JOURNAL OFFICIEL
les engagements pris devant l'Assemblée nationale le 19 décem- par le Gouvernement dans le cadre de la Communauté européenne.
JOURNAL. OFFICIEL
11 juin 1984 Communautés européennes (entreprises). 51402. — 11 juin 1984. — M. Jean Proriol demande à M . le ministre de l'économie des finances et du ...
CONFÉRENCE DE LUNION Trente-et-unième session ordinaire 1
2 juil. 2018 11. Assembly/AU/Dec.700(XXXI) DÉCISION SUR L'ÉLECTION DE QUATRE (4). JUGES DE LA COUR AFRICAINE DES ...
CINQUANTE-SEPTIEME ASSEMBLEE MONDIALE DELASANTE
11 invite instamment les Etats Membres a montrer aux autres organismes du systeme des. Nations Unies que l'Assemblee de la Sante ne s'occupe que de sante.
CINQUANTE ET UNIEME ASSEMBLEE MONDIALE DELASANTE
11 mai 1998 La Cinquante et Unieme Assemblee mondiale de la Sante s' est tenue au Palais des Nations a Geneve du. 11 au 16 mai 1998 confonnement a la ...
JOURNAL OFFICIEL
22 août 2021 Vu la loi n° 19-13 du 14 Rabie Ethani 1441 correspondant au 11 décembre 2019 régissant les activités d'hydrocarbures notamment son article 205 ...
Manuel de la réglementation du transport aérien international
Ce besoin avait été prévu par l'Assemblée de l'OACI qui par sa. Résolution A24-11
ASSEMBLEE GENERALE
l'Assemblee generale; reusement l'invitation faite 11. la NouvelIe-Z~lande ... tarifaires sur les produits industriels
JOURNAL OFFICIEL
11 févr. 1985 ASSEMBLEE NATIONALE — QUESTIONS ET REPONSES. 11 Février 1985 la VI° directive du Conseil des Communautés européennes du 17 mai.
CONFÉRENCE DE LUNION Trente-troisième session ordinaire 09
10 févr. 2020 de la ZLECAf la Commission de l'Union africaine
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1 jan 2022 · tion de collaboration entre les communautés tarifaires et de trafic de Suisse concernant les affaires tarifaires et de distribution» (C551)
[PDF] établissant pour certains produits des chapitres 1er à 24 - EUR-Lex
des Communautés européennes tenue à Paris du 19 au 21 octobre 1972 a invité les institutions de la Commu- vu l'avis de l'Assemblée (2)
[PDF] c/m/65 - WTO Documents Online
Australie - Préférences tarifaires accordées aux pays en voie de développement 11 Application de l'Accord général aux nouveaux Etats indépendants
[PDF] RESOLUTIONS DECISIONS - United Nations Treaty Collection
L'Assemblee generate invite toutes les institutions specialisees )'Organisation de l'unite africaine et autres organisa- tions intergouvernementales ainsi
[PDF] DÉBATS DE LASSEMBLÉE COMMUNE
COMMUNAUTE EUROPEENNE DU CHARBON ET DE L'ACIER ASSEMBLÉE instituant la Communauté Européenne du thar- dent de l'Assemblée commune et je l'invite à
[PDF] lAssemblée Commune - Archive of European Integration
COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE DU CHARBON ET DE L'ACIER ASSEMBLÉE COMMUNE DIVISION DES ÉTUDES ET DE LA DOCUMENTATION ANNUAIRE- MANUEL de l'Assemblée Commune
[PDF] 11 février 2019 Addis-Abeba (Éthiopie) DÉCISIONS DÉCLARA
11 fév 2019 · Assembly/AU/Dec 722(XXXII) DÉCISION SUR LE RAPPORT DU COMITÉ DE HAUT NIVEAU DE L'UNION AFRICAINE SUR LA LIBYE - Doc
[PDF] A/66/15 (Part I) Assemblée générale - UNCTAD
30 mar 2011 · développement pour les PMA apprécie la rigueur du rapport et invite la communauté internationale à en débattre plus avant les conclusions
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6 mar 2023 · Invitation à l'Assemblée générale ordinaire UBS Group SA Mercredi 5 avril 2023 à 10h00 St Jakobshalle St Jakobs-Strasse 390 4052 Bâle
[PDF] RAPPORT PREMIÈRE ASSEMBLÉE PLÉNIÈRE - ParlAmericas
Les actes terroristes atroces du 11 septembre dont ont été victimes des citoyens d'une grande majorité de nos pays dans toute leur barbarie et leur cruauté
Le Numéro:0,50 NF
Samedi 23
Avril 19604
JOURNAL OFFICIEL
DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
DÉBATS PARLEMENTAIRES
ASSEMBLÉE NATIONALE
COMPTE RENDU INTÉGRAL DES SÉANCES
Abonnements à l'Edltion des DEBATS DE L'ASSEMBLEE NATIONALE: FRANCE ET OUTRE-MER: 22 NF; ÉTRANGER: 40 NF
(Compte chèque postal: 9063.13. Paris.) PRIÈRE DE JOINDRE LA DERNIÈRE BANDEDIRECTION,REDACTION ET ADMINISTRATIONPOUR LES CHANGEMENTS D'ADRESSE
auxrenouvellementsetréclamation:26,RUE DESAIX, PARIS-15'
IAJOUTER0,20 NF
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
1~Législature
QUESTIONS
REMISES A LA PRÉSIDENCE. DE L'ASSEM81.EE NATIONALE (Application des articles133 à 138 du réglement.)
