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  • Qui est Électre résumé ?

    Électre : Fille de Clytemnestre et d'Agamemnon, c'est une héroïne tragique qui combat pour la justice. Elle prétend se souvenir que sa mère a abandonné son frère alors qu'elle n'avait que quinze mois. Une fois son frère Oreste retrouvé, elle recherche la vérité sur la mort de son père.
  • Pourquoi Électre est un personnage tragique ?

    Terreur : Electre inspire la peur d'Egisthe et celle des spectateurs car elle est porteuse de mort : c'est une " femme à histoires " Pitié pour Clytemnestre, Egisthe et Oreste. Ces sentiments étaient censés éviter au spectateur la tentation des mêmes erreurs : but de la tragédie classique (catharsis)
  • Qui sont Électre et Oreste ?

    Oreste est un jeune homme lorsque Agamemnon, de retour de Troie, est assassiné par Égisthe, l'amant de sa mère Clytemnestre. Électre, craignant pour la vie de son frère, réussit à le confier à leur oncle Strophios, en Phocide, où il se lie d'amitié avec son cousin Pylade.
  • Oreste clôt le cycle, avec Électre, obtenant, après l'accomplissement de la vengeance filiale par le double meurtre de Clytemnestre et d'Égisthe, le pardon définitif des dieux. On le voit, Oreste et sa sœur Électre sont les derniers actants d'une imbrication de catastrophes qui les dépasse largement.
Étude comparée : Electre dans la littérature contemporaine, une inspiration des tragédiens grecs

Introduction

L'histoire d'Electre est tirée de la mythologie grecque. Electre fait partie de la famille des Atrides, maudite depuis des générations. Tantale a donné aux Dieux pour qu'ils le mangent, son propre ifils Pélops, qui, une fois adulte est inifidèle à une de ses promesses et donc jeté à la mer. Ses deux ifils, Thyeste et Atrée, se haïssent : si Thyeste séduit la femme d'Atrée, ce dernier tue les enfants de son frère et les lui fait manger. Thyeste jette donc une malédiction sur la descendance de son frère, notamment son ifils Agamemnon. Egisthe, fruit de l'union incestueuse de Thyeste et sa ifille, séduit la femme d'Agamemnon et le tue lors de son retour de la guerre de Troie où il avait vaillamment combattu. Electre, la ifille d'Agamemnon, décide de venger son père en tuant sa mère et son amant. Un tel mythe favorise, par la richesse des thèmes qui le composent, une très large interprétation. En efffet, les personnages hors du commun ont le plus souvent un destin tragique, et la diversité des liens qui les rapprochent suscite une interrogation sur la liberté et la responsabilité. Ils sont cinq à s'être aventuré à l'écriture de Electre : les trois plus grands tragédiens grecs, et deux dramaturges contemporains. Eschyle a écrit Les Choéphores en -458, Sophocle a composé Electre en -425 et Euripide a aussi fait Electre en -417. Cette tragédie a été reprise de nombreuses fois depuis, notamment aux XVII° et XVIII° siècles. Nous allons nous intéresser plus précisément aux deux versions contemporaines, Electre de Giraudoux en 1937 et

Les Mouches de Sartre en 1943.

I. Electre, un mythe grec

A. Mise en forme de la pièce

Alors que les tragédies grecques sont composées en épisodes et en spasimons (3 de chaque en général, alternés), Électre de Giraudoux se divise en deux actes, séparés par le Lamento du Jardinier, qui rompt l'illusion scénique et que l'auteur utilise pour faire passer sa devise, qui est " Joie et Amour ». Les Mouches de Sartre est aussi partagée en 3 actes, l'acte central lui même partagé en deux tableaux, très caractéristiques du théâtre moderne. Les pièces contemporaines sont toutes les deux en prose, ce qui va à l'envers d'une des règles du théâtre classique qui énonce que la tragédie doit être écrit en vers, si possible en alexandrins, et qui est respectée par les pièces de l'antiquité. Le choeur, alors qu'il joue un rôle très important dans les pièces anciennes, disparaît dans les pièces contemporaines. Dans celle de Giraudoux, son rôle est assuré par le Mendiant (témoin, détective, accoucheur de la vérité) et par les Petites Filles (=Euménides). Dans celle de Sartre, il est assuré par les Mouches (=Euménides).

