Complications aiguës de la drépanocytose de ladulte : de la
Les principales complications drépanocy- taires aiguës sont la crise vaso-occlusive osseuse le syndrome thoracique aigu
Complications chroniques du sujet drépanocytaire adulte à Brazzaville
Mots clés : Drépanocytose complications chroniques
Complications Chroniques de la Drépanocytose dans une
Objectif : Décrire les fréquences des complications chroniques de la drépanocytose chez le sujet adulte SS et SC suivis au CHU Campus de Lomé. Patients et
Drepanocytose-FRfrPub125v01.pdf - La drépanocytose
Il arrive que les crises vaso-occlusives deviennent plus rares mais il peut apparaître des complications chroniques diverses. Atteintes ostéo-articulaires.
Syndromes drépanocytaires majeurs de ladulte
La drépanocytose est une maladie chronique grave réduisant notablement la qualité de vie personnelle et sociale. Son évolution est émaillée de complications
Article original
COMPLICATIONS AIGUES DE LA DREPANOCYTOSE AIGUES drépanocytose soit une maladie chronique elle est ... complications aigue de la drépanocytose.
Les Complications Osseuses au Cours de la Drepanocytose au
Drepanocytose au Service d'Hematologie-Oncologie du CHU de Donka de Conakry complications aiguës et chroniques qui intéressent presque tous les organes.
Les facteurs associés aux complications chroniques et la qualité de
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DREPANOCYTOSE : COMPLICATIONS ORTHOPEDIQUES
La drépanocytose touche environ 50 millions de personnes dans le monde. l'évolution chronique des séquestres
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Arch. Pédiatr 2010;17:294-302. 6. Gbadoé AD Dogba A
Complications aiguës de la drépanocytose de ladulte
Les principales complications drépanocy- taires aiguës sont la crise vaso-occlusive osseuse le syndrome thoracique aigu l'accident vasculaire cérébral le
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L'histoire naturelle de la drépanocytose homozygote est émaillée de complications aigues et chroniques dont la distribution est variable selon l'âge Ainsi les
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Résumé Objectif : Décrire les fréquences des complications chroniques de la drépanocytose chez le sujet adulte SS et SC suivis au CHU Campus de Lomé
Complications Chroniques de la Drépanocytose dans une
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Lors de l'évolution chronique des séquestres fragments osseux morts et infectés vont persister et se réveiller à la moindre agression imposant alors une
Quel sont les complications de la drépanocytose ?
Les principales complications drépanocy- taires aiguës sont la crise vaso-occlusive osseuse, le syndrome thoracique aigu, l'accident vasculaire cérébral, le priapisme aigu et l'anémie aiguë.Quelle est la forme la plus grave de la drépanocytose ?
La drépanocytose homozygote
C'est la forme la plus grave. Elle signifie que les deux gènes sont mutés.C'est quoi une crise vaso-occlusive ?
C'est la complication redoutée par excellence de la crise vaso-occlusive. Il s'agit d'une manifestation thoracique associant des douleurs thoraciques et des anomalies parenchymateuses pulmonaires pouvant aboutir rapidement à une situation de détresse respiratoire aiguë nécessitant une ventilation invasive.- Les syndromes drépanocytaires majeurs regroupent trois formes génétiques principales: homozygoties S/S, hétérozygoties composites S/C et S/?°ou S/?+thalassémies. Les formes les plus sévères sont les homozygoties S/S ainsi que les S/?°thalassémies.
