Le siège de Dantzig par les Français en 1807 (01/04-26/05)
Le siège de Dantzig a été comme un trait d'union entre Eylau et Friedland Napoléon ayant besoin de réduire la place avant de reprendre ses opérations
Corps de siège de DANTZIG en Avril-Mai 1807
1ère Division : GD MICHAUD. 6.328 h. Brigade GB Dufour. 1.980 h. 12e Léger Colonel Jeanin. 2 bataillons. 1.980 h. Brigade GB Puthod.
LES ARMEES A FRIEDLAND LE 14 JUIN 1807 - II. LARMÉE
LES ARMEES A FRIEDLAND LE 14 JUIN 1807. II. L'ARMÉE FRANÇAISE DE NAPOLÉON Ier. 1. ÉTAT-MAJOR : Commandant-en-Chef NAPOLÉON Ier. GD DUROC
Jean-François PIOTON Un conscrit bourbonnais du 58e de ligne
A fait les campagnes de l'an 13 14
* I . Lentrée en campagne * * 1812 * * LA CAMPAGNE DE RUSSIE
près le traité de Tilsit * (Sovetsk) signé sur le Niémen en 1807 partie des troupes russes pour faire face à une invasion française imminente.
EUROPEAN UNITY AND THE DISCOURSE OF COLLABORATION
Napoleon III Henri de Saint-Simon
HPM2016 Proceedings
Jul 22 2016 Van Dantzig had highly original ideas about mathematics ... Venus) the planet's distance aP = a sin? (a being the earth-sun distance).
LIVR ES LETTR ES ET MANUSCRIT S A UT OGRAP H ES HIS T O
première fois au Théâtre français le 24 février 1810. Mademoiselle signée de NAPOLÉON au général Clarke sur le siège de Dantzig.
Annales historiques de la Révolution française 348
Jun 1 2007 De la guerre de siège à la guerre de mouvement : une révolution logistique à ... Rory MUIR
DE LA PHYSIQUE
Français Dutens dans son ouvrage Recherches sur Vorigine des découvertes av
Le siège de Dantzig par les Français en 1807 (01/04-26/05)
NOTE SUR QUELQUES OPÉRATIONS DU SIÈGE DE DANTZIG EN 1807 PAR M BLANC Colonel du génie en retraite Un éloge récemment prononcé à la Chambre des pairs m'a donné l'idée de relire la relation du siége de Dantzig par le général Kirgener
LE SIÈGE DE DANTZIG 1807 - planete napoleon
L’un des témoins privilégiés le gouverneur de Dantzig le général feld- maréchal comte von Kalkreuth nous ra- conte ici le siège qui a duré du 19 mars au 27 mai Il a publié sa correspondance dès 1809 Elle n’avait jamais été traduite
Annales historiques de la Révolution
française348 | Avril-Juin 2007
Guerre(s), société(s), mémoire
Édition
électronique
URL : https://journals.openedition.org/ahrf/8933
DOI : 10.4000/ahrf.8933
ISSN : 1952-403X
Éditeur
Armand Colin, Société des études robespierristesÉdition
impriméeDate de publication : 1 juin 2007
ISSN : 0003-4436
Référence
électronique
Annales historiques de la Révolution française , 348Avril-Juin 2007, "
Guerre(s), société(s), mémoire
[En ligne], mis en ligne le 01 juin 2010, consulté le 30 avril 2022. URL : https://journals.openedition.org/ ahrf/8933 ; DOI : https://doi.org/10.4000/ahrf.8933 Ce document a été généré automatiquement le 30 avril 2022.Tous droits réservés
SOMMAIREArticlesGuerre(s), société(s), mémoireAnnie Crépin et Bernard Gainot" Tout Français est soldat et se doit à la défense de la patrie » (Retour sur la naissancede laconscription militaire)Philippe Catros" Réduit à désirer la mort d'une femme qui peut-être lui a sauvé la vie » : la conscription etles liens du mariage sous NapoléonJennifer HeuerArmement des hommes de couleur et liberté aux Antilles : le cas de la Guadeloupe pendantl'Ancien régime et la RévolutionFrédéric RégentDes républiques en armes à la République armée : guerre révolutionnaire, fédéralisme etcentralisme au Venezuela et en Nouvelle-Grenade, 1808-1830Clément Thibaud" La manière la plus efficace de maintenir la tranquillité » ?La place de la gendarmerie impériale dans le dispositif français du nord de l'Espagne (1810-1814)
Gildas Lepetit
De la guerre de siège à la guerre de mouvement : une révolution logistique à l'époque de la
Révolution et de l'Empire ?
