[PDF] Mise en page 1 L'évaluation monétaire des é

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SOMMAIRE

Avant propos..................................................................................................................

Utilisateurs du guide.......................................................................................................

I. Introduction.........

III.

DŽmarche de l"Žvaluation Žconomique des services Žcologiques...............................

: Analyse et participation des acteurs.........................................

IV. Les mŽthodes d"Žv

IV.1 Revue critique des mŽthodes d"Žvaluation monŽtaires.............................................

IV.2 PrŽsentation de quelques mŽthodes simples d"Žvaluation monŽtaire.......................

IV.2.1 La mŽthode des prix de marchŽ...........................................................................

IV.2.2 La mŽthode des c

ožts de voyage........................................................................ IV.2.3 La mŽthode des cožts de remplacement des services ŽcosystŽmiques..............

IV.2.4 La mŽthode d"Žvaluation contingente............................................................,....

V.1 La prudence dans l"util

isation des valeurs Žconomiques estimŽes..........................

VI. Conclusion...............................................................................................................

Bibliographie.............

3 4 5 6 7 8 8 10 12 12 14 14 15 16 16 17 18 18 18 21
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AVANT PROPOS

facteurs Žconomiques, en particulier la capacitŽ ˆ gŽnŽrer des revenus ou ˆ fournir des produits

alimentaires aux populations riveraines.

Mme si les mŽthodes d"Žvaluation Žconomique comportent des limites, la conservation et l"utilisation

fait, une Žtape nŽcessaire pour dŽmontrer la pertinence Žconomique de leur prŽservation et/ou de

populations a?n de favoriser une analyse comparative 4de diffŽrents usages.

Le prŽsent guide est une contribution de l"Union Internationale pour la Conservation de la Nature ˆ

une utilisation plus large des mŽthodes simples d"Žvaluation monŽtaire des biens et services des

conduites sur quatre zones humides : deux Žtudes sur la vallŽe du Sourou (Burkina Faso et Mali), une

sur la Basse Casamance (SŽnŽgal) et une sur le Parc naturel des Mangroves de Cacheu (GuinŽe

Bissau). Les rŽsultats prŽliminaires obtenus au cours de ces Žtudes ont suscitŽ 4un dŽsir des acteurs

impliquŽs dans la gestion et la conservation des zones humides de mieux comprendre les concepts et mŽthodes d"Žvaluation Žconomique appliquŽs.

L"objectif de ce guide est de rendre accessible les principaux concepts et mŽthodes d"Žvaluation Žco-

qui justi?e le souci d"Žlaborer un guide de mŽthodes simples qui soit accessible ˆ tous les acteurs

impliquŽs dans l"Žvaluation Žconomique des biens et4 services Žcologiques.

Prof. AimŽ J. Nianogo

Directeur RŽgional

4

UTILISATEURS DU GUIDE

les acteurs impliquŽs dans l"Žvaluation Žconomique des services Žcologiques. Il a ŽtŽ volontairement

simpli?Ž pour permettre ˆ tous les acteurs Žconomistes ou non de s"en approprier. Il permet de

comprendre rapidement les concepts et mŽthodes d"Žvaluation Žconomique les plus couramment

questions liŽes ˆ l"Žvaluation Žconomique des services Žcologiques. Cependant, il permet aux non

spŽcialistes en Žconomie environnementale de comprendre les principes de base et de s"impliquer

5

REMERCIEMENTS

Ce document a ŽtŽ rŽdigŽ avec la contribution de plusieurs personnes et institutions. Nous sommes

teurs de la conservation et du dŽveloppement Žconomique dans cinq pays d"Afrique de l"Ouest (Bur-

kina Faso, Mali, SŽnŽgal, GuinŽe et GuinŽe Bissau) et d"af?ner les besoins en informations sur la valeur

Nos remerciements vont Žgalement aux consultants qui ont testŽ les outils d"Žvaluation Žconomique

et permis d"identi?er les outils les plus simples applicables dans le contexte de l"Afrique de l"Ouest.

