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LE « CONTRAT SOCIAL » À L'ÉPREUVE DE LA RELIGION CIVILE 9 OC III Op cit Du contrat social Titre du chapitre XI du livre III p 424-425

  • Quel est le quid du contrat social ?

    Du contrat social est un traité de philosophie politique présentant comment l'homme, passant de l'état de nature à l'état de société, peut instituer un ordre social au service de l'intérêt général.
  • Quels sont les thèmes développés dans le contrat social ?

    Dans Du contrat social, il affirme le principe de souveraineté du peuple, en s'appuyant sur les notions de liberté, d'égalité et de volonté générale. Il tente ainsi d'établir une organisation sociale juste.
  • Quel est la bibliographie de Rousseau ?

    Les Confessions (1665-1770, publié en 1782) Pygmalion (1770) Rousseau, juge de Jean-Jacques ou Dialogues (1772-1776 publié en 1780) Les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778, publié en 1782)
  • Le « contrat social » est-il une banale potion de jouvence politique ? Ses trois plus éminents théoriciens que sont Thomas Hobbes (1588-1679), John Locke (1632-1704) et Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) l'avaient conçu très différemment, comme une fiction anthropologique.
Tous droits r€serv€s Soci€t€ de philosophie du Qu€bec, 2016 Ce document est prot€g€ par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. l'Universit€ de Montr€al, l'Universit€ Laval et l'Universit€ du Qu€bec " Montr€al. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. https://www.erudit.org/fr/Document g€n€r€ le 8 oct. 2023 03:17Philosophiques La politique du citoyen (sur un passage orphelin du

Contrat

social

Bruno Bernardi

Bernardi, B. (2016). La politique du citoyen (sur un passage orphelin du

Contrat

social

Philosophiques

43
(1), 3...21. https://doi.org/10.7202/1036465ar

R€sum€ de l'article

L'analyse d'un passage peu comment€ du

Contrat social

(III, IX) montre que Rousseau aborde d'une fa†on singuli‡re la probl€matique aussi classique qu'actuelle des rapports entre libert€ et s€curit€. La position de sujet (membre deux de la nature du corps politique. Elles sont porteuses de deux types d'exigences : la protection des personnes et des biens dans un cas, celle de la libert€ civile et politique dans l'autre. Rousseau n'oppose pas ces exigences entre elles mais distingue les deux ordres de priorit€ qu'elles rendent possibles. La politique du citoyen consiste " faire de la libert€ la condition de la s€curit€.

PHILOSOPHIQUES 43/1 - Printemps 2016, p. 3-21

La politique du citoyen (sur un passage orphelin

du

Contrat social

BRUNO BERNARDI

bruno-bernardi@wanadoo.fr

RÉSUMÉ. -

L'analyse d'un passage peu commenté du

Contrat social

(III, IX) montre que Rousseau aborde d'une façon singulière la problém atique aussi classique qu'actuelle des rapports entre liberté et sécurité . La position de sujet (membre de l'État) et celle de citoyen (membre du peuple souverain) découlent toutes deux de la nature du corps politique. Elles sont porteuses de deu x types d'exigences : la protection des personnes et des biens dans un cas, celle de la liberté civile et politique dans l'autre. Rousseau n'oppose pas ces exigences entre elles mais distingue les deux ordres de priorité qu'elles re ndent possibles. La politique du citoyen consiste à faire de la liberté la conditio n de la sécurité.

ABSTRACT. -

The study of a little-commented passage of Rousseau's

Social

Contract

shows that Rousseau tackles the connection between freedom and security from a rather original angle. Both the statuses of being a subj ect (mem ber of the state) and being a citizen (member of the sovereign people) derive from the nature of the body politic and imply two kinds of requirements : the protection of persons and goods and that of civil and political liberty. Rousseau does not consider these requirements as conflicting but sees them as ordered in the following way : liberty should be the condition of security.

Rousseau parlait du

Contrat social

comme de son " traité de droit poli- tique » et, par son sous-titre, indique clairement qu'il s'y place du point de vue des " principes 1 . Ce faisant, il nous autorise à y voir un ouvrage trai tant des fondements de la politique. Mais nous devons aussi tenir compte du motif qu'il avance pour justifier sa rédaction. Une de ses thè ses constantes est que " l'instruction qui n'a pas un but déterminé n'est rien », et qu'on ne comprend que ce dont on a " un intérêt sensible à s'instruire » 2 . L'Émile l'applique explicitement au droit politique : " La plus grande difficulté pour éclaircir ces importantes matières, c'est d'intéresser un particulier à les dis cuter, de répondre à ces deux questions : que m'importe ? et, qu'y puis-je faire 3 . Cette thèse innerve aussi le préambule du

Contrat social

où elle

1. Lorsque Rousseau annonce à son éditeur que son ouvrage est "

enfin prêt », il en parle comme de son " traité de droit politique » (à M.-M. Rey, 9 août 1761, Leigh, Correspondance

Complète

t. IX, n° 1471). Dans l'édition de 1762 titre et sous-titre (" Principes du droit poli- tique ») occupent une place égale, chacun une pleine page.