Jean-Philippe Cénat
Les soldats allemands dans l'armée napoléonienne d'après leurs autobiographies : micro- républicanisme et décivilisationThomas Hippler
Français et Britanniques dans la Péninsule, 1808-1814 : étude de mémoires français et britanniquesLaurence Montroussier
Violences de guerre et transmission de la mémoire des conflits à travers l'exemple de la campagne de Calabre de 1806-1807Nicolas Cadet
La mort des anciens officiers de la Grande Armée à travers l'exemple charentaisStéphane Calvet
Rebâtir après les défaites napoléoniennes : les enjeux de la reconstruction immobilière dans
la France du Nord et de l'Est (1814-1860)Jacques Hantraye
Hommage
Émile ducoudray
Roland Gotlib et Bernard Gainot
Annales historiques de la Révolution française, 348 | Avril-Juin 20071Comptes rendus - Histoire militaireThe Command of the Ocean. A Naval History of Britain, 1649-1815Edmond DziembowskiL'Armée en Bretagne au XVIIIe siècle. Institution militaire et société civile au temps de
l'intendance et des ÉtatsMartial Gantelet
Soldats et citoyens. Naissance du service militaire en France et en PrusseAnnie Crépin
Quand les enfants parlaient de gloire. L'armée au coeur de la France de NapoléonAnnie Crépin
Registres matricules des sous-officiers et hommes de troupe de la garde et de l'infanterie deligne (1803-1815), Répertoire numérique, Département de l'Armée de Terre, Sous-Séries 20 et
21 Yc, Édition annotée des notices historiques de la garde
Annie Crépin
Correspondance générale, publiée par la Fondation Napoléon, volume III, Pacifications,1800-1802
Josiane Bourguet-Rouveyre
Souvenirs d'un cavalier de la Grande Armée 1800-1810Philippe Catros
Lettres d'un Lion. Correspondance inédite du général Mouton, comte de Lobau (1812-1815)Jacques Logie
Waterloo. 18 juin 1815. Le dernier pari de NapoléonJacques Logie
Dans les derniers numéros des AHRF
Comptes rendus - Varia
Kant and the Culture of Enlightenment
Raymonde Monnier
Le monde des salons. Sociabilité et mondanité à Paris au XVIIIe siècleÉric Saunier
Science and Polity in France: the End of the Old Regime ; Science and Polity in France: theRevolutionary and Napoleonic Years
Patrice Bret
Les Mémoires policiers 1750-1850. Écritures et pratiques policières du Siècle des Lumières au
Second Empire
Jean-Marc Berlière
Réjouissances citoyennes en Côte-d'Or 1789-1800Michel Biard
Varennes. La mort de la royauté
Annie Duprat
Annales historiques de la Révolution française, 348 | Avril-Juin 20072Charlotte Corday en 30 questionsMichel BiardArchives parlementaires. Première série, tome CI, du 19 au 30 brumaire an III (9 au 20novembre 1794)Michel BiardMémoires et miroirs de la Révolution françaiseJulien LouvrierAu-delà du maître. Girodet et l'atelier de DavidAnnie Duprat
Annales historiques de la Révolution française, 348 | Avril-Juin 20073Articles
Annales historiques de la Révolution française, 348 | Avril-Juin 20074Guerre(s), société(s), mémoireAnnie Crépin et Bernard GainotLa nouvelle histoire militaire se déploie dans de multiples directions illustrées par les
travaux de jeunes chercheurs auxquels nous avons voulu donner la parole dans cenuméro intitulé " Guerre(s), société(s), mémoire », centré à la fois sur la guerre et les
sorties de guerre. Les recherches récentes sur les guerres de la Révolution et de l'Empire convoquent des méthodes et une terminologie empruntées à l'historiographie des conflits du XX e siècle, et singulièrement à celle de la Première guerre mondiale. Toutefois, il convient de replacer ces guerres dans leur environnement et dans leur contexte, et relativiser leur" nouveauté ». À bien des égards (logistique, tactique, armement, stratégie), elles se
situent dans le prolongement des grands conflits européens de la fin du XVIIe et du XVIII e siècles. Nous avons donc voulu replacer les conflits européens en perspective, d'une part dans la durée, privilégiant ici, il est vrai, la phase ultime de la période des " révoltes etrévolutions », au-delà de 1815 ; et dans l'espace, en accordant une attention particulière