qui ont testŽs les outils dans la VallŽe du Sourou, Burkina Faso ; Dr TraorŽ Cheick Oumar et M. Maïga

Abdoulaye Idrissa pour la VallŽe du Sourou, Mali ; MM. Biai Justino et Da Silva Alfredo Simão pour

le Parc Naturel du Fleuve Cacheu, GuinŽe Bissau ; et M. Dieme Bourama et Dr Coly Adrien pour le

Parc National de la Basse Casamance, SŽnŽgal. Plus de cent participants aux diffŽrents ateliers de

diffusion des rŽsultats des quatre Žtudes ont contribuŽ ˆ af?ner le choix des outils simples d"Žvaluation

sion antŽrieure du document et apportŽ d"importantes amŽliorations. Les auteurs restent les seuls

responsables des imperfections qui subsisteraient encore dans le document. 6

I. INTRODUCTION

communautŽ. Cependant, la plupart de ces biens et services sont offerts hors marchŽ. Ce qui fait

qu"il n"existe pas d"indicateur de valeur permettant de rŽvŽler ce que les utilisateurs sont prts ˆ

sacri?er pour obtenir ou conserver une unitŽ de ces ressources. Cette absence d"indicateur de valeur

ayant la nature d"un prix a souvent conduit les acteurs Žconomiques ˆ attribuer implicitement une

valeur nulle aux biens et services Žcologiques au moment de la prise de dŽcision, ce qui a pour

telle sorte que le bien-tre de l"Homme puisse tre amŽliorŽ de faon durable sans toutefois dŽgrader

les ressources naturelles. Elle est donc fondamentale pour la prise de dŽcisions et la gestion rationnelle

des ressources naturelles. Elle permet de : (i) dŽgager des budgets appropriŽs pour restaurer les

hydro-agricoles et industriels et (iii) convaincre les ma"tres d"ouvrage d"engager des actions de

des dŽpenses importantes pour la restauration des services qu"ils rendent ˆ l"Homme. Elle permet

d"Žvaluer en termes monŽtaires les effets des activitŽs humaines sur l"environnement. Cependant, la

Žconomique totale des services Žcologiques. Cela a pour consŽquence la dŽgradation rapide et conti-

de la valeur Žconomique totale ou partielle des services Žcologiques est capitale, surtout pour les

naturels dans l"optique d"amŽliorer les moyens d"existence des populations. Cependant, ces politiques

dŽcisions politiques qui valorisent des services Žcologiques ˆ faibles valeurs au dŽtriment de ceux

ayant de fortes valeurs Žconomiques. Cela contribue ˆ dŽtŽriorer le bien-tre des populations ouest

africaines et ˆ ralentir le dŽveloppement Žconomique et social. C"est ce qui justi?e l"Žlaboration de

de tous les acteurs impliquŽs dans l"Žvaluation, les mŽthodes les plus simples pour Žvaluer les valeurs

avancŽes en thŽorie de l"Žconomie de l"environnement, ni en mŽthodes statistiques Žconomiques et

ŽconomŽtriques.

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II. APPROCHE FONCTI8ONNELLE DES

SERVICES DES ECOSYSTEMES

NATURELS

naturels permet de rŽpondre aux besoins de l"Žvaluation Žconomique. Elle permet d"Žviter la double

rŽaliser une analyse plus ?ne en fonction des attentes (Fisher et al., 2009; Morse-Jones et al., 2010;

Bouscasse et al., 2010).