B. Règles de la tragédie grecque

La règle des trois unités (de lieu, de temps et d'action) n'est respectée que par Giraudoux, dont la pièce se déroule en douze heures, dans le palais de la reine Clytemnestre. Sartre compose une pièce qui dure deux jours et demi, et qui a lieu à Argos dans quatre lieus diffférents. La règle de bienséance est respectée : tous les meurtres sont " cachés » par le récit d'un messager, ou par celui d'un personnage qui a assisté à la scène, sauf chez Sartre où Oreste tue Egisthe sous les yeux du spectateur. Chez Giraudoux, il n'y a qu'une seule entorse à la règle de vraisemblance : celle des Petites Filles qui prennent dix ans en un jour. Chez Sartre, elles sont plus nombreuses : les mouches en tant que déesses de la vengeance, Jupiter, les habitants de la cité et leur croyance à le fête des Morts (jour où les morts reviennent parmi les vivants), etc. Le langage précieux des tragédies est conservé par Giraudoux, tandis que Sartre utilise des expressions courantes : " Imaginez qu'Oreste se présente un jour aux portes de cette ville ! ». Des anachronismes contrastent avec le langage précieux dans Electre : le mendiant parle des " honoraires de son pourcentage » et de " faute originelle ». Ceci montre que la règle des temps lointains est respectée (les personnages sont ceux de la mythologie grecque) mais que l'auteur la considère d'un air hautain.

C. Inspiration de la culture grecque

La fatalité est un thème très présent dans le drame de Giraudoux. En efffet, chacun doit " se déclarer » selon le mendiant, chaque personnage agit en fonction d'un rôle déterminé par avance, chaque évènement est inéluctable (révélations, meurtre ifinal). Chez Sartre, cette notion est presque absente. Le divin, lui, est omniprésent chez Sartre : Jupiter est un personnage important de l'histoire, Apollon aussi. Le fait que les mouches soient les " personnages » éponymes montre que leur rôle est primordial ; ce sont les divinités de la vengeance, du remords et du repentir. Au contraire, chez Giraudoux, le divin est très peu important, au point qu'il est même remis en cause par le Mendiant qui demande aux autres s'ils croient aux Dieux. Cependant, il a quand même ses représentations : les Euménides, le mendiant, dont l'identité est ambigüe (home ou dieu ?) et l'oiseau qui plane au dessus de la tête d'Égisthe et qui retarde son meurtre. La mythologie grecque est essentiellement composée de transgressions. Elles se retrouvent dans l'histoire d'Electre : le matricide est le thème principal. Sartre en fait son unique infraction du code moral. Giraudoux, lui, va beaucoup plus loin : il évoque fréquemment l'abominable festin d'Atrée, il raconte l'histoire d'Agathe, une femme volage, il suggère un inceste latent (l'amour interdit d'Electre pour Oreste), il insinue que Clytemnestre est un mère indigne, et crée une Electre implacable dans son orgueil. II. Diffférences et similitudes entre les pièces anciennes et contemporaines

A. Electre de Jean Giraudoux

En plus des personnages présents dans les tragédies de l'antiquité, Giraudoux présente Agathe, une femme volage qui n'a pas d'équivalent dans les anciennes versions. Le président, son mari, peut être rapproché au précepteur de Sophocle : ils donnent tous les deux leurs conseils et sont là pour accompagner les personnages principaux. Le mendiant est le témoin, détective, accoucheur de vérité de la pièce ; son statut est ambigu (on ne sait pas s'il s'agit d'un homme ou d'un dieu) ; il peut être rapproché au choeur. Electre est destinée à un jardinier indigne d'elle qui ne veut pas la brusquer et qui ne veut que son bonheur, ceci rappelle du vieillard d'Euripide malgré le fait que le mariage ne soit pas encore prononcé. La femme Narsès, qui aide Electre à faire la justice, n'a pas d'équivalant. Les autres personnages ont des rôles insigniifiants. Giraudoux fait également une allusion à Chrysothémis, présente uniquement dans Electre de Sophocle. Au début de la pièce, Electre est insigniifiante, passive : " elle ne dit rien, elle ne fait rien, mais elle est là ». Elle pleure son père mort : sa chambre est celle d'où " on peut voir le tombeau de son père ». Elle est enfermée par sa mère dans le palais d'Argos où règne Egisthe, l'amant caché de Clytemnestre depuis sept ans. Cette situation est semblable à celle énoncée par Sophocle. La ruse employée par Oreste est la même que celle d'Euripide : il dit

être un étranger.

La scène de reconnaissance entre Electre et Oreste est très courte : elle se fait en quelques répliques, ce qui la rapproche de celle d'Eschyle. Le récit de messager principal est celui du mendiant qui raconte comment Agamemnon est mort dans les moindres détails. Il raconte ensuite le double meurtre commis par Oreste. Une des morts avait été relatée par un messager dans la tragédie d'Euripide. Il y a de nombreux agôns dans la pièce, mais ils portent tous sur le même thème : le personnage éponyme se dispute violemment avec sa mère au sujet d'un souvenir d'enfance selon lequel sa mère aurait laissé tomber Oreste sur le sol de marbre lorsqu'il était un bébé. Un songe, élément clé de la tragédie, a lieu dans cette pièce mais il est totalement dépourvu de réalisme. C'est à ce moment que Electre devient sure que son père a été victime d'un assassinat. Cela va entrainer la mort du couple Clytemnestre - Egisthe. Le songe est également présent dans Les Choéphores. Le double meurtre est commis par Oreste, qui tue Clytemnestre et

Egisthe en même temps.

