[PDF] Etudié en : Anglais Niveau : 3e Titre de loeuvre : The Problem we all





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Etudié en : Anglais Niveau : 3e Titre de loeuvre : The Problem we all

Le tableau « The problem we all live with » (le problème avec lequel nous vivons tous) fut initialement publié dans le magazine. Look du 14 janvier 1964.



Norman Rockwell The problem we all live with

https://etab.ac-poitiers.fr/coll-champdeniers/IMG/pdf/hda_doc.pdf



Norman ROCKWELL The Problem We All Live With

Le Problème avec lequel Nous Vivons Tous. Arts de l'espace Norman Rockwell est un illustrateur américain né à New York en 1894 et mort en 1978.



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Le tableau « The problem we all live with » (le problème avec lequel nous vivons tous) fut initialement publié dans le magazine Look du 14 janvier 1964



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L'OEUVRE : Titre : The Problem We All Live With ( Le problème avec lequel nous vivons tous ) Auteur : Norman Rockwell Date de création : 14 janvier 1964



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  • Quel est le problème avec lequel nous vivons tous ?

    The problem we all live with dit le problème avec lequel nous vivons tous est une huile sur toile de 91,4 x 147,3 cm réalisé par Norman Rockwell en 1963 est un tableau qui s'inscrit directement dans la thématique "Art et pouvoir" puisqu'il a été réalisé en réaction aux lois ségrégationnistes qui sévissaient encore dans
  • Pourquoi choisir The problem we all live with ?

    Norman Rockwell fige cet événement très important de l'histoire américaine ; il est pour l'égalité des droits entre les noirs et les blancs, pour l'intégration des enfants noirs dans les écoles « blanches » malgré l'hostilité d'une partie de la population, forte hostilité = « Le problème avec lequel nous vivons tous ».
  • Où est le tableau The problem we all live with ?

    Collection privéeNotre problème à tous / Lieu d'exposition
  • Norman Rockwell"The Problem We All Live With" est l'un des tableaux les plus connus de Norman Rockwell. On peut y voir une jeune écolière afro-américaine vêtue d'une robe blanche se rendant à l'école, entourée d'agents fédéraux dont on ne distingue pas les visages afin de souligner celui de la fillette.
Etudié en : Anglais Niveau : 3e Titre de loeuvre : The Problem we all

Etudié en : Anglais Niveau : 3e

Titre de l'oeuvre : The Problem we all live with, 1964. Huile sur toile, 91.4 × 147.3 cm. Parue dans le magazine Look le 14 janvier 1964.

Le tableau est conservé au musée Norman Rockwell à Stockbridge, dans le Massachusetts. Suite à une demande de Barack Obama

en 2011, il fut exposé quelques temps à la Maison Blanche.

JE SITUE L'OEUVRE DANS LE TEMPS

L'AUTEUR

Norman Rockwell (1894 - 1978) est un illustrateur américain né à New York. Peintre naturaliste de la vie américaine du XXe

siècle, il est célèbre pour avoir illustré de 1916 à 1960 les couvertures du magazine Saturday Evening Post. En 1935, il illustre

les romans de Mark Twain (Tom Sawyer et Huckleberry Finn). En 1943, il participe à l'effort de guerre en publiant l'affiche The

Four Freedoms distribuée dans le monde entier. Dans les années 1950, il est considéré comme le plus populaire des artistes

américains et réalise les portraits des futurs présidents américains Dwight Eisenhower et John Fitzgerald Kennedy.

Le tableau " The problem we all live with » (le problème avec lequel nous vivons tous) fut initialement publié dans le magazine

Look du 14 janvier 1964. Rockwell avait mis fin l'année précédente au contrat qui le liait au Saturday Evening Post. Look lui offrit

une tribune pour mettre en avant son intérêt pour les thèmes politiques et les questions de société, y compris les droits

civiques et l'intégration raciale.

