[PDF] COURS n° 4 Licence 1 APPROCHE DE LANTHROPOLOGIE





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L'anthropologie culturelle se développera surtout aux USA autour de la consiste à rechercher les spécifités d'un groupe humain donné et d'en isoler les.



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Résumé du cours d’anthropologie Hélène Many 2 2 Etablissant des relations entre les peuples étrangers elle vise à nouer un dialogue transculturel à l’échelon planétaire L’anthropologie peut espérer promouvoir une plus grande solidarité entre les peuples basée sur une meilleure compréhension et sur une estime réciproque

Quelle est la base de l’anthropologie culturelle?

Melville J. Herskovits (1950) Les bases de l’anthropologie culturelle 214 que les Romains avaient été désireux de prendre les coutumes des Grecs politique- ment impuissants. Dans les contacts entre peuples non lettrés, il est douteux que des considérations de ce genre aient joué un rôle important.

Quels sont les principes de l’anthropologie culturelle?

Ils ont établi le principe de continuité et du développement ordonné de la cultu- re, principe qui doit être à la base de toute analyse valable des formes dynamiques de la culture. Melville J. Herskovits (1950) Les bases de l’anthropologie culturelle 159

Quels sont les objectifs de l’anthropologie culturelle ?

44 Une anthropologie culturelle ainsi envisagée, peut se donner comme objectif l’étude des « cours de civilisation », objet général construit en référence à la notion de « processus de civilisation » emprunté à N. Elias.

Quels sont les parcours de l’anthropologie?

Le parcours Sciences de l’homme, anthropologie, ethnologie – Information et communication permet de poursuivre en 2ème (L3) et 3ème année (L3) dans les licences disciplinaires associées: anthropologie, Information et communication.

COURS n° 4 Licence 1

APPROCHE DE L'ANTHROPOLOGIE CULTURELLE

L'anthropologie culturelle se développera surtout aux USA autour de la personnalité de F. BOAS (1858-1942). Un contexte historique favorable (poussée vers l'ouest, disparition des indiens, forte immigration des européens) et une " mentalité » anglo-saxonne (éthique de la responsabilité, individualisme [voir M. Weber et A. de Tocquiville]) expliquent en grande partie le succès de cette approche culturaliste qui consiste à rechercher les spécifités d'un groupe humain donné et d'en isoler les mécanismes.

Introduction

Variations autour du mot " culture »

L'Anthropologie sociale, et l'anthropologie culturelle sont les deux voies traditionnellement admises pour lire les sociétés.

Définition sommaire :

- Deux approches pour un même objet (les sociétés humaines), - une même démarche (l'observation sur le terrain), - un même objectif (la comparaison). A C : = s'intéresserait aux faits de culture, A S : = s'intéresserait aux faits de société

Le problème du mot " culture ».

Il est utilisé au singulier ou au pluriel. La définition de TYLOR (1871) reste opératoire à défaut de mieux. " Ensemble complexe... savoirs, croyances, art, moeurs, droit, coutumes, usages acquis par l'homme vivant en société ». Pour Claude LEVI-STRAUSS c'est l'Attribut distinctif de l'homme. (CULTURE vs

NATURE)

On pense aussi à la notion de savoir commun, cultura animi de CICERON. Ce qui tire vers l'esprit. La culture est alors assimilée à un capital spirituel.

Johan Gottfried HERDER 1774 et Ernest RENAN 1882

Johan Gottfried HERDER 1774 défend le particularisme des cultures face à l'universalisme de la civilisation repris par Ernest RENAN 1882. (pour cet historien, la civilisation est un état de société auquel on attribue certaines caractéristiques. On vit dans une civilisation, on reçoit une culture.) La culture est à la fois comprise comme un état et un processus d'acquisition. Etat : c-à-d le contenu dont chaque individu dispose au sein d'une société pour : -organiser sa vie avec ses semblables -gérer ses rapports avec les autres