A la ifin, Electre se retrouve seule, les Euménides poursuivant Oreste (comme chez Eschyle).

B . Les Mouches de Jean-Paul Sartre

Les personnages sont très semblables à ceux présents dans les tragédies de l'antiquité. La seule diffférence est la présence de Jupiter, qui est propre à Sartre. Les Erinnyes ont la forme de mouches. Cette idée est peut-être inspirée de Electre de Giraudoux, dans laquelle le jardinier dit des Euménides : " Allez-vous nous laisser ! On dirait des mouches ! ». Au début de la pièce, Electre est enfermée dans le château d'Argos où règne Egisthe et sa femme Clytemnestre. Cette situation est la même que celle qu'a créé Eschyle dans Les Choéphores. Oreste se fait passer pour un étranger et appeler Philèbe. C'est la même situation que chez Euripide et que chez Giraudoux. La scène de reconnaissance a lieu vers le milieu de la pièce, elle est longue et Electre ne crois pas que l'étranger est son frère. Le récit de messager est prononcé par Electre dans Les Mouches : un des meurtres est commis sous les yeux du spectateur, il est donc inutile de le raconter, et l'autre est raconté très précisément. L'agôn est, à l'image de Euripide, entre Oreste et Electre à la ifin de la pièce, lorsqu'ils se disputent à propos du repentir qu'ils devraient

éprouver.

Le double meurtre est commis par Oreste : Egisthe d'abord puis

Clytemnestre.

À la ifin de la pièce, Electre se repent et Oreste sauve son peuple en partant, loin de la ville, emportant derrière lui toutes les mouches et laissant les habitants heureux et libérés de leur remords. III. Importance d'Electre dans la pièce et étude de son caractère A. Une ifigure haineuse et indépendante chez Giraudoux Electre est le personnage principal de la pièce de Giraudoux. On voit ceci notamment grâce au titre de l'oeuvre : elle est le personnage éponyme. Toute l'intrigue tourne autour d'elle et de son caractère, qui est très diiÌifiÌicile à cerner. Elle est décrite comme intelligente, très belle. Elle est passive au début de la pièce, pour devenir ensuite la haine même. Elle prône la vérité et la justice, sans se rendre compte que " ce sont les seuls venins sans remède ». Dans sa recherche de raison, elle est guidée par son intuition plus que par des indices, comme on peut le voir dans la querelle du " poussé ou pas poussé » avec sa mère. Elle n'abandonnera pas cette dispute tant que sa mère n'aura pas avoué qu'elle a tort : elle mène l'interrogatoire, démasque les coupables et ne sera satisfaite qu'après leur châtiment. Elle fait une ifixation sur des traumatismes de petite enfance, hait profondément sa mère, éprouve un amour pathologique pour son père qu'elle reporte sur son frère pour qui elle a des sentiments quasi incestueux. Bref, c'est une " femme à histoires », une femme dont la présence est néfaste. Electre veut dire lumineux, brillant. Ceci la rapproche de l'aurore qui est décrite comme le moment où " tout est saccagé, [...] la ville brûle, les innocents s'entre-tuent ».

B. Un personnage incohérent chez Sartre

Elle joue un rôle secondaire après Oreste : elle ne participe pas aux meurtres. Au début de l'histoire, elle est animée par un désir de libérer la ville de sa condition de pénitence. Elle hait sa mère et Egisthe, et tente de se rebeller. Elle attend que son frère revienne pour se venger, elle ne vit que pour cet espoir. Lorsqu'il arrive enifin, elle est déçue par sa chétivité. Cependant, il la convainc qu'il va tuer sa mère et Égisthe et elle le suit. Puis après le meurtre, elle est rongée par une culpabilité extrême qui la pousse à haïr son frère. Euripide avait imaginé le repentir des deux personnages, Sartre n'a gardé que celui d'Electre. Dans Les Mouches, le caractère du personnage d'Électre est très amplement inspiré de celui de Sophocle.

Conclusion

Les cinq pièces de théâtre dont le sujet est l'histoire d'Electre se coupent et s'entrecoupent. Les même personnages reviennent mais à chaque fois diffférents, les mêmes actions se passent mais jamais semblables. Ces cinq dramaturges ont su explorer la psychologie d'un personnage complexe, interpréter ce mythe chacun à leur manière et donner cinq chefs d'oeuvres dont les lectures se complètent.quotesdbs_dbs35.pdfusesText_40
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