[PDF] Méthodes recommandées pour lidentification et lanalyse de la





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Acide acétique

Acide acétique. Formule. C H O. N° CAS. 64-19-7. Etat Physique. Liquide. Masse molaire. 6005. Point de fusion. 16



Toluène

Masse molaire. 9214. Point de fusion Densité. 0



LACIDE ACETIQUE

Temperature ambiante m. Masse temp·c. Temperature critique. M. Molaire UN 2789 (acide acetique glacial et solutions titrant plus de 80 p.



Fiche de Données de Sécurité: Acide acétique 99%

Masse molaire. 6005 g/mol. RUBRIQUE 4: Premiers secours Densité. 1



Fiche de Données de Sécurité: Acide acétique

RUBRIQUE 3: Composition/informations sur les composants. 3.1. Substances. Nom de la substance. Acide acétique. Formule moléculaire. C?H?O?. Masse molaire.



Mai 2012 Exercice 1 Enoncé : Pour tous les tests choisir un risque

Masse molaire de l'acide acétique. = 60 g.mol.-1. Densité de l'acide acétique. = 104. Masse molaire de l'acétate de sodium



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aqueuses d'acide acétique à diverses concentrations. Ses principales caractéristiques physiques sont les suivantes : Récipients de stockage. Masse molaire 



ACETIC ACID GLACIAL

01?/01?/2013 ACETIC ACID GLACIAL. Nom Chimique acide-acétique. Synonymes acide-acétique ACIDE-ACÉTIQUE



Méthodes recommandées pour lidentification et lanalyse de la

Masse molaire: 2507 g/mol Masse molaire: 270



Trichloroéthylène

Il est complètement miscible à l'acide acétique glacial. En outre c'est un excellent solvant pour un nombre important de substances synthétiques ou 

Centre international de Vienne, Boîte postale 500, 1400 Vienne, Autriche Téléphone.: (+43-1) 26060-0, Télécopie: (+43-1) 26060-58

66, www.unodc.orgST/NAR/15/REV.1

V.11-87869 - Septembre 2012

Méthodes recommandées pour

l'identification et l'analyse de la méthaqualone et de la mécloqualone À L'USAGE DES LABORATOIRES NATIONAUX D'ANALYSE DES DROGUES

Section scientique et du laboratoire

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME

VienneNATIONS UNIES

New York, 2012

Méthodes recommandées pour

l"identication et l"analyse de la méthaqualone et de la mécloqualone

À L'USAGE DES LABORATOIRES NATIONAUX

D'ANALYSE DES DROGUES

ii

ST/NAR/15/REV.1

Note Les conditions de mise en œuvre et d"expérimentation sont reproduites à partir des textes

de référence d"origine, y compris les méthodes non publiées, validées et utilisées dans

certains laboratoires nationaux signalés dans la liste de références. Certaines conditions alternatives et la substitution de produits commercialisés cités peuvent souvent donner des résultats comparables, mais il importe de faire valider toute modication avant de l"intégrer aux procédures de routine des laboratoires. La mention d"une société ou de produits commercialisés n"implique en aucun cas l"aval de l"Organisation des Nations Unies. © Nations Unies, septembre 2012. Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente publication et la présentation des données qui y gurent n"impliquent de la part du Secrétariat de l"Organisation des Nations Unies aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires, villes ou zones, ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. La mention d"une société ou de produits commercialisés n"implique en aucun cas l"aval de l"Organisation des Nations Unies. La présente publication n"a pas fait l"objet d"une mise au point rédactionnelle. Les demandes de reproduction du texte de la présente publication seront accueillies favorablement. Elles doivent être adressées au Secrétaire du Comité des publica tions, Siège de l"Organisation des Nations Unies, New York, N.Y. 10017 (États-Unis d"Amérique). Voir également le site Web du Comité à l"adresse https://unp.un.org/ Rights.aspx. Les États et leurs institutions peuvent reproduire le texte de la présente publication sans autorisation mais sont priés de mentionner la source et d"en informer l"Organisation des Nations Unies. Production éditoriale: Section des publications, de la bibliothèque et des services en anglais, Ofce des Nations Unies à Vienne.Original: anglais iii Pages Remerciements .................................................... iv 1. Introduction ................................................... 1

