[PDF] Séance du 13/05/2020 Corrigé de lactivité 2 : éléments de réponse

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Séance du 13/05/2020

Corrigé de l'acitivité 2 : éléments de réponse : •M STAPES : ◦l'observaition de son IRM anatomique (coupe axiale en pondéraition T2) montre une anomalie située sur son hémisphère gauche. On nomme cettte anomalie un hypersignal. Cet hypersignal met en évidence l'existence d'une tumeur ◦la tumeur est localisée au niveau du lobe temporal gauche. ◦Dans l'IRMf d'une personne saine écoutant un son de cloche on observe : ◦Une zone s'acitive au niveau du lobe temporal. Donc le cortex cérébral et les neurones du lobes temporal s'acitivent lors de l'écoute d'un son. Ces neurones interviennent dans la percepition du son et consituent l'aire coriticale audiitive primaire ◦La tumeur de M STAPES empêche ses neurones du lobe temporal de foncitionner correctement donc l'aire auditivie primaire semble impactée par la tumeur, c'est pourquoi m STAPES soufffre d'une surdité paritielle dite de percepition associée à des hallucinaitions audiitives. •Mme INCUS : ◦subit un AVC accompagnée d'une destrucition des deux structures cérébrales.

◦D'après l'énoncé, ces régions n'interviennent pas dans la percepition audiitive, car elle

entend tout. L'aire audiitive primaire ne semble pas touchée par l'AVC. ◦l'absence de développement d'émoitions lors d'une écoute de musique laisse suspecter une lésion de l'amygdale. ◦Chez une personne sain l'IRMf d'une personne saine écoutant une musique joyeuse montre l'acitivaition de l'aire audiitive primaire et d'une seconde aire (que l'on pourrait considérer comme une aire audiitive secondaire). Donc cettte deuxième aire a du subir " un apprenitissage » aifin que l'individu puisse ressenitir des émoitions lors de l'écoute d'une chanson joyeuse ◦La comparaison des coupes coronales des IRM entre Mme INCUS et le témoin montre que la région détruite semble être la même que la seconde aire audiitive qui s'acitive chez la personnes saines écoutant une musique joyeuse. ◦On sait que Madame INCUS n'éprouve aucune émoition lors de l'écoute de musique. ◦On en conclut : ▪il faut acitivaition d'au moins des deux aires étudiées ici pour faire éprouver la sensaition de joie lors de l'écoute d'une musique joyeuse ▪cettte seconde aire acitivée semble être l'amygdale. ▪Madame INCUS n'éprouve aucune sensaition car l'AVC a détruit ses amygdales

Bilan : à recopier ou à coller

Les messages nerveux sensiitifs acheminés par les nerfs cochléaires vont être traités et

interprétés en sons grâce au cerveau. Il existe des aires cérébrales dédiées spéciifiquement à ce

rôle. On les appelle les aires cérébrales audiitives ou cortex cérébral audiitif. Les aires coriticales

audiitives primaires sont situées au niveau des lobes cérébraux temporaux des hémisphères

droits et gauches. L'aire coriticale primaire correspond à l'aire cérébrale qui va traiter en premier

les informaitions nerveuses aifin de donner l'intensité du son, déchifffrer les diffférentes notes... Il

s'agit d'un traitement brut. Mais aifin d'interpréter ces sons en paroles, mots... Ces informaitions

doivent ensuite être traitées par les aires coriticales audiitives secondaires ou " d'associaition »,

ou par d'autres aires cérébrales. C'est grâce à toutes ces aires cérébrales qui vont s'acitiver (voire

interagir entre elles ou avec d'autres aires cérébrales situés hors du lobe temporal), que l'on peut

interpréter un signal sonore en son. C'est lors de cettte interprétaition que l'on parle de

percepition audiitive. L'interprétaition des messages nerveux se fait à paritir de neurones situés

dans les cortex cérébraux. Mais, pour que le cerveau puisse interpréter les sons en musique,

paroles, chants... Il faut au préalable, un apprenitissage des aires audiitives secondaires ou

d'autres aires cérébrales aifin de pouvoir interpréter notre univers (ou environnement) sonore.

à la suite du bilan : metttre le schéma ci-contre

Peitit point " détente mais pédagogique » pour vous montrer l'importance des aires audiitives

secondaires pour interpréter un son : c'est le cas des hallucinaitions audiitives. En efffet pour

interpréter une son en mot, on fait intervenir des aires audiitives secondaires tels que l'Aire de

Wernicke, mais aussi l'aire de Broca et l'hippocampe, structure cérébrale intervenant dans la mémoire. Via votre apprenitissage du langage et par l'impact de bruit parasites (souvent la

musique), les paroles d'une chanson peuvent être diiÌifiÌiciles à discerner et votre cerveau aura du

mal à interpréter les paroles. Il va souvent s'appuyer sur ce que vous avez déjà entendu et cela

peut abouitir aux hallucinaitions audiitives. On en trouve beaucoup sur internet. Je vous mets un lien pour en voir une compilaition : https://www.youtube.com/watch?v=K4DZEswz_LY ou bien la vidéo E-penser suivante : Travail pour aujourd'hui : bien reprendre le corrigé et le bilanquotesdbs_dbs12.pdfusesText_18

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