[PDF] Pierre Perret Paroles et Musique : Jean-Jacques





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Paroles et Musique: Pierre Perret 1977 On la trouvait plutôt jolie Elle s'est tapé les sales boulots Lily La suite l'avenir est un long passé

:
Lily

Pierre Perret

Paroles et Musique: Pierre Perret 1977

On la trouvait plutôt jolie, Lily

Elle arrivait des Somalies Lily

Dans un bateau plein d'émigrés

Qui venaient tous de leur plein gré

Vider les poubelles à Paris.

Elle croyait qu'on était égaux Lily

Au pays de Voltaire et d'Hugo Lily

Mais pour Debussy en revanche

Il faut deux noires pour une blanche

Ça fait un sacré distinguo

Elle aimait tant la liberté Lily

Elle rêvait de fraternité Lily

Un hôtelier rue Secrétan

Lui a précisé en arrivant

Qu'on ne recevait que des Blancs

Elle a déchargé des cageots Lily

Elle s'est tapé les sales boulots Lily

Elle crie pour vendre des choux-fleurs

Dans la rue ses frères de couleur

L'accompagnent au marteau-piqueur

Et quand on l'appelait Blanche-Neige Lily

Elle se laissait plus prendre au piège Lily

Elle trouvait ça très amusant

Même s'il fallait serrer les dents Ils auraient été trop contents

Elle aima un beau blond frisé Lily

Qui était tout prêt à l'épouser Lily

Mais la belle-famille lui dit nous

Ne sommes pas racistes pour deux sous

Mais on veut pas de ça chez nous

Elle a essayé l'Amérique Lily

Ce grand pays démocratique Lily

Elle aurait pas cru sans le voir

Que la couleur du désespoir

Là-bas aussi ce fût le noir

Mais dans un meeting à Memphis Lily

Elle a vu Angela Davis Lily

Qui lui dit viens ma petite soeur

En s'unissant on a moins peur

Des loups qui guettent le trappeur

Et c'est pour conjurer sa peur Lily

Qu'elle lève aussi un poing rageur Lily

Au milieu de tous ces gugus

Qui foutent le feu aux autobus

Interdits aux gens de couleur

Mais dans ton combat quotidien Lily

Tu connaîtras un type bien Lily

Et l'enfant qui naîtra un jour

Aura la couleur de l'amour

Contre laquelle on ne peut rien

On la trouvait plutôt jolie, Lily

Elle arrivait des Somalies Lily

Dans un bateau plein d'émigrés

Qui venaient tous de leur plein gré

Vider les poubelles à Paris.

Comme toi

Jean-Jacques Goldman

Paroles et Musique : Jean-Jacques Goldman

Elle avait les yeux clairs et la robe en velours

À côté de sa mère et la famille autour Elle pose un peu distraite au doux soleil de la fin du jour

La photo n'est pas bonne mais l'on peut y voir

Le bonheur en personne et la douceur d'un soir

Elle aimait la musique surtout Schumann et puis Mozart

Comme toi comme toi comme toi comme toi

Comme toi comme toi comme toi comme toi

Comme toi que je regarde tout bas

Comme toi qui dort en rêvant à quoi

Comme toi comme toi comme toi comme toi

Elle allait à l'école au village d'en bas

Elle apprenait les livres elle apprenait les lois

Elle chantait les grenouilles et les princesses qui dorment au bois

Elle aimait sa poupée elle aimait ses amis

Surtout Ruth et Anna et surtout Jérémie

Et ils se marieraient un jour peut-être à Varsovie

Elle s'appelait Sarah elle n'avait pas huit ans

Sa vie c'était douceur rêves et nuages blancs Mais d'autres gens en avaient décidé autrement Elle avait tes yeux clairs et elle avait ton âge C'était une petite fille sans histoires et très sage Mais elle n'est pas née comme toi ici et maintenant

Comme toi comme toi comme toi comme toi

Comme toi comme toi comme toi comme toi

Comme toi que je regarde tout bas

Comme toi qui dort en rêvant à quoi

Comme toi comme toi comme toi comme toi

Né en 17 à Leidenstadt

Jean-Jacques Goldman,

1990, Fredericks, Goldman, Jones.

