[PDF] Diapositive 1 Le repas familial façonné





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Bourgeois et ouvriers au 19ème siècle

La grande bourgeoisie est dominante dans la société avec des LA bourgeoisie au 19ème siècle ... Les dépenses d'une famille ouvrière il y.



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Avec ce portrait de famille nous entrons dans l 'intimité d'une grande famille bourgeoise



Bourgeois au 19ème siècle

Bourgeois au 19ème siècle. La grande bourgeoisie est dominante dans la société avec des revenus élevés. Elle est composée de banquiers de.



Sur les traces dEs Moli à Deia (Majorque) : 500 ans dhistoire Le

mano mayor la bourgeoisie rurale. Au cours des siècles qui suivirent



Evolution et déterminants des modèles familiaux

points vu l'ampleur de la tâche elle couvrira les 19ème et 20ème siècles. C'est ainsi le modèle de famille bourgeois



le creusot symbole de la ville industrielle au xix° siècle

Le château de la verrerie résidence de la famille Schneider. 2. L'église Saint-Laurent. 3. Les cités ouvrières. 4. L'ancienne fonderie royale de 1785. 5.



Lhabitat ouvrier et bourgeois à Bourges au XIXe siècle

Il est divisé en appartements et est occupé par plu- sieurs familles une par étage



Linégalité devant la mort au XIXème siècle

des familles : la classe dirigeante et la grande bourgeoisie la petite bourgeoisie et les employés et ouvriers pour les générations 1625-1684.



Le portrait au XIX e siècle

siècle avec les portraits des hommes politiques suit le modèle de la bourgeoisie européenne. ... tion du portrait de leur épouse



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Le repas familial façonné par la société bourgeoise devient la référence où toute la famille se rassemble adopté par la bourgeoisie au 19ème siècle



La vie bourgeoise au siècle dernier - Érudit

Bervin G (1986) La vie bourgeoise au siècle dernier Cap-aux-Diamants 1(4) 15–19



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AU XIX® SIÈCLE por Adeline Daumard Au XIXe siècle en France les bourgeois sont partout: les uns ont une position modeste sans se confondre avec les 



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Étude de cas 2 : Bourgeois et ouvriers au 19ème siècle ( livre pages 102-103) Compétence travaillée : j'analyse des documents 1- Documents 123 page 102



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XIXe siècle CI Calcule le budget hebdomadaire d'une famille bourgeoise en France vers 1900 soit par semaine 73 1 Revenus: 35 000 F par an



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Document 1 : les dépenses d'une famille ouvrière et d'une famille bourgeoise en 1914 Document 2 : Extraits vidéo du film « Germinal » (Claude Berri 1993) 



Portrait dune famille bourgeoise - Histoire-imageorg

Au milieu du XIXe siècle la grande bourgeoisie à la fois actrice et bénéficiaire de la révolution industrielle cherche à laisser à la postérité l'image 

  • Comment vivait les bourgeois au 19e siècle ?

    Qu'ils soient banquiers, négociants ou entrepreneurs, les bourgeois du XIXe si?le adoptent un mode de vie essentiellement urbain et développent un modèle architectural adapté. Le centre historique de Bourges reste traditionnellement le quartier résidentiel de l'aristocratie.
  • Qui sont les bourgeois au 19ème siècle ?

    Un bourgeois pour un homme du 19 ème si?le, c'est d'abord quelqu'un qui se situe dans un entre deux, c'est la classe moyenne. En 1865 , Pierre Larousse définit le bourgeois dans son dictionnaire comme un « individu de la classe moyenne intermédiaire à la classe ouvrière et à la classe noble ».
  • Quelles sont les caractéristiques de la classe bourgeoise ?

    « Par bourgeoisie, on entend la classe des capitalistes modernes, qui poss?nt les moyens de la production sociale et emploient du travail salarié ; par prolétariat, la classe des travailleurs salariés modernes qui, ne possédant pas en propre leurs moyens de production, sont réduits à vendre leur force de travail pour
  • Les principales classes sociales des sociétés industrialisées sont la classe ouvrière (prolétariat), la classe moyenne et la bourgeoisie.
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A TABLE !

