On reconnaît deux principaux types de discordances : la
plate-forme marine hettangienne constituée ici de strates de calcaire jaune dit « Nankin ». On parle parfois d'une discordance de ravinement.
Untitled
Discordances de ravinement et discordance angulaire dans le « Cambro-Ordovicien » de la région de Mejeria. (Taganet occidental Mauritanie).
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Coupe géologique Volcanosédimentaire
Le Précambrien supérieur et le Paléozoïque inférieur de lAdrar de
9 mai 2012 précèdent la transgression du Cambrien inférieur. (2) l'assimilation de la discordance de ravinement supérieure. d'origine glaciaire à la dis-.
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Cette formation repose en discordance de ravinement sur une topographie de creusement. Elle s'abaisse à plusieurs centaines de mètres sous la plaine du
STRATIGRAPHIE ET TECHTONIQUE
Lacune = Absence de terrain manque. Discordance = Une surface de discordance est une ancienne surface d'érosion séparant un ensemble de strates plissées lors d
Le Précambrien supérieur et le Paléozoïque inférieur de lAdrar de
9 mai 2012 précèdent la transgression du Cambrien inférieur. (2) l'assimilation de la discordance de ravinement supérieure. d'origine glaciaire à la dis-.
Stratigraphie du Cambro-Ordovicien du Tassili nAjjer (Sahara central)
La discordance de ravinement déjà signalée par de nombreux auteurs dans le Cambro-Ordovicien
LAnti-Atlas : une archive de la glaciation de la fin de lOrdovicien
50-75 m peut dépasser 150 m au droit des ravinements majeurs. dans la continuité de la discordance de ravinement de l'Anti-Atlas central.
anciennes formes de terrain fossiles en tant quevidence dune
Ajouter : 5. petits vallons latéraux fossiles chenaux colmatés
GEOCHRONOLOGIE - Faculté des Sciences de Rabat
discordance de ravinement représentée par une surface irrégulière d'érosion entre des strates parallèles Cette surface exprimela cessation de la sédimentation plus leur ravinement (érosion) mais sans déformation (fig 5) - La discordance angulaire représentée par une surface d'érosion recoupant d'aiennes nc séquences déformées
Qui a inventé la discordance ?
L'histoire de la discordance C'est à Philippe Chaslin qui a introduit, en 1912, le nom discordanceet l'adjectif discordantquand il définit les folies discordantes dans ses Éléments de sémiologie et clinique mentales. Ces foliessont pour lui à peu près l'équivalent de la démence précoce d'Emil Kraepelin.
Quels sont les différents types de discordance?
Dadm: discordance admissible des valeurs analogiques ABS : partie absolue de la discordance configurée REL : partie relative de la discordance configurée ROHW : valeur moyenne des trois valeurs analogiques actuelles Rupture de fil Traitement des erreurs Détection d’erreurs Modes d’exploitation de la pØriphØrie et cartes d’E/S utilisables I/4-49
Qu'est-ce que la négativité de discordance ?
En neurosciences, la négativité de discordance (en anglais MMN ou mismatch negativity) est une onde cérébrale observée en EEG qui traduit un changement du stimulus, par exemple lorsqu'un nouveau stimulus apparait dans une séquence de stimuli identiques.
TRAVAUX DES LABORATOIRES
DES SCIENCES DE LA TERRE
lE PRÉCAMBRIEN SUPÉRIEUR ET lE PAlÉOzoïnUE INFÉRIEURDE l'ADRAR DE MAURITANIE
(bordure occidentale du bassin de Taoudeni , Afrique de l'Ouest)UN EXEMPLE DE SÉDIMENTATION DE CRATON
ETUDE STRATIGRAPHIOUE ET SÉDlMENTOlOGIOUE
par R. Trompette laboratoire associé au C.N.R.S. n° 132Etudes géologiques Ouest -africaines"
1973 . série B . n° 7
TOME Il
Séries 2 et 3
SAINT -JÉRÔME _ MARSEILLE
ETUDE DE LA SÉRIE 2
PRÉCAMBRIEN TERMINAL (?), CAMBRIEN (?)
