[PDF] Pâturage sous les noyeraies o Le premier critère





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Le Noyer en Agriculture Biologique

Le rendement optimal d'un verger biologique équilibré se situe autour de 2 T/ha de noix sèches avec de fortes variations en fonction de l'entretien et du 



NOIX EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE Situation 1

En revanche sur la récolte. 2011 la marge brute en BIO est nettement plus importante (de 3000 à. 4000€ supplémentaires par hectare). Rendement Prix de vente.



BIOLOGIQUE

rendement de 25t/ha. Coût total de la fertilisation azotée verger en production. 396 €/ha/an en verger en pleine production



Le noyer producteur de bois

15 oct. 2021 proche déjà leur ombre épaisse qui diminue localement le rendement des récoltes; mais surtout ils constituent un obstacle à l'emploi des.



SYNTHÈSE DESTRAVAUX2018

espèces de C. acutatumprésentes dans la noyeraie française. Déterminer s'il existe des parcelles fertilisation



Concevoir son pré-verger et valoriser ses fruits

CP : rendement de la culture en pur. FP : rendement fruitier en verger pur. BP : rendement de bois en pur. Système de pré-verger. Prairie associée.



Ref.Noyer 2020 tableau par culture

Noyeraie en production. Dose d'azote à apporter (reporter la valeur colonne J). Rendement et vigueur. Dose pivot d'azote prévisionnelle en N. (unités/ha).



Pâturage sous les noyeraies

o Le premier critère de variation du rendement en herbe sous les noyers reste la frondaison des arbres. (ensemble de leur partie aérienne).



RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de lagriculture de l

7 déc. 2016 les surfaces des noyeraies susceptibles de bénéficier de ... Le rendement moyen net des vergers de l'exploitation est limité à 4 tonnes à ...



SYNTHÈSE DESTRAVAUX2019

Les sols des noyeraies sont de plus en plus compactés Sur la parcelle plantée en 2012 (4e année de mise à fruits) le rendement de.



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Le rendement optimal d'un verger biologique équilibré se situe autour de 2 T/ha de noix sèches avec de fortes variations en fonction de l'entretien et du 



[PDF] NOIX EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE Situation 1

Avant de passer à l'agriculture biologique les noyers n'étaient pas poussés à leur maximum de production Il n'y a donc pas eu de baisse de rendement lors de 



[PDF] BIOLOGIQUE - chambre agriculture rhone

rendement de 25t/ha Coût total de la fertilisation azotée verger en production 396 €/ha/an en verger en pleine production



[PDF] elaboration des referentiels techniques et technico - ARDNA

Selon les déclarations des agriculteurs le rendement de noyer varie selon l'âge de l'arbre ; ainsi pour verger dont l'âge des arbres est inferieur à 10 ans le 



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Rendement au cassage des différentes variétés de noyer (moyenne de 3 années) Figure 4 3 Teneur en huile des différentes variétés de noyers (moyenne de trois 



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La faiblesse et l'instabilité des rendements de noix au Maroc sont la résultante de plusieurs facteurs notamment des stress biotiques et abiotiques Pour les 



NOIX Retour sur investissement long pour une production rentable

7 PRODUITS Revenu par hectare en année de pleine production Noyeraie de type Le rendement commercialisable de noix sèches/ha étant de 15 à 25 tonnes 



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Les sols des noyeraies sont de plus en plus compactés Sur la parcelle plantée en 2012 (4e année de mise à fruits) le rendement de



[PDF] synthèse - SENURA

Les sols des noyeraies sont de plus en plus compactés du fait de la mécanisation de la récolte Cette année le rendement est décevant probablement



[PDF] Le noyer producteur de bois - HAL

15 oct 2021 · c'est le verger de noyers la noyeraie où les arbres rapprochés les rendement à l'usinage ce qui résulte de qualités de forme A cet

  • Quel est le rendement d'un noyer ?

    Rendement du noyer
    Les noyers adultes sains produisent entre 30 et 160kg de noix mais cette production ne peut être obtenue tous les ans. L'arbre poss? une tendance inhérente à l'alternance et il porte habituellement une bonne production tous les deux ans.
  • Comment avoir de grosses noix ?

    Choisissez de préférence un endroit bien dégagé car il atteindra une taille importante en hauteur, mais surtout en largeur. Lors de la plantation, incorporez à la terre un bon terreau plantation et également un amendement organique capable d'apporter à l'arbre les besoins nutritifs dont il a besoin.
  • Quand un noyer donne des noix ?

    Il devient adulte entre 25 et 40 ans et peut facilement devenir centenaires (il peut vivre jusqu'à 300 ans). Il faut attendre 5 ou 6 ans avant qu'il ne produise des noix. Il donne des fruits pendant 150 à 200 ans, mais au bout de 70 à 100 ans, sa production de noix faiblit.
  • Il donne des fruits, mais aussi du bois qui peut être utilisé en ébénisterie et marqueterie. C'est un arbre vigoureux et rustique : il supporte jusqu'à -30°. Facile d'entretien car ne nécessitant pas de taille, il aime les sols riches et a besoin d'eau, notamment en juin lors de la croissance de ses fruits.

L'herbe qui pousse à l'ombre des

noyers et a fortiori lorsqu'ils sont irrigués est une ressource alimentaire de bonne qualité́ pour les brebis.

