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Vecteurs : Produit scalaire et produit vectoriel I Produit scalaire (de

Le produit scalaire de deux vecteurs est égal au produit du module de l'un par la mesure algébrique de la projection de l'autre sur lui. • Forme analytique.



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Il reste à rajouter les produits scalaires des deux autres vecteurs ». II.6 Bilan. Il y a deux méthodes pour calculer le produit vectoriel de deux vecteurs. • 



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Cours de Physique I Chapitre III M BOUGUECHAL 2010-2011 1/10 On peut toujours faire le produit de vecteurs (scalaire ou vectoriel) même s'ils

  • Quelle est la différence entre le produit scalaire et le produit vectoriel ?

    Le produit scalaire et le produit vectoriel sont deux calculs réalisés à partir deux vecteurs de même nombre de composantes. Ils ont en revanche des différences fondamentales: Avec le produit scalaire on obtient un scalaire (c'est-à-dire un nombre) tandis qu'avec le produit vectoriel on obtient un vecteur.
  • Comment calculer le produit scalaire de trois vecteurs ?

    Points clés

    1Le produit scalaire des vecteurs ? �� et ? �� est défini comme ? �� ? ? �� = ? ? ? �� ? ? × ? ? ? �� ? ? × �� , c o s où �� est l'angle entre les deux vecteurs ? �� et ? �� .2Le produit scalaire de vecteurs en 3D peut être calculé en utilisant les composantes des vecteurs : ? �� ? ? �� = �� �� + �� �� + �� �� .
  • Comment calculer le produit vectoriel ?

    Le produit vectoriel de deux vecteurs peut être calculé comme le déterminant d'une matrice trois fois trois où les éléments de la première ligne de la matrice sont les vecteurs unitaires ��, �� et �� pointant respectivement dans les directions des ��, ��, et ��.
  • Un produit scalaire est une forme bilinéaire symétrique définie positive sur un espace vectoriel sur les nombres réels. Les propriétés algébriques vues dans le cas de la dimension 2 ou 3 sont suffisantes pour définir un produit scalaire dans un espace vectoriel réel quelconque.
Chapitre 11 : Produit scalaire - cours complet. - 1 - Produit scalaire. Chap. 11 : cours complet.

1. Produit scalaire réel.

Définition 1.1 : produit scalaire sur un -espace vectoriel, espace préhilbertien réel

Théorème 1.1 : exemples classiques

Théorème 1.2 : inégalité de Cauchy-Schwarz Définition 1.2 : forme bilinéaire symétrique non dégénérée Théorème 1.3 : équivalence non dégénérée Û définie

Théorème 1.4 : cas d"égalité dans l"inégalité de Cauchy-Schwarz pour un produit scalaire

Définition 1.2 et théorème 1.5 : norme et distance associée à un produit scalaire, inégalité de Minkowski

Théorème 1.6 : égalités dites " de polarisation »

2. Orthogonalité.

Définition 2.1 : vecteurs orthogonaux, vecteurs unitaires (ou normés), famille orthogonale, orthonormale

Théorème 2.1 : liberté d"une famille orthogonale ou orthonormale

Théorème 2.2 : de Pythagore

Théorème 2.3 : procédé d"orthogonalisation et d"orthonormalisation de Gram-Schmidt Définition 2.2 et théorème 2.4 : orthogonal d"une partie d"un espace vectoriel Définition 2.3 : sous-espaces vectoriels orthogonaux, supplémentaires orthogonaux Théorème 2.4 : cas de sous-espaces vectoriels de dimension finie Théorème 2.5 et définition 2.4 : somme directe orthogonale de sous-espaces vectoriels

3. Projections orthogonales.

Définition 3.1 : projecteur orthogonal

Théorème 3.1 : supplémentaire orthogonal d"un sous-espace vectoriel de dimension finie

Théorème 3.2 : expression de la projection orthogonale sur un sous-espace vectoriel de dimension finie

Définition 3.2 et théorème 3.3 : distance d"un vecteur à un sous-espace vectoriel de dimension finie