Processus : c-à-d la manière dont l'individu intègre les traits culturels de sa société

qui déterminent sa personnalité. 1 Le " génie » de chaque culture serait un aspect de l'humanité : idée combattue

par RENAN : " avant d'être française, italienne ou allemande, la culture est

humaine ». Aujourd'hui pour l'anthropologie le mot culture c'est :

-capacit de symbolisation propre chaque groupe humainé à-tat observ de l'inventivit et de l'invention (culture mat rielle)

é é é é-Entit sociale relativement autonome et complexe é-syst me collectif de symboles, de signes et de signification propre è à plusieurs soci t s selon des modalit s diverses d'int gration.

é é é éI LES PRINCIPES FONDAMENTAUX

1)La culture est ce qui dans le milieu est dû à l'homme (HERSKOVITS)

La civilisation est transmise par et existe au travers des individus. On facilite la description mais les interprétations sont impossibles sans faire appel à des notions floues comme celle de " force majestueuse » qu'utilise KROEBER par exemple.

2)Chaque culture a un style : La place de F. BOAS

BOAS veut étudier les cultures et pas la culture : il se méfie des grandes synthèses

spéculatives " à la française » (RENAN). Il écarte toutes les théories qui prétendent

tout expliquer. C'est un principe éthique qui affirme la dignité de chaque culture. Ce principe est fort au USA : le contexte de l'immigration massive des européens au XIXème siècle est fortement imprégné la compréhension relativiste du mot culture.

Idée du fédéralisme culturel : spécificité des USA : on est américain parce que italo-

américain, polono-américain... cf les nombreux films comme " retour vers l'enfer ». La citoyenneté américaine transcende les différences parce qu'elle est fondée sur les différences. La pensée française est soumise à l'idée de nation et de civilisation française : compréhension de la notion de culture sous le vocable d'universel. Controverse RENAN /HERDER : on a du mal a penser la diversité culturelle alors qu'on est un pays d'immigration. (voir par exemple la difficulté pour le gouvernement de reconnaître les langues régionales : c'est un coup de canif à l'unité aussi totalitaire, idéologique, artificielle soit-elle) La culture formerait un tout. Relativité des cultures et leur impossible hiérarchisation. Il faut éviter l'ethnocentrisme par l'observation directe de cultures.

II LES ECOLES

__________

1)Culture et histoire

Il s'agit des chercheurs issus de l'enseignement de BOAS. 2 A. KROEBER (1876-1960) est le représentant le plus complet de cette école qui veut démontrer les particularités des cultures en recherchant dans l'histoire, les traces de leur formation. Cette école se définit selon 4 points :

1) Les êtres humains sont les transmetteurs de la culture. Il travaille sur les Indiens

de Californie. C'est l'étude détaillée des coutumes et de leur place dans le système global. IMPORTANCE DU TERRAIN (C'est BOAS qui a lancé les études minutieuses systématiques. Cf sont ami ISHI, membre d'une tribu indienne qu'il étudie)

2) Les cultures s'organisent en " domaines culturels » : On les classe selon l'intensité

= les façons dont les cultures accèdent et se maintiennent à un certain niveau. Les cultures les plus intenses étant les plus riches en traits culturels. C'est l'étude de la répartition géographique de chaque culture.

3) Comprendre la culture comme un tout superorganique, c'est-à-dire comme la somme

des traits culturels formant une entité au dessus de l'homme :l'idée d'une culture indépendante (Kroeber) et active, qui lie les individus par la force d'entités externes telles que les lois ou bien encore les valeurs. Les individus sont interprétés ici en tant que purs agents dont les actions sont déterminées par des causes transcendantales. L'individu n'est pas libre en lui-même de prendre le moindre recul par rapport aux traits qui structurent sa culture, mais dépendant de la culture dans laquelle il vit. Il subit sa culture d'adoption. Appel à la psychologie et à l'histoire pour voir comment les contacts et le temps ont modifié les cultures c-à-d les touts superorganiques.

