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RAPPORT ANNUEL LA BALANCE DES PAIEMENTS ET LA

Source : Banque de France. En 2013 le solde des transactions courantes – importations et exportations de biens et services

RAPPORT ANNUEL

LA BALANCE DES PAIEMENTS

ET LA POSITION EXTÉRIEURE

DE LA FRANCE

20

ISSN 0292-6733

BANQUE DE FRANCE

DIRECTION GÉNÉRALE DES STATISTIQUES

Direction

de la Balance des paiements

Direction

des Enquêtes et Statistiques sectorielles

121-13

SOMMAIRE

BALANCE DES PAIEMENTS ET POSITION EXTÉRIEURE DE LA FRANCE

RAPPORT

ANNUEL 20135

VUE D"ENSEMBLE

CHAPITRE 1 LE COMPTE DE TRANSACTIONS COURANTES

CHAPITRE 2 LE COMPTE FINANCIER

6 BALANCE DES PAIEMENTS ET POSITION EXTÉRIEURE DE LA FRANCE

RAPPORT ANNUEL 2013

SOMMAIRE

CHAPITRE 3 LA POSITION EXTÉRIEURE

BALANCE DES PAIEMENTS DES ANNÉES 2012 ET 2013 - PRÉSENTATION DÉTAILLÉE

ANNEXES

1 Mise en oeuvre des nouvelles normes internationales pour la balance de

s paiements 8 2 Échanges de biens : des données douanières à la balance des paiements 9 3 Échanges de biens : des données douanières à celles de la balance des paiements 17 4

Parts de marché des échanges de biens 18

5 Les transferts avec les institutions de l'Union européenne 23 6 Les stocks d'investissements directs étrangers en France en foncti on du pays de l'investisseur ultime 37 " La balance des paiements et la position extérieure de la France » -france.html

VUE D"ENSEMBLE

8 BALANCE DES PAIEMENTS ET POSITION EXTÉRIEURE DE LA FRANCE

RAPPORT ANNUEL 2013

VUE

D"ENSEMBLE

G0-1 - 120- 100- 80- 60- 40- 2020406080 100
Biens

Services

Revenus primaires

Revenus secondaires

Solde des transactions courantes

0

2008 2009 2010 2011 2012 2013

T0-1 Biens a) -64,8 -54,6 -42,5

Services24,0 24,7 18,3

Revenus primaires56,0 40,7 39,3

Revenus secondaires -37,5 -42,6 -45,3

E n 2013, le solde des transactions courantes - importations et exportations de biens et services, fiux de revenus entre rési dents et non-résidents - est décitaire de 30,3 milliards d'euros, soit 1,4 % du PIB, après 1,5 % du PIB en 2012 et 1,1 % en 2011 1 Du fait de la mise en œuvre des nouvelles normes inter- nationales relatives à la balance des paiements, le décit du compte des transactions courantes a dû être révisé et son montant se trouve réduit, à hauteur de 0,4 point de PIB sur chacune des années 2011 à 2013. Ce chan gement de méthode est associé en particulier à l'amé lioration du traitement des collectes sur les services

(0,1 point), à la prise en compte des données Eurostat sur la balance des paiements des institutions euro-péennes (0,1 point) et à l'amélioration du calcul des revenus d'investissement de portefeuille (0,1 point)

2 Après une dégradation en 2011 et 2012, le décit des transactions courantes atteint un niveau inférieur à celui qu'il avait avant la crise en 2008.

ENCADRÉ 1

Mise en œuvre des nouvelles normes internationales pour la balance des paiements

De longue date, il est apparu nécessaire d"harmoniser, à l"échelle internationale, les pratiques des statisticiens

en établissant un cadre de référence normalisé. LeFMI a institué récemment de nouvelles normes (la

6 e version

du Manuel de balance des paiements ou BPM6). Lesbalances des paiements et positions extérieures des pays

de l"Union européenne devront être établies au plus tard en novembre2014 selon ces nouvelles prescriptions,

avec une rétropolation des données sur plusieurs années. En France, la première présentation au nouveau

format a eu lieu en mars2014, au titre des données du mois de janvier2014.