Article original
COMPLICATIONS AIGUES DE LA DREPANOCYTOSE AIGUES
Chetcha Chemegni B1., Ngouefo G2., Ngo Sack F3., Ngouadjeu E3., Kouemeni L2., Kaptué Noche L2.1. Faculté de médecine et des sciences biomédicales Université de Yaoundé I
2. Institut supérieur des sciences de la sante Université des montagnes
3. Faculte de médecine et des sciences pharmaceutiques Université de Douala
RESUME
prévalence est de 20-30% pour les porteurs du trait drépanocytaire et 2-3% pour les homozygotes Elle est caractérisée par les exacerbations aigues notamment des complications ischémiques, anémiques et infectieuses lesquelles nécessitent une thérapeutique efficace. Au Cameroun, le drépanocytaire est trop souvent sujet à de multiples hospitalisations fréquence des complications aigues de la drépanocytose homozygote et de décrire leur procédure de prise en charge. de Février à Juin 2017 dans le service Yaoundé. Nous y avons procédé à un recrutement consécutif exhaustif de tous les cas de complication aigu de la drépanocytose homozygote admis en hospitalisation. Un questionnaire préétabli a été leurs sorties respectives. Au total, 75 malades ont participé à notre étude et représentaient 57% des admissions du service. La a plus représentée se situant entre 15 à 24 ans soit 60% des effectifs. Le motif de consultation le plus fréquent était la douleur 81% (61), avec comme principal facteur déclenchant la fièvre 57% (35). Les complications ischémiques étaient les plus rencontrées 81% (61), ensuite venaient les infectieuses 37% (28) enfin anémiques34% (26). Ces complications étaient associées chez
30% de nos malades. La Numération Formule
Sanguine était réalisée chez tous les malades. nte mais favorable néanmoins, avec une durée ; le palier65% (20). La transfusion sanguine a été réalisée
chez 53% (40). Parmi nos participants, 72% (54) conditions de prise en charge des nombreux drépanocytaires homozygote trop souvent affectés. Mots clés : complications aigues, drépanocytose homozygote, prise en charge, suivi régulierINTRODUCTION
La drépanocytose est définie comme un trouble omalie chronique des hématies avec plusieurs conséquences cliniques [1]. Sur le plan mondial, est présente chez 20-25 millions de personnes dont12-15 millions en Afrique avec une nette
prédominance en Afrique subsaharienne, situant le Cameroun dans la zone de grande endémicité [3]. Par ailleurs, au Cameroun, sa prévalence a été estimée à 20-30 % pour les porteurs du trait drépanocytaire et 2-3% pour les homozygotes par Kaptue et al [4]. Puis 10 ans plus tard on note une très légère modification par Mbopi et al qui à 18.2% et 2-3% respectivement [5]. Bien que la drépanocytose soit une maladie chronique elle est potentiellement grave, car caractérisée par la survenue de complications aigues associant trois grandes catégories de manifestations cliniques qui anémiques et infectieuses [6]. Ces complications nécessitent une bonne démarche diagnostique, une prise en charge rapide, adaptée et efficace et une maîtrise des facteurs déclenchant pour ainsi contourner le risque élevé de morbidité et de mortalité auquel elles exposent les drépanocytaires [7]. complications aigues de la drépanocytose ont été menées. Ceci a suscité notre intérêt pour ces patients trop souvent sujets à de multiples hospitalisations. Quelle est la fréquence des complications aigue de la drépanocytose prises en charge ? Est- diminue leurs survenues ? Ainsi, nous nous proposons par la présente étude de décrire la procédure thérapeutique des 19 Conduite à tenir Journal Marocain des Sciences Médicales 2017, Vol 21 ; N°2Article original
complications aigues de la drépanocytose homozygote pour enfin ressortir les limites de leurs prises en charge, afin de proposer des mesuresMETHODOLOGIE
longitudinale. de Février à Juin 2017chez les patients drépanocytaires hospitalisés et pris admis au service pour une complication aigue de la drépanocytose et Ayant consenti à participer à notre
étude.
Etait exclus tout patient admis pour un motif autre fiches anonymes dédiées. Nous avons étudié : -Variables quan vitaux). - Variables qualitatives (sexe, le niveau type de complication aigue, outils diagnostics, - Toutes les données ont été du logiciel SPSS.20.0 - Le calcul de la moyenne +/- médiane pour les variables quantitatives ; - Le calcul des pourcentages pour les variables qualitatives ; - Les comparaisons ont été réalisée par : le test de student pour les fréquences et le test de chi- carré pour les variables qualitative ; - Les résultats sont présentés sous forme de tableaux et de graphiques.RESULTATS
Nous avons recruté 75 patients, et avons enregistré étaient âgés de 15 à 58 ans, avec un âge moyen de23,92 ± 7.27 ans.
représentée était de 15 a 24 ans avec un effectif de45 patients. Le sexe le plus représenté était le sexe
masculin (60% de notre population) avec une sex- ratio de 1,5. prédominait soit 61% des patients. 21 patients étaient régulièrement suivi contre 54 non suivi. Le principal facteur de risque retrouvé chez nos malades était la fièvre (57%). Le principal motif de consultation évoqué par les malades était la douleur81% (61). Les complications ischémiques étaient
les plus rencontrées au cours de notre période ion de 81%. Les crises Ostéoarticulaires représentaient 72% de celles-ci, le syndrome abdominal 12%, le STA 11%, et le cécité brutale liée à la drépanocytose. Les complications infectieuses étaient le deuxième type de complications aigues le plus représenté avec un pourcentage de 37%. Les pneumonies en représentaient la principale étiologie avec un pourcentage de 57%. Un sepsis était présent chez21% des malades, tandis que les infections
respectivement 11%, 7% et 4% des participants. Les complications anémiques étaient retrouvées chez 34% des malades admis, avec des étiologies largement dominées par les anémies hyperhémolytiques avec un pourcentage de 62%.été enregistrée.