Théorème 3.4 : inégalité de Bessel

4. Espaces euclidiens.

Définition 4.1 : espace vectoriel euclidien

Théorème 4.1 : existence de bases orthonormales dans les espaces euclidiens Théorème 4.2 : de la base incomplète orthogonale ou orthonormale Théorème 4.3 : caractérisation matricielle des bases orthogonales ou orthonormales Théorème 4.4 : expression matricielle du produit scalaire Théorème 4.5 : dimension de l"orthogonal d"un sous-espace vectoriel dans un espace euclidien Théorème 4.6 : caractérisation en dimension finie des supplémentaires orthogonaux Théorème 4.7 : représentation d"une forme linéaire à l"aide du produit scalaire Théorème 4.8 : vecteur normal à un hyperplan d"un espace euclidien

5. Automorphismes orthogonaux et matrices orthogonales.

Définition 5.1 et théorème 5.1 : endomorphisme orthogonal dans un espace vectoriel euclidien

Théorème 5.2 : bijectivité des endomorphismes orthogonaux en dimension finie, automorphismes

Définition 5.2 : matrice orthogonale

Théorème 5.3 : caractérisation des matrices orthogonales par leurs vecteurs lignes ou colonnes

Théorème 5.4 : caractérisations des automorphismes orthogonaux Théorème 5.5 : automorphisme orthogonal et sous-espaces stables

Théorème 5.6 et définition 5.3 : les groupes (O(E),o), (O(n),´), (SO(E),o) et (SO(n),´)

Définition 5.4 : isométries d"un espace vectoriel euclidien, isométries positives et négatives

Théorème 5.7 : matrice de passage entre bases orthonormales

6. Espaces euclidiens de dimension 2 ou 3.

Définition 6.1 : orientation d"un espace vectoriel, orientation induite par un sous-espace vectoriel

Chapitre 11 : Produit scalaire - cours complet. - 2 - Théorème 6.1 et définition 6.2 : produit mixte Théorème 6.2 et définition 6.3 : produit vectoriel de deux vecteurs en dimension 3 Théorème 6.3 : propriétés du produit vectoriel Théorème 6.4 : expression du produit vectoriel dans une base orthonormale directe Théorème 6.5 : expression géométrique du produit vectoriel Théorème 6.6 : éléments de O(2) : matrices orthogonales 2´2 Théorème 6.7 : automorphismes orthogonaux d"un espace vectoriel euclidien de dimension 2

Théorème 6.8 : produit de rotations, commutativité de SO(2) et SO(E), pour E de dimension 2

Théorème 6.9 : automorphismes orthogonaux d"un espace vectoriel euclidien de dimension 3 Théorème 6.10 : éléments de O(3) : matrices orthogonales 3´3

7. Réduction des endomorphismes symétriques, des matrices symétriques réelles.

Définition 7.1 : endomorphisme symétrique

Théorème 7.1 : caractérisation matricielle des endomorphismes symétriques

Théorème 7.1 : valeurs propres d"une matrice symétrique réelle, d"un endomorphisme symétrique

Théorème 7.2 : orthogonalité des espaces propres d"un endomorphisme symétrique

Théorème 7.3 : (théorème spectral) diagonalisabilité des endomorphismes symétriques

Théorème 7.4 : diagonalisabilité des matrices symétriques réelles Chapitre 11 : Produit scalaire - cours complet. - 3 - Produit scalaire. Chap. 11 : cours complet.

1. Produit scalaire réel.

Définition 1.1 : produit scalaire sur un -espace vectoriel, espace préhilbertien réel

Soit E un -espace vectoriel.