aux conflits coloniaux américains, qui inscrivent dans des configurations nouvelles, idéologiques et politiques, les héritages des guerres du XVII e siècle. Au fil des contributions, il apparaît une sorte de jeu de miroir entre les pratiques, les contingences du processus révolutionnaire et l'idéologie, entre la mutation de la société et celle de la guerre. Si la dynamique de la guerre transforme la nature des forces armées, tout aussi bien, les bouleversements sociaux accélèrent le surgissement de cette guerre nouvelle par un effet de " boule de neige ». Ph. Catros le montre dans son article consacré à la loi Jourdan, étape fondamentale dans l'établissement de nouveaux rapports entre l'État, la nation et le peuple. J.-Ph. Cénat l'atteste aussi à propos d'une question en apparence technique, la logistique, qui a en fait des implications politiques. Ce qui est vrai pour l'espace français et - inévitablement - européen, l'est tout autant dans d'autres espaces, comme la Nouvelle-Grenade(Colombie actuelle) et le Venezuela, étudiés par Cl. Thibaut au moment de
l'indépendance. Là, la dynamique guerrière impose la centralisation politique et constitue le creuset de la communauté nationale. Dans l'espace caraïbéen, les enjeux de l'armement des hommes de couleur sont considérables : F. Régent restitue ces enjeux Annales historiques de la Révolution française, 348 | Avril-Juin 20075 pour la Guadeloupe dans le contexte de la transition entre les conflits coloniaux et les troubles de la décennie révolutionnaire. Les affrontements raciaux y croisent la symbolique de la liberté par la prise d'armes. Ces guerres révolutionnaires portent à son paroxysme la contradiction entre barbarie et civilisation à laquelle se heurtèrent les hommes des Lumières. Menées par des combattants convaincus de la justesse de leur cause, ce qui pouvait être un progrès, elles posent la question de la " discipline librement consentie », et donc des rapports entre officiers et soldats comme le montre Th. Hippler, mais aussi révèlent laconfrontation à la violence déchaînée, reçue et donnée, dans une tragique surenchère.
Ce surgissement de la barbarie est connu pour la guerre d'Espagne, évoquée dans les articles de G. Lepetit, L. Montroussier et Th. Hippler (qui mentionne également la campagne de Russie) ; mais il est encore largement méconnu en ce qui concerne l'épisode calabrais que N. Cadet invite à redécouvrir. L'" après-guerre » est une expression qui fut longtemps réservée au XX e siècle. Une partie des articles de ce numéro traite des " sorties de guerre », comme on parle des " sorties de révolution ». La fin des guerres napoléoniennes est une période au cours delaquelle les traces matérielles, culturelles, sociales et mémorielles de la guerre sont très
présentes. J. Hantraye évoque plus particulièrement la reconstruction - autre terme utilisé seulement pour le XX e siècle - dans le Nord-Est de la France et il en examine la poursuite jusqu'au Second Empire. C'est à une sorte de " reconstruction » culturelle et sociale que J. Heuer consacre son article en étudiant les demandes d'annulation, présentées sous la Restauration, des faux mariages contractés uniquement dans le but d'échapper à la conscription. S. Calvet, quant à lui, analyse les derniers moments desofficiers de la Grande Armée revenus dans la société civile à une période où l'on ne
parlait pas encore d'anciens combattants. Il évoque aussi les premières tentatives de célébration mémorielle. C'est aussi au cours de ces " sorties de guerre » que se construit une mémoire quisurévalue l'expérience vécue des combattants, présentée comme inouïe et irréductible
à toute autre, porteuse d'une réinterprétation du conflit, comme le montraient déjà à