II.1 LES SERVICES DES ECOSYSTEMES; NATURELS

L"approche fonctionnelle est la plus couramment utilisŽe pour classer les services rendus par les Žco-

de les prendre en compte dans l"Žvaluation Žconomique. La ?gure 1 montre que les services rendus

logique : i) La fonction Žcologique primaire

Les fonctions Žcologiques primaires sont les services nŽcessaires ˆ la production de tous les autres

qui se rŽalisent sans intervention humaine, et ce, indŽpendamment de leur utilisation plus ou moins

directe par l"Homme (Collectif, 2010). Il s"agit notamment des services de production correspondant nutriments, le recyclage de l"eau et la production primaire. ii) La fonction Žcologique secondaire

crues, etc.), la puri?cation de l"eau et le traitement des dŽchets, le contr™le de l"Žrosion, la rŽgulation

des maladies, les rŽgulations biologiques (maladies des plantes), la pollinisation, la rŽgulation contre

les temptes. iii) Le potentiel naturel

naturel en l"absence de tout usage par l"Homme. Il ne peut devenir une utilisation effective que lorsque

naturel. 8 iv) I"utilisZtion deedbtivd

Les activitŽs Žconomiques, rŽcrŽatives et culturelles sont les bŽnŽ?ces dont l"Homme jouit gr‰ce ˆ

services peut se matŽrialiser ˆ travers les valeurs religieuses et culturelles, l"intŽrt scienti?que, la valeur

Žducative, l"inspiration pour l"art et l"architecture et la beautŽ des paysages. Higurf 3 B Ttrudturbtion efs sfrvidfs efs ždosy;stBmfs nbturfls B dbs efs zonfs humiefs

Tourdf B Cebptž ef Dousdbssf ft bl1 (;4233)

la double comptabilisation. Selon Bouscasse et al. (2010), les caractŽristiques suivantes peuvent favoriser la double comptabilisation des valeurs Žcosy4stŽmiques : 9

J Sl É•éétmtxtêT É•èç èz épçCtnp Tn•éFéêTytàèp op Éç•nèçpç otqqTçpzêé lClzêlrpé Q opé

é•èé .rç•èÉpé op É•Éèxlêt•zé otéêtznêé E

J Spé tzêpçn•zzpnêt•zé opé épçCtnpé Tn•éFéêTytàèpé àèt q•zê àèp npçêltzé épçCtnpé é•zê

otçpnêpypzê èêtxpé Q x(s•yyp )épçCtnpé \zlèE,- ylté ÉpèCpzê Trlxpypzê Uêçp y•mtxtéTé olzé opé

Éç•npééèé èêtxtélzê o(lèêçpé épçCtnpé )épçCtnpé tzêpçyTotltçpé, E

J Sp oprçT o(sTêTç•rTzTtêT opé épçCtnpé Tn•éFéêTytàèpé olzé xp êpyÉé pê olzé x(péÉlnp0 Pxé

é•zê Éç•oètêé Q èz pzoç•tê o•zzT pê mTzT\ntpzê Q èzp É•Éèxlêt•z lè yUyp pzoç•tê •è Q èz lèêçp

pzoç•tê0 Sl oT\ztêt•z yUyp oè épçCtnp oTÉpzo op x(lClzêlrp àèp x(•z n•zétoVçp0 Ilzé xl ypéèçp •[

xpé É•Éèxlêt•zé n•zétoVçpzê otqqTçpyypzê xpé mTzT\npé )•è épçCtnpé, o(èz yUyp Tn•éFéêVyp- xpé

lClzêlrpé ÉpèCpzê Éç•Cpztç op épçCtnpé n•znèççpzêé pê o•zn zp Élé Uêçp n•yÉlêtmxpé0

BB). 89K :GF7LBGFK 97GDG;BIM9K 5MO :GF7LBGFK 97GFGEBIM9K

89K 97GKPKL9E9K F5LMJ9DK

Spé Tn•éFéêVypé zlêèçpxé pê xl otCpçétêT mt•x•rtàèp àè(txé n•zêtpzzpzê Éç•nèçp èzp ClçtTêT op mtpzé pê

épçCtnpé o•zê xl q•èçztêèçp n•zêtzèp péê péépzêtpxxp É•èç xp mtpz.Uêçp pê xl Éç•éÉTçtêT Tn•z•ytàèp opé

sèyltzé0 Sl ylWêçtép opé çpxlêt•zé àèt êçloètépzê xp Éléélrp opé q•znêt•zé Tn•x•rtàèpé opé

