Entrepreneuriat en Tunisie C·A·P
C·A·Perspectives on Tunisia No. 03-2016
INNOVATION SOCIALE ET ENTREPRENEURIAT
elle a été conçue c'est-à-dire
Évaluation nationale du développement de lentrepreneuriat féminin
C'est dans cet esprit qu'il nous semble opportun de publier cette Evaluation nationale portant sur le développement de l'entrepreneuriat féminin en Tunisie
Les systèmes dappui à la création dentreprises en Tunisie: quels
17 août 2016 Mots clés : Politiques et mécanismes d'appui à l'entrepreneuriat ... ANNEXE 3 - CHARTE DU RÉSEAU NATIONAL DES PÉPINIÈRES D'ENTREPRISES .
Soutenir lentrepreneuriat dans le système de la formation
Banque Tunisienne de Solidarité. BTS. Brevet de Technicien Supérieur. CA. Centre d'Affaires. CAP. Certificat d'Aptitude Professionnelle.
Entrepreneuriat Vert
7 oct. 2014 Promouvoir l'Entrepreneuriat Vert en Tunisie ... des ap tudes à produire des services et des biens. ... Par conséquent c'est donc le devoir.
Formation à lentrepreneuriat pour les institutions dEFTP
2016 p. 17). La formation à l'entrepreneuriat aide les apprenants C'est ainsi par exemple qu'un futur pharmacien assistant consacrera sans doute moins ...
CHOMAGE ET ENTREPREUNARIAT EN AFRIQUE
6 févr. 2019 Université de Sfax (Tunisie) et Université d'Orléans en cotutelle ... MOTS CLÉS Entrepreneuriat Chômage
Les motivations entrepreneuriales des jeunes entrepreneurs
27 oct. 2006 Entrepreneuriat des jeunes jeunes tunisiens
Une vision renouvelée des paradigmes de lentrepreneuriat: Vers
14 mars 2015 Université de Gafsa Apr 2009
L’entrepreneuriat Faits et chiffres - entreprisesgouvfr
En France 550 000 entreprises ont été créées en 2016 : la création est dynamique et contribue positivement à la productivité et à la valeur ajoutée L’activité entrepreneuriale tout en étant intense reste inférieure à l’intention : 14 contre 3 en 2014 des freins persistent
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Cette synthèse sur l'entrepreneuriat des jeunes présente les principaux défis et opportunités pour favoriser la création d'entreprise par les jeunes en Europe Elle s'appuie sur les expériences et les bonnes pratiques des pays de l'OCDE et de l'UE et propose des recommandations pour renforcer le soutien à l'entrepreneuriat des jeunes
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2MiB}+ `2b2`+? /Q+mK2Mib- r?2i?2` i?2v `2 Tm#@
HBb?2/ Q` MQiX h?2 /Q+mK2Mib Kv +QK2 7`QK
i2+?BM; M/ `2b2`+? BMbiBimiBQMb BM 6`M+2 Q` #`Q/- Q` 7`QK Tm#HB+ Q` T`Bpi2 `2b2`+? +2Mi2`bX /2biBMû2 m /ûT¬i 2i ¨ H /BzmbBQM /2 /Q+mK2Mib b+B2MiB}[m2b /2 MBp2m `2+?2`+?2- Tm#HBûb Qm MQM-Tm#HB+b Qm T`BpûbX
hmMBbB2, [m2Hb 2MD2mt 2i [m2Hb `¬H2b TQm` H2b D2mM2b /BTH¬Kûb TQ`i2m`b /2 T`QD2ib\, +b /2 H `û;BQM /2 a7t hQ +Bi2 i?Bb p2`bBQM,`¬H2b TQm` H2b D2mM2b /BTH¬Kûb TQ`i2m`b /2 T`QD2ib\, +b /2 H `û;BQM /2 a7tX 1+QMQKB2b 2i }MM+2bX
yRj89ReNUNIVERSITÉ DE SFAX
ETNIVERSITÉ DE BOURGOGNE
THÈSE
Pour obtenir le grade de
Discipline
parAfef KALLEL BOUKHRIS
Les systèmes d'appui à la création d'entreprises en Tunisie.Directeurs de thèse
Mme. Sonia GHORBEL
Membres du Jury
Professeur Université de MonastirPrésident et Rapporteur Professeur Université de SfaxDirectrice de thèse Professeur Université de BourgogneDirecteur de thèseMaître de Conférences HDR
Université de Paris-Est Créteil
Rapporteur
émises dans cette
Je dédie ce travail
À mon
MLGH P·pPMLP SUpŃLHXVH SRXU OM UpMOLVMPLRQ GH ŃH PUMYMLOBÀ mes deux petits anges Mohamed et Yassine.