Le pâtur age maitrise

l'enherbement et limite le nombre de broyages. Pour l'éleveur ovin : l'herbe au printemps et en été Une ressource fourragère liée à la frondaison des arbres

o Dans la mesure où elle est courte et feuillue, la valeur alimentaire de l'herbe présente sous les noyers

est en règle générale de bonne qualité. o Les règles de pâturage sont les mêmes que celles des prairies :

-Un niveau de chargement instantané (densité́ d'animaux à un mo- ment donné) d'environ 80 brebis

par hectare, -Un temps de séjour par parcelle entre 5 et 8 jours, -Une hauteur d'herbe au moins de 5 cm.

o Le premier critère de variation du rendement en herbe sous les noyers reste la frondaison des arbres

(ensemble de leur partie aérienne). Plus elle est abondante, moins la ressource est importante. La

présence ou non de l'irrigation reste le second critère qui influe sur la quantité d'herbe disponible

pour les brebis.

Pâturage sous les

noyeraies

Sanitaire : les précautions à prendre

o Les ovins sont sensibles à l'excès de cuivre. Dans les noyeraies traitées au cuivre, l' herbe peu t ne présenter aucun risq ue sanitaire ou bien concentrer des niveaux nettement supérieurs au seuil de toxicité. o Il est impératif d'adapter les périodes de pâturage avec celles des traitements des noyers. Le temps d'attente avant l'entrée des brebis sur la parcelle varie de 2 jours à 3 semaines selon le produit utilisé. o D'autre part, si un semis est programmé dans les inter-rangs, préférez les variétés fourragères à celles typées pour l'engazonnement. Ces dernières sont en effet susceptibles de produire des mycotoxines entrainant des phénomènes de photosensibilisation chez les animaux.

Une question d'apprentissage

o Afin de vérifier qu'elles ne mangent pas l'écorce des arbres, il est nécessaire de surveiller les brebis.

Un apprentissage à la clôture électrique est également fortement recommandé .

o Enfin, même si l'alimentation est gratuite, les temps de visite journaliers et coûts de déplacement

imposent que la zone de pâturage ne soit pas trop éloignée du site de l'exploitation de l'éleveur.

Pour le nuciculteur : économiser des passages de broyeur

2 ou 3 broyages en moins

o Afin de limiter la concurrence de l'enherbement pour l'eau et les éléments nutritifs vis-à-vis des

arbres, sa maitrise est nécessaire au printemps et en été́. Ces périodes correspondent aux phases

successives de grossissement des noix, d'induction florale pour l'année suivante et de remplissage

des cerneaux.

o Lorsque la pluviométrie est régulière et a fortiori si la noyeraie est irriguée, les brebis peuvent pâturer

à 4 ou 5 reprises en 5 mois.

o Au printemps et en été, seulement un ou deux broyages des refus sont alors nécessaires. Cela

représente une économie de 80 % du temps de broyage par rapport à une noyeraie non pâturée.

o Le broyage avant récolte reste toutefois nécessaire. En effet, la récolte mécanique nécessite un

enherbement le plus ras possible.

o Quant à l'apport de fertilisation via les crottes des brebis, il n'a pas été́ quantifié.

Pas de tassement au sol

o Le passage des brebis sous les noyers n'induit pas de tassement du sol. Au contraire, leur présence

offre un couvert plus dense qui protège du tassement via un système racinaire prairial structurant de

manière homogène les premiers horizons de sol.

o Comparativement, les vergers entretenus mécaniquement présentent souvent un fort tassement de

sol lié aux passages de roues où s'y développe une flore caractéristique à racines pivotantes.

o Attention toutefois aux zones de couchage si les brebis y stationnent plusieurs mois: les arbres meurent par excès des déjections. Peu compatible avec certains systèmes d'irrigation o Si tous les systèmes d'irrigation en micro aspersion suspendue ne posent pas de problème, le pâturage des brebis n'est pas compatible avec les sprintlers. Les brebis s'y frottent et finissent par plier les cannes. Les systèmes de goutte à goutte risquent également d'être endommage s. Protéger les jeunes arbres et la prochaine récolte o La protection des arbres doit être maintenue jusqu'à ce qu'ils aient atteint une taille suffisante (8 ou 10 ans). o Les arbres récoltés (jeunes arbres en remplacement dans un verger) sont impérativement à protéger avant l'entrée des brebis dans la noyeraie. o Il est obligatoire de sortir les brebis 3 semaines à un mois avant la récolte pour éviter que les crottes ne salissent les noix. Comparaison du Pâturage avec les autres techniques

PÂTURAGE ENTRETIEN

CONVENTIONNEL

ENTRETIEN

MECANIQUE

Temps

Intervention

s techniques

2 broyages et 1 avant

récolte

2h 4-5 broyages herbe

4h 30

4-5 broyages

herbe 4h 30

1 broyage résidus

1h 1 broyage résidus 1h 1 broyage

résidus 1h

2 fauchages du rang 1h30 2 désherbages

chimiques

1h 3-4 fauchages

du rang 2h

Modification irrigation 1h30

Total des h 6h 6h

30
7h 30

Les + Les -

+ Gain de temps sur les interventions mécaniques : plus faciles (- de consommation de carburant) et moins fréquentes + Coûts de traitement réduits + Apport de fumure organique + Bon nettoyage sur le rang - Dégâts possibles sur arbres et système d'irrigation - En zone de refus : risque de développement d'adventices vivaces (ortie, rumex, chardon...) - Toxicité́ du cuivre pour les brebis gestantes (éviter les traitements fongiques en période de pâturage). - Nécessité d'un parcellaire groupequotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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