ET ORDOVICIEN INFÉRIEUR ( ? )
215Comprise entre deux discordances. qui correspondent toutes deux à des phénomènes glaciai
res. la série 2 est. en Adrar. bien définie. Son attribution. à titre d'hypothèse. à la partie
terminale du Précambrien supérieur. au Cambrien et à l'ordovicien inférieur repose sur: (1) l'assimilation de la tillite inférieure (C011 aux formations glaciaires qui. selon les auteurs. sont rattachées à l'Eocambrien. à l'Infracambrien ou au sommet du Précambriensupérieur. Ces formations glaciaires. très largement répandues dans le monde. précèdent
la transgression du Cambrien inférieur. (2) l'assimilation de la discordance de ravinement supérieure. d'origine glaciaire, à la dis cordance datée du Caradoc au Sahara central [S. Beuf. B. Biju-ouval, O. De Charpal, P. Rognon. O. Gariel et A. Bennacef, 1971) et de l'Ashgill dans l'Anti-Atlas (J. oestombes,1968 a et b). Cette corrélation est étayée. en Adrar, par la présence, à quelques dizai
nes de mètres au-dessus de la discordance. de shales à Graptolites du Llandovery infé rieur à moyen (déterminations inédites de S. Willefert).(3) la présence. au sommet de la série 2 [C0131. de deux faunules de Brachiopodes inarticulés
que Ph. Legrand [1967 et 1969) rattache au Cambrien supérieur ou à l'Ordovicien inférieur.Ces données paléontologiques montrent que les parties moyenne et supérieure de la série 2.
généralement attribuées au Cambro-ordovicien ou même à l'Ordovicien, sont probablement es
sentiellement cambriennes. La série 2 a été subidivisée en 3 groupes qui sont de haut en bas : le groupe des Plateaux d'Oujeft, que. par souci oe simplification, nous appellerons aussi groupe des Plateaux, C09-C013 ou 01-03 dans la nomenclature Th. Monod (19521, caractérisé par une sédimentation gréseuse homogène. le groupe de la Falaise d'Atar, ou groupe de la Falaise, C04-C08 (C 15 en partie -C19)' qui débute par des grès grossiers et des dolomies et dolomies calcaires à Stromatolites et se poursuit par un ensemble gréso-argileux souvent rougeâtre. -le groupe de Bthaat Ergil. d'origine glaciaire, C01-C03 (C12-C15 en partiel, qui comprend, à la base. des sédiments franchement glaciaires et. au sommet, des faciès dont la nature glaciaire est plus douteuse. Le groupe de la Falaise est transgressif et localement discordant sur le groupe de BthaatErgil ; il peut. à l'extrémité sud-ouest de l'Adrar. reposer directement sur le socle de l'Amsaga.
Par contre, la limite entre les groupes de la Falaise d'Atar et des Plateaux d'oujeft est pure ment lithologique. La succession stratigraphique que nous proposons (tabl. XIX) est sensiblement différente de celle de Th. Monod [1952). La notion oe niveau stratigraphique bien nette dans la série 1, est ici beaucoup plusdifficile à dégager, une sédimentation monotone, essentiellement détritique, ayant remplacé la
sédimentation rythmique de la série 1. 216Chapitre 1
MISE EN EVIDENCE DE TROIS GROUPES AU
SEIN DE LA 2
L'idée de subdiviser l'ensemble C12 -C19 (nomenclature Th. Monod, 1952) n'est pas nouvelle (tabl. XX). Elle a été proposée par R. Dars et J. Sougy (1958) qui faisaient débuter leur sé
rie 2 (Cambrien) au toit des calcaires d'Amojiar, C16, puis, plus récemment, par G. Choubert, A. Faure-Muret et R. Charlot (1968) qui individualisent un groupe du Dhar dont le mur est C17 (p. 293) ou C I5 (p. 305). Il s'agit là de compilations à l'échelle de l'Afrique de l'Ouest qui,en ce qui concerne le problème précis de l'Adrar de Mauritanie, ne s'appuient sur aucune étude de
détail. Nous proposons, à partir d'observations faites en Adrar, de subdiviser la série 2 en trois groupes (tabl. XIX). DISCORDANCE DE RAVINEMENT FINI-ORDOVICIENNE : GLACIATIONTh. Monod (1952 )
Groupe
des Plateaux d'Oujeft C09 --C 1301 -°3
LIMITE LITHOLOGIQUE
Groupe de la Falaise d'Atar Cil4 -C0
8 C15 (en partie) -C19F== TRANSGRESSION - - - - - - -DISCORDANCE LOCALE
N (1)Groupe de Bthaat Ergil C01 -C03 C12 -C15
(en partie) ..-t 1-0 'CIl VJDISCORDANCE ANGULAIRE : GLACIATION
Série 1 Précambrien supérieur
Précambrien inférieur
Série de l'Amsaga
Tableau XIX Subdivision de la série 2 en trois groupes1) Le groupe glaciaire de Bthaat Ergil
La base du groupe de Bthaat Ergil coïncide aveC la base de la· série 2 discordante sur lasérie 1, localement sur' le socle. Cette discordance, et la tillite qui la souligne, sont connues,
