[PDF] Vidéodisque et disque optique numérique en documentation





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le CD (Compact Disc) est un disque optique de 12 cm de diamètre et de 1 2 mm d'épaisseur permettant de stocker des informations numériques

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Tous droits r€serv€s Association pour l'avancement des sciences et destechniques de la documentation (ASTED), 1985

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Volume 31, Number 3, July"September 1985URI: https://id.erudit.org/iderudit/1052779arDOI: https://doi.org/10.7202/1052779arSee table of contentsPublisher(s)

Association pour l'avancement des sciences et des techniques de la documentation (ASTED) ISSN0315-2340 (print)2291-8949 (digital)Explore this journalCite this article Vinet, F. (1985). Vid€odisque et disque optique num€rique en documentation.

Documentation et biblioth€ques

31
(3), 113"118. https://doi.org/10.7202/1052779ar

Article abstract

For many years, the growth of information has raised several debates regarding its conservation, storage and accessibility. By the end of the 70's, a new mode of storage and retrieval had appeared: the videodisk. Be it called videodisk, optical disk or laser disk, this method commands itself as a permanent solution to the storage of the phenomenal quantity of information produced and filed in every organization. The author offers a technical profile of the videodisk and optical disk, while discussing their future in the world of information science.

Vidéodisque et disque optique

numérique en documentation

France Vinet*

Université de Montréal

Depuis déjà plusieurs années, l'explosion documentaire suscite de nombreuses discussions quant à la

conservation, au stockage et à /'accessibilité de !'information. La fin des années 70 a vu apparaître un

nouveau mode de stockage et de repérage: le vidéodisque. Qu'Use nomme vidéodisque, disque optique ou

"laser disk», ce procédé s'impose de plus en plus comme une solution permanente pour "absorber» la

quantité phénoménale d'information produite ou conservée par tout organisme.

L ' auteur e présente un profil technique des vidéodisques et des disques optiques tout en jetant un regard

critique sur leur avenir dans le monde de la documentation.

Videodisco y disco óptico numérico en

documentación Desde hace muchos, años, la explosión docu mental suscita numerosas discusiones en cuanto a la conservación, al almacenamiento y a la accessibilidadde la información. A fines de los años

70, apareció un nuevo modo de almacenamiento y

de localización: el videodisco. Que se llame video disco, disco óptico, o "láser disk

», este proceso se

impone cada vez más como solución permanente para "absorber» la cantidad fenomenal de infor mación producida o conservada por todo organismo. La autora presenta un perfil técnico de los videodiscos y de los discos ópticos echando una mirada crítica sobre su porvenir en el mundo de la documentación.Videodisk and Optical Numerical Disk in Information Science

For many years, the growth of information has

raised several debates regarding its conservation, storage and accessibility.

By the end of the 70's, a new mode of storage

and retrieval had appeared: the videodisk. Be it called videodisk, optical disk or laser disk, this method commands itself as a permanent solution to the storage of the phenomenal quantity of information produced and filed in every organi zation. The author offers a technical profile of the videodisk and optical disk, while discussing their future in the world of information science. États-Unis la technologie du magnétophone, suivie aussitôt par l'application de la première bande magnétique utilisant le principe du magnétophone. La vitesse de déroulement et l'enregistrement de signaux vidéo sur bandes demeurent le principal handicap de ce système. En 1956 naît le "quadruplex recorder» utilisant quatre têtes d'enregistrement vidéo et permettant une grande vitesse de déroulement. Puis vinrent les "helical recorder» et les "longitudinal video recorders». En 1965, Magnetic Video Recording introduit le premier disque magnétique pour en registrement vidéo permettant l'arrêt sur image, la répétition automatique et le "ralenti (slowHistorique La technologie du vidéodisque remonte selon certains à l'utilisation du phonographe1 doté d'une pointe de lecture et des sillons sur lesquels l'information était enregistrée. Selon d'autres, c'est l'utilisation de disques, de bandes magné tiques et de films pour la télévision qui furent à l'origine des systèmes vidéodisques actuels. La technologie du vidéodisque a d'abord été développée afin de stocker, à moindres coûts, les programmes télévisés. Déjà en 1927, le vidéodis que est destiné à supporter, à "outiller» le médium télévision qui s'annonce véritablement révolution n a i r e p o u r l a s o c ié t Dè s l a f i n de l a s e c o n d e guerre mondiale, les Allemands introduisent aux