4) Les phénomènes culturels agissent les uns sur les autres au niveau

" superorganique » et forment de nouvelles combinaisons et synthèses.

KROEBER a étudié la mode féminine sur trois siècles. Il en déduit qu'elle obéit à des

cycles de 100 ans. Se sont des forces, des pulsations qui déterminent la mode, en agissant au niveau socio-culturel, non des individus, car cela est peut être possible (psychologie) mais impossible à mesurer. En ce qui concerne les idées, la philosophie, la religion, KROEBER considère que les plus grandes réalisations sont apparues en période d'élan de croissance, c'est-à-dire lorsque les cultures atteignaient leur point culminant Pour HERSKOVITS (autre anthropologue américain), l'expérience elle-même est culturelle. Chaque individu serait enfermé dans sa culture, chaque culture serait soumise au temps dans ses formes et ses structures de transmission.

2)Culture et personnalité

Cette approche donne à l'individu une place dominante dans l'analyse des cultures. On l'appelle " théorie culturaliste de la personnalité » ou culturalisme. La personnalité est déterminée par la culture. IMPORTANCE DE LA PSYCHANALYSE. Le livre de Freud Totem et Tabou, 1913 reprend cette idée : Freud fait une analogie entre 3 l'histoire psychologique individuelle et l'histoire de l'humanité. Concept d'inconscient collectif (les sociétés ont refoulé des comportements primitifs qui resurgissent aujourd'hui) ;

Donc :

- l'histoire collective de l'humanité ressemble à l'histoire collective de l'homme. - l'instinct est à la base de de tous les processus psychologiques. Théorie : une personnalité de base (concept très important pour cette approche) se forme dès l'enfance. L'enfant hérite de traits culturels qu'il apprend avec le temps et qui vont déterminer en grande partie son individualité. Il partagera ces traits qui formeront un caractère ethnique ou national. On retiendra deux noms. . Margareth MEAD : Coming of Age in Samoa, (1927), elle travaille aux Samoa

(Océanie). Elle veut remettre en cause la prétendue universalité de la crise

d'adolescence. Importance de l'éducation familiale comme transmetteur de la culture. Même les différences de sexe seraient d'ordre culturel. Notion de " sexe social » ==> idée reprise aujourd'hui dans la THEORIE DU GENRE . Ruth BENEDICT (1887-1948) : Echantillons de civilisation (1934 ; 1950). Elle a travaillé sur les indiens ZUNI. Vision compréhensive des cultures. Théorie : la culture repose sur " la sélection de quelques segments », c'est-à-dire que les cultures sont le résultat d'une sélection de segments parmi un nombre existant, identique pour toutes les civilisations selon l'époque ou le milieu. Le choix de ces segments n'est pas conscient. Il résulte de ce choix, ce que l'on peut appeler la conjoncture historique. R. BENEDICT est une personnalité atypique du monde scientifique. Elle est également poétesse. Abram KARDINER (ethnopsychanalyste américain) la qualifie de personnage irréel, au physique androgyne. Cette sensibilité oriente, selon lui, ses choix théoriques. Ce qui intéresse BENEDICT, c'est la diversité des normes et des valeurs que peuvent choisir les sociétés et les mécanismes par lesquels ces valeurs deviennent celles des individus eux-mêmes. Sa thèse centrale est la systématisation culturelle (c'est-à-dire le processus qui impose consciemment ou inconsciemment dans une société une manière de faire ou de penser en tant que norme). Elle a pour but la production d'une tendance psychologique fondamentale, (c'est-à-dire partager unanimement par tous les membres d'une société) qui est le véritable lieu d'unification de cette culture. Une particularité culturelle (tel rite de mariage, telle attitude face à la guerre ou à la mort, etc.) est donc à la fois le résultat de cette production psychologique et un facteur de consolidation de la culture globale : un

