Espagne
3 mars 2017 Source : OCDE (2017) Perspectives économiques de l'OCDE: ... la politique budgétaire expansionniste sont autant de.
Études économiques de lOCDE : Espagne 2018
Une politique budgétaire permettant de gérer les risques pesant sur la viabilité à détail dans l'édition 2017 de l'Étude économique de l'Espagne) ont ...
Les politiques migratoires en France en Italie et en Espagne
15 juin 2020 coordination en politique migratoire entre Espagne France et ... projection de 250 000 en 20171) dans un moment où le système d'accueil.
Notes pratiques. Création dune unité de politique fiscale. Octobre
Fonds monétaire international
SYNTHÈSE État de la démocratice dans le monde on 2017 : Étude
Elle aborde également la question de l'influence négative exercée par l'argent sur le système politique des risques engendrés par la hausse des inégalités pour
unauté es nations vailler nsemble.» Rapport annuel 2017 du FMI
1 mai 2016 Instrument de soutien à la politique économique . ... la croissance pendant l'exercice 2017 . ... l'Espagne réalisée par le FMI en 2017.
FOOTBALL SOCIETE ET POLITIQUE EN ESPAGNE. DU
Soutenue le : 09 juin 2017 RFEF : Royale Fédération Espagnole de Football ... politiques pour bénéficier des faveurs du régime.
Rapport mondial sur la protection sociale 2017-2019 – Protection
programmes d'assainissement budgétaire et de politiques d'austérité 100. 4.9 Déprivatisation des régimes de protection vieillesse .
Létat de la Constitution 2017
5 janv. 2018 Pourquoi l'Espagne est gouvernée sans majorité. L'explication par un mode de scrutin hérité ... que l'ensemble du régime politique tel qu'il.
PERSPECTIVES ET POLITIQUES ÉCONOMIQUES MONDIALES
La prévision de croissance mondiale pour 2017 et 2018. 3
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Les voix obtenues par le parti socialiste proviennent néanmoins à 70 des voix de la classe ouvrière à 25 de la classe moyenne et moyenne basse et à 5 de la classe élevée et moyenne élevée Le triomphe des socialistes ne s’arrêta pas aux élections générales
Comment a été instauré le régime parlementaire en Espagne ?
Aperçu du texte Chapitre 3 : le régime parlementaire en Espagne : La dictature instaurée par Franco en 1938 a duré jusqu’à sa mort le 20 No- vembre 1975. Franco avait désigner son successeur en la personne du roi Juan Carlos.
Quels sont les nouveaux partis politiques en Espagne ?
Après deux décennies de stabilité politique post-franquiste, marquée par le bipartisme entre le PSOE et le PP, l’Espagne est confrontée à une refonte du paysage politique et à l’émergence rapide de nouveaux partis à partir de 2014 : Podemos à gauche, issu du mouvement des indignés, et Cinos au centre droit.
Quel est le rôle du gouvernement espagnol ?
Le gouvernement a comme rôle principal de diriger la politique intérieure et extérieure, l'administration civile et militaire et la défense de l'État. Il exerce aussi la fonction exécutive et le pouvoir règlementaire conformément à la constitution et à la loi. De plus, il est celui qui gère le budget de l’État espagnol.
Quelle est la forme politique de l’État espagnol ?