pas toujours uniques chez chacun des participants. Ils étaient retrouvés en association chez 30 de nos la plus retrouvée était la triple association avec un effectif égal à 16, soit 22% de notre population totale. Ensuite était représenté la double association [Ischémique + Infectieuse] avec une proportion de double association [Infectieuse + Anémique], présente chez un seul malade.Au cours des admissions pour complication
fisait pour poser réalisé dans 15% des cas et la radiographie osseuse dans 3%. Au cours des crises anémiques, la NFS était le principal examen et a été réalisé chez tous les malades. Les autres outils employés pour un diagnostic étiologique incluaient la RAI (12%), le dosage de la G6PD (8%) et la détermination du taux de réticulocytes (4%). Pour les complicationsCRP avec une proportion de 89% ; la radiographie
pulmonaire le deuxième examen le plus fréquent réalisée que chez 3 malades, soit 11% des participants présentant un syndrome infectieux. Un ne échographie alternance, avec comme principal soluté le Sérum chez tous les malades hospitalisés pour une complication ischémique le deuxième soluté le plus utilisé était le sérum mixte (98%) et en dernière position le sérum glucosé (2%). La prise en charge antalgique intéressait essentiellement les paliers I etII avec pour proportions respectives 93% et 95%.
Les molécules les plus utilisées était : pour le palier I, le Kétoprofèn (77%) et le Paracétamol (57%) ; 20 Conduite à tenir Journal Marocain des Sciences Médicales 2017, Vol 21 ; N°2Article original
pour le palier II essentiellement le Tramadol (95%). nos malades, soit une proportion de 3%. La transfusion sanguine quant à elle intéressait 7% des malades admis pour complication ischémique lorsque la douleur était persistante. Il s'agissait à nos participants était satisfait de leur antalgique reçu contre 49% (30) qui ont qualifié la prise en charge de mauvaise. chez 65% des malades admis pour complication infectieuseété utilisé illine dans
3%. Le sang total était le plus facile à obtenir et
donc le plus prescrit (61%), le culot globulaire a été On note ici une décroissance progressive des intensités de la douleur évaluées par les malades inférieure ou égale à 5 dès J5 et une intensité nulle dès J10. Notons néanmoins une élévation secondaire de la courbe à J11 (fig 1). On note uneélévation lente des moyennes de taux
limite supérieure de 7g/dl, taux au-dessus duquel (fig 2). On remarque ici une décroissance progressive des tem générale était vers une température inférieure ou totale dès J8 (fig 3).Figure 1
Figure 2
Figure 3
DISCUSSION
un âge plus représentée se situant entre 15 et 24 ans soit60% de notre population. Cette répartition pourrait
pathologie par les sujets plus âgés qui appliquent mieux les mesures de prévention et sont donc moins affectés par les complications aigues. Plus encore, drépanocytaires. En effet, aux Etats Unis, leur espérance de vie serait réduite de 25 à 30 ans par rapport à la population noire américaine en général [9]. Latoundji et al en 1991 retrouvent au bénin une survie à 30 ans de 18,66% chez les sujets drépanocytaires homozygotes [10]. Il existait une prédominance masculine avec un sex-ratio de 1,5. Ceci rejoint les assertions de Ninmou et al en 2014 [16], Yotenje et al en 2016[11], qui ont retrouvé une prédominance masculine avec un sex-ratio- respectif de 1,02 et 1,13. En revanche, Bertrand et al 1975[12] et Dokekias et al en 1996 [13], ont retrouvé une prédominance féminine avec un sex- ratio respectif de 0,8 et 0,7. La drépanocytoseà transmission liée au
sexe, les différences de résultats observées entre ces nstruction du malade et des parents, nous avons 21Conduite à tenir Journal Marocain des Sciences Médicales 2017, Vol 21 ; N°2
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observés une prédominance du niveau supérieur représenté par 33 participants, soit 44%, avec respectivement 39% et 17% pour les niveaux, secondaire et primaire. Cette distribution est largement influencée par Diop et al au Sénégal en 2003 retrouvaient un pourcentage de 13% pour le niveau universitaire,47% pour le niveau secondaire et 40% pour le
niveau primaire [14]; cette disparité pourrait deux civilisations et mieux encore par une meilleure compréhension de la maladie de nos jours et mesures prophylactiques telles : la Le des parents est largement dominé par le supérieur (61%) ; suivi par le pWDQW VLWXp HQ SOHLQ Fquotesdbs_dbs35.pdfusesText_40[PDF] osteomyelite et drepanocytose
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