EXPLICATION DE L'OEUVRE

Au centre du tableau on voit une petite fille noire marcher, des affaires d'école à la main. Quatre hommes l'escortent. On ne

voit que le bas de leurs corps, leur tête n'est pas représentée. Ils portent des brassards et des plaques : ce sont des Marshals.

(Le United States Marshals Service est une agence de police fédérale du département de la Justice des États-Unis)

En arrière-plan il y a un mur, sur lequel on distingue l'inscription " nigger» (nègre, terme très péjoratif pour désigner les noirs

américains), et " KKK » (l'acronyme de " Ku Klux Klan », une organisation d'extrême-droite oeuvrant pour la " suprématie

blanche » aux Etats-Unis qui figure sur le tableau bien que l'organisation disparut officiellement en 1944). Des tomates ont été

lancées et se sont écrasées contre le mur.

La petite fille est soigneusement habillée et coiffée ; elle porte une robe blanche, qui fait ressortir la couleur de sa peau. Il y a

un fort contraste entre elle et les hommes dont on ne voit pas le visage, même si on voit à leurs mains qu'ils sont blancs. Leur

taille contraste avec celle de la petite fille.

Le regard est attiré par cette petite fille qui se trouve au centre du tableau. Les hommes sont anonymes mais elle ne l'est pas.

On voit à sa posture et à sa démarche qu'elle est déterminée. Elle est l'héroïne du tableau. Le titre du tableau, " notre problème

à tous » peut alors surprendre : dans la mesure où notre regard est attiré par le petite fille, est-ce elle notre problème ?

Le jeu des couleurs guide notre regard sur le tableau. L'artiste utilise la saturation des couleurs, comme en photographie, qui

consiste à donner beaucoup d'intensité à certaines couleurs. Dans ce tableau, le blanc, le jaune et le rouge sont saturés, tandis

que les gris et bruns ne le sont pas, et paraissent ternes. Notre regard part de la petite fille vers les brassards, les chaussures

des hommes et le sol, jusqu'aux traces de tomates sur le mur.

L'accent est mis sur l'innocence de cette enfant (symbolisée par la robe blanche) qui contraste avec la violence qui l'entoure

(les quatre policiers, les inscriptions, les tomates). La violence est présente mais son origine est plus ou moins cachée, tout comme

la ségrégation à l'époque, en particulier dans les états du sud des Etats-Unis.

Les brassards, les plaques d'officier et la règle d'école étant de la même couleur (jaune), le spectateur est amené à les associer.

On peut dire que ces objets rappellent la loi, qui doit être respectée par tous.

Les cinq personnages marchent d'un même pas ; cela donne un certain mouvement au tableau. Mais comme la petite fille ne se

situe pas exactement au milieu des quatre hommes, on peut avoir l'impression qu'ils restreignent son avancée. Ils la protègent

autant qu'ils limitent son espace. Elle vient de passer une ligne sur le trottoir, cela peut aussi être perçu comme le passage

symbolique d'une frontière culturelle et sociale.

Ce tableau illustre un fait réel du 14 novembre 1960, date à laquelle Ruby Bridges, une petite fille noire résidant en Lousiane, a

intégré l'école " William Frantz Elementary School », uniquement fréquentée par des élèves blancs, dans le cadre de la

déségrégation des écoles américaines.

Le problème qu'évoque ce tableau n'est donc pas la petite fille mais le racisme dont elle est victime. Le spectateur est dans une

position ambiguë : il se tient parmi les manifestants opposés au fait que la petite fille noire se rende dans une école d'enfants

blancs. Ceci accentue l'impression d'injustice dont la petite fille est victime.

Il faut noter que les personnages marchent vers la gauche. Cela peut surprendre car le mouvement vers la droite - sens de la

lecture dans les pays occidentaux, est celui qui semble couler de source. Pour les Américains en revanche, le mouvement d'est en

ouest (vers la gauche) est symbolique : il représente la conquête du continent, et donc l'espoir et l'avenir.