À PHV GHX[ V±XUV, PM NHOOH V±XU et à mes beaux frères À ma belle famille pour leur patience et leurs encouragements. À mes amis, ceux qui ont pris la peine de lire mŃRQVHLOOHU HP GH P·MLGHUB
PRXV ŃHX[ TXL P·RQP IMLP ŃRQILMQŃH PMOJUp OHV obstacles, les diff Ń·HVP SRXU YRXV TXH ŃHPPH POqVH est dédiéREMERCIEMENT
chacune à sa façon, ont apporté une aide pécieuse à sa concrét honneur de rappo s disponibilité (la B tion de - t du Travail Indépendant Recette des Finances, le Bureau de Contôle des impôts, la Caisse Na enquête dans leur équipe durant mes stages de rechercheRÉSUMÉ
Dans cette thèse, nous identifions les déterminants cohorte de 160 entreprises créées entre le 01/01/2008 et 31/12/2008, soit cinq ans après la un entrepreneur voit son entreprise aux allégement des charges sociales et p n entrepreneuriale accompagnement postMots clés
ABSTRACT
In this dissertation we identify
occupation and the activity of his own company, and from the initial start wages. On the other hand, a company benefiting from entrepreneurial training beforeKeywords
SOMMAIRE
PARTIEURIAT
CHAPITRE1 EMERGENCE DU CONCEPT ENTREPRENEUR ET
ENTREPRENEURIAT
CHAPITRE2 PETITE ENTREPRISE ET
PARTIENEURIATÉMATIQUE
CHAPITRE3 LE DÉVELOPPEMENT DES APPUI À LA CRÉATIONENTREPRISES
CHAPITRE : LES DISPOSITIFS DAPPUI À LA CRÉATION ENTREPRISES EN TUNISIE ETAT DESPARTIE
CHAPITRE5 MÉTHODOLOGIE DE RECHE
CHAPITRE6 MODÉLISATION ÉCONOMÉT
CONCLUSION GÉNÉRALE
BIBLIOGR
ANNEXES
ISTE AFIC CEFEListe des abréviations
6 HZDR INSTM ISET TPEUnité
LISTEABLEAU 0.1 EVOLUTION DU TAUX DE TUNISIE
TABLEAU 0.2 - EVOLUTION DES ENTREPR
TABLEAU 0.3 - EVOLUTION DU TAUX DE INSTRUCTION
TABLEAU 1.1 - REPRÉSENTATION USUELL
TABLEAU 1.2 - LES COMPENTREPRENEUR
TABLEAU 3.1 - PRINCIPAUX THÈMES DE
TABLEAU 4.1 - EVOLUTION DU NOMBRE D
ACCOMPAGNEMENT DES P(PAPPE)
TABLEAU 4.2 - RÉPARTITION DES PROJEBTS
TABLEAU 4.3 - RÉPARTITION DES PROJEBFPME
TABLEAU 5.1 - RÉCAPITULATION DES HY
TABLEAU 5.2 - RÉPARTITION DES PROJEBTS SFAX
TABLEAU 5.3 - DESCRIPTION DES VARIA'ÉTUDE
TABLEAU 5.4 - LES TAUX DE SURVIE DE
SFAX TABLEAU 5.5 - LES CARACTÉRISTIQUES -ÉCONOMIQUES DES ENTRTABLEAU 5.6 - MATRICE DE CORRÉLATIO
TABLEAU 5.7 - ETAT DACTIVITÉ DE LENTREPRISE SELON LE TABLEAU 5.8 - ETAT DACTIVITÉ DE LENTREPRISE SELON LE TABLEAU 5.9 - ETAT ACTIVITÉ DE LENTREPRISE SELON LA TABLEAU 5.10 - RÉPARTITION DE LA PÉR-CRÉATION SETABLEAU 5.11 - RÉPARTITION DES AIDES
TABLEAU 6.1 - TABLEAU DE CONTINGENCݎ
Ht ݐ݅
TABLEAU 6.2 - RÉSULTAT DES TESTS DHOMOGÉNÉITÉ DES FONC TABLEA6.3 - RÉSULTAT DES TESTS DHOMOGÉNÉITÉ DES FONCOBTENTION DU DIPLÔME
TABLEAU 6.4 - RÉSULTAT DES TESTS DHOMOGÉNÉITÉ DES FONCOCCUPATION PRÉALABLE
Liste des tableaux
TABLEAU 6.5 - RÉSULTAT DES TESTS DHOMOGÉNÉITÉ DES FONCENTREPRENEUR
TABLEAU 6.6 - RÉSULTAT DES TESTS DHOMOGÉNÉITÉ DES FONC TABLEAU 6.7 - RÉSULTAT DES TESTS DHOMOGÉNÉITÉ DES FONC TABLEAU 6.8 - RÉSULTATS ESTIMATION DU MODÈLECOXTABLEAU 6.9 - TABLEAU DE VALIDATION
LISTEFIGURE 0.1 - L'ARTICULATION DE LA T
IGURE 2.1 - LES STADES DE DÉVELOPUNE ENTREPRISE IGURE 3.1 - LE PROCESSUS DAIDE ET DASSISTANCE À LA CRÉAIGURE 3.2 - PRATIQUES ET REGISTREACCOMPAGNEMENT
IGURE 4.1 - EVOLUTION DES PROJETSBTS
IGURE 4.2 - EVOLUTION DES PROJETSBFPME