La Banque de France présente sur son site les principales caractéristiques de cette réforme statistique

internationale : https://www.banque-france.fr/economie-et-statistiques/base-de-donnees/methodologie/

Lesstatistiques de balance des paiements établies selon le BPM6 reèteront mieux la chaîne mondiale des échanges

internationaux des biens et des services dont une part croissante prend la forme de contributions successives de

plusieurs pays. Lesprincipaux changements concernent les transactions sur biens et services(négoce, travail à

façon, service d"assurance), les revenus tirés d"activités à l"étranger et les opérations nancières (investissements

directs). Lanouvelle méthode repose sur le principe -également retenu pour l"élaboration du PIB-du changement

de propriété économique entre résidents et non-résidents, ce qui ne correspond pas nécessairement au passage de

ux de marchandises ou de services de part et d"autre des frontières, ni même à des paiements (ux intragroupe).

Lesrévisions sont décrites dans le détail en annexe (partieIII).

LeBPM6 vise aussi à imposer un calcul plus précis de la position extérieure des pays. Laconnaissance de celle-ci

s"est en effet révélée un élément indispensable du diagnostic d"éventuels déséquilibresmacroéconomiques.

BALANCE DES PAIEMENTS ET POSITION EXTÉRIEURE DE LA FRANCE

RAPPORT

ANNUEL 20139

VUE

D"ENSEMBLE

G0-2

Solde -

biens (échelle de gauche)

Solde -

services (échelle de gauche)

Solde -

biens et services (échelle de gauche)

Biens - recettes

(échelle de droite)

Biens - dépenses

(échelle de droite)

Services - recettes

(échelle de droite)

Services - dépenses

(échelle de droite) - 100 - 75- 50- 250255075 100
100
150
200
250
300
350
400
450
500

2008 2009 2010 2011 2012 2013

G0-3 Le seuil d'alerte xé par la Commission européenne est franchi lorsqu'en moyenne durant les trois dernières années, le solde des transactions courantes est inférieur

à - 4

% ou supérieur à + 6 % du PIB. Actualisé avec les données du présent rapport et des comptes nationaux établis selon les nouvelles normes internationales, l'indi cateur européen ressort à - 1,3 % pour la France. Les échanges de biens et de services poursuivent en 2013 l'amélioration observée en 2012. Le décit se réduit de 5,7 milliards en 2013, après 11 milliards en 2012. Cette diminution du décit des biens et services est due au échissement des importations de biens, qui étaient stables en 2012. La baisse des prix du baril en euros (- 5,8 % en 2013) contribue fortement à celle de la facture

énergétique (- 6,9

% selon les données douanières CAF -FAB). Plus généralement, les importations de la plupart des grandes classes de produits décroissent. La diminution des importations provient surtout de la faiblesse de la demande interne française. En particulier, l'investissement des entreprises, singulièrement celui en matériel, baisse en 2013. Or le contenu en importa tions de cette composante du PIB est important.

Les exportations de biens sont stables en valeur

en 2013, enregistrant une légère diminution en n d'année. La France et le Royaume-Uni ont plus parti culièrement perdu des parts de marché mondiales au cours des dernières années.

ENCADRÉ 2

Échanges de biens :

des données douanières

à la balance des paiements

Les échanges de biens sont mesurés principalement à partir des données des Douanes sur les échanges de marchandises et des enquêtes de la Banque de France sur le négoce international. Les échanges de marchandises sont mesurés, selon les normes internationales des statistiques de balance des paiements, FAB-FAB (franco à bord). De ce fait, les frais d'acheminement jusqu'à la frontière française sont classés parmi les services de transport. Dans une deuxième étape la Banque de France soustrait les échanges sans paiement (presque toujours intra- groupe), an que les échanges de biens retracent les seuls ux physiques correspondant à des changements effectifs de propriété économique ; ajoute également l'avitaillement et le soutage ; inclut enn, le négoce international (il s'agit des biens qui changent de propriétaire bien que leur passage sur le territoire national puisse être de courte durée, voire inexistant). T0-2