On dit que j est un produit scalaire sur E si et seulement si j est une forme bilinéaire symétrique

positive, non dégénérée, soit encore :

· j est une application de E´E dans ,

· j est bilinéaire :

" (x,y) Î E´E, " (x",y") Î E´E, " (l,m) Î ², j(l.x + m.y,x") = l.j(x,x") + m.j(y,x"), et : j(x,l.x" + m.y") = l.j(x,x") + m.j(x,y"), · j est symétrique : " (x,y) Î E´E, j(x,y) = j(y,x),

· j est positive : " x Î E, j(x,x) ³ 0,

· j est définie : " x Î E, (j(x,x) = 0) ⇒ (x = 0). On dit alors que (E,j) est un espace préhilbertien réel. Théorème 1.1 : exemples classiques dans le cas réel

Les applications suivantes définissent des produits scalaires sur les espaces vectoriels indiqués :

· " (x,y) Î (n)2, x = (x1, ..., xn), y = (y1, ..., yn), (x,y) a∑ =n i iiyx

1., dans n.

· " (f,g) Î (C0([a,b],)2, (f,g) a ∫

b adttgtf).().(, dans C0([a,b], ), où [a,b] est un segment inclus dans .

· " (A,B) Î Mn()2, (A,B) a tr(tA.B).

Démonstration :

· L"application proposée (notons-la (.|.)) est correctement définie de ( n)2 dans . Il est clair qu"elle est symétrique puisque : " (x,y) Î ( n)2, )(..)(

11yxxyyxyx

n i iin i ii Elle est de plus linéaire par rapport à sa première variable puisque : " x Î n, " (y,y") Î n, " (l,l") Î 2, (x|l.y +l".y") = l.(x|y) + l".(x|y"), sans difficulté. Enfin, elle est non dégénérée, puisque si pour : x Î n, on a : " y Î n, (x|y) = 0, en particulier pour : y = x, et cela donne : n i i x 12 = 0, et tous les xi étant positifs, on conclut à : " 1 £ i £ n, xi = 0, soit : x = 0. · De même, l"application (notée encore (.|.)) est correctement définie de E

2 dans , (puisque, en notant

E l"espace vectoriel C

0([a,b],)), pour tout : (f,g) Î E2, f.g est continue est à valeurs réelles sur [0,1].

De plus, elle est symétrique de façon immédiate.

Puis elle est linéaire par rapport à sa deuxième variable (du fait de la linéarité de l"intégrale sur [a,b]).

Enfin, si pour : f Î E, on a : (f|g) = 0, en particulier pour : g = f, ce qui donne :

0.)(2=∫

b adttf.

Mais comme la fonction f

2 est continue et positive sur [a,b], on en déduit bien que : f2 = 0, puis : f = 0.

· Enfin, l"application

Théorème 1.2 : inégalité de Cauchy-Schwarz Soit E un -espace vectoriel muni d"un produit scalaire (.|.).

Alors : " (x,y) Î E², )(.)()(yyxxyx£.

Démonstration :

Soit y la fonction définie de dans par : " t Î , )..()(ytxytxt++=y. Puisque le produit scalaire est une forme positive, y est également à valeurs dans

Par ailleurs : " t Î ,

).()(.2)()(2yytyxtxxt++=y, en utilisant la bilinéarité et la symétrie de (.|.).

Distinguons alors deux cas :

0)(=yy.

Chapitre 11 : Produit scalaire - cours complet. - 4 -

Dans ce cas, y est une fonction affine de t qui reste positive : elle est donc constante et : 0)(=yx.

On a bien alors :

0)(.)()(0=£=yyxxyx.

0)(¹yy, et donc : 0)(>yy.

Dans ce cas y est une fonction polynomiale du second degré.

Comme elle reste positive, elle admet au plus une racine réelle (double) et son discriminant est négatif

ou nul, soit :

0)).(()(2£-=Dyyxxyx, ce qui donne à nouveau : )(.)()(yyxxyx£.

Définition 1.2 : forme bilinéaire symétrique non dégénérée Soit j une forme bilinéaire symétrique sur un -espace vectoriel E. On dit que la forme j est non dégénérée si et seulement si : " x Î E, (" y Î E, j(x,y) = 0) ⇒ (x = 0). Théorème 1.3 : équivalence non dégénérée Û définie Soit E un -espace vectoriel, et soit j une forme bilinéaire symétrique sur E. Alors j est non dégénérée si et seulement si j est définie.