* L'auteure est étudiante à l'École de bibliothéconomie et des sciences de 1 · Jean Walter Farington, "Videodisc : a versatile new storage

l'information de l'Université de Montréal. medium». Serial Librarian, vol. 7, no. 2 (Winter 1982), 36.

teurs. Son principal atout réside dans sa mémoire de masse qui est servie par l'utilisation de l'en codage binaire. Là encore, un faisceau laser sert à l'enregistrement et à la lecture des données. Les premières générations de DON sont apparues en

1983 et furent distribuées par Thompson-Xérox,

Toshiba, Philips et autres. Ces systèmes ne per mettaient que la lecture du disque, ce qui rendait l'utilisation institutionnelle plutôt limitée. Des recherches furent entreprises et amenèrent l'in dustrie à produire un disque "Direct read after write» (DRAW), sorte de système d'auto-correction. Bien que palliant à certaines lacunes du DON originellement mis en marché ce système ne permet pas réellement l'effacement et la réutili sation multiple. Il va sans dire que l'arrivée d'un DON effaçable est attendue avec impatience. Bien que prévue pour 1986, l'utilisation de ce disque ne se fera au départ qu'à des fins personnelles plutôt qu'institutionnelles.

Tableau 1 : TYPOLOGIE DU VIDÉODISQUE

VIDÉODISQUE (disque optique analogique)

Mécanique: Le plus ancien. Technique du gramo- phone. Le son est enregistré par une tête coupante qui grave l'infor mation puis est lu par contact. Magnétique: Technique du ruban vidéo. Tête de lecture en contact ou en survol. Optique : Tête de lecture optique qui ne touche pas au disque. Le signal analogique représenté par une piste en spirale constitue des "pits» et est lu par rayon laser. - réflectif: Le laser réfléchit la surface du disque. On doit le tourner pour avoir accès à l'information inscri te sur l'autre côté. - transmissif: Le laser passe au travers du disque (plastique clair) et est détecté de l'autre côté. Les deux côtés du disque sont lisibles simplement en chan geant le focus du laser. Ne possède pas de pellicule pro tectrice. Capacitif: Utilise un disque sans sillon. La lecture se fait au moyen d'un dia mant ou d'un saphir. On l'utilise surtout pour usage personnel (fa milial).motion)2. Ce produit était évidemment fort coûteux. Ces systèmes constituent ce que l'on appelle les vidéodisques mécaniques.

Puis c'est l'expansion. Les années 1970 se con

sacrent à la recherche de systèmes vidéodisques centrés sur l'utilisation de principes non-méca niques. On parle alors de vidéodisques magné tiques utilisant le même principe que le ruban vidéo mais permettant à l'utilisateur de faire lui- même l'enregistrement. Les vidéodisques mécaniques sont généralement recouverts d'une mince pellicule magnétique et utilisent une piste concentrique pour chaque image. Le disque peut être utilisé avec une tête de lecture directement en contact avec la surface extrêmement polie du disque ou simplement "survoler» la surface du disque3.

Puis vint l'application des fibres optiques dans

le domaine du vidéodisque. Des recherches en ce sens sont menées dès 1960, et se poursuivent à différents niveaux jusqu'en 1973. Intéressant au départ, le procédé a été plus ou moins abandonné par la suite. À peu près à la même période, deux compagnies, une américaine et l'autre européenne, mettent en circulation un vidéodisque possédant des carac téristiques similaires. En 1978 on assiste à la fusion des deux systèmes, donnant ainsi naissance à la production des vidéodisques Philips/MCA. Pour une des premières fois on parle de lecture par faisceau laser et de données enregistrées sousformede"pits». Et c'est l'essor formidable de la technologie. Plusieurs compagnies mettent au point différentes formes de vidéodisques; les principaux noms à retenir: Sony, Thomson-CSF,