2. Émile, L. V, OC IV, p.

832
. Sauf mention contraire, les références à Rousseau renver- ront à l'édition de ses OEuvres Complètes, collection de l a Pléiade ( 5 volumes notés OC I à OC V).

3. Émile, livre V, OC IV, p.

837

4 • Philosophiques / Printemps 2016

reçoit une formulation spécifique 4 . Rousseau y déclare, non sans ironie : " Si j'étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu'il faut faire ; je le ferais, ou je me tairais ». Pour autant, il le précise aussitôt, ce n'est pas par défaut qu'il se résout à " écrire sur la Politique ». Un motif précis l'y a déterminé : " Né citoyen d'un État libre, et membre du souverain, quelque faible influence que puisse avoir ma voix dans les affaires publiques, le droit d'y voter suffit pour m'imposer le devoir de m'en instruire

». La rédaction

du Contrat social a donc pour but de dégager les principes qui permettront au citoyen de s'orienter dans l'exercice de ses droits politiques.

Or, en toute

rigueur, pour comprendre ces principes, il faut que le citoyen sache ce qui lui importe . On peut considérer en un sens que l'ouvrage tout entier répon d de façon diffuse à cette question. Elle est cependant abordée fron talement - cette contribution voudrait le montrer - dans un passage aussi dense que bref, aussi décisif que problématique, du chapitre IX du livre III : Rousseau y trace les contours et les limites de ce qu'on pourrait appeler la politique du citoyen 5 Notre lecture de ce texte ne pourra s'appuyer, ni positivement ni néga tivement, sur celles qui en auraient déjà été proposées : loin d'avoir retenu l'attention des commentateurs (ils ont pourtant scruté le

Contrat social

jusque dans le détail de ses formulations), il est pour ainsi dire r esté orphelin 6 Après avoir examiné le contexte particulier dans lequel ce passage intervient (il explique en partie son occultation), nous l'analyserons de faç on aussi précise que possible en restituant sa signification dans l'éc onomie concep tuelle du Contrat social, pour enfin montrer qu'il pose un problème crucial pour la compréhension d'ensemble de la pensée politique de Rous seau.

Un argument mineur dans un chapitre de transition

Le troisième livre du Contrat social, comme l'indique la table des matières de 1762, traite " des lois politiques, c'est-à-dire, de la forme du Gouverne- ment ». Les chapitres I à VIII déterminent la fonction du gouverneme nt dans les institutions politiques (il est chargé de l'administration de s lois), défi nissent ses trois formes simples (démocratie, aristocratie, monarchi e) et montrent qu'ils peuvent donner lieu à une infinité de combina isons (Rous

4. On notera que les motifs qui conduisent Émile à s'instruire des principes du droit

politique (choisir le lieu dans lequel il lui convient de vivre) différent de ceux, envisagés ici, qui

poussent Rousseau à établir ces principes dans le

Contrat social

. Cette différence détermine la manière dont ils sont abordés dans ces deux oeuvres.

5. Je remercie Christophe Litwin dont les remarques m'ont permis d'améliorer cet article

sur plus d'un point.

6. On ne voit pas que des commentaires spécifiques lui aient été

consacrés et, dans leur annotation, les nombreuses éditions du

Contrat social

restent quasiment muettes à son sujet (de rares et laconiques exceptions seront mentionnées). Ce constat de dé shérence vaut pour ma propre annotation du

Contrat social

, G-F Flammarion, 2001
, 20122. Je renverrai, pour le commentaire, à cette édition désormais notée CS. La politique du citoyen (sur un passage orphelin du Contrat social) • 5 seau renouvelle la théorie des gouvernements mixtes 7 ). Les chapitres X à XVIII établissent que le gouvernement tend toujours à usurper la s ouverai neté du peuple, examinent les causes et les effets de cette dégénérescence et cherchent les moyens de la freiner (cette tâche sera poursuivie au l ivre IV). Entre ces deux ensembles, le court chapitre IX s'intitule "

Des signes

d'un bon Gouvernement ». Une affirmation liminaire tire la conclusion des chapitres précédents : il n'y a pas lieu de demander quelle est la forme du bon gouvernement, puisque chaque peuple a une forme spécifique qui lui convient. Cependant, on peut se demander s'il n'y a pas un critère qui pe rmettrait de reconnaître qu'un peuple a trouvé la sienne. Un paragraphe conc lusif répondra positivement en désignant un critère indirect (un sig ne) empirique ment vérifiable : la démographie. Selon que la population d'un peuple croît ou décroit, on peut conclure qu'il est bien ou mal gouverné. La thèse " popu- lationniste » que soutient ce chapitre a été largement commentée, souven t d'ailleurs pour observer qu'elle est assez banale au XVIII e siècle 8 . Michel Senellart en a proposé une réévaluation fine en montrant la m odulation singulière qu'elle reçoit dans la pensée de Rousseau 9 . Mais avant de répondre ainsi à la question qu'il s'était initialement p osée, Rousseau explique pourquoi elle reste en général irrésolue : les critères que l'on mobilise pour la trancher étant qualitatifs, ils donnent lieu à des évalua tions divergentes et nourrissent autant de controverses. Dans la structu re argumentative du chapitre, ce troisième paragraphe, pourtant le plus long, a donc une fonction purement négative : montrer que, la voie directe et qualitative étant aporétique, il faut en emprunter une autre, indi recte et quantifiable. On peut sans doute expliquer par là que les commentat eurs du Contrat social ne lui aient accordé qu'une attention discrète. C'est pré cisément à ce paragraphe que mon propos sera consacré mais, pou r la commodité de l'analyse, sa brièveté le permettant, je retran scris ce cha pitre en entier 10