On peut donc remplacer " non dégénérée » par " définie » dans la définition d"un produit scalaire.

Démonstration :

On peut commencer par remarquer que dans la preuve de l"inégalité de Cauchy-Schwarz, on n"utilise à

aucun moment le fait que le produit scalaire est une forme définie.

Puis on travaille par double implication.

Si j est non dégénérée, soit : x Î E, tel que : j(x,x) = 0. On constate alors, d"après l"inégalité de Cauchy-Schwarz, que : " y Î E, j(x,y) = 0. Or j étant non dégénérée, on en déduit que : x = 0, et j est définie.

Si j est maintenant supposée définie et si x est tel que : " y Î E, j(x,y) = 0, alors en particulier pour :

y = x, et on en déduit que : j(x,x) = 0. Or j étant supposée définie, on conclut bien que : x = 0.

Théorème 1.4 : cas d"égalité dans l"inégalité de Cauchy-Schwarz pour un produit scalaire

Soit (E, (.|.)) un espace préhilbertien réel. Alors : " (x,y) Î E2, )(.)()(yyxxyx£, si et seulement si (x,y) est liée.

Démonstration :

Si l"on reprend la démonstration de l"inégalité de Cauchy-Schwarz, on constate que, si cette inégalité

devient une égalité, alors :

· dans le cas où :

0)(=yy, alors y est nul puisque j comme produit scalaire est une forme définie,

donc : 0.x + 1.y = 0.

· dans le cas où :

0)(¹yy, cela signifie que le discriminant de la fonction qui avait servi

d"intermédiaire est nul, et donc que le trinôme noté y admet une racine double.

Autrement dit, dans les deux cas : $ l Î ,

0)..(=++ytxytx, et donc le vecteur (x + l.y) est nul, ce

qui s"écrit encore : 1.x + l.y = 0. Dans tous les cas, on constate bien que (x,y) est liée.

Définition 1.3 et théorème 1.5 : norme et distance associée à un produit scalaire, inégalité de

Minkowski

Soit (E, (.|.)) un espace préhilbertien réel.

Alors l"application . définie par : " x Î E, x a ),(xxx=, est une norme sur E, appelée norme

associée au produit scalaire (.|.).

De même, l"application d définie sur E2 par : " (x,y) Î E2, yxyxd-=),(, est appelée distance

Chapitre 11 : Produit scalaire - cours complet. - 5 - associée à la norme . (ou au produit scalaire (.|.)).

Enfin, l"inégalité triangulaire vérifiée par . est appelée inégalité de Minkowski.

Démonstration :

Il y a donc quatre points à vérifier.

· pour tout vecteur x de E, la quantité N(x) existe puisque j(x,x) est un réel positif, et : N(x) Î

· si pour : x Î E, on a : N(x) = 0, alors : j(x,x) = 0, et j comme produit scalaire est une forme définie,

donc : x = 0. · pour : x Î E, et : l Î (ou ), N(l.x) =

2xxxxxxjljlllj=== |l|.N(x).

· enfin, pour : (x,y) Î E

2, on a dans le cas réel :

N(x+y)

2 = j(x+y,x+y) = j(x,x) + 2.j(x,y) + j(y,y) £ N(x)2 + 2.N(x).N(y) + N(y)2 = (N(x) + N(y))2, d"où

l"inégalité triangulaire pour N, et dans le cas complexe :

N(x+y)

2 = j(x,x) + 2.Re(j(x,y)) + j(y,y) £ N(x)2 + 2.|j(x,y)| + N(y)2 £ N(x)2 + 2.N(x).N(y) + N(y)2, et on

termine comme dans le cas réel avec l"inégalité triangulaire. Théorème 1.6 : égalités dites " de polarisation » Soit (E, (.|.)) un espace préhilbertien réel et . la norme associée à (.|.). On a les égalités suivantes : " (x,y) Î E2, ).(2

222yxyxyx++=+,

²)².(4

1²)²².(

2

1)(yxyxyxyxyx--+=--+=.

Démonstration :

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