en Afrique de l'Ouest, depuis fort longtemps. Dès 1933, L. Baud affirmait le caractère glaciaire
du conglomérat de Kayes -Bafoulabé (frontière du Mali, de la Mauritanie et du Sénégal), tandis
que F. Jacquet (1937), en Adrar de Mauritanie, sans définir la nature du conglomérat des Jbeliat
217(C12 de Th. Monod, 1952) le considérait comme représentant la base d'une série cambro-ordovicien
ne supérieure discordante sur un Cambro-ordovicien inférieur. On remarquera la qualité des obser
vations de ces deux géologues qui, dès 1937, proposaient un schéma stratigraphique très voisin de
l'actuel. Dans sa reconnaissance géologique de l'Adrar de Mauritanie, Th. Monod (1952, p. 31-32) rejette le schéma proposé par F. Jacquet. Le conglomérat polygén1que des Jbeliat est local J il ne
représente qu' "une phase accusée d'accumulation au bord d'un reliefcristallin, mais sans signification stratigraphique importante". Pour cet auteur, la série sédi
mentaire de l'Adrar, qui s'étend du Cambrien au Dévonien, est compréhensive. Il attendre 1958 pour que I. Mc Phee, 0.0. Anderson et G. Muret, au cours d'unereconnaissance pétrolière de la Conorada oil Company de la bordure occidentale du bassin de Taou
deni, décrivent, dans la région d'Atar, le conglomérat des Jbeliat comme une tillite, tout en lui
redonnant l'importance stratigraphique que F. Jacquet lui avait accordée plus de vingt ans aupa ravant. La découverte, ou la redécouverte de cette tillite en de nombreux points du bassin deTaoudeni, aboutit à la première synthèse géologique (M. Zimmermann, 1960). La base de la série
sédimentaire est subidivisée sur l'ensemble du bassin en deux séries discordantes) la tillite
qui marque la base de la série 2 joue le rôle d'un fil directeur dans la géologie du bassin de
Taoudeni.
En Adrar cette discordance est très nette. Elle est actuellement admise par la quasitotalité des géologues ayant travaillé dans le bassin de Taoudeni. Cependant, dans la région d'A
tar, l'importance et la généralité de la tillite ont été contestées par Th. Monod (1960) dans son
étude de la falaise d'Hamdoum et d'Aguinjob. A l'échelle d'une coupe, la discordance série 2 -sé
rie 1 n'apparait pas, les différences de pendage étant très faibles, tant en direction qu'en in
tensité. Par contre elle est visible lorsqu'on examine attentivement la falaise dans la région d'Hamdoum et au Sud du Guelb Nouatil où l'on peut voir disparaitre, sous la tillite, les niveauxde roches carbonatées de la série 1 aisément reconnaissables à leur couleur et leur morphologie
particulières.2) Le groupe de la Falaise d'Atar
Le groupe de la Falaise d'Atar est transgressif et localement discordant sur le groupe de Bthaat Ergil (fig. 85); au Sud-Ouest, il repose directement sur le socle métamorphique de l'Amsaga. Cette transgression s'accompagne d'un épaississement: 252 m à Amojiar, 260 m à Lekhleigate
et 285 m à Chelakh Taichot (fig. 135). La notion de transgression est une notion complexe qui mérite qu'on l'examine attentivement. Les conditions d'affleurement étant relativement mauvaises dans la zone clé de Chelakh Tai
chot, il n'est pas possible d'étudier en détail le contact entre les groupes de la Falaise et de
Bthaat Ergil ; on en est réduit aux hypothèses. Trois hypothèses peuvent expliquer la disposition
géométrique schématisée dans la figure 85 : une discordance angulaire très faible, une transgres
sion sur la bordure mobile d'un continent ou un haut-fond submergé seulement par C04' Il est bien évident que, selon le cas envisagé, la notion de transgression prend une signification différente. Dans la première hypothèse sa signification est claire) elle est la tra
duction d'un événement tectonique et, à ce titre, marque une coupure fondamentale de l'échelle
218stratigraphique. Nous allons examiner. de façon plus détaillée. ces trois hypothèses. a) Discordance angulaire très faible Cette hypothèse n'a guère besoin d'être longuement explicitée. Des mouvements tecto niques de faible ampleur amènent l'émersion et l'érosion partielle ou totale du groupe de
Bthaat Ergil. Cette solution est peu plausible. le phénomène ne présentant pas la généra
