auxquelles il croit, aux lois qu"il respecte. La notion de sujet caractérise donc l"homme dans ce qu"il a de spéci? que par rapport aux choses inertes, voire aux autres espèces vivantes. Si l"homme est sujet, il est un sujet conscient. Cette notion désigne l"homme en tant que support permanent et unique de toutes ses représen- tations psychiques. Le sujet emploie d"ailleurs le " je » dans le langage pour désigner

ses états d"âme, ses actions propres. Par là, il se pense, il se distingue de ce qui lui est

extérieur, de ce qui est objet, il uni? e sous cette notion la diversité de ses états. L"unité d"un même sujet paraît logiquement nécessaire mais cette unité existe-t- elle vraiment ? S"appuyant sur l"expérience, Hume constate que nous n"avons aucune idée d"un moi substantiel parce que nous n"avons aucune impression qui corresponde à cette idée. " Si une impression donne naissance à l"idée de moi, cette impression doit nécessairement demeurer la même, mais toute impression est changeante », Traité de la nature humaine (1739). En e? et, mon corps se transforme sans cesse, mes idées évoluent, mon caractère, mes goûts, mes désirs changent avec le temps, les circonstances. Je semble ne jamais être le même. Qu"est-ce qui permet d"a? rmer que je suis bien le même ? Y a-t-il un moi ? Ainsi pour Hume, le moi-substance est une illusion mais est aussi une ? ction de l"imagination des philosophes. La découverte de l"inconscient achève de remettre en cause l"idée d"un sujet uni? é. En e? et, elle in? ige à l"homme selon Freud une " blessure narcissique », Introduction à la psychanalyse (1916-1917). L"homme apparaît comme un sujet déchiré entre des instances qui lui échappent, déterminé par des forces inconnues. Si la liberté est le fait de poser des actes imprévisibles, l"hypothèse d"un inconscient remet totale-

La conscience, l"inconscient 7

ment en cause l"idée d"un sujet libre et responsable. Au contraire l"homme appa- raît comme un être objet de forces invisibles. L"homme ne peut plus dire qu"il a des raisons de poser des actes, pour Freud il n"en est pas l"auteur mais des causes incon- nues expliquent tous ses agissements. Une interprétation moins déterministe de la thèse freudienne pourrait dire que le but de la cure est justement de ne plus être objet de certaines forces inconscientes mais de redevenir un sujet plus autonome.

LES GRANDS AUTEURS INCONTOURNABLES

■Descartes (1596-1650) La pensée se dé? nit par la conscience. Toutes les fois que l"homme pense, il a conscience de penser. " Je pense donc je suis », Discours de la Méthode (1637). ■Kant (1724-1804) La conscience est la condition de possibilité de la pensée. " Que l"homme puisse posséder le Je dans sa représentation, cela l"élève in? niment au-dessus de tous les êtres vivant sur la Terre », Anthropologie du point de vue pragmatique (1784). ■Hume (1711-1776) L"expérience ne permet pas d"a? rmer qu"il y a une réalité permanente et iden- tique du sujet. " Il est des philosophes qui imaginent que nous sommes à chaque instant conscients de ce que nous appelons notre moi », Traité de la nature humaine (1739). ■Freud (1856-1939) L"homme n"est pas conscient de la signi? cation de ses actes, il est déterminé par son inconscient psychique. " Le moi n"est pas maître dans sa propre maison »,

Introduction à la psychanalyse (1916-1917).

8 LE SUJET

Tester ses connaissances

et acquérir les bons réflexes

1 Choisissez la bonne réponse.

A. Qu"est ce qu"une pulsion ?

?a) une impulsion ?b) un mouvement instinctif ?c) une poussée

B. L"inconscience est :

?a) l"inconscient ?b) l"interruption de la conscience ?c) le refus de la conscience

C. Le refoulement est :

?a) propre à l"hystérie ?b) de la mauvaise foi ?c) causée par une sensibilité excessive

2 De l"emploi du mot à la notion.

A. Cherchez trois exemples où le mot sujet est employé et analysez ces exemples.

Exemple 1 :

Exemple 2 :

La conscience, l"inconscient 9

Exemple 3 :

B. Identi? ez le caractère commun aux exemples.

3 Expliquez le sens des expressions suivantes :

A. Être conscient de ce que l"on fait

B. Avoir la conscience tranquille

C. Il est complètement inconscient

A. B. C.

4 Analysez un sujet : " Suis-je dans mon corps comme un pilote dans un navire ? »

A. Quelle est la signi? cation de la comparaison ?

10 LE SUJET

B. Quel est le problème du sujet ?

C. Quels sont les arguments des auteurs utiles à ce sujet ?quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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