Magnavox et ARDEV. Quant aux vidéodisques

capacitifs, utilisant un bout d'une électrode et un revêtement métallique, ils furent expérimentés par les compagnies RCA, General Electric, Mat sushita et Thorn-Emi4. Ces systèmes sont appelés disques optiques analogiques. ... En 1983, les vidéodisques ou disques optiques analogiques sur le marché découlent d'un pre mier courant de recherche issu des constructeurs d'appareils audio-visuels désireux de trouver des techniques plus performantes que la tradi tionnelle bande magnétique pour l'enregistre ment vidéo s'adressant au public en général5.

Le prolongement de la technologie des systèmes

de disques optiques analogiques est décrit sous le vocable "disque optique numérique» (DON). Plus performant, le DON offre maintes possibilités, n'étant limité que par l'imagination de ses utilisa

2. Efrem Sigel et al.. Video discs: the technology, the appfica- 4. Ibid., 84.

tions and the future. New York, Knowledge Industry Publica- _ tions, 1980, p. 9-18.

3. Monique Larouche-McClemens, "La technologie du vidéo

disque et son développement, le disque optique numérique».

Archives, vol. 15, no 4 (mars 1984), 83.

tours à la minute et permet un enregistrement variant de 27 à 60 minutes par face.

Capacité de stockage

Les auteurs ne s'entendent pas sur la capacité

de stockage maximale d'un disque optique qu'il soit analogique ou numérique. Ce dont on est assuré c'est que cette capacité est phénoménale.

Bien entendu la masse d'informations pouvant

être enregistrée sur un seul disque dépend du type de disque et de ses caractéristiques (diamètre, vitesse de déroulement,...). À titre d'exemple, l'on prétend qu'un seul disque optique peut généra lement contenir en information l'équivalent de deux mètres de rayonnage de bibliothèque; ou encore, les 18 000 000 de documents que possède la Library of Congress des États-Unis peuvent être stockés sur environ 100 disques ;ou même, l'édition complète de Y Encyclopedia Britannica peut prendre place sur une seule face d'un disque optique numérique. Cette dernière affirmation, toutefois, doit être faite sous réserve car il a été constaté que l'Encyclopédie, dans sa forme actuelle, ne peut être enregistrée sur vidéodisque à cause de la typologie utilisée et de sa présentation7.

La technologie du DON annonce la mise en

marché de disques permettant l'entreposage de près de 1 000 000 de pages de texte en facsimilé ce qui représente un énorme gain d'espace com parativement aux vidéodisques en usage. L'usage de disques DON inter-reliés par un système de type "juke-box» repousse presqu'à l'infini la capa cité d'entreposage des mémoires de masse. Les systèmes vidéodisques ne se caractérisent pas seulement par la quantité d'informations qu'ils peuvent représenter mais également par l'éventail des supports qu'ils peuvent contenir8. Ainsi un même disque peut contenir simultané ment des données numériques ou sous forme textuelle, des données analogiques, films, dia positives, diaporama, paroles, musique, cartes, plans, images... Les deux bandes audio permettent l'enregistrement multilingue, ce qui est considéré comme un atout majeur dans un pays utilisant deux langues officielles. Cet aspect a été démontré par le projet de la Bibliothèque nationale du

Canada.

Avantages

La documentation spécialisée souligne les nom breux avantages du vidéodisque. Malheureuse-D/SQUE OPTIQUE NUMÉRIQUE (disque digital} Procédé d'encodage binaire utilisant un faisceau laser. Le début et la fin de chaque "pit» correspond à la transposition de données encodées binaires.

DRAW: Système de lecture directe après

enregistrement. Les données sont inscrites par un faisceau laser, gar dées en "mémoire-tampon», lues et comparées avec celles gardées en"mémoire-tampon». Si elles sont identiques on grave la prochaine piste d'information. On parle aussi de "laser disk», de "digital optical disk», de " laser videodisc», de "video high densityquotesdbs_dbs23.pdfusesText_29
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