IGURE 5.1 - CADRE CONCEPTUEL DE LÉTUDE
IGURE 5.2 - EVOLUTION DES PROJETSBTS SFAX
IGURE 5.3 - ETAT DACTIVITÉ DE LENTREPRISE SELON LE IGURE 5.4 - ETAT DACTIVITÉ DE LENTREPRISE SELON LE IGURE 5.5 - ETAT DACTIVITÉ DE LENTREPRISE SELON LA IGURE 5.6 - RÉPARTITION DE LA PÉR-CRÉATION SELON LA NAIGURE 6.1 - LES DIFFÉRENTS TYPES
IGURE 6.2 - COURBE DE SURVIE GLOBKAPLAN MEIER DES ENTREPRISES2008 IGURE 6.3 - COURBE DE HASARD DE KAPLAN MEIER DES ENTREPRISES2008IGURE 6.4 - COURBE DE SURVIE SELO
IGURE 6.5 - COURBE DE SURVIE SELOOBTENTION DU DIPLÔME IGURE 6.6 - COURBE DE SURVIE SELOOCCUPATION PRÉALABLEIGURE 6.7 - COURBE DE SURVIE SELOENTREPRENEUR
IGURE 6.8 - COURBE DE SURVIE SELO
IGURE 6.9 - COURBE DE SURVIE SELO
LISTEANNEXE 1 - CONVENTION CADRE DU 19 1999
NNEXE 2 - LES PÉPINIÈRES DENTREPRISES EN TUNISIE NNEXE 3 - CHARTE DU RÉSEAU NATIONAL DES PÉPINIÈRES DNTREPRISES NNEXE 4 - LISTE DES ENTREPRISES, SICARS CONVENTIONNÉES POUENTREPRISES
NNEXE 5 - LISTE DES ZONES DENCOURAGEMENT AU DÉVNNEXE 6 LES PARTENAIRINITIATIVE "OUK AT-TANMIA
NNEXE 7 QUESTIONNAIRE
NNEXE 8 STATISTIQUES DESCRIPT
NNEXE 9 RÉSULTATS DES TESTS N-PARAMÉTRIQUES
NNEXE 10 - RÉSULTATS DE LESTIMATION NON-PARA
NNEXE 11 - RÉSULTATS DE LESTIMATION SEMI-PARAMÉTRIQUE0. INTRODUCTION GÉNÉRALE
Genèse de la problématique
est devenue un élément stratégique dans dans un contexte de globalisation des entreprises constituant le tissu économique. En effet, chaque année de nouvell1 2
des entreprises nouvellement créées. "On le sait, les nouvelles entreprises ne leur genèse ou à leur disparition. nouvelles entreprises oscille en fonction des phases de croissance ou de récession1 et al. (2012, p. 42) "Différents vocables ont été utilisés
" newly founded firm », " new business », " emerging business », " small business start 2 avant sa cinquième année d'Introduction générale
avec leurs env al (Arshakuni, 2006).Albert et
al.19 . Les Etats des mécanismes 19 reste une incontournable source génératrice à la fois deLe choix de notre sujet de thèse
de projets», a été motivéIntroduction générale
étaient au chômage dans le monde en 2013,
3Année 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
(4èmetrim) 2012(4èmetrim) 2013
(4èmetrim)
Taux de
chômage (%) 12,9 12,5 12,4 12,4 13,3 13,0 18,9 16,7 15,3Source : INS
Avant que la
4 que (ONEQ & OIT, 2014).3 ème
4Introduction générale
Tableau
Tranche de
salariés 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 20120 410 673 434 880 447 664 467 047 490 788 516 856 523 146 546 615
1 à 2 38 384 39 771 41 830 43 263 44 509 46 256 45 095 44 292
3 à 5 13 354 13 664 14 268 14 674 15 371 15 817 15 649 16 465
6 à 9 5 405 5 492 5 674 5 985 6 375 6 642 6 340 6 602
10 à 19 4 234 4 364 4 517 4 793 4 949 5 110 5 059 5 132
20 à 49 3 053 3 020 3 181 3 344 3 392 3 476 3 462 3 554
50 à 99 1 338 1 407 1 463 1 528 1 552 1 639 1 624 1 612
100 à 199 941 937 949 964 948 977 1 041 1 028
200 et plus 707 749 779 807 811 824 806 802
TOTAL 478 089 504 284 520 325 542 405 568 695 597 597 602 222 626 102 SourceRépertoire National des Entreprises 2013, INS Cette hausse préoccupante du chômage a touché particulièrement les diplômés de 'évolution du taux de chômage selon le niveauème