QUESTIONS ORALES AVEC DEBAT
5171. - 9 avril 1960. - M.René Plevenappelle l'attention de M.!eministra de lajustice sur les lacunes de la législation françaiseetFer soli retard à l'égard de certaines législations étrangères en cequi concerne la tutelle d'individus sociaux et de délinquants anor-maux II lui demande s'il compte déposer un projet -de loi dedéfense sociale, qui donnerait aux magistrats les moyens de placersous tutelle médico-judiciaire des individus dont la liberté, dans
leurintérél, comme dans celui de la société, devrait s'exercer s ouscontrite, sans cependant que leur état justifie l'emprisonnementtoi l'internement.6172. - 9avril1960. - M.Oluy Ebrardrapelle à M.le Premierministreque l'ordonnance du 30 deeembre 1938 a provoqué une dimi-nution moyenne de clientèle d'environ:10 p. 100 dans les stationsthermales françaises. La réglementation pour la saison 1960 n'ayantpas encore étépubliéeau Journalofficielàladate du 8avril, malgréles engagements pris devant l'Assemblée nationale le 19 décem-bre 1959 par M le ministre du travail, en accord avec le ministre delitsantépubliqueellesecrél:aired'Etalaux finances (Journalofficiel,ne101, p. 3173), il lui acmantle:iopour quelle raison la décisionconjointe de trois de ses ministres n u pas encore été ratifiée
parses soins, devant l'urgem•e du problème; 2.les dispositions qu'ilcompte prendre pour réte.rerlepréjudicecausé etla politiquequ'ilentend suivre en faveur da thermalisme franeak eu particulier etdes industries saisonnières tourlsllqut s en géulral.
5238. - 1l avril 196n - M.Rembeautappelle l'attention de M. lePremier ministresur la situation des salariés de la cemslrucllunnavaleet enparticuliersur la gnue inquiétudequipèse sur ledépartement de Lpire-.tllanlique qui compte 8.24 Ml ii'rnandeursd'emploi et qui n'a d'autres perspectives que le licenciement pro*
(1 t.)chair de nombreux autres travailleurs de son industrie principale.Il lui indique que si le Livre blanc concernant la construction navalea lait une analyse de celle induslrie,de ses moyens de productionen mémo temps qu'il présente les- besoins de notre flotte mar-chande,ilnecomportequ'une certitudepourlessalariés:celledelasuppressiondeleuremploià une échéancerapprochéeet quinedépassera pas la findo1961. Il tuf rappelle que le 6 octobre 1969dans leur totalité les travailleurs des chantiers de la mer du Nord e
1de la côte Atlantique avaient manifesté par des arrêts detravaildont le but était d'attirer l'attention sur la précarité de leu
r emploi.Ace jour, et malgré les entnéles réalisées 'dans le département parBon ministère, aucunesolution n'apiquait.Illui demandes'ilcompte définiret appliquerrapidement les mesures quele gouverrmentent a le devoirdeprendre pour remédier de façon durableauxconséquences d'urne situation dont les travailleurs ne peuventdiretenus peur responsables et dont leurs familles sent victimes.