Tn•éFéêVypé zlêèçpxé Q xpèçé èêtxtélêt•zé Élç x(O•yyp Épçypê op oTCpx•ÉÉpç èz nloçp êsT•çtàèp

•ÉTçlêt•zzpx É•èç x(TClxèlêt•z Tn•z•ytàèp0

Sl \rèçp 4 ypê pz TCtopznp èzp nslWzp x•rtàèp àèt Cl op xl Éç•oènêt•z Q xl otéêçtmèêt•z opé mtpzé pê

épçCtnpé Tn•x•rtàèpé olzé èzp Tn•z•ytp0 Sl ytép pz LèCçp o(tzÉèê lzêsç•Étàèp Épçypê o(pEÉx•têpç

xpé q•znêt•zé Tn•x•rtàèpé É•èç q•èçztç opé mtpzé pê épçCtnpé éèénpÉêtmxpé o(lyTxt•çpç xp mtpz.Uêçp

sèyltz0 Sl Clxpèç Tn•z•ytàèp op ê•èé npé mtpzé pê épçCtnpé pzCtç•zzpypzêlèE otéêçtmèTé olzé xp

êpyÉé pê olzé x(péÉlnp oTêpçytzp xl Clxpèç Tn•z•8ytàèp ê•êlxp op x(Tn•éFéêVyp zlêèçpx0

10

Figure 2 : Cadre intégré de l"estimation de la valeur monétaire des écosystèmes naturels

Source : Adapté de Farber et al. (20805)

11

III. DEMARCHE DE L8"EVALUATION

ECONOMIQUE DES SERVICES

ECOLOGIQUES

avec l"environnement extŽrieur. A cet effet, l"approche de la valeur Žconomique totale permet de consi-

dŽrer les diffŽrentes valeurs Žconomiques des services Žcologiques. III.1 LA VALEUR ECONOMIQUE TOTALE D"UN ECOSYSTEME N;ATUREL

La valeur Žconomique totale offre un cadre thŽorique opŽrationnel pour l"Žvaluation Žconomique d"un

celles de non-usage ou d"usage futur.

¥ Les valeurs d"usage correspondent ˆ : (i) l"utilisation directe ˆ travers l"usage des prestations

¥ Les valeurs de non-usage correspondent au consentement ˆ payer par des individus pour

prŽserver un bien qu"ils n"utilisent pas effectivement, qu"ils ne peuvent envisager d"utiliser ou qui leur

est impossible d"utiliser (Pearce et al., 2006). Ces valeurs comprennent : (i) les valeurs d"hŽritage ˆ

travers la conservation pour les gŽnŽrations futures, et (ii) les valeurs d"existence ˆ travers la valeur

d"autres. Par exemple, les valeurs d"usage direct qui comprennent la production de nourriture, de bois, de biomasse et d"autres externalitŽs sont plus tangibles que les valeurs d"existence. Par

consŽquent les mŽthodes d"Žvaluation de la valeur monŽtaire des biens plus tangibles sont plus

simples ˆ appliquer que celles des biens moins t4angibles. 12 Figure 3 : Le cadre conceptuel de la valeur économique totale de8s écosystèmes naturels

Source : Adapté de Munasinghe (1992)8

L"estimation de la valeur Žconomique totale nŽcessite que l"Žvaluateur adopte une dŽmarche

exhaustive en plusieurs Žtapes. 13 GGG,0 ICR CS9OCR BC I"CU9IT9SGNM CANMNLGPTC BCR CANRYRSCLCR

M9STQCIR

son fonctionnement, ses interactions avec les milieux connexes ainsi que ses effets sur les activitŽs

Žconomiques, rŽcrŽatives et culturelles. Ë cet effet, De Groot et al. (2007) a proposŽ quatre Žtapes

LLL1413 QrfmiBrf žtbpf BAnalyse des processus politiques et des objectifs de gestion

les objectifs de gestion et les intŽrts en jeu pour les pouvoirs publics et les communautŽs ˆ la base.