1.1. Contexte ................................................. 1

1.2. Objectif et utilisation du manuel ............................. 1

2. Trac illicite de méthaqualone et de mécloqualone ................... 3

2.1. Fabrication illicite ......................................... 3

2.2. Principales tendances et caractéristiques du trac illicite .......... 3

3. Description des composés purs .................................... 5

3.1. Méthaqualone ............................................ 5

3.2. Mécloqualone ............................................ 5

4. Analyse quantitative et qualitative des substances contenant de la méthaqualone ou de la mécloqualone .............................. 7

4.1. Échantillonage ............................................ 7

4.2. Examen ................................................. 8

5. Références .................................................... 25 iv

Remerciements

Le présent manuel a été réalisé au sein de la Section scientique et du laboratoire sous la supervision de M.

Justice Tettey et la coordination de M

mes

Tatiana Yankova et

Iphigenia Naidis.

La Section scientique et du laboratoire tient à remercier M. Abdool Kader Jackaria pour la préparation de la première version du présent manuel révisé et mis à jour et M me

Pirjo Lillsunde, M. Tshepo Shole et M

me

Niamh Nic Daeid pour leurs avis

autorisés et leur précieuse contribution*.

*Les coordonnées de ces personnes peuvent être obtenues auprès de la Section scientique et du

laboratoire de l"UNODC, B.P. 500, 1400 Vienne (Autriche). 1 1.1.

Contexte

La méthaqualone, un dérivé de la quinazolone, a été synthétisée pour la première fois

en 1951 et utilisée à des ns médicales comme hypnotique pour le traitement à court terme de l"insomnie, ainsi que comme drogue récréative. Il s"agit d"un dépresseur du système nerveux central, dont les effets sont similaires à ceux des barbituriques. La méthaqualone était généralement commercialisée sous le nom de Quaaludes ou de Mandrax (contenant 250 mg de méthaqualone base et 25 mg de chlorhydrate de diphén- hydramine) dans les années 60 et 70, et également sous le nom de Malsed, Malsedin ou Renoval au Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d"Irlande du Nord (cf. Dictionnaire multilingue des stupéants et des substances psychotropes placés sous contrôle inter- national (le Dictionnaire multilingue), www.unodc.org). Parce qu"elle donnait lieu à des abus, engendrait une addiction et présentait un potentiel de dépendance plus élevé que

les barbituriques, la méthaqualone n"est plus prescrite par les médecins et a été placée

sous contrôle international (Tableau II de la Convention de 1971 sur les substances psychotropes). Les conséquences néfastes de la dépendance hypnotique à la méthaqua lone tiennent en particulier à la persistance d"effets tels que l"ataxie, la dysarthrie, les troubles mentaux, la confusion et l"altération du jugement. Parmi les effets secondaires

d"un traitement à la méthaqualone ou à son chlorhydrate à doses thérapeutiques, on peut

citer les maux de tête, la “gueule de bois", les vertiges, la somnolence, l"anorexie, les nausées et les troubles gastro-intestinaux, la xérostomie, l"agitation et les sueurs. Des

réactions cutanées ont également été signalées. De nos jours, la méthaqualone n"est

généralement plus produite que dans l"illégalité par des laboratoires clandestins. Elle est principalement utilisée comme drogue récréative et avalée sous forme de comprimé ou souvent fumée dans un mélange contenant également du cannabis (marijuana).

La mécloqualone, un analogue de la méthaqualone, a été synthétisée en 1960 et était

légalement commercialisée comme hypnotique, surtout en France sous les noms de spécialité Nubarene et Casfen (voir le Dictionnaire multilingue, www.unodc.org) et dans d"autres pays européens. Cette substance n"a jamais été utilisée dans des proportions comparables à la méthaqualone et n"est, elle aussi, plus prescrite en raison des risques d"abus et de surdoses. 1.2.