5238. - il avril 1960. - M.!tombeau' rappelant laM.le minMbedutravailquel'importantproblèmedes relations entrelecorpsinédirale et les caisses de sécurité sociale n'a pas reçude solutionmalgré les graves incidences qu'il présente, lut demande s'ilppourraêtre rapidemenl réglé par des mesures conduisant à -la(iaatlond'honoraires elTerlivement renubnuisés àSO p. 100ainsi que l'aprévut'ordonnance. il loti Indique que dans certains départementscompor-tant plusieurscaisseslesassurés sociaux se volentattribuerdesrcmboursernents allant du simple au doubie selon que la caisseest conventionnée on non.Il lui demandeenparticulier.iosll'hem:An_alleu de certaines •nuventlons qui attendent une décisionpnsllive depuis plusieurs mois n'est pas envisagée; 2.si la conven-üon-type prévue par ses services sera bientôt renduepublique etappliquée; 3.s'II n'envisage pas, au moins dans les départementscomportant plusieurs caisses, l'extension des tarifs des caissesconventionnées à reilps qui nelesontpas;10si des mesuresautoritaires seront prises au ras nia la convention-t51te serait rejeté
e;f,,o si le comité de rnnrdlnatlnn départemental prévu par les p rojetsde décrets portant réforme de la sécurité sociale aura compé tence 70s 408
ASSEMi3LEE NATIONALE
23 Avril 1960
et autorité pour régler les conflits qui pourraient survenir entrelescaisses et les s,udicats médicaux: G' si la notion de tarit plafondsera définie assez nettement peur nue les conventions qui serontpassées conservent les effets prévus par les parties contractantes
pendant la dupée pour laquelle la convention a été conclue.5261. - 19 avril 1960. - M.Waldeck Rochet expose'à M.leministre de l'industrieque la politique charbonnière mise en oeuvrepar le Gouvernement dans le cadre de la Communauté européennecharbon-acier a abouti à une crise minière qui provoque le légi
timemécontentement des mineurs des différents bassins, victimes decette pclitique. En -effet, le Gouvernementaexigé des efforts deproductivité considérables des mineurs, tout en leur refusant lesaméliorations auxquelles ils étaient et sont en droit de préten
dreet, maintenant, c'est le chômage qui les frappe ou qui les menace.II lui demande: 1.quelles sunt les mesures que le Gouvernementcompte prendre en vue de préserver la production charbonnièrefrançaise et de protéger les mineurs contre le chômage; 2^ si, parmices mesures urgentes et indispensables, il n'envisage pas de revenirdons les mines à l'application de la semaine de quarante heuressans perte de salaire, comme le demandent les organisations syndi-cales de mineurs.
QUESTIONS ORALES SANS DEBAT
5207. - 12 avril 1960. - M.Pecastaingexpose à M.le ministrede l'agriculturequ'en application du décret ne60-296, " tee boissonsdétenues en bouteilles doivent être versées en presence du cons
om-mateur lorsqu'elles sont délainées au verre ". Il en résulte des difa-m'Ibi.s de tous ordres atteignant les chefs d'établissements, lesserveurs et les clients. Il lui demande s'il envisage de revenir sur sadécision.
5237. - 11 avril 1960. - M.René Plevendemande à M.le ministredes travaux publics et des transporte; 1.quels ont été les principesdirecteurs de l'action des représentants de la France et de la Com-munauté à la conférence de Gené e sur le droit de la mer. dontla clôture est prévue pour le 23 avril; 2.si le Gouvernement de laRépubliquefrançaise et ceux de la communauté se proposent deratifier les résoliulions adoptées par la conférence; 3.quelles serontles conséquences pour l'industrie française des pêches maritime
s dol'extension des eaux territoriales et de zones de nêche réservées auxEtats riverains: 1° de quelles lignes de base seront déterminées leseaux lerritoriales~ fr;inraises,et hrllnnnigires élidé `sônesé'de"pêetieréservées dans la partie de la Mana'lle oit la Grande=0retagnemie--sAde les fins anglieno'mandes et'tes iloth dos.Mtnquiers'et la Franceles îles Chausey.