Les principaux ŽlŽments de l"analyse des processus politiques et des objectifs de gestion ˆ considŽrer

sont :

Ë Mf dbpitbl sodibl ft lfs bdtfurs

Le capital social comprend les rŽseaux sociaux informels, les institutions, les rapports et normes que

les communautŽs utilisent pour Žchanger des ressources et des informations. Les acteurs sont les

important de bien identi?er et analyser les forces et faiblesses, ainsi que les opportunitŽs et menaces

Ë Mf dontfxtf. lfs žnondžs ft lfs mfsurfs politiqufs

Le contexte politique doit tre analysŽ pour dŽterminer les relations mutuelles entre les politiques, la

possibilitŽs et les obstacles.

Ë Mf prodfssus politiquf ft lfs prioritžs

L"analyse des politiques existantes et leurs lacunes permet de dŽterminer les prioritŽs politiques.

Ë Mfs institutions ft orgbnisbtions

privŽ et sociŽtŽ civile) jouent le r™le d"interface entre la politique et la population. Leur analyse permet

de comprendre : (i) pourquoi des Žcarts existent entre les ŽnoncŽs des politiques et ce que l"on

observe dans la pratique, et (ii) le degrŽ d"intŽgration des rŽalitŽs au niveau micro dans le processus

d"Žlaboration des politiques.

Ë Noefs ef sucsistbndf

L"analyse des politiques relatives aux moyens de subsistance durables exige une bonne et le diagnostic de la pertinence des politiques 4dans lesdits secteurs.

Cette Žtape nŽcessite une revue critique de la littŽrature sur les processus politiques et des objectifs

de gestion. A cet effet, le recours ˆ une grille de lecture des documents of?ciels, publiŽs ou non peut

s"avŽrer nŽcessaire. L"analyse documentaire peut tre actualisŽe par des interviews ˆ l"aide d"un guide

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o(pzêçpêtpz épyt.éêçènêèçT lCpn xpé ÉçtzntÉlèE oTntopèçé É•xtêtàèpé n•znpçzTé Élç x(èêtxtélêt•z op

x(Tn•éFéêVyp0 Fè n•èçé op npé pzêçpêtpzé- tx péê •ÉÉ•çêèz op o•zzpç lèE oTntopèçé É•xtêtàèpé opé

tzq•çylêt•zé éèç xpé •mupnêtqé CtéTé Élç x(TClxèlêt•z Tn•z•ytàèp pê xp Éç•npééèé olzé xpàèpx xpèç

ÉlçêtntÉlêt•z péê lêêpzoèp0 Hpnt Épçypê op CTçt\pç xpèçé tzêTçUêé É•èç xl n•zépçClêt•z pê1•è xl

Clx•çtélêt•z op x(Tn•éFéêVyp n•znpçzT Élç x(TClxèlêt•z Tn•z•ytàèp0

DDD-0-0 :VjlZubV siReV 6FzlxFép pê ÉlçêtntÉlêt•z opé lnêpèçé

S(TClxèlêt•z Tn•z•ytàèp opé Tn•éFéêVypé zlêèçpxé z(péê É•éétmxp àèp ét xpé lnêpèçé n•znpçzTé é•zê

mtpz n•zzèé pê xpèç ÉlçêtntÉlêt•z lééèçTp0 S(topzêt\nlêt•z opé ÉçtzntÉlèE lnêpèçé lè oTmèê oè

Éç•npééèé Épçypê op D )t, rlçlzêtç xpèç ÉlçêtntÉlêt•z Q ê•èêpé xpé TêlÉpé op xl Éç•nToèçp o(péêtylêt•z-

)tt, oTêpçytzpç xpé ÉçtzntÉlèE •mupnêtqé É•xtêtàèpé pê op rpéêt•z- )ttt, oT\ztç xpé ÉçtzntÉlèE épçCtnpé