En %Année 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
(4èmetrim) 2012(4èmetrim)
Analphabète 6,3 6,4 4,4 4,2 6,1 5,7 8,0 5,8
Primaire 14,3 13,0 11,5 10,6 10,4 9,2 12,4 12,2
Secondaire 13,3 12,5 13,5 13,4 14,0 13,7 20,6 21,0 Supérieur 14,0 16,9 18,7 20,0 21,9 23,3 32,1 33,2TOTAL 12,9 12,5 12,4 12,4 13,3 13,0 18,6 16,7
Source :
Introduction générale
Il en important de leur nombre n se référant aux statistiques du de la Recherche Scientifique, ure de la courbe des diplômés est croissante, la forte tendance passée à l'allongement de la durée des études s'est enquête sur la Active en Tunisie (ETVA 2013), réalisée en 2013, et financée par le projet du Bureau mploi et des 5 5Introduction générale
promouvoir la création de micro et petites entreprises, depuis presque plus de trois Un nombre accru de structures, programmes et dispositifs - En 1963, est créé, le Fonds Spécial de Développement Agricole et , cette institution éEuropéenne, 2007).
- E Centre de Promotion des Exportations (CEPEX) - Fonds de Promotion et de , considéré comme un instrument de - En 1981 apparaît le Métiers (FONAPRAM), pour la promotion des investissements dans le secteur de utilitaire et la petite manufacture. 6 ciIntroduction générale
- Durant la même année, est créé , pour - En 1988, on voit également émerger les (CCI), pour promouvoir le secteur p (ANETI) professionnelle des jeunes, elle apporte aussi le soutien - En 1996, apparaissent les Centres Techniques, qui opèrent dans les différentes - la Banque , qui vient concourir au développement de la micro - Le Guichet Unique créé en 1997 a pu permettre la réduction des délais - En 1998 est créé le Régime d'I r ajoutée et de services innovants basés - Accord Cadre), le 19 octobre 1999 et notamment les Instituts Supérieurs des Etudes Technologiques (ISET), sous laIntroduction générale
des Technologies, a été créé la première des pôles technologiques - En 2003, est créé un nouveau système de garantie appelé "Régime de garantie desSociété Tunisienne de Garantie (SOTUGAR).
(BFPME). - Dans la même année, apparaissent les , ayant pour vocation de t suivi de la réalisation des projets. - En 2006 est créé le premier , destiné au , il apparaît notre compréhension de ce phénomène et de ses composantes si complexes.Introduction générale
Problématique de la recherche
nce jouent les petites et moyennes entreprises dans le système économique mondial. al. structurés autour de trois axes majeurs à savoir réseauxfurent inspirées par la création des établissements (publics) de financement ou de
subven7, qui devraient stimuler la demande de crédit et par la suite Mais, bien évidemment, parmi toutes les questions relatives aux politiques une impor des nouv 7 8 de bénéficiaires du programme en question, en comparaison avec un groupe de contrôle ou dIntroduction générale
nécessaires, afin de pouvoir identifier le degré de corrélation entre les programmes
atténuer les impacts négatifs et de proposer par la suite des recommandations9quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] Entrepreneuriat_social_en_milieu_rural_
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