Il précise que la forme politique de l’état espagnol est la monarchie parlementaire. La constitution pour l’organisation de son régime parlementaire s’est inspirée de la loi fondamentale allemande et de son modèle de régime parlementaire moniste rationalisé. I - Les organes politiques :
L'état de la
Constitution
Le blog de la revue Jus Politicum2017
Université Paris II Panthéon Assas
L'état de la Constitution
Le blog de la revue Jus Politicum 2017
Rédaction
Manon Altwegg-Boussac,
Professeur, Université du Littoral
Denis Baranger,
Professeur, Université Panthéon-Assas (Paris II)Olivier Beaud,
Professeur, Université Panthéon-Assas (Paris II)Cécile Guèrin-Bargues,
Professeur, Université Paris-Nanterre
Bruno Daugeron,
Professeur, Université Paris Descartes
Pierre Auriel,
Doctorant, Université Panthéon-Assas (Paris II)Emma Grego,
Doctorante, Université Monpellier 1
Ludmila Leboeuf,
Doctorante, Université Panthéon-Assas (Paris II)Design graphique
Doctorante, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne 11Denis Baranger
Préface
12LA CINQUIÈME RÉPUBLIQUE
13Pierre Mouzet
Les deux procès Lagarde
17Jean-Marie Denquin
Le mythe des primaires
26Denis Baranger, Olivier Beaud, Jean-Marie Denquin, Olivier Jouanjan,
Patrick Wachsmann
L'affaire Fillon n'est pas un " coup d'Etat institutionnel » 31Serge Sur
La V eRépublique et ses métamorphoses
35Bruno Daugeron
Election présidentielle : les illusions du " présidentialisme programmatique » 40Olivier Beaud
L'élection présidentielle face à l'imprévu 48Jean-Marie Denquin
Paysage après la bataille : V
ème
, VIème
ou IVème
République ?Sommaire
53Jean-François Kerléo
La conformité déontologique, critère supplémentaire de sélection des membres du gouvernement 59Jean-Marie Denquin
Les élections législatives de juin 2017 : les dangers de la futurologie 67Olivier Beaud
La circulaire du Premier ministre sur " le travail gouvernemental » : une impression de " déjà vu » ou une promesse de renouveau ? 76Bruno Daugeron
Pas élu, pas ministre ! Responsabilité politique ou marketingélectoral ?
83Matthieu Caron
Le décret du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du pouvoir exécutif : un petit pas pour le droit gouvernemental et la transparence de la vie publique 90Elina Lemaire
La procédure accélérée ou la regrettable normalisation d'une procédure dérogatoire 97Nicolas Thiébaut
La déclaration présidentielle d'Emmanuel Macron devant le Congrès : entre problèmes anciens et nouveaux usages 105Thomas Perroud
L'état d'urgence : pour un tournant empirique du contentieux constitutionnel 111Denis Baranger
La Constitution et le statut des députés : que faut-il changer ?Sommaire 120Thomas Hochmann
Les carpes du Luxembourg. À propos du Sénat et du Conseil constitutionnel 127LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL
128Thomas Perroud
133Denis Baranger
Consultation de sites djihadistes : il ne faut pas réduire leParlement au silence
139Thomas Perroud
Un choix de société du Conseil constitutionnel : la liberté contractuelle contre la solidarité 145Mathieu Carpentier
Un " lit de justice » contestable : la réintroduction du dél it de consultation de sites terroristes 153Thomas Perroud
Le Conseil constitutionnel et les portes étroites 161Jean-François Kerléo
Les enseignements de la décision du Conseil constitutionnelélections législatives
168Thomas Perroud
La moralisation de la vie démocratique : on est loin du compte !Sommaire 175ETATS-UNIS
176Idris Fassassi
Obama, la justice pénale et la revue
180Matthieu Bertozzo
Scandale de la NSA : le droit d'enquête parlementaire victime de la politique étrangère allemande 184Maud Michaut, Mathilde Laporte
" Protéger la nation de l'entrée de terroristes étrangers aux États-Unis » 1 : présentation et traduction de l'executive order du 27 janvier 2017 193Quentin Epron
Une crise constitutionnelle américaine ?
197Maud Michaut, Mathilde Laporte
" Protéger la nation de l'entrée de terroristes étrangers aux États-Unis » 2 : la contestation de l'executive order devant le s cours 206Aurélien de Travy
Les démocrates américains peuvent-ils faire obstruction à la nomination de Neil Gorsuch ? 212Tarek Darwish
Pourquoi le Président Trump n'est pas parvenu à abroger l'Obamacare : un échec politique et institutionnel 218Maud Michaut
Le Président des États-Unis peut-il être attrait devant le tribunal d'un État fédéré ? À propos de l'affaire Z ervos v.TrumpSommaire
225Thibaut Fleury Graff
Guerres américaines et pouvoirs du Congrès fédéral : Trump et Obama, même(s) combat(s) 231ROYAUME UNI / BREXIT
232Denis Baranger
L'arrêt Miller de la Cour suprême du Royaume-Uni : une traduction des passages principaux 236Aurélien Antoine
Le jugement Miller, la dévolution et la convention Sewel 241Céline Roynier
La résolution du scandale des notes de frais des MPs au Royaume-Uni ou les bienfaits de la morale constitutionnelle 247Aurélien Antoine
Les élections générales anticipées du 8 juin auRoyaume-Uni : quels enseignements ?