{Refrain :

Et si j'étais né en 17 à Leidenstadt

Sur les ruines d'un champ de bataille

Aurais-je été meilleur ou pire que ces gens

Si j'avais été allemand ?

Bercé d'humiliation, de haine et d'ignorance

Nourri de rêves de revanche

Aurais-je été de ces improbables consciences

Larmes au milieu d'un torrent

Si j'avais grandi dans les

docklands de Belfast

Soldat d'une foi, d'une caste

Aurais-je eu la force envers et contre les miens

De trahir: tendre une main

Si j'étais née blanche et riche à Johannesburg

Entre le pouvoir et la peur

Aurais-je entendu ces cris portés par le vent

Rien ne sera comme avant

On saura jamais c'qu'on a vraiment dans nos ventres

Caché derrière nos apparences

L'âme d'un brave ou d'un complice ou d'un bourreau?

Ou le pire ou plus beau ?

Serions-nous de ceux qui résistent ou bien les moutons d'un troupeau

S'il fallait plus que des mots ?

{au Refrain} Et qu'on nous épargne à toi et moi si possible très longtemps

D'avoir à choisir un camp

Les restos du coeur

Jean-Jacques Goldman

Paroles et Musique : Jean-Jacques Goldman 1986

"Les Enfoirés - Les Restos du coeur 86"

Moi, je file un rancard

A ceux qui n'ont plus rien

Sans idéologie, discours ou baratin

On vous promettra pas

Les toujours du grand soir

Mais juste pour l'hiver

A manger et à boire

A tous les recalés de l'âge et du chômage

Les privés du gâteau, les exclus du partage

Si nous pensons à vous, c'est en fait egoïste Demain, nos noms, peut-être grossiront la liste

Aujourd'hui, on n'a plus le droit

Ni d'avoir faim, ni d'avoir froid

Dépassé le chacun pour soi

Quand je pense à toi, je pense à moi

Je te promets pas le grand soir

Mais juste à manger et à boire

Un peu de pain et de chaleur

Dans les restos, les restos du coeur

Autrefois on gardait toujours une place à table

Une soupe, une chaise, un coin dans l'étable

Aujourd'hui nos paupières et nos portes sont closes

Les autres sont toujours, toujours en overdose

J'ai pas mauvaise conscience

Ça m'empêche pas d'dormir

Mais pour tout dire, ça gâche un peu le goût d'mes plaisirs C'est pas vraiment ma faute si y'en a qui ont faim

Mais ça le deviendrait, si on n'y change rien

J'ai pas de solution pour te changer la vie

Mais si je peux t'aider quelques heures, allons-y

Y a bien d'autres misères, trop pour un inventaire

Mais ça se passe ici, ici et aujourd'hui

C'est déjà ça

Alain Souchon

Paroles : Souchon, Voulzy

Je sais bien que, rue d'Belleville,

Rien n'est fait pour moi,

Mais je suis dans une belle ville :

C'est déjà ça.

Si loin de mes antilopes,

Je marche tout bas.

Marcher dans une ville d'Europe,

C'est déjà ça.

Oh, oh, oh, et je rêve

Que Soudan, mon pays, soudain, se soulève...

Oh, oh,

Rêver, c'est déjà ça, c'est déjà ça.

Y a un sac de plastique vert

Au bout de mon bras.

Dans mon sac vert, il y a de l'air :

C'est déjà ça.

Quand je danse en marchant

Dans ces djellabas,

Ça fait sourire les passants :

C'est déjà ça.

Oh, oh, oh, et je rêve

Que Soudan, mon pays, soudain, se soulève...

Oh, oh,

Rêver, c'est déjà ça, c'est déjà ça,

C'est déjà ça, déjà ça.

Déjà...

Pour vouloir la belle musique,

Soudan, mon Soudan,

Pour un air démocratique,

On t'casse les dents.

Pour vouloir le monde parlé,

Soudan, mon Soudan,

Celui d'la parole échangée,

On t'casse les dents.

Oh, oh, oh, et je rêve

Que Soudan, mon pays, soudain, se soulève...