-UN MODÈLE À SUIVRE

A la maison

Le repas familial façonné par la société bourgeoise devient la référence d'un vaste mouvement

d'éducation domestique, qui se diffuse auprès de toutes les maîtresses de maison, y compris les

ouvrières. L'éducation domestique au secours du repas familial

Le modèle du repas où toute la famille se rassemble, adopté par la bourgeoisie au 19ème siècle,

peine à s'imposer dans toutes les couches sociales. Il se heurte, en effet, à des contraintes

matérielles. Dans les milieux urbains, le travail à l'usine remplace le travail à la maison et disperse

les membres de la famille, hommes, femmes et enfants, occupés par des journées longues de 10 à 15 heures. Dans ces conditions, il est difficile de se réunir tous à table. Du point de vue des classes bourgeoises, ne pas suivre le rite du repas familial, c'est aller à l'encontre des bonnes moeurs. La famille ouvrière apparaît ainsi fragilisée. Les femmes qui travaillent sont accusées de ne plus savoir tenir leur maison, privant les hommes et les enfants

d'un foyer accueillant. Pour transmettre l'idéologie bourgeoise, de nombreux ouvrages sont édités

et des écoles domestiques sont spécialement créées pour les jeunes filles et les ménagères à

partir de 1860. Il s'agit de transformer les moeurs ouvrières en inculquant des valeurs d'ordre,

d'hygiène et d'économie domestique. Le repas familial façonné par la société bourgeoise devient la

référence d'un vaste mouvement d'éducation domestique Les ouvrières de l'usine textile François Masurel Frères à Tourcoing, 1899, Photographie, Coll.

C.H.L.

Dès le 19ème siècle, les femmes constituent une main d'oeuvre recherchée dans les usines textiles. Payées moitié moins que les hommes, leur salaire est néanmoins vital pour de nombreuses familles. Les ouvrières s'éloignent alors de leur foyer, ce qui sera vivement critiqué. En travaillant à l'extérieur de leur domicile, elles sont accusées de mettre en péril le bien-être de la sphère familiale. Les élèves d'une école ménagère, Début 20ème siècle, Photographie, Coll. C.H.L.

Les objets que tiennent ces élèves -

ustensiles de cuisine, panier de course et poupon - ne laissent aucun doute quant au sujet de leur apprentissage. Depuis l'école primaire obligatoire instituée en 1882, des cours d'économie domestique sont dispensés aux filles afin de leur apprendre à tenir une maison. En parallèle, des écoles ménagères sont créées en direction des jeunes ouvrières pour délivrer des enseignements adaptés à leur mode de vie. Cuisine d'une école ménagère, Milieu 20ème siècle, Photographie de H.

Coutart, Coll. C.H.L.

L'école ménagère a pour but d'apporter une éducation domestique complète aux jeunes filles. Elles apprennent à tour de rôle à faire les courses, à connaître les prix des aliments, à préparer le repas, à coudre, à balayer... Les cours consistent à réaliser des exercices pratiques dans un environnement réaliste, ici une cuisine. Sur cette photographie, la présence

d'une religieuse atteste de l'initiative privée de ce type d'école.Eplucheuse de légumes, 1909, illustration

tirée de l'Enseignement Ménager par une institutrice publique du département du Nord,

Coll. C.H.L.

Coupure de presse pour l'école ménagère de Tourcoing,

1913, Impression sur papier, Coll. C.H.L.

Dès 1897, l'école ménagère de Tourcoing assure des cours du soir pour les ouvrières. Cet

établissement, financé par des dames

patronnesses, s'apparente à une oeuvre de charité. Les enseignements sont donnés aux jeunes femmes afin de les aider dans leurs tâches quotidiennes, mais ils sont aussi un moyen de modeler les moeurs ouvrières sur les valeurs bourgeoises. En effet, les " bons dîners » sont censés retenir le mari chez lui, hors du café.

Bibliographie

DUBY Georges, PERROT Michelle, Histoire des femmes en Occident, Tome V, Le 20ème siècle, Sous la direction de F. Thébaud, Editions Perrin, Paris, 2012.

MARENCO Claudine, Manières de table, modèles de moeurs : 17ème - 20ème siècle, Editions de

l'ENS-Cachan, 1992.quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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