lité d'une discordance angulaire qui. même lorsqu'elle est très faible (discordance de la base de la série 2), apparalt nettement si on l'étudie sur une surface suffisamment grande. bJ Transgression sur la bordure immobile d'un continent Dans cette hypothèse. l'île de socle des Ibis est émergée lors de la sédimentation du groupe de Bthaat Ergil. mais elle est submergée par la transgression du groupe de la Falai se d'Atar. c) Transgression sur la bordure mobile d'un continent Selon cette troisième hypothèse, c'est le jeu de montée et de descente du panneau de socle des Ibis qui explique la disposition observée. Le panneau des Ibis a pu monter durant la sédimentation du groupe de Bthaat Ergil puis descendre ensuite. Dans l'hypothèse (b) le rôle principal est tenu par la transgression du groupe de la Fa laise. dans l'hypothèse (c) par le rejeu d'un panneau de socle. Mais on peut aussi combiner les deux facteurs. Les observations fragmentaires faites au contact entre la base du groupe de Bthaat Ergilet le socle (fig. 111) sont plutôt en faveur de l'hypothèse (b). La transgression du groupe de la
Falaise peut être alors interprétée de manières différentes. Il peut s'agir d'une transgres
sion eustatique liée à la fonte de l'inlandsis du Précambrien supérieur ou bien d'une "transgres
sion tectonique" liée à un phénomène orogénique. ou plus vraisemblablement épirogénique qui amène
une modification de la configuration du bassin. Toutefois. la transgression de C04, qu'elle soit liée à un phénomène climatique ou tectonique, apparatt, à l'échelle de l'Adrar, comme un phénomène important qui peut servir à subdivi
ser la série stratigraphique. On se gardera d'étendre ce résultat à d'autres portions du bassin de Taoudeni. En effet. dans le cas d'une transgression tectonique. le schéma de la figure 86 montre comment une couchepeut être. dans "sa partie amont". transgressive par rapport à la précédente. et régressive dans
sa "partie aval". ceci par un simple changement de la configuration du bassin de sédimentationlié. par exemple. à des mouvements de la flexure continentale (J. Bourcart. 1958). Ceci montre le
caractère relatif des notions de transgression et de régression. Dans le cas précis qui nous intéresse. il est important de souligner que l'importance d'une transgression ne peut pas se juger à partir de l'ampleur du débordement; en effet, commel'a souligné D. Boulanger (1968 ?). en bordure de continents arasés. plats. présentant souvent
des plaines côtières à des cotes négatives, une faible montée du niveau des mers suffit à amputer
le continent de très vastes surfaces.En conclusion. la transgression de C04' est un phénomène important à l'échelle de l'Adrar.
NEBassin sédimentaire de l'Adrar .. Ile des Ibi"
swBassin sédimentaire
d'Akjoujt (M.DEYNOUX,1966 )Amojiar
(COUP{S 34.35,41 et 42)Lekhleïgate
(Coupe 38)Chelakh Taichot
(Coupe 44 )Socle: Précambrien inférieur +
Série 1
Précambrien supérieur
Continent
Evolution schématique des groupes de Bthaat Ergil et de la Falaise d'Atar sur la bordure sud -ouest de l'Adrar ( voir également figure 111 )Erosion Rivage
1 1Sédimentation
1 Bassin sédimentaire marin ou continental 1
- 1 1.......- .. ; ....... ·r 1 R1 L'ampleur de la transgression est d'autant plus forte Que la 1
: topographie est plus plate : _ .. 8<: ... .s;;i .. ... @ est transgresslf sur CD @ est régressif par rapport à CDMontée
40""46: Schéma théorique montrant le caractère relatif de la notion de transgression
219Mais elle ne saurait, dans l'état actuelle de nos connaissances, être mise sur le même plan que
les coupures fondamentales qui marquent la base des séries 2 et 3 et qui se retrouvent sur toute l'étendue du bassin.3) Le groupe des Plateaux d'Oujeft
Le mur de ce groupe correspond è une simple coupure lithologique. A la sédimentationgréso-argileuse du groupe de la Falaise d'Atar succède une sédimentation franchement gréseuse.
4) Conclusions
Le tableau XX résume les principales subdivisions de la série 2. le schéma que nousproposons (colonne de droite) on peut distinguer, è la base,.un groupe glaciaire dont l'épaisseur
varie de 0 è 280 m et, au sommet, un ensemble détritique, transgressif, lui même subdivisé en
deuxè l'aide de critères lithologiques.
04 OS (C013 03 (CD12 C011 02 (C010 01 C0 9 C 19 C08C18 C07
C17 C06 C16 COS (C04 C15 (C03 C 14 C02 C13) C01 C12)J. Sougy (1956) G. Choubert,
et R. Dars et Th. Monod (1952 et 1960, p. 15) A. Faure-Muret et R. Trompette J. Sougy (1958 ) 2 hypothèses R. Charlot (1968 )quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] discours de passation de service entrant
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