[PDF] FONDEMENTS HISTORIQUES DE LA THÉOLOGIE CHRÉTIENNE





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La définition biblique du mot 'amour' d'aimer: Jésus-Christ a donné sa vie pour ... dans une situation où sa mort pourrait sauver la vie d'autres.



LA SEXUALITÉ LE RESPECT DE LA VIE

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Pour qu'il y ait communication entre Dieu et nous au sujet de ce mot nous devons être prêts à entrer dans le monde biblique et à considérer les définitions



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19 En particulier dans les psaumes : Ps. xxxviii



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  • C'est quoi la vie dans la Bible ?

    Ainsi, l'itinéraire de la vie de l'homme s'accomplit par le biais de la réalisation de sa capacité spirituelle dans l'acte de liberté : de l'âme à l'esprit comme émergence de l'homme sur la nature animale par le biais de l'activité du connaître et de l'aimer, qui oriente et pousse l'âme à la communion de vie avec Dieu.
  • Quel est le but de la vie consacrée ?

    Tradition catholique
    Dans un sens large, la vie consacrée - dont la vie religieuse est la forme la plus connue - est une manière de suivre le Christ, dans sa recherche de Dieu, Père créateur et aimant, et d'accomplir sa volonté.
  • Comment vivre ensemble selon la Bible ?

    Ce court psaume évoque l'idéal du « vivre ensemble », la douceur que la vie vraiment fraternelle procure à ceux qui la vivent. L'image est reposante, joyeuse et douce à la fois. La fraternité y semble à toute épreuve, l'accord est parfait.
  • « La « vision » est une image, un plan d'ensemble de ce que Dieu veut réaliser dans un lieu et un temps précis de l'histoire. » Dieu dépose dans le coeur d'une personne une vision et la conviction de sa réalisation. La vision semble toujours contredire les possibilités humaines.

THÈSE / UNIVERSITÉ DE BRETAGNE OCCIDENTALE

pour obtenir le titre de

Mention : Histoire

École Doctorale Arts, Lettres, Langues

présentée par

Jean-Paul Yves LE GOFF

Préparée à BREST

EA 4249 - HCTI

FONDEMENTS HISTORIQUES

DE LA THÉOLOGIE CHRÉTIENNE

Du paradigme historico-théologique au

paradigme hypothético-rationnel

Volume II - Annexes - Histoire et

historiographie

Thèse soutenue

le 8 septembre 2014 devant le jury composé de :

Bertrand LANÇON, Université de

Limoges

Directeur de thèse

Benoît JEANJEAN

Co-directeur de thèse UBO

Simon-Claude MIMOUNI

Directeur d'études, EPHE

Président du jury

Yvon TRANVOUEZ,

Professeur UBO

Sylvio Hermann DE FRANCESCHI

Directeur d'études, EPHE

2

Exergues complémentaires

Maurice Merleau-

Eugène Haag, Histoire des dogmes chrétiens, 1862 La science, si prudent que demeure celui qui la manie, et si désireux qu'il soit de n'en blesser

personne, ne se meut pas, si j'ose ainsi dire, dans le plan de la foi, mais dans celui des faits, et ses

conclusions, si mesurée que reste la forme qu'on leur donne, comportent toujours une espèce de brutalité que leur imposent les faits eux-mêmes.

Mais la certitude que nous reconnaissons à ces faits sur lesquels repose notre foi est - et ce point ne

saurait être négligé - une certitude d'ordre historique, elle participe donc des caractères ordinaires

de la connaissance historique, ce qui veut dire qu'elle est relative et reste constamment sujette à

révision. On peut se demander si, par là, elle n'est pas rendue impropre à servir réellement de base

à la religion. Le relatif de l'histoire peut-il supporter l'absolu de la religion ?

Maurice Goguel, Jésus 1950

Le problème de l'historiographie chrétienne occidentale et orientale, consiste en ce que les auteurs

tendent à voir le passé avec un parti pris acquis par l'étude de divisions culturelles et confessionnelles plus tardives. Jean Meyendorff, Unité et division des chrétiens, 1993.

Il y a deux histoires ad usum delphini ; puis

Balzac, les Illusions perdues (1843)

4 Il n'est pas de grande fondation qui ne repose sur une légende. La seule coupable, en pareil cas, c'est l'humanité qui veut être trompée.

Ernest Renan, La Vie de Jésus (1863)

Aucune religion, qu'elle soit religieuse ou séculière, ne ressort indemne de l'analyse du symbolique,

de la transgression de la domination symbolique que représente un enseignement laïque des religions

Jean Baubérot,

in Mireille Estivalèzes, Les religions dans l'enseignement laïque (2005) (préface) "La compétence de l'historien se reconnait à ce qu'il ne donne pas pour certain ce qui est douteux..." Arnaldo Momigliano, Règles du jeu pour étudier l'histoire antique , in revue Europe, Janv-Fév 2008 Le fait est que rien ne fausse l'histoire comme le point de vue dogmatique traditionnel.