Ce tableau a la valeur d'un symbole dans l'histoire du mouvement des droits civiques. L'élection de Barack Obama à la Maison

Blanche cinquante ans après cet événement semble être un bel épilogue pour cette question. L'original du tableau a d'ailleurs été

exposé en 2011 à la Maison Blanche et le modèle de la petite fille, Ruby Bridges, fut invitée à l'admirer aux côtés du premier

président noir des Etats-Unis.

TECHNIQUE ET STYLE

Norman Rockwell est l'héritier de la tradition " naturaliste » américaine du XIXe siècle. Mais sa peinture est représentative

d'une nouvelle ère qui s'imposera avec l'essor des magazines illustrés entre les années 1920 et 1950. Le style de Norman

Rockwell a été qualifié de narratif, "story-teller » en anglais. Comme illustrateur, il faisait en sorte que ses oeuvres soient en

parfaite correspondance avec les textes qu'il illustrait. Pour ses couvertures de magazines, chaque détail avait un rôle dans la

narration de la scène. Il usait aussi de la caricature pour accentuer le caractère comique de certaines situations. Son oeuvre est

représentative de l' " american way of life », le style de vie à l'américaine, de son époque.

Norman Rockwell commençait par choisir son sujet, dont il faisait plusieurs esquisses et croquis pour élaborer l'idée de départ,

puis il réalisait un dessin au fusain très précis au format identique à celui de la toile définitive. Il reportait ce dessin sur la toile

et commençait la peinture proprement dite. Il peignait à la peinture à l'huile très diluée à l'essence, et utilisait du vernis à

retoucher, ce qui aura des conséquences néfastes pour la conservation de certaines de ses toiles, le vernis jaunissant de manière

irrémédiable.

Par son style précis et méticuleux au point ou le spectateur en vient à se demander s'il s'agit d'une peinture ou d'une

photographie, il annonce l'hyperréalisme, c'est-à-dire la reproduction à l'identique d'une photographie en peinture. En effet, à

partir des années 1930, Rockwell ajoute un nouvel auxiliaire à son travail, la photographie, ce qui lui permet de travailler avec ses

modèles sans leur imposer des temps de pose trop longs. Le procédé aura une influence sur son oeuvre en orientant sa peinture

vers le photo-réalisme. (Ce terme est utilisé pour désigner la " seconde vague » du mouvement hyperréaliste.)

L'hyperréalisme est un courant artistique américain des années 50 et 60 qui concerne essentiellement la peinture et la

sculpture. Les artistes rattachés à ce courant cherchent à reproduire la réalité avec précision et minutie. Le réalisme est

quasiment photographique. Ce courant est appelé " Photorealism » ou " Superrealism » aux Etats-Unis. Il s'inspire du Pop Art ou

d'Edward HOPPER. L'un des artistes les plus emblématiques du courant hyperréaliste est le sculpteur, Duane HANSON

(" Supermarket lady ») CONTEXTE HISTORIQUE, SOCIAL ET ARTISTIQUE DE L'OEUVRE

1860 : Abolition de l'esclavage aux USA. Les Noirs cependant continuent de subir la ségrégation raciale pendant le siècle suivant.

Les états du Sud en particulier instaurent des lois pour séparer Noirs et Blancs et ne pas accorder les mêmes droits aux Noirs.

1909: Création de la NAACP ( National Association for the Advancement of Coloured People ), qui jouera un rôle déterminant

dans la lutte contre la ségrégation sociale dans les années 50 et 60.

1953-1961 : Dwight David Eisenhower est président des USA. C'est un ancien général de l'armée américaine pendant la 2de

guerre mondiale.

17 mai 1954 : Les écoles qui établissent la ségrégation raciale sont déclarées anticonstitutionnelles. (Brown vs Board of

Education)

Dans les années 1960: " Struggle for Civil Rights », ou lutte pour les droits civiques, à travers les sit-ins, boycotts,

manifestations, etc. Martin Luther King s'est imposé comme le leader du mouvement des droits civiques.