253Pascal Guillon
Qu'est-ce que le Great Repeal Bill ?
262ALLEMAGNE
263Matthieu Bertozzo
Le glas du parti national-démocrate d'Allemagne (NPD) ne sonnera pas pour cette foisSommaire 268ESPAGNE
269Anthony Sfez
Pourquoi l'Espagne est gouvernée sans majorité. L'explication par un mode de scrutin hérité du franquisme 275Anthony Sfez
Crise catalane : qui a suspendu quoi ?
282Anthony Sfez
Crise catalane : suspension de la procédure d'adoption de laDéclaration d'indépendance
287Anthony Sfez
Pourquoi la Catalogne n'a pas vraiment déclaré son indépendance 296EUROPE
297Jean Grosdidier
Une " démocratisation » européenne contre les politiques d'austérité ? Le T-Dem ou le pari d'une zone euro à visag e humain 307VENEZUELA
308Carolina Cerda-Guzman
La décision du 30 mars 2017 du Tribunal Suprême de Justice vénézuélien : un " auto-coup d'Etat » juridictionnelSommaire 314ELECTIONS
315Jean-Marie Denquin
Trompe-l'oeil, faux-semblants et méconnaissance du droit : à propos de la séquence électorale de 2017Sommaire Pourquoi une nouvelle publication sur l'actualité du droit constitutionnel ? Précisémentparce que le droit constitutionnel a une actualité, qui ne se résume pas à celle de la vie politique
et à ses " rendez-vous » (élections, nominations), ses " faits divers » (démissions, révocations,
condamnations...) ou ses crises institutionnelles. C'est plutôt le contraire : en regardant seulement
la vie institutionnelle " par le petit bout » d'une lorgnette politique (les petites phrases, les réactions
à chaud, les apparences de la vie médiatique), on manque la composante constitutionnelle qui pourtant explique souvent l'essentiel. Car tout, dans la politique, n'est pas politicien. Ce que lescitoyens, et même beaucoup d'observateurs éclairés de notre monde politique ne perçoivent pas
toujours assez bien, c'est que le droit impose son propre rythme, ses propres exigences, à l'action
politique.Cet ebook - dont la première édition est gratuite - contient les billets publiés sur le blog
de la revue jus politicum au cours de l'année 1 . Lancé en avril 2016, le blog a connu rapidementjournaux consacraient des chroniques régulières à l'actualité constitutionnelle et aux problèmes
de fond qu'elle révèle. Il fallait renouver le genre, et si possible l'améliorer en retirant au droit
constitutionnel " médiatique » la part d'amateurisme qui souvent le gâche. Car la juridicisation
de nos sociétés fait que les procédures, les mécanismes, les principes, sont complexes et doivent
constitutionnelle de l'année 2017. Complexité des procédures : le procès Lagarde devant la Cour
de Justice de la République, les aléas (et les pathologies) de la procédure d'adoption des grandes
lois qui ont marqué l'année parlementaire... Complexité des principes : le débat sur la séparation
des pouvoirs suscité par " l'affaire Fillon », ou le traitement par le Conseil constitutionnel des
principes d'égalité devant la loi, de liberté contractuelle ou de solidarité. aux lecteurs les moyens de comprendre la vie institutionnelle des grands pays qui nous entourent.Et, bien entendu, 2017 n'a pas été moins riche, par exemple aux Etats-Unis, avec les débuts de
" l'ère Trump » et de l'instabilité institutionnelle qu'elle provoque, et au Royaume Uni. Plusieurs
l'entendement et qu'il ne faut pas réduire à quelques généralités.Denis Baranger
1Le dernier billet publié sur le
blog avant la parution de cet ebook date du 10 novembre 2017.La Cinquième
République
le 30 janvier 2017 blog.juspoliticum.comLes deux procès Lagarde
Pierre Mouzet
Maître de conférences HDR,
Université de Tours
Cour des comptes, Paris
© TouN GFDL or CC-BY-SA-3.0
O n a beaucoup écrit sur la condamnation de Christine Lagarde par la Cour de justice de la République (CJR), le 19 décembre 2016, mais on n'a rien pu dire de son procès devant la Cour de discipline budgétaireEt pour cause : les
ministres n'en sont pas justiciables et cette immunité, avait jugé quinze jours plus tôt leConseil constitutionnel, dans une autre affaire