des titres divers N. Cadet, L. Montroussier et Th. Hippler. Ces contributions, dans leur diversité, témoignent de la richesse et du renouvellement des recherches actuelles en histoire militaire.AUTEURS
BERNARD GAINOT
Université d'Artois, Rue du Temple, 62 000 Arras, anniecrepin@aol.com Annales historiques de la Révolution française, 348 | Avril-Juin 20076" Tout Français est soldat et se doità la défense de la patrie » (Retoursur la naissancede la conscriptionmilitaire)Philippe Catros
" Votre commission n'a pas modelé son travail sur les usages des peuples anciens et encore moins sur ceux des peuples modernes. Ce qui était bien à Rome serait dangereux dans la République française. Ce qui est pratiqué sous un gouvernement monarchique serait contraire aux principes d'une constitution républicaine ; elle a dû, à l'exemple des généraux français qui ont vaincu, lorsqu'ils ont eu le courage de se soustraire à l'empire de l'habitude, et le génie de créer des ordres de batailles, et une manière de combattre conforme au caractère national ; elle a dû, dis-je, créer un mode de recrutement conforme aux principes de notre constitution, un mode de recrutement, au moyen duquel le gouvernement aura en tout temps une barrière impénétrable d'un million d'hommes à opposer aux puissances qui auraient encore la folle prétention d'attaquer le peuple français ou ses alliés, et de porter la guerre sur la terre de la liberté ; un mode de recrutement qui ne privera l'agriculture, les arts, le commerce, que du nombre d'hommes absolument nécessaire à la défense de la patrie ; un mode enfin, qui, appelant successivement à l'armée tous les citoyens français, garantira la liberté civile des prétentions militaires. La nation ne sera pas divisée en deux classes, l'une militaire, l'autre civile ; il n'y aura pas dans l'État, une classe d'oppresseurs et une classe d'opprimés. Le peuple français n'aura jamais à craindre le régime militaire, ni la tyrannie d'un usurpateur. Les défenseurs de la patrie seront citoyens, et dès lors, il n'existera aucun motif de rivalité, de défiance, aucune ligne de démarcation entre le peuple et ses défenseurs. »1 Voilà en quoi doit consister, selon Jean-Baptiste Jourdan, le projet de conscription
militaire qu'il rapporte le 2 thermidor an VI (20 juillet 1798)1 au Conseil des Cinq-Cents,
au nom d'une Commission militaire dont les membres, s'ils ne sont pas tous, à l'image de son rapporteur, des " néo-jacobins » notoires, ont tous en commun d'être des anti- royalistes convaincus ayant approuvé le coup de force du 18 fructidor an V2. Si l'on en
croit Jourdan, c'est donc une véritable révolution des institutions militaires que cette commission propose. Non seulement son système permettra de mieux assurer la Annales historiques de la Révolution française, 348 | Avril-Juin 20077 sécurité de la République mais encore, en calquant l'organisation de la force armée surdes principes révolutionnaires, il créera un outil militaire adapté à un État de droit,
c'est-à-dire soumis aux autorités publiques et enraciné dans la société civile. En soi, ce
dessein n'est pas nouveau : c'est un idéal invoqué depuis l'époque des Lumières, et que la Révolution n'avait cessé de revendiquer, mais sans jamais avoir su, ou pu, instaurer des institutions militaires correspondantes. La Commission militaire de l'an VI avait- elle enfin trouvé la solution de ce problème ?2 Le projet que Jourdan rapporte le 2 thermidor an VI est en partie l'oeuvre de Delbrel,
adjoint à la Commission le 7 ventôse (25 février) après avoir profondément critiqué la
formation d'une " armée auxiliaire » de 100 000 " défenseurs de la Patrie » recrutés par
tirage au sort parmi les jeunes de 18 à 21 ans en temps de paix, et de 18 à 24 ans en temps de guerre, système que Jourdan avait présenté le 23 nivôse an VI (23 janvier 1798)3. Restaurer le tirage au sort - disposition qu'on s'était bien gardé de légaliser
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