revue HISTOIRE DE LEDUCATION
toire de l'enseignement en France de 1945 à nos jours. - Paris: Le Actes des journées internationales d'histoire du droit Strasbourg
revue HISTOIRE DE LEDUCATION
Philosophie de l'éducation histoire de la pédagogie
revue HISTOIRE DE LEDUCATION
gogiques de Jean-Jacques Rousseau en France et en Europe au XVIIIe siècle. maine à aujourd'hui : ou l'histoire d'un exclu accédant à la vie juri-.
RAPPORT DACTIVITÉ
RAPPORT. D'ACTIVITÉ. ONACVG. OFFICE NATIONAL. DES ANCIENS COMBATTANTS. ET VICTIMES DE GUERRE. 2015 mais aussi dans le travail aujourd'hui entrepris pour.
Intérieur. Dictionnaire biographique des préfets (septembre 1870
21 mai 1982 Un avant-projet quelques années après
Srces5 2 - Tock v4
C'est dire qu'il faut prolonger aujourd'hui la réflexion initiée par. Daniel Arasse
Ce document est le fruit dun long travail approuvé par le jury de
Le Luxembourg pendant la Première Guerre mondiale (1914-1919) dans : Le rôle et la place des petits pays en Europe au XXe siècle
revue HISTOIRE DE LEDUCATION
Philosophie de l'éducation histoire de la pédagogie
Le sport embrigadé?: Les sociétés de préparation militaire en
29 mar. 2022 officiel du ministère de la guerre 10
Productions LabEx haStec Entrant dans le périmètre thématique
8 jui. 2012 2015 186 p. Imprimé ; fr. ; PC 2. - Le livre a été couronné du 1er Prix Étudiant du Livre Politique France-Culture le 14 mars 2016
Voyage pédagogique Verdun/Metz/Strasbourg 5-11 AVRIL 2015
Mercredi 8 avril: Metz/ Strasbourg Matin : - petit-déjeuner - route vers Metz - circuit guidé de Metz à pied (durée 1h30) quartier impérial - pause déjeuner (panier repas) Après-midi : - visite du Centre Pompidou - 16h30 départ vers Strasbourg - acheminement vers l'auberge de jeunesse à Strasbourg
Voyage pédagogique Verdun/Metz/Strasbourg 5-11 AVRIL 2015
dimanche 5 avril: 22h00 rdv dans la cour de l’etablissement a 22h00 appel depart a : 22h30 itineraire : saint malo – rennes - le mans – paris – reims - verdun (670 kms soit environ 10h00 de route)
![Le sport embrigadé?: Les sociétés de préparation militaire en Le sport embrigadé?: Les sociétés de préparation militaire en](https://pdfprof.com/Listes/21/6645-21document.pdf.jpg)
N° d'ordre NNT : 2
021LYSE2070
THÈSE de DOCTORAT DE L'UNIVERSITÉ DE LYON
Opérée au sein de
L'UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON 2
École Doctorale : ED 483
Sciences Sociales
Discipline : Histoire
Soutenue publiquement le 12 novembre 2021, par :
Lionel PABION
Le sport embrigadé ?
Les sociétés de préparation militaire en France : des loisirs militarisés (années 1880-années 1930).Devant le jury composé de :
Anne RASMUSSEN, Directrice d'études, École des hautes études en sciences sociales, Présidente
Patrick CLASTRES, Professeur des universités, Université de Lausanne, Rapporteur Daphné BOLZ, Maîtresse de conférences HDR, Université de Rouen, Rapporteure Olivier CHOVAUX, Professeur des universités, Université d'Artois, ExaminateurEmmanuel SAINT-FUSCIEN, Directeur d'études, École des hautes études en sciences sociales, Examinateur
Édouard LYNCH, Professeur des universités, Université Lumière Lyon 2, Directeur de thèse
Contrat de diffusion
Ce document est diffusé sous le contrat Creative Commons "Paternité - pas d'utilisation
commerciale - pas de modification » : vous êtes libre de le reproduire, de le distribuer et de
le communiquer au public à condition d'en mentionner le nom de l'auteur et de ne pas le modifier, le transformer, l'adapter ni l'utiliser à des fins commerciales.Université Lumière Lyon 2
ED 483
UFR Temps et territoires
Histoire
Le sport embrigadé ?