Exportations436 437

Importations491 480

Exportations184 192

Importations159 174

10 BALANCE DES PAIEMENTS ET POSITION EXTÉRIEURE DE LA FRANCE

RAPPORT ANNUEL 2013

VUE

D"ENSEMBLE

T0-3

Allemagne15,1 12,6

Belgique8,0 6,5

Pays-Bas4,3 5,2

Italie7,3 5,0

Espagne6,3 4,9

Royaume-Uni5,5 10,8

États-Unis6,0 10,9

Suisse2,4 6,0

Chine6,0 2,1

Japon1,5 1,1

Brésil0,8 0,8

Russie2,1 0,9

Inde0,8 0,8

Les échanges de services

L'essentiel du déficit des biens de la France

provient du déséquilibre de ses échanges avec la zone euro revenus G0-4 (Principaux pays) - 35- 25- 15 - 5 - 10 - 20 - 30 5 010 15

All. Espagne Belgique

Italie Pays-Bas ZE Pologne SuisseChine Russie IndeR-UHors UE

É-U Japon

Brésil

Biens

Services

All. : Allemagne

É-U : États-Unis

R-U : Royaume-Uni

UE : Union européenne

ZE : zone euro

BALANCE DES PAIEMENTS ET POSITION EXTÉRIEURE DE LA FRANCE

RAPPORT

ANNUEL 201311

VUE

D"ENSEMBLE

Ventilation géographique des échanges de laFrance Après une hausse de 2008 à 2011, le solde des revenus primaires et secondaires 3 baisse nettement en 2012. Globalement positif en 2011, ce solde était légèrement négatif en 2012 et est devenu encore un peu plus déflcitaire en 2013. Cette évolution est due à la réduction de la déten tion de titres de dette étrangers et à la baisse de leur rendement mais aussi à la hausse de l'endettement

externe. Le secteur flnancier français s'est largement désengagé des obligations étrangères à rendement élevé. En outre, l'augmentation de l'endettement - essentiellement public - vis

-à-vis des non-résidents accroît les intérêts à verser, même si cela est modéré par la réduction des taux longs.

Revenus primaires et secondaires

- 80- 60- 40- 20 02040
80

2008 2009 2010 2011 2012 2013

60

Total revenus primaires et secondaires

Revenus d'investissements directs

Rémunération des salariés

Autres revenus primaires et secondaires (secteur privé)

Revenus primaires et secondaires

des administrations publiques Revenus des autres investissements et des avoirs de réserve

Revenus des investissements de portefeuille

Solde nancier

- 300- 200- 100 0100
300

2008 2009 2010 2011 2012 2013

200
Investissements de portefeuilleAutres investissementsInstruments nanciers dérivés

Avoirs de réserve

Investissements directs

Compte nancier

12 BALANCE DES PAIEMENTS ET POSITION EXTÉRIEURE DE LA FRANCE

RAPPORT ANNUEL 2013

VUE

D"ENSEMBLE

Les soldes des rémunérations des salariés (travail leurs frontaliers pour l"essentiel), des revenus d"inves tissements directs et des " autres investissements » (prêts et emprunts) se sont en revanche légèrement améliorés depuis2008. Ledécit du compte des transactions courantes est nancé par des entrées de capitaux mesurées par le comptenancier.

L"évolution du

depuis2008 permet de dresser deuxconstats: les mouvements les plus massifs ont eu lieu sur les investissements de portefeuille et les " autres investis- sements

» (prêts etemprunts) ;

les ux nets d"investissements directs ont été histo- riquement faibles en2013.

Depuis 2008, les

- représentatifs des opérations sur titres (obliga tions et titres à court terme) -constituent une source essentielle d"entrées de capitaux. En contrepartie, les , essentiellement les prêts et emprunts, présentent pour leur part un solde crédi teur depuis2009.quotesdbs_dbs24.pdfusesText_30
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