QUESTIONS ECRITES
Art. 138 du règlement:
nLes questions écrites. .. nedoiventcontenir aucune imputationd'ordrepersonnelàl'égard de tiers nommémentdésignés."Lesréponsesdes -ministres doivent dire publiéesdans le moissuivant la publication des questions. Cc délai necomporte aucuneinterruption. Dans ce délai, les ministres ont toute/ois M facultésoitde déclarer par écritquel'innférét publicneleur permet pasde répondre, soli, d titre exceptionnel, dedemander,pour ras-semblerles éléments de leurréponse,undélai supplémentaire quinepeutexcéderunmois.Lorsqu'une question écriten'apas obtenuderéponsedansles délaissusvisés, son auteur est invité par leprésidentdel'Assemblée à lui/aire connaîtres'il entend ou nonlaconvertir en question orale.Dans la négative,le ministrecampélentdisposed'undélaisupplémentairedeunmois. •
PREMIER MINISTRE
115$. - S avril1960. - M.Diligentexpose à M.le Premier ministrequelorsqu'unparmaclen-présente unedemande delicencepourouvrirune officinedans unlieu donné, les servicesduministèrede la santé publique et do le population exigent que l'intéressé
,S'll.n'est pas encore propriétaire, ni locataire des locaux dans les-quels Il entend exercer sa profession, produise une promesse devente ou de location suivant modèle rédigé par lesdits services
3ue, d'autre part, lorsque l'intéressé doit installer son officine
danses immeubles dépendant d'un office public départemental d'habi-tations à loyer modéré, la direction des offices Il. L. M., se préten-dant liée par une réglementation en vertu de laquelle da vente des
pas deporteelien obligatoirement sous formed'adjudicationpubli-que, refuse de délivrerlbpromesse de location 1éctamée par leministère do' la santé publique. Il lui demande, en conséquence,s'Il n'entend pas Inviter les deux départements ministériels Inté
res-sés à bien vouloir prendre toutes mesures utiles pour coordonnerles deux réglementations en cause et éviter que, par des exigences
contradictoires, ces réglementations empêchent l'installation d'ol fl-(lnes pharmaceutiques dans les communes en expansion.$106. - 8 avril 1960. - M.Moques Férondemande à M.le Premierministre: 1acomment il espère concilier les- intentions manifestéespar le conseil des ministres tendant à l'éloignement de Paris docertaines grandes écoles et de facultés par rapport audéveloppe.ment sans cesse croissant de services administratifs dans le centrede la capitale (développement contradictoire avec la décentralisa
tionsouhaitée); 2° pourquoi le Gouvernement, qu'il n'a pas dû manquerde pressentir - tout au moins on le suppose - n'a-t-il donnéencore aucun renseignement sur '.es mesures concernant la réformedes structures administratives et la décentralisation des servicesdont le Gouvernement qui l'a précédé et le sien se sônt mont
réspartisans dans leurs déclarations d'investiture; ces mesures parais-sant en effet commander la décentralisation Industrielle et le pro-blème démographique, plutôt que rie le fait le déplacement d
esgrandes écoles ou, éventuellement, des facultés, qui risque de causerle plus grave tort au rayonncmet culturel de la France. 5101. -- 8 avril 1960. - M.Lobasdemande à M.le Premier ministres'il ne seraitpasd'un rand prix que les prescriptions du code civilen matière de responsabilité civile et décennale cessent d'ê
tre trans-gressées par certaines pratiques d'ordre administratif, et que soient déclarés nuls et non-avenus tous textes qui conduisent une municipa-lité ou un conseil général à dégager un mettred'ouvre de touteresponsabilité personnellle dans la construction d'un ouvrage commu-nal ou départemental et dans sa mise en exploitation, alors quel'ordre national des architectes et que la chambre des ingénieurs-conseils de France constituent un,double collège de spécialistesDarmi _.lesquels. un maire peut trouver en toute liberté légalel'homme de l'art de son choix idoine et qui accepte de rester soumisà la loi en matière de responsabilité.