7. Sur cette question voir B. Bernardi,

La fabrique des concepts, recherches sur l'inven

tion conceptuelle chez Rousseau , Paris, Honoré Champion 2006
, Partie I, chap. III : Gouverne- ments mixtes : un paradigme phénix.

8. Cette préoccupation, en effet ancienne, était perçue avec un

e acuité inédite depuis la révocation de l'Édit de Nantes et la dépopulation quantitati ve et qualitative de la France qu'elle avait entrainée. Voir, par exemple, ce qu'en dit Saint-Simon dans ses Mémoires, La Pléiade, vol. V, p. 552
555
. Depuis le XVII e siècle, les enquêtes sur la natalité et la mortalité s'é taient

développées en Angleterre et à Genève en particulier. Mais les premières grandes théories démo

graphiques sont postérieures : les Recherches et considérations sur la population de la France de

Jean-Baptiste Moheau datent de

1778
, et le grand ouvrage de Thomas Malthus de 1798

9. M. Senellart, "

La population comme signe du bon gouvernement », in Rousseau et la philosophie , A. Charrak et J. Salem dir., Publications de la Sorbonne, 2004
, p. 189
212

10. J'omets cependant une longue note ajoutée lors de l'impress

ion du

Contrat social

sur laquelle je reviendrai.

6 • Philosophiques / Printemps 2016

Des signes d'un bon Gouvernement

Quand donc on demande absolument quel est le meilleur Gouvernement, on fait une question insoluble comme indéterminée ; ou si l'on veut, elle a autant de bonnes solutions qu'il y a de combinaisons possibles dans les positions absolues et relatives des peuples. Mais si l'on demandait à quel signe on peut connaître qu'un peuple donné est bien ou mal gouverné, ce serait autre chose, et la question de fait p ourrait se résoudre. Cependant on ne la résout point, parce que chacun veut la résoudre

à sa manière.

Les sujets vantent la tranquillité publique, les Citoyens la liberté des particuliers l'un préfère la sûreté des possessions, et l'autre cel le des personnes ; l'un veut que le meilleur Gouvernement soit le plus sévère, l'autre soutient que c'est le plus doux ; celui-ci veut qu'on punisse les crimes, et celui-là qu'on les prévienne ; l'un trouve beau qu'on soit craint des voisins, l'autre aime mieux qu' on en soit ignoré ; l'un est content quand l'argent circule, l'autre exige que le peuple ait du pain. Quand même on conviendrait sur ces points et d'autres sembla bles, en serait-on plus avancé ? Les quantités morales manquant de mesure précise, fût-on d'accord sur le signe, comment l'être sur l'estima tion Pour moi, je m'étonne toujours qu'on méconnaisse un signe au ssi simple, ou qu'on ait la mauvaise foi de n'en pas convenir. Quelle est la fin de l'association politique ? C'est la conservation et la prospérité de ses membres. Et que l est le signe le plus sûr qu'ils se conservent et prospèrent ? C'est leur nombre et leur population. N'allez donc pas chercher ailleurs ce signe si disputé . Toutes choses d'ailleurs égales, le Gouvernement sous lequel, sans moyens étr angers sans natu ralisations sans colonies les Citoyens peuplent et multiplient davantage , est infailliblement le meilleur : celui sous lequel un peuple diminue et dépérit est le pire. Calculateurs, c'est maintenant votre affaire ; comptez, mesurez, comparez.

Question de fait et question de droit

: de quoi le signe est-il le signe ? La compréhension de ce texte demande que l'on revienne d'abord sur la définition que le chapitre I du livre III a donnée du gouvernement, " confondu mal à propos avec le Souverain ». La souveraineté, considérée ici comme puissance législative, " appartient au peuple et ne peut appartenir qu'à lui ». C'est un des principes les plus fermes de Rousseau. Le gouvernement n e légifère pas, il administre : il est " chargé de l'exécution des lois, et du main- tien de la liberté, tant civile que politique

». Ce remaniement conceptuel

majeur implique qu'il n'y a qu'une forme de souveraineté qu' on puisse qua lifier de " bonne » ou, dans le vocabulaire de Rousseau, de " légitime » : la souveraineté du peuple 11 . La question traditionnelle du "quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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