Les sociétés de préparation militaire en France : des loisirs militarisés (années 1880 - années 1930)VOLUME PRINCIPAL
Lionel Pabion
Histoire contemporaine
Date de soutenance : 12 novembre 2021
Membres du jury :
Patrick CLASTRES, professeur, Université de LausanneOlivier CHOVAUX, rtois
Édouard LYNCH, professeur des universités, Université Lumière Lyon 2Anne RASMUSSEN, directrice , EHESS
Emmanuel SAINT-FUSCIEN, maître de conférences-HDR, EHESSRemerciements
" », écrit H.-I. Marrou, " ne travaille pas, en premier lieu ni essentiellement pour un public, mais bien pour lui-même1 également beaucoup pensé, en
apprenant le métier, à mes parents et à ma famille Eliette soit particulièrement remerciée, soutien indéfectible, maiségalement relectrice patiente.
Je remer accueilli comme Louis, Samuel et temps mais aussi à Peio et Timothée, à Valentin et Andréa, à Salomé, à Yannis, à Yann, à Audrey, à Lyla. Toute ma gratitude va aussi aux membres de ce laboratoire attachant, jeunes camarades ou vénérables professeur·e·s. Je ne veux pas manquercafetière, toujours présents, même en temps de pandémie : merci notamment à Pierre,
Mahamadou, Lucas, et à Morgane. Mathilde ne mesure probablement pas à quel point son soutien a été important. Sans Charlène, ce parc. Je Merci également de en particulier Natalia Bazoge Je tiens également à exprimer ma reconnaissance aux membres du jury, qui ont accepté de prendre de leur temps pour évaluer cette étude et pour la discuter : Édouard Lynch soit enfin remercié, lui qui a dirigé mes travaux depuis maintenant près1 Cette belle formule paradoxale se veut " une garantie de sérieux, d'exigence, de rigueur. En histoire, il est
toujours facile de persuader les autres : il n'est même pas besoin d'un coup de pouce, mais seulement d'un peu de
persuader soi-même, quand on travaille de première main, au contact de l'ambiguïté fondamentale des sources,
des difficultés de l'information et de la compréhension là surtout où on mesure la portée de l'enjeu
existentiel ». Henri-Irénée MARROU, De la connaissance historique, Seuil, 1954, p. 212-213.Liste des abréviations
Fédérations :
CNS : Conseil National du Sport
FFFA : Fédération Française de Football-Association FGSPF : Fédération Gymnique et Sportive des Patronages de France UFOLEP : Union Française des éducation Physique USFSA : Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques USGF : Union des Sociétés de Gymnastique de France USPMF-USEPPSM : Union des Sociétés de Préparation Militaire de France - Union des et de Préparation au Service MilitaireUSTF : Union des Sociétés de tir de France
Préparation militaire :
BAM Aptitude Militaire
BPME : Brevet de Préparation Militaire Elémentaire BPSM : Brevet de Préparation au Service Militaire CPSM : Certificat de Préparation au Service MilitairePMS : Préparation Militaire Supérieure
SAG : Société Agréée par le ministère de la Guerre Le nom de la revue Le Soldat de demain a été abrégé dans les notes par : Le SoldatSOMMAIRE
Introduction ........................................................................................................................................... 1
...................................................................... 1Du national au local, une variation de focale .................................................................................... 13
............................................................................. 23 Première partie. " st indispensable, nousfabriquerons des canons » : 80 ans de préparation militaire (années 1860- années 1940)............ 29
.......... 30Chapitre 2. La " Belle Époque » de la préparation militaire : un réseau associatif de masse
pleinement institutionnalisé (1900-1914) ......................................................................................... 88
Chapitre 3. La préparation militaire à l'épreuve de la guerre, entre ruptures et continuité paradoxale
(1914-années 1930) ......................................................................................................................... 156
? la préparation militaire dans les années 1930 ..... 213Conclusion de la première partie .................................................................................................... 263
Deuxième partie. Une histoire " au ras des crampons » : acteurs et pratiques du mouvementpréparatiste ........................................................................................................................................ 265
Chapitre 5. Le gymnase, le stand et la buvette : des associations de loisirs.................................... 266
Chapitre 6. Le sport en uniforme ? Les rapports ambigus des sociétés préparatistes avec les sports
......................................................................................................................................................... 309
Chapitre 7. Éléments pour une sociologie du mouvement préparatiste .......................................... 356
Chapitre 8. " » : le monde scolaire et les pratiques conscriptives ............. 409Conclusion de la deuxième partie ................................................................................................... 448
Troisième partie. Contrôler la jeunesse, éduquer des soldats : la préparation militaire comme
instrument de " gouvernementalité » .............................................................................................. 451
Chapitre 9. Pour " la vigueur de la race » : la doctrine préparatiste ............................................... 452
Chapitre 10. " Une occupation saine » : une technologie de gouvernementalité des jeunes hommes......................................................................................................................................................... 496
Chapitre 11. Entraîner physiquement la jeunesse pour le métier des armes : une culture militaire à
l'échelle européenne ........................................................................................................................ 554
Conclusion générale .......................................................................................................................... 622
1INTRODUCTION
D et des loisirs
La " Belle Époque » de la militarisation ?