Épçêtzpzêé- )tC, péêtypç xl Clxpèç Tn•z•ytàèp opé épçCtnpé opé Tn•éFéêVypé pê )C, qltçp opé

n•yÉlçlté•zé pzêçp xpé otqqTçpzêpé èêtxtélêt•zé opé épçCtnpé opé Tn•éFéêVypé0

Vèêçp xpé oTntopèçé É•xtêtàèpé tyÉxtàèTé olzé xl ÉçpytVçp TêlÉp- tx pEtéêp o(lèêçpé lnêpèçé o•zê xpé

oTntét•zé Q opé Tnspxxpé Éxèé Épêtêpé tz]èpznpzê xp q•znêt•zzpypzê opé Tn•éFéêVypé0 Hpé lnêpèçé

é•zê pzêçp lèêçpé- xpé èêtxtélêpèçé )n•yyèzlèêTé- yTzlrpé- tzotCtoèé, opé épçCtnpé op x(Tn•éFéêVyp

n•znpçzT pê xpé •çrlztélêt•zé )x•nlxpé- zlêt•zlxpé pê tzêpçzlêt•zlxpé, tyÉxtàèTpé o(èzp ylztVçp •è

o(èzp lèêçp olzé xl rpéêt•z op x(Tn•éFéêVyp0

Spé lnêt•zé op npé lnêpèçé •zê opé tz]èpznpé éèç xp q•znêt•zzpypzê op x(Tn•éFéêVyp TClxèT pê Élçêlzê

éèç él Clxpèç Tn•z•ytàèp0 Pxé é•zê o•zn xpé ÉçtzntÉlèE lnêpèçé op x(TClxèlêt•z Tn•z•ytàèp op

x(Tn•éFéêVyp pê o•tCpzê o•zn pz Uêçp mtpz tzq•çyTé0 Fè n•èçé op npêêp TêlÉp- tx péê tyÉ•çêlzê o(•mêpztç

opé tzq•çylêt•zé éèç xpé mtpzé pê épçCtnpé Tn•éFéêTytàèpé èêtxtéTé pê xpèç tyÉ•çêlznp É•èç xp mtpz.Uêçp

op npé lnêpèçé0 Spé tzq•çylêt•zé éèç xpé otqqTçpzêpé èêtxtélêt•zé op x(Tn•éFéêVyp Épçypêêç•zê op CTçt\pç

xl n•sTçpznp pê Épçêtzpznp pzêçp xpé •mupnêtqé É•xtêtàèpé )TêlÉp 3, pê npèE8 opé lèêçpé lnêpèçé0

Spé ÉçtzntÉlèE TxTypzêé Q n•zétoTçpç olzé x(lzlxFép opé lnêpèçé é•zê D )t, xpé tzq•çylêt•zé éèç xpé

nlçlnêTçtéêtàèpé opé rç•èÉpé •è opé tzotCtoèé ê•ènsTé Élç opé oTntét•zé- )tt, èz nxléépypzê opé

lnêpèçé •è rç•èÉpé o(lnêpèçé pz q•znêt•z op xpèç tyÉ•çêlznp pê op xpèç tz]èpznp Cté.Q.Cté op

x(Tn•éFéêVyp TêèotT- )ttt, x(pEÉxtnlêt•z opé n•z]têé É•êpzêtpxé pzêçp opé rç•èÉpé tyÉ•çêlzêé pê )tC,

x(topzêt\nlêt•z opé o•yltzpé •[ xpé n•yÉç•yté ÉpèCpzê Uêçp É•éétmxpé0

S(lzlxFép opé lnêpèçé Épèê ép qltçp Q Élçêtç op xl n•xxpnêp pê x(pEÉx•têlêt•z opé o•zzTpé épn•zoltçpé