Oh, oh,

Rêver, c'est déjà ça, c'est déjà ça.

Je suis assis rue d'Belleville

Au milieu d'une foule,

Et là, le temps, hémophile,

Coule.

Oh, oh, oh, et je rêve

Que Soudan, mon pays, soudain, se soulève...

Oh, oh,

Rêver, c'est déjà ça, c'est déjà ça.

Oh, oh, oh, et je rêve

Que soudain, mon pays, Soudan se soulève...

Oh, oh,

Rêver, c'est déjà ça, c'est déjà ça.

C'est... dé... jà... ça.

Et si en plus y'a personne

Alain Souchon

Paroles et Musique : Alain Souchon, Laurent Voulzy 2005 "La Vie Théodore"

Abderhamane, Martin, David

Et si le ciel était vide

Tant de processions, tant de têtes inclinées

Tant de capuchons tant de peur souhaitées

Tant de démagogues de Temples de

Synagogues

Tant de mains pressées, de prières

empressées

Tant d'angélus

Ding

Qui résonne

Et si en plus

Ding

Y'a personne

Abderhamane, Martin, David

Et si le ciel était vide

Il y a tant de torpeurs

De musiques antalgiques

Tant d'anti-douleurs dans ces jolis cantiques

Il y a tant de questions et tant de mystères

Tant de compassions et tant de revolvers

Tant d'angélus

Ding

Qui résonne

Et si en plus

Ding Y'a personne

Arour hachem, Inch Allah

Are Krishhna, Alléluia

Abderhamane, Martin, David

Et si le ciel était vide

Si toutes les balles traçantes

Toutes les armes de poing

Toutes les femmes ignorantes

Ces enfants orphelins

Si ces vies qui chavirent

Ces yeux mouillés

Ce n'était que le vieux plaisir

De zigouiller

Et l'angélus

Ding

Qui résonne

Et si en plus

Ding

Y'a personne

Et l'angélus

Ding

Qui résonne

Et si en plus

Ding

Y'a personne

Là-bas

Jean-Jacques Goldman

Paroles et Musique : Jean-Jacques Goldman 1987 "Entre gris clair et gris foncé"