Le 2 août 1914, une fusillade éclate dans le village frontalier de Joncherey. Des cavaliers allemands en reconnaissance rencontrent des soldats français du 44 e infanterie. Les échanges de tirs font deux victimes, le lieutenant Albert Mayer et le caporal Jules André Peugeot. Ce sont les deux premiers morts de la Grande Guerre. Instituteur né à Étupes en1893, dans la banlieue de Sochaux, Peugeot est un ancien membre de la société de tir de
Montbéliard
1, où il a appris à manier le fusil Lebel avant même son passage sous les
drapeaux. Selon toute vraisemblance, il obtient ainsi le baptitude militaire, ce qui lui u caporal au bout de quatre mois de service2. Le destin de cet homme semble révéler toute es systèmes de conscription généralisée, construits mettent en place les conditions de la guerre industriellefrançaise sur le pied de guerre, élevant maîtres et élèves dans le patriotisme. Il est enfin le
symbole de ces jeunes hommes dont la vie la plus intime loisirs adolescents, identité
gestes, de discours et de représentations . Le hasard de cette mort brutale met en lumière, de manière frappante, de larges structures sociales. La culture patriotique de la" Belle Époque » y apparaît en plein jour, non sans une certaine ironie tragique : les
instituteurs ou les édiles, comme des somnambules3, furent nombreux, en juillet 1914, à
lors des traditionnelles remises de prix récompensant les vainqueurs des concours de tir ou de gymnastique. Les fusils Lebel et les carabines ndes places de villages enjoués. Ils ne se doutaient pas que les mots allaient bientôt devenir des
actes.1 ndré Péchin, né en 1915, membre de la société de tir de Montbéliard. ARCHIVES
MUNICIPALES DE MONTBELIARD, 6AV133, " trée du sport dans la vie sociale à Montbéliard entre1870 et 1914 (1978) ».
2 Il est incorporé le 27 novembre 1913 et promu caporal le 4 avril 1914. Fiche matricule, archives
départementales du territoire de Belfort, 1R432 558.3 Selon cette heureuse expression, " The Sleepwalkers ». Christopher M. CLARK,
, traduit par Marie-Anne de BERU, Paris, Flammarion, 2015. 2 Figure 1 : fête fédérale de l'USGF (carte postale, 1914)4 L " sociétés conscriptives5 » . Les historiensont déjà souvent évoqué ces associations de gymnastique ou de tir, qui visent à préparer les
jeunes hommes avant leur service militaire. mouvement associatif repose dissuasion : si la France est redoutable, par sa valeur militaire, les puissances voisines ne se lanceront pas dans une nouvelle guerre, devenue trop coûteuse. Dans cette perspective, les hommes et aux hommes mûrLes sociétés de tir et de gymnastique apparaissent dans les années 1860, tandis que les
sociétés se développent principalement après 1880. Le terme de" préparatiste » apparaît au tournant du siècle. Il est utilisé par les dirigeants du mouvement
eux-mêmes, pour désigner les sociétés qui mêlent la pratique du tir, de la gymnastique, des
exercices physiques équitation). Mais les pratiques conscriptives sont également en partie adoptée (gymnastique, tir scolaire, bataillons scolaires), dans des groupes para-scolaires (les " post-scolaires ») et dans certains clubs de sports.4 Edmond Mary-Rousselière, carte postale, 1914, collection personnelle.