éèç xpé lnêpèçé n•znpçzTé Élç x(èêtxtélêt•z opé épçCtnpé Tn•éFéêTytàèpé0 Px Épèê é(lrtç o(pzàèUêpé

lzêTçtpèçpé- op o•zzTpé çTnpzêpé •è o(Têèopé éÉTnt\àèpé n•zoètêpé olzé xl G•zp lmçtêlzê

x(Tn•éFéêVyp n•znpçzT0 Spé o•zzTpé ÉpèCpzê Éç•Cpztç op Éxèétpèçé é•èçnpé )Tltçtp- VUN x•nlxpé-

•çrlztélêt•zé pê tzéêtêèêt•zé n•znpçzTpé,0 S(èêtxtélêt•z op o•zzTpé épn•zoltçpé ÉçTépzêp x(lClzêlrp

o(Uêçp Épè n•Zêpèép0 Tlté olzé xpé n•zotêt•zé lqçtnltzpé- npé o•zzTpé é•zê é•èCpzê tzn•yÉxVêpé0

dzp ytép Q u•èç op npé o•zzTpé Épèê é(lCTçpç zTnpééltçp0

S(lzlxFép opé lnêpèçé Épèê ép qltçp lèéét Q Élçêtç op xl n•xxpnêp op o•zzTpé Éçtyltçpé lCpn èz

àèpéêt•zzltçp0 Hpêêp lÉÉç•nsp péê éèçê•èê èêtxtéTp x•çéàè(tx z(F l àèlétypzê Élé o(tzq•çylêt•z éèç xpé

lnêpèçé0 Lxxp Épçypê o(•mêpztç opé o•zzTpé éèç èz rçlzo z•ymçp op çTÉ•zolzêé É•èç Épçypêêçp èzp

lzlxFép éêlêtéêtàèp opé çTéèxêlêé0 S(Txlm•çlêt•z o(èz àèpéêt•zzltçp pEtrp èzp q•çylêt•z pz ylêtVçp op

êpnsztàèpé o(pzàèUêp0 Tlté op qlS•z rTzTçlxp- xl Éç•nToèçp É•èç Txlm•çpç èz àèpéêt•zzltçp o•tê

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çpéÉpnêpç xpé TêlÉpé éètClzêpé D )P, oT\ztç xpé •mupnêtqé op x(pzàèUêp- )PP, oTêpçytzpç xp rç•èÉp

Tnslzêtxx•z- )PPP, ÉçTÉlçpç xp àèpéêt•zzltçp- )Pe, loytztéêçpç xp àèpéêt•zzltçp pê )e, tzêpçÉçTêpç xpé

çTéèxêlêé0

DDD-0-1 MgdZhZubV siReV 6FzlxFép q•znêt•zzpxxp

S(lzlxFép q•znêt•zzpxxp op x(Tn•éFéêVyp TClxèT n•zétéêp Q x(topzêt\nlêt•z pê Q xl àèlzêt\nlêt•z lèêlzê

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Trlxpypzê opé pzàèUêpé •è tzêpçCtpDé n•yÉxTypzêltçpé É•èç é(lééèçpç àèp xpé épçCtnpé ylupèçé op

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oTntopèçé É•xtêtàèpé n•znpçzTé Élç xl G•zp TClxèTp é•zê o(lnn•ço lCpn xpé épçCtnpé ylupèçé topzêt\Té

pê àèlzêt\Té olzé opé èztêTé lÉÉç•ÉçtTpé )tzotnlêpèçé Tn•x•rtàèpé- é•nt•nèxêèçpxé pê Tn•z•ytàèpé,0

Hp é•zê lx•çé xpé àèlzêtêTé opé épçCtnpé çpêpzèé àèt épç•zê yèxêtÉxtTé Élç xpèçé ÉçtE É•èç •mêpztç xl

Clxpèç Tn•z•ytàèp op x(Tn•éFéêVyp0

Sl oTêpçytzlêt•z op xl Clxpèç Tn•z•ytàèp o(èz Tn•éFéêVyp z(péê É•éétmxp àèp ét xpé q•znêt•zé é•zê

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