Albert Réville,

Histoire du dogme de la divinité de Jésus-Christ (1905)

Il est éminemment instructif de suivre la logique interne de la croyance religieuse, même ou plutôt

surtout quand elle aboutit à l'absurde. Peut-être y a-t-il un gage de la réconciliation future de la

pensée indépendante et de la foi religieuse dans le fait que, lorsqu'on remonte jusqu'au principe même des évolutions de

la croyance les plus directement opposées à la raison ou à l'expérience, on trouve le plus souvent à l'origine un

sentiment très pur qui s'est trompé de route, mais à qui ses aberrations prolongées n'ont rien fait perdre de sa première

légitimité.

Albert Réville,

Histoire du dogme de la divinité de Jésus-Christ (1905)

Le regrettable aveuglement des dirigeants actuels de l'Église et leur refus des réformes m'obligent à

exposer franchement la vérité historique sur les origines chrétiennes contre tous les oublis, les

dissimulations et les camouflages qui ont cours. Pour les lecteurs catholiques traditionnels surtout,

peu au fait de l'histoire, et peut-être aussi pour des évêques, cela aura un effet de désillusion. Celui

qui ne s'est pas encore vu sérieusement confronté aux faits de l'histoire sera sans doute parfois

effrayé de voir ce qui s'est passé patout, à quel point les institutions et les constitutions

ecclésiastiques - tout particulièrement l'institution catholique romaine de la papauté - sont

5 "humaines, trop humaines." C'est pourtant justement cela qui signifie positivement que ces institutions et ces constitutions - y compris la papauté elle-même - sont modifiables,

fondamentalement réformables. La papauté ne doit donc pas être abolie, mais rénovée dans le sens

d'un servide Pierre inspiré par la Bible. Mais le système médiéval de la domination romaine doit

être aboli. C'est pourquoi ma "destruction" critique est au service de la "construction", de la

réforme et de la rénovation, dans l'absolu espoir qu'à l'encontre des apparences, l'Église catholique

restera quand même viable au troisième millénaire. Hans Küng Peut-on encore sauver l'Eglise ? Seuil, 2012, p. 11

L'étude du christianisme primitif exige à mon sens un effort particulier, que tout le monde ne paraît

pas disposé a priori à consentir. L'homme d'aujourd'hui, en fût-il personnellement éloigné, le

regardât-il comme étranger, n'en voit pas moins le christianisme à la façon des chrétiens de son

temps je veux dire : à partir de vingt siècles de christianisme, revendiqués ou contestés, peu

importe. Lucien Jerphagnon, Vivre et philospher sou l'empire chrétien. Privat, 1983, p. 22

Quelle sorte de travail historique pouvons-nous accomplir, si le noyau de la vérité s'avère si

pauvre et si stérile ? Daniel Boyarin, La partition du judaïsme et du christianisme, pp. 91-93

On ne peut pas parler de Jésus de Nazareth sans crainte ni doute. D'autant qu'il s'agit, comme chacun sait, d'un

personnage dont l'appréciation historique et traditionnelle est extrêmement controversée sur différents plans , et dont la

question est alourdie d'exceptionnelles difficultés critiques, sans compter évidemment ses nombreux aspects

idéologiques et apologétiques.

Simon-Claude Mimoni, Jésus le Juif,

in Religions & Histoire, n° 6 janvier 2006, pp 14-20 6

En tout cas, le judaïsme n'est nullement la "matrice " du christianisme : l'un et l'autre sont à considérer plutôt comme

des jumeaux, "liés par la hanche".

Simon-Claude Mimouni,

Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère : des prêtres aux rabbins (2012).

Le rôle de l'intellectuel n'est pas de dire aux autres ce qu'ils doivent faire. De quel droit le ferait-il ? ... La tâche de

l'intellectuel n'est pas de donner une forme à la volonté politique des autres ; elle est, à travers l'analyse qu'il effectue

dans son domaine, de ne jamais cesser de mettre et remettre en question ce qui est postulé comme évident, de troubler

les habitudes mentales des gens, leur faire de faire et de penser les choses, de dissiper ce qui est familier et accepté, de

réexaminer les règles et les institutions et, sur la base de cette remise en question (par laquelle il effectue sa tâche en

tant qu'intellectuel), de participer à la formation d'une volonté politique (dans laquelle il a son rôle à jouer en tant que

citoyen.