5 Selon le terme popularisé par Pierre Arnaud, dont il sera largement question dans cette thèse.
3amplifie le mouvement des sociétés conscriptives. Le mouvement préparatiste croît de façon brusque extension au tournant des années 1910, en particulier après la loi des deux ans, votée en 1905. La réduction du serSelon certains
dirigeants militaires, les quelques mois de service ne sont en effet pas suffisants pour former instde nombreux parlementaires et oriente des politiques publiques spécifiques, au moins jusque dans les années 1930. En 1908,la préparation militaire est ainsi pleinement institutionnalisée, avec la création du statut de
Société Agréée par le ministère de la Guerre Militaire (BAM). Le mouvement devient alors réellement massif. Trois grandes fédérations structurent le champ préparatiste es Sociétés de Tir de France (USTF), dirigée par Daniel Mérillon, revendique plus de 3 000 sociétés adhérentes Sociétés de Gymnastique de France (USGF) est dirigée par Charles Cazalet et compte 1 700 Sociétés de Préparation Militaire de France (USPMF), lancée parAdolphe Chéron, se consacre explicitement à cet objectif, avec plus de 1 500 sociétés
affiliées préparation militaire une majorité de . Enfin, la fédération catholique, la FGSPF (Fédération Gymnastique et Sportive des Patronages deFrance), forte de 1 500 associations, joue également un rôle important en embrassant
ste, à sa manière.Étudier les sociétés de préparation militaire durant la Troisième République permet
indirectement de la Grande Guerre. L groupes militarisés met en évidence les par une partie de la martiale, dans des espaces qui débordent les seules casernes. large militarisation6 de la société au tournant du XXe siècle néanmoins par la majorité dessupposerait des éléments de mesure fiables. La fréquentation de sociétés préparatistes,
indéniablement militarisées, et qui reposent sur une adhésion volontaire, pourrait servir
consentement » au devoir militaire. Mais cettedémarche pose en réalité de redoutables problèmes de méthode, difficilement solubles, qui
mondiale7. Ces groupes préparatistes ne se laissent pas non plus réduire à de simples organes
6 militaire dans la vie sociale.7 es concepts de " consentement » ou de " culture de guerre »,
qui ne sont pas encore totalement clos. (Frédéric ROUSSEAU, 14-18, penser le patriotisme, Paris, Gallimard,
2018.) Plus récemment, des jeunes chercheurs ont également souligné la nécessité de prendre en compte la
4 ent pas de déduire les représentations ue8. les réalités de cette culture martiale diffusée , à la fois sur le plan symbolique (discours, représentations) et sous des formes concrète (gestes,lieux, formes de sociabilités). Ces pratiques débordent de la seule institution militaire, pour
notamment dans lesloisirs. Cette culture du temps de paix fonctionne comme un répertoire, qui se trouve
facilement mobilisé et qui se transforme en culture de guerre. ainsi pas une cause de la guerre, du point de vue logique que suggère un raisonnement contre-factuel9. Imaginons une opinion majoritairement hostile à
par lapopulation sous la menace, tandis que les déserteurs et les insoumis, très nombreux,
pourraient compter sur le soutien collectif des communautés dont ils sont issus10. Une
de manière coercitive semble tout à fait au début du siècle. Cette mobilisation contrainte aurait été celle en partie anticipée dans les -major, avec la mise en place du carnet B, qui tablait sur de nombreux refus de partir11. La culture militaire
des conditions sine qua non du succès de la mobilisation. es sociétés de préparation militaire ne semblent pas constituer des causes déterminantes du conflit, dans une logique de " marche àla guerre » inéluctable. Les tirs au stand, les pyramides humaines des gymnastes et les
" valeurs et de comportement ». Mathieu MARLY, e corps des sous-officiers, Thèse de doctorat, Université Charles de Gaulle, Lille, 2015, p. 23.8 Ce constat est déjà ancien : "
otalement satisfaisante ». Jean-Jacques BECKER,les Français sont entrés dans la guerre, Paris, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 1977,
p. 259. aboutit à des critiques de cette démarche historique de " sondage rétrospectif ». Patrick CHAMPAGNE, , Paris, les Éd. de Minuit, coll. " Le sens commun », 1990, p. 71.9 " Toute histoire est contre-factuelle » : la méthode est inévitable pour tester les chaînes causales. Antoine
PROST, , Paris, Éd. du Seuil, coll. " Collection Points 225, 1996, p. 178.10 : le refus du devoir mil
sociale, comme le montre : Eugène COTTE, , Montreuil, la Ville brûle, 2016. Au contraire,un tel tableau contrefactuel du refus du service fait écho à la situation de la France de la fin du XVIIIe siècle.
cours du XIXe siècle. Alan FORREST, Déserteurs et insoumis , traduit par Marie-Alyx REVELLAT, Paris, Perrin, 1988 ; Frédéric ROUSSEAU, , Montpellier, UMR 5609 du CNRS-ESID, 1998.11 Jean-Jacques BECKER, , Paris,
Klincksieck, 1973.