Objectif et utilisation du manuel

Le présent manuel fait partie d"une série de publications similaires de l"UNODC qui portent sur l"identication et l"analyse de divers types de drogues placées sous contrôle international. Ces manuels sont le fruit d"un programme engagé par l"UNODC depuis le début des années 80 et dont l"objectif est d"harmoniser et d"établir des méthodes recommandées pour les examens effectués par les laboratoires nationaux d"analyse des drogues.

Conformément à l"objectif général de cette série de publications, le présent manuel

propose des techniques qui peuvent aider les analystes à choisir des méthodes adap- tées à l"échantillon examiné et peuvent fournir des données utiles à cette n, tout en permettant les adaptations en fonction du degré de sophistication des différents laboratoires et des diverses exigences légales. Toute nouvelle méthode destinée à être appliquée dans le laboratoire du lecteur devra être validée et/ou vériée avant d"être utilisée en routine.

Les méthodes décrites ici doivent être considérées comme des orientations: en d"autres

termes, de légères modications pour s"adapter à la situation locale ne doivent en prin- cipe pas affecter la validité des résultats. Le choix de la méthode et de la démarche d"analyse, ainsi que la décision d"appliquer ou non des méthodes complémentaires restent du ressort de l"analyste et peuvent également dépendre de la disponibilité des équipements nécessaires et de ce qui constitue une preuve légalement recevable dans le système juridique de l"État où travaille l"analyste. Il convient également de souligner que les analystes doivent absolument disposer de documents de référence et de travaux publiés sur les drogues donnant lieu à un abus et sur les techniques d"analyse. Ils doivent aussi se tenir informés des dernières évolu- tions en matière d"analyse des drogues en consultant régulièrement les publications qui concernent les sciences analytiques et la criminalistique. La Section scientique et du laboratoire de l"UNODC accueillera avec intérêt toute remarque sur le contenu et l"utilité du présent manuel. Les commentaires et suggestions peuvent être adressés à:

Section scientique et du laboratoire

Ofce des Nations Unies contre la drogue et le crime

Centre international de Vienne

Boîte postale 500

1400 Vienne

Autriche

Fax: (+43-1) 26060-5967

Courriel: Lab@unodc.org

Toute demande de manuels, de principes directeurs et d"autres publications scientiques et techniques peut être envoyée à l"adresse ci-dessus. 3 2.1.

Fabrication illicite

La synthèse de la méthaqualone passe en général par une ré action en une ou deux étapes peu complexes qui peut facilement être effectuée dans un laboratoi re clandestin [1]. La réaction en une étape consiste à chauffer à reux de l" acide anthranilique, de l"acide acétique (ou de l"anhydride acétique) et de l" o -toluidine ( o chloroaniline pour la méclo qualone). On ajoute de l"acide polyphosphorique pour éliminer l" eau. La purication est obtenue par dissolution du résidu solide dans du méthanol et par p récipitation du sel de chlorhydrate à l"aide d"une solution de méthanol et d"é ther diéthylique. La réaction en deux étapes consiste à préparer de l"acide

N-acétylanthranilique à partir

d"acide anthranilique et d"anhydride acétique puis à le cond enser avec de l"o-toluidine en présence de trichlorure de phosphore. Si l"on remplace l" o-toluidine par de l" o-chloroaniline, on obtient de la mécloqualone. D"après l"Organe international de contrôle des stupéa nts (OICS), les saisies totales de précurseurs à l"échelle mondiale depuis l"an 2000 se sont

élevées à 10,4 tonnes d"acide

N -acétylanthranilique et à 34,5 tonnes d"acide anthranilique, ce qui est sufsant pour fabriquer environ 42,8 tonnes de méthaqualone. Les saisies annuelles de ces précurseurs ont varié de manière spectaculaire, entre 5 kg et 25,6 tonnes, dep uis 2000. Les saisies de plusieurs tonnes les plus importantes ont eu lieu en Chine (acide N -acétylanthranilique), au Mozambique et en Afrique du Sud (acide anthranilique). La méthaqualone produite clandestinement circule sur le marché ill icite sous forme de poudre collante marron, grise ou noire, dont la pureté est comprise e ntre 30 et 70quotesdbs_dbs10.pdfusesText_16
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