Michel Foucault, cité par Daniel Boyarin

in " La partition du judaïsme et du christianisme », Cerf 2011, p. 391

En interprétant les textes à contre-courant, mon but n'est pas de renoncer aux produits "des grands esprits" et des

grands talents " mais plutôt d'accomplir la double opération que les Rabbis eux-mêmes recommandent dans un autre

contexte : "honore-les et suspecte-les. " Daniel Boyarin, La partition du judaïsme et du christianisme », Cerf 2011, p 392

Et voici où repose la tragédie. Car la vérité est quelque chose de collectif, de social, voire de civil ; est vrai ce sur quoi

nous nous mettons d'accord. Le christianisme est quelque chose d'incommunicable. Et c'est pourquoi il agonise en

la mort. (...) Ce que je vais t'exposer ici, lecteur, c'est mon agonie, ma lutte chrétienne, l'agonie du christianisme en moi,

sa mort et sa résurrection à chaque moment de ma vie intim. (...) Je ne me lasserai pas de répéter que ce qui unit le

plus les hommes entre eux, c'est leurs discordes. Et ce qui unit le plus un homme avec soi-même, ce qui fait l'unitéintime

de notre vie, c'est nos discordes intimes, les contradictions intérieures de nos discordes. On ne se met en paix avec soi-

mêm, comme Dom Quichotte, quepour mourir. Miguel de Unamuno, l'Agonie du christianisme, Berg International, 1996, pp. 35-38

``Incertitudes, ô mes délices, vous et moi nous en allons, comme s'en vont les écrevisses, à reculons, à reculons ».

Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée (1911) 7 " Je t'ai déjà dit que j'étais né plusieurs et que je suis mort un seul . »

Paul Valéry, Eupalinos ou l'Architecte (1921)

8

Note 1, page 13

Projet initial, déposé en octobre 2004 à l'attention de M. S.C. Mimouni (Vème Section de l'EPHE) :

Histoire et historiographie :

PREMIERS DOGMES CHRETIENS,

DE NICEE A CONSTANTINOPLE

seraitǦce que par ce rang une importance exceptionnelle, multipliée par différentes

ǦtǦ

statuant en matière de dogme, de morale, de règlements ? Et, en amont de cette question, estǦil

et la fonction qui serait celle des conciles, ne se présenteǦtǦil pas à une date bien tardive ? De

une certaine rencontre entre les tout premiers chrétiens de la génération apostolique, celle qui est

décrite dans les Actes des Apôtres, chapitre 15, versets 1 à 35, tenue en 492 dans la capitale de la

Judée, comme " le Concile de Jérusalem ». Si un concile se définit comme nous venons de le

appare non aux païens. Mais pour un historien libre de tout a priori confessionnel, la question se pose finissant.

plus sans soulever des questions qui ne sont pas secondaires : palais impérial, église de la ville,

salle des fêtes ou oratoire Ǧil que " Paul, Barnabas et quelques autres » (Actes, 15,2) rencontrent " Les Apôtres et quelques anciens » (15, 2), ainsi que Pierre (15,7) et Jacques (15, 13). On ne voit pas quelles autres orientations de la religion

nouvelle, si, à ce moment, religion nouvelle il y a. Si tel est le cas, la légitimité de ces

signes on peut les reconnaître et à quelles obligations ils sont soumis : circoncision (15, 1) ;

9 prédicateurs auxquels est rem

Mélèce), les rites à appliquer (date de la célébration de la Pâque), divers règlements à respecter

métonymie et pourquoi la quasiǦǦelles à réserver à

Nicée, en 3

pas sans présenter de fortes analogies avec la rencontre de325 ? De fait, nous connaissons la

tenue de différents conciles au troisième siècle (256,Carthage ; 262, Rome ; 268, Antioche ; 300,

Ǧce qui permet

», que celuiǦci est " oecuménique » tandis que celuiǦǦce qui permet de dire que le Concile de Nicée est le premier ? A

Ǧil passé en 325, à Nicée ?

2) Comment le saitǦon ? (Avec quel degré de fiabilité ?).

Les ouvrages consacrés (en totalité ou en partie) au Concile de Nicée ne manquent pas

Concile de Nicée (qui peuvent être courammenten deux volumes), pour ne retenir que les

même être encore considérable. Pour la période allant du début du XXème siècle à

relativement détaillé du concile de Nicée : celle de Louis Duchesne (3 volumes, 1910Ǧ1911) ,

celle réalisée sous la direction de Fliche et Martin (21 volumes, publiés entre 1934 et1961), celle

des éditions du Seuil, publiée en 5 volumes de 1989Ǧ1992 , enfin la monumentale histoire du

christianisme, des origines à nos jours, publié par Desclée entre 1990 et 2002. AuǦdelà des

inévitables différences de présentatio 10

matérielles, on recherchera des différences de représentation, des constantes et des variables

autant sur le présent du temps de leur rédaction que sur le passé dont ils veulent rendre compte.

trouve que pour cet événement du concile de Nicée, nous disposons déjà de plusieurs histoires

qui sont déjà des mises en formes, réalisées au risque des infléchissements qui peuvent être liés à

la position idéologique, politique,religieuse, philosophique propre à chacun des auteurs qui se

possession de plusieurs histoires écrites relativement peu de temps après les événements, à quoi

il co ui nous livre, fidèlement ou non, un compte-rendu des faits, est La vie de Constantin qui est à la fois un historien, et quotesdbs_dbs6.pdfusesText_12
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