(599 QPC, 2 décembre 2016), est conforme à la Constitution. Pourtant, c'est bien ce procès-ci qui aurait dû avoir lieu.Plusieurs aberrations convergent, en
effet, dans cette affaire Tapie. Seul StéphaneRichard, Directeur de cabinet de la Ministre
de 2007 à 2009, retournera bientôt devant la CDBF, dont il a déjà obtenu, par deux fois (le22 mai 2014 et le 2 février 2016) mais en vain,
qu'elle renvoie ses QPC relatives au cumul des punitions pénale et disciplinaire (423 QPC du 24 octobre 2014 et 550 QPC du 1er juillet2016). Il ne sera néanmoins passible d'aucune
sanction s'il parvient à exciper d'un " ordre écrit [du] ministre »... que la CDBF ne peut convoquer. On se souvient à l'inverse que laCJR n'avait pas même pu l'entendre. Quant à
l'arrêt du 19 décembre, peut-être n'a-t-on pas que Mme Lagarde soit jugée sans les autres protagonistes du scandale, mais qu'elle soit coupable et dispensée de peine ! Laissonslà la dimension sociologique d'un tel choix, brillant aliment de la contestation du système comment mieux avouer qu'une procédure est inadéquate lorsque d'un même mouvement on condamne et on exonère ?
La thèse ici présentée est qu'il convient cependant d'incriminer moins la CJR, qui n'a le Conseil constitutionnel. Certes, une autre solution que celle de la décision 2016-599 QPC du 2 décembre n'eut rien changé en l'espèce et mérite un instant.En jugeant que l'injusticiabilité des
membres du gouvernement devant cette CDBF ne méconnaissait ni l'article 6 ni même l'article 15 de la Déclaration de 1789, la Rue de Montpensier a, à tort, écarté l'alternative de la responsabilité " disciplinaire », au sens constitutionnel du terme, et laissé accroire que les seules poursuites conformes à laConstitution sont celles possibles devant la
CJR. serait un opportun complément de leurs responsabilités politique et pénale.L'" affaire Lagarde » le montre : la
responsabilité pénale peut être inadaptée, 14 blog.juspoliticum.comLes deux procès Lagarde15Pierre Mouzet
blog.juspoliticum.com au regard des peines. Tel est d'ailleurs le raisonnement qui a conduit le législateur, à la Libération, à créer la Cour de discipline budgétaire.Elle est également inappropriée par
gestion : l'invention de la " négligence » de l'art. 432-16 du code pénal est à la fois l'effet et le témoin de ce que les crimes et délits les plus clairs ne correspondent pas, sauf dans d'improbables hypothèses (par exemple des primes de cabinet en liquide), à ce qu'il importe de sanctionner. Pour le dire de manière simpliste, il semble que, pour les juges de la CJR, la frontière de l'opportunité de la punition passe par l'honnêteté ou l'enrichissement personnel, ce que nul n'a reproché à cette ancienne Ministre-ci.Quant à la responsabilité politique, il
arrive, assurément, qu'elle fonctionne ; non pas via la responsabilité collective parlementaire, évoquée en citant les " procédures prévues » aux articles 49 et 50 de la Constitution, mais en réalité dans le cadre de la responsabilité exécutive individuelle, permise par l'article8 : rappelons-nous la démission d'Hervé
Gaymard de Bercy, en 2005, plus proche du
cas Lagarde que les errements des ministres Cahuzac ou Thévenoud. Il n'en reste pas moins que la responsabilité politique est par hypothèse totalement inadéquate dans deux cas. Quand elle se nicher lorsque le " responsable » n'est justement plus au pouvoir ? Et quelle " négligence » le couple exécutif pourrait-il sanctionner s'il est évident, sinon avéré, que c'est lui qui l'a ordonnée ?Il faut donc chercher une autre
responsabilité constitutionnelle disciplinaire, puisqu'il s'agit de punir et non de réparer (ce qui exclut toute solution civile). Or combien d'alternatives les infractions du code des l'art. 432-16 ! C'est cette source que le Conseil constitutionnel sans qu'on le lui demandât il n'était saisi que de l'injusticiabilité des élus de " contrôles » et d'" obligations politiques, administratives ou pénales » pesant sur les membres du gouvernement...Rendre les membres du gouvernement
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