5 isation. Sans , malg-française aurait été sensiblement la même. Quel sens donner, dès lors, aux efforts déployés
par ces dirigeants associatifs, qui se sont démenés sur tous les plans, parfois pendant plusieurs
décennies, pour transformer les adolescents en soldats, avant-même leur service militaire ?Comment interpréter les efforts des jeunes hommes pour intégrer de leur plein gré ces
associations ?Cette militarisation effective apparaît plus comme une cause du conflit, dans la vision
revanche » inéluctable, mais constitue néanmoins un des nombreuxéléments qui place une société entière en condition de se soumettre à un cadre militaire, dans
lequel les individus se retrouvent en situation hétéronomique12, sans la possibilité de refuser de servir 13guerre totale, qui aurait très bien pu, selon des circonstances différentes, ne pas advenir. Les
groupements préparatistes mettent alors en évidence les voies détournées prises par cette vaste
mise en condition martiale pour ces associations paradoxalement les conscrits en leur promettant un passage moins contraignant sous les drapeaux. Lmodestes manifestations de ce largeconditionnement, qui place toute une société sur le pied de guerre. Étudier ainsi un aspect de
elle européenne, permet de mieux comprendre le déclenchement de la Première Guerre mondiale et le succès des mobilisations, par un pas de côté par rapport au conflit lui- aussi un moyen de mettre à disposition des éléments de radrement des loisirs juvéniles dans un cadre militariséMais cet objet dépasse le seul aspect militaire et politique. Les sociétés " conscriptives »
touchent eugénisme. mouvement associatif renvoie aussi aux bouleversements culturels et sociaux de la France rurale du XIX e siècle14. Cette approche multidimensionnelle fait écho à une genèse deverbaux de récits de soldats allemands, traduit par Olivier MANNONI, Paris, Gallimard, 2013, p. 468.
13 de jouer son rôle dans cette mobilisation qui fonctionne comme une " scène sociale ». F.
ROUSSEAU, 14-18, penser le patriotisme..., op. cit., p. 19. 14repérer, pour les mettre à distance, les questions " existentielles » (Henri-Irénée MARROU, De la connaissance
historique, Seuil, 1954, p. 197.), de se soumettre à une " introspection scrupuleuse », pour donner à voir le
quotesdbs_dbs32.pdfusesText_38[PDF] FFFA- Quel objectif? Je peux, faire de l entrainement coordonner des actions = temps plein possible
[PDF] Les sorties et les voyages scolaires Dossier thématique avril 2005
[PDF] Financements FAFIEC Critères applicables au 8 juillet 2013
[PDF] Les sorties et les voyages scolaires
[PDF] GUIDE DE L ACCOMPAGNATEUR VAE
[PDF] «Outils de gestion pour TPE CRM / ERP» Club
[PDF] DOSSIER : MONTER VOTRE PROJET 4L TROPHY
[PDF] ERASMUS + : Action Clé 1 Mobilité Action Clé 2 Partenariats Stratégiques Secteur de l enseignement Scolaire
[PDF] COMMUNIQUÉ. Lignes directrices relatives à la gouvernance des technologies de l information (TI)
[PDF] Monsieur le président de l Association des diplômés, Monsieur le président du Club Finance, banque et assurance, Mesdames et messieurs,
[PDF] Informations relatives aux éléments de rémunération des mandataires sociaux 1
[PDF] PROCES VERBAL DES DELIBERATIONS CONSEIL D ADMINISTRATION N 3 DU 24 FEVRIER 2015
[PDF] Examen professionnel supérieur pour l expert en assurance-maladie / l experte en assurance-maladie
[PDF] Avec le soutien de. Lignes directrices. pour l élaboration et la mise en œuvre des stratégies régionales pour la biodiversité