20 janvier 1961 : John Fitzgerald Kennedy devient président des Etats-Unis.

1961: " Affirmative Action », ou discrimination positive . C'est un ensemble de mesures politiques qui visent à rééquilibrer les

chances de réussite des Noirs. Elles deviennent des lois en 1964.

28 août 1963: Marche sur Washington, initiée par Martin Luther King, lors de laquelle il prononce le célèbre discours : " I have

a dream ... »

22 Novembre 1963: Assassinat du président Kennedy à Dallas

1964: Johnson signe le Civil Rights Act, qui abolit la ségrégation aux Etats-Unis.

Le milieu du 20e siècle est aussi marqué par la montée de l'anticommunisme, ce sont les débuts de la Guerre Froide (relations

très tendues entre les USA et l'URSS - à partir de la fin de la seconde guerre mondiale jusqu'à la dislocation de l'URSS en 1991).

Le modèle américain est en plein essor. Les USA sont devenus la première puissance mondiale, ils imposent un modèle basé sur la

société de consommation et sur une urbanisation massive.

L'HISTOIRE DE RUBY BRIDGES

Ruby Bridges, née en 1954, est originaire du Mississippi. Sa famille s'est installée à la Nouvelle Orléans, en Lousiane, en 1960. A

l'appel de la NAACP, ses parents ont accepté qu'elle participe au programme d'intégration de la minorité noire (" Affirmative

Action »). Ainsi, elle fut la première enfant afro-américaine à fréquenter l'école William Frantz Elementary School, et la

première enfant noire à fréquenter une école blanche en Louisiane.

Face à l'hostilité des parents d'élèves blancs, Ruby dut être protégée par la police fédérale pour entrer à l'école. Là, tous

les professeurs, à l'exception de Barbara Henry, refusèrent de faire cours s'il y avait une enfant noire dans l'école. Pendant

un an, Mme Henry fit donc cours à Ruby Bridges seule. Ruby Bridges raconta plus tard qu'à l'époque elle n'était pas consciente de

l'enjeu. Elle est devenue une figure populaire de la lutte contre la ségrégation. Elle a créé une fondation, la Ruby Bridges

Foundation, en 1999 dont elle est maintenant le porte-parole. Cette fondation a pour but de promouvoir " les valeurs de la

tolérance, du respect et de l'appréciation des différences ».

Ruby Bridges, âgée de 6 ans, escortée par les Marshals Ruby Bridges, le Président Barack Obama et des représentants du

des Etats-Unis à l'école : William Frantz Elementary Norman Rockwell Museum devant le tableau exposé près du bureau

School située à la Nouvelle New Orleans en Louisiane. Ovale à la Maison Blanche le 15 juillet 2011. (Photo : Pete Souza)

1960.

OEUVRES EN RELATION

- Le célèbre discours intitulé " I have a dream » prononcé par Martin Luther KING en 1963 à Washington.

- D'autres oeuvres de Norman Rockwell abordent le thème de la ségrégation et de la question des noirs américains aux USA :

←Southern Justice, 1963 : Le tableau représente la mort de 3 militants pour les droits civiques, tués pour avoir tenté d'inscrire des noirs sur les listes

électorales

Moving in (aussi connu sous le titre : New Kids

in the neighbourhood), 1967 : Une famille noire américaine emménage dans un quartier blanc. →OEUVRES MENTIONNEES DANS LA FICHE

Oeuvres de Norman Rockwell :

Illustration du roman Illustration du roman The four freedoms, Portrait de Dwight Portrait de John F.

Tom Sawyer Huckleberry Finn 1943 D. Eisenhower, 1952 Kennedy, 1960

←Supermarket Lady, Duane Hanson, 1970quotesdbs_dbs2.pdfusesText_3
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