Pattern of Culture. L'individu est

alors complètement modelé par la culture à laquelle il appartient. L'enfance est le moment où l'individu intériorise la culture. KARDINER, à partir de la psychanalyse va construire le concept de personnalité de base dans son livre The Individual and his society de 1939. Ce sont des traits psychologiques qui reflètent la culture. Tous les membres d'une société partagent les mêmes frustrations issues de la culture (institutions primaires) ==> Il en résulte des 4 croyances communes qui sont des " projections » des attentes de chacun (art,

religion) Au contact avec la société dans laquelle il grandit, l'individu intérioriserait un

type de conditionnement qui au fur et à mesure donnerait une personnalité qu'il partagerait avec les autres membres de sa culture. Cela assurerait la socialisation et le vivre ensemble des individus. L'individu n'est que le reflet de la culture à laquelle il appartient. " Les institutions avec lesquelles l'individu est en contact au cour de sa formation produisent en lui un type de conditionnement qui à la longue fini par créer un certain type de personnalité (LE FORT, 1969, p.49) Par exemple la personnalité du colonisé, être dépendant (théorie de MANNONI en

1950) ou les concepts de négritude...

III LE " CULTURALISME » : des enjeux discutés

1)Des principes aux déterminismes

On ne peut lire la culture comme un système fermé et prédéfinit dominant

l'individu qui perd, en définitive toute possibilité de s'individualiser face aux

institutions. Dans l'optique culturaliste, l'individu n'est pas analysé pour lui-même mais comme la clé de lecture de la culture (clé du système). Que ce soit dans l'histoire ou dans le fond inconscient de l'homme, la culture en tant que système clôt définit la société. Il est donc impossible à l'homme de dialoguer avec sa culture, de la mettre en interrogation, de la critiquer, de la transformer par le simple biais de sa liberté d'être (au sens Heideggerien), liberté et dignité qui lui sont refusés par le système culturel supraorganique. De ce point de vue, le culturalisme est un déterminisme inacceptable.

2)Une inévitable récupération idéologique

L'homme, en tant que produit de la culture est donc voué à être sacrifié sur l'autel de la diversité des cultures et la relativisation de sa valeur. Il n'est que ce que la culture veut bien qu'il soit. Dans la mesure où ce qu'il est est entièrement intériorisé dès son enfance et qu'il ne peut s'en échapper, il y a donc implicitement une hiérarchie subtile des cultures. (bonne/mauvaise ; intelligente/bête....) C'est la naissance des stéréotypes et du relativisme. Au nom de la diversité culturelle, il faut respecter les différences donc les hiérarchies (les noirs, moins

préparé culturellement à intégrer les structures de la scolarité en tant qu'institution

dispensatrice d'un savoir donc d'une culture qui leur serait étrangère, peut être les dispenser d'école ? idéologie culturaliste des pédagogues américains des années 90, en France, un sondage de 2008 indique que 30% des français de souche accèdent à des études supérieures contre 35% des immigrés asiatiques... Que veut-on dire par là ???) DETERMINISME ABSOLU : on distingue 2 types d'individus : " les favorisés de

fortunes » dont le comportement coïncide avec ceux de la société, et " les

5 anormaux » qui ne participent pas à la société. (idée de BENEDICT)

CONCLUSION

L'activité humaine produit des formes d'expressions et de représentations faites pour être communicables et transmissibles. Pourquoi ? (question de biologie) Comment ? (question de l'historien et de l'ethnologue). L'anthropologue doit osciller entre les deux.

Les apports de l'anthropologie culturelle

Bilan positif . Cette approche de l'anthropologie a INSISTE sur la pratique du TERRAIN et sur la prise en compte du point de vue de l'observé. Bilan négatif. Fondée sur un déterminisme implicite (les cultures sont des entités supraorganiques) cette approche de l'anthropologie encourage le relativisme culturel. Elle ne prend pas en compte l'être humain comme un être perpétuellement créatif bien qu'elle insiste sur l'importance de son rôle au sein des cultures. Un paradoxe insoutenable, là aussi. 6quotesdbs_dbs26.pdfusesText_32
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