Là-bas

Tout est neuf et tout est sauvage

Libre continent sans grillage

Ici, nos rêves sont étroits

C'est pour ça que j'irai là-bas

Là-bas

Faut du coeur et faut du courage

Mais tout est possible à mon âge

Si tu as la force et la foi

L'or est à portée de tes doigts

C'est pour ça que j'irai là-bas

N'y va pas

Y a des tempêtes et des naufrages

Le feu, les diables et les mirages

Je te sais si fragile parfois

Reste au creux de moi

On a tant d'amour à faire

Tant de bonheur à venir

Je te veux mari et père

Et toi, tu rêves de partir

Ici, tout est joué d'avance

Et l'on n'y peut rien changer

Tout dépend de ta naissance

Et moi je ne suis pas bien né

Là-bas

Loin de nos vies, de nos villages

J'oublierai ta voix, ton visage

J'ai beau te serrer dans mes bras Tu m'échappes déjà, là-bas

J'aurai ma chance, j'aurai mes droits

N'y va pas

Et la fierté qu'ici je n'ai pas

Là-bas

Tout ce que tu mérites est à toi

N'y va pas

Ici, les autres imposent leur loi

Là-bas

Je te perdrai peut-être là-bas

N'y va pas

Mais je me perds si je reste là

Là-bas

La vie ne m'a pas laissé le choix

N'y va pas

Toi et moi, ce sera là-bas ou pas

Là-bas

Tout est neuf et tout est sauvage

N'y va pas

Libre continent sans grillage

Là-bas

Beau comme on n'imagine pas

N'y va pas

Ici, même nos rêves sont étroits

Là-bas

C'est pour ça que j'irai là-bas

N'y va pas

On ne m'a pas laissé le choix

Là-bas

Je me perds si je reste là

N'y va pas

C'est pour ça que j'irai là-bas

Le déserteur

Boris Vian

Paroles : Boris Vian. Musique : Harold Berg 1954

Monsieur le Président

Je vous fais une lettre

Que vous lirez peut-être

Si vous avez le temps

Je viens de recevoir

Mes papiers militaires

Pour partir à la guerre

Avant mercredi soir

Monsieur le Président

Je ne veux pas la faire

Je ne suis pas sur terre

Pour tuer des pauvres gens

C'est pas pour vous fâcher

Il faut que je vous dise

Ma décision est prise

Je m'en vais déserter

Depuis que je suis né

J'ai vu mourir mon père

J'ai vu partir mes frères

Et pleurer mes enfants

Ma mère a tant souffert

Elle est dedans sa tombe

Et se moque des bombes

Et se moque des vers Quand j'étais prisonnier

On m'a volé ma femme

On m'a volé mon âme

Et tout mon cher passé

Demain de bon matin

Je fermerai ma porte

Au nez des années mortes

J'irai sur les chemins

Je mendierai ma vie

Sur les routes de France

De Bretagne en Provence

Et je dirai aux gens:

Refusez d'obéir

Refusez de la faire

N'allez pas à la guerre

Refusez de partir

S'il faut donner son sang

Allez donner le vôtre

Vous êtes bon apôtre

Monsieur le Président

Si vous me poursuivez

Prévenez vos gendarmes

Que je n'aurai pas d'armes

Et qu'ils pourront tirer

Nota

La version initiale des 2 derniers vers était:

"que je tiendrai une arme , et que je sais tirer ..." Boris Vian a accepté la modification de son ami Mouloudji pour conserver le côté pacifiste de la chanson !

Les mains d'or

Bernard Lavilliers

Bernard Lavilliers / Pascal Arroyo

Un grand soleil noir tourne sur la vallée

Cheminée muettes - portails verrouillés

Wagons immobiles - tours abandonnées

Plus de flamme orange dans le ciel mouillé

On dirait - la nuit - de vieux châteaux forts

Bouffés par les ronces - le gel et la mort

Un grand vent glacial fait grincer les dents

Monstre de métal qui va dérivant

J'voudrais travailler encore - travailler

encore

Forger l'acier rouge avec mes mains d'or

Travailler encore - travailler encore

Acier rouge et mains d'or

J'ai passé ma vie là - dans ce laminoir

Mes poumons - mon sang et mes colères

noires Horizons barrés là - les soleils très rares

Comme une tranchée rouge saignée rouge

saignée sur l'espoir

On dirait - le soir - des navires de guerre

Battus par les vagues - rongés par la mer

Tombés sur le flan - giflés des marées

Vaincus par l'argent - les monstres d'acier

J'voudrais travailler encore - travailler encore

Forger l'acier rouge avec mes mains d'or

Travailler encore - travailler encore

Acier rouge et mains d'or

J'peux plus exister là

J'peux plus habiter là

Je sers plus à rien - moi

Y a plus rien à faire

Quand je fais plus rien - moi

Je coûte moins cher - moi

Que quand je travaillais - moi

D'après les experts

J'me tuais à produire

Pour gagner des clous

C'est moi qui délire

Ou qui devient fou

J'peux plus exister là

J'peux plus habiter là

Je sers plus à rien - moi

Y a plus rien à faire

Je voudrais travailler encore - travailler

encore

Forger l'acier rouge avec mes mains d'or

Travailler encore - travailler encore

Acier rouge et mains d'or...

Noir et blanc

Bernard Lavilliers

Paroles et Musique : Bernard Lavilliers 1986

C'est une ville que je connais

Une chanson que je chantais.

Y a du sang sur le trottoir

C'est sa voix, poussière brûlée

C'est ses ongles sur le blindé.

Ils l'ont battu à mort, il a froid, il a peur.

De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.

Po Na Ba Mboka Nionso Pe Na Pikolo Nionso

Il vivait avec des mots

Qu'on passait sous le manteau

Qui brillaient comme des couteaux.

Il jouait d'la dérision

Comme d'une arme de précision.

Il est sur le ciment, mais ses chansons maudites

On les connaît par coeur,

La musique a parfois des accords majeurs

Qui font rire les enfants mais pas les dictateurs. De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur.quotesdbs_dbs16.pdfusesText_22
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