5167. - 8 avril 1960. - M.i_isbasdemande à M.ie Premier ministrest le Gouvernement entend, en 1960, exaucer, lors de l'étude dubudget national 1961, les voeux exprimés par les communes d'Europereprésentées à Cannes, en leurs cinquièmes Etats génér
aux des10, ii, 12 et 13 mars 1960, et réclamant:laqu'une plus grandeautonomie soit laissée aux municipalités dans la gestion du biencommunal; 2.que la fiscalité locale soit établie sur des bases tellesque les communes disposent, sans démarches ni faveurs de res-sources suffisantes pour assurer leur équipement, elles-mêmes, sui
-vant des normes adaptées aux besoins locaux ; 3.que le régime dessubventions soit radicalement modifié de manière telle que les col
-lectivités ne soient plus assujetties: a) aux ministères techniques,et que soit renversée la tendance à confier à des organismes pa
ra-étatiques ou à des organismes et commissions mixtes, non respon-sables, des fonctions qui ressortent naturellement du domaine des-dites collectivités et de leurs associations et légalement des pré
ro-gatives des maires;b)au ministère des finances, et que soit libéréle crédit communal des servitudes actuelles en matière d'empruntscommunaux. En résumé;- 1i'lesdtteà-7nesnr s de libérations et dedéfie iéêgsalion demandées vpnt,dtre prises, ecgttg année
-19%:_parle Gouvernement ,et rétablis,"en:~9f+l,t)gsfû5ssabi4> 'abilit3des populations et des communes urbaines et rurales et, parlant,tenu compte de leur refus à se laisser enlrainer par les servicestechniques centraux à des équipements dispendieux non toujoursmotivés. ces hautsfonctionnaires avalent pour mission de contrôleraubénéfice del'Intérêt général de la nation; et, en même temps, si les missionsaccessoires attachées à la fonction principale ne devraient pas ê tredéclarées gratuites sans aucune exception, quitte à cequesestitulaires des services techniques do l'Etat, par exemple, en parti-culier les ingénieurs en chef, soient classés " hors Indicenet men-suellement rétribués, uniquement et suffisamment par l'Etat, etlamais plus par les collectivités locales, ce qui leur permettrait de veiller, en toute indépendance, au bon emploi des subventions dol'Etat, satisfaits enfin qu'ils seraient d'avoir un traitement officielunique correspondant à leur valeur personnelle, fruit de leurs étu auniveau de vie de leurs faunilles et quant à l'Importance de lourefrais personnels de représentation et de fonctions accessoires. s dubudget général;2•de lui rai e.connaitre les raisons qui ont conduità frustrer le fonds national de vulgarisation du progrès agricole articu-lier dans les mines de nickel; que leur contrat d'embauche stipule queles autorités françaises, à l'expiration du contrat, doivent ra patrierces travailleurs dans leur pays d'origine (90 p. 100 d'entre eux sontoriginaires du Nord-Vlet-Nam) que, malgré l'accord conclu enavril 1958 entre le Gouvernement de la République démocratique duViet-Nam et le Gouvernement territorial de la Nouvelle-Calédonie,le rapatriement des ressortissants du Nord-Viet-Nam n'est toujourspas résolu; qu'au surplus, depuis novembre 1959, le gouverneur dela Nouvelle-Calédonie et dépendances exige - et en violation de leur contrat detravail en Nouvelle-Caédonie - qu'ils se fassentdélivrer une carte d'étranger, moyennant une taxe annuelle de13L NF; que des mesures répressives sont prises à rencontre desressortissants du Viet-Nam qui ne possèdent pas cette carte, quesept de ces représentants ont fait l'objet d'une assignation à ré si-dence, loin de leurs compatriotes, le 13 jan ter 1960, et trois d'entreeux ont été mis en état d'arrestation e 7 mars ; et lui demandequelles dispositions il compte prendre afin que le Gouvernement Iran-çais, respectant les engagements pris à l'égard de ces travaill eurslorsqu'il les a embauchés rapatrie enfin dans leurs pays respectifsles ressortissants du Viet-Nam. mme ilest de coutume chez eux, d'ajouter un emblème armoirié à notredrapeau national. Sur les correspondances et actes officiels égale-ment, la figuration d'un tel symbole serait de nature, à renforcerdans une certaine mesure le prestige des pouvoirs publics. culaireet d'inamovibles toiles d'araignées. Cette situation, qui appelledes commentaires désot+ligeants de la part des visiteurs étrangers (les édifices du culte, dans lespays qui nous entourent, sont tenusavec beaucoup plus de soin) paraît devoir requérir l'intervention despouvoirs publics, surtout lorsqu'il s'agit de monuments classés ouinscrits à l'inventaire supplémentaire, qui sont fréquentés par denoinhre,ix touristes et contribuent eu renom de la France. IIluidemande s'il compte prendre des disposlliins pour obtenir uneamélioration de cet état de choses. n-çaise des administrations tunisiennes et notamment aux agents deschemins de fer tunisiens le paiement de leur pension . Un décret du12 janvier 1960 publié au Journalofficieldu 16 janvier 1960 negarantirait en fait, aux agents pensionnés des chemins de fertunisiens qu'une retraite inférieure à celle acquise, diaprée leeversements intéressée et les régiements qui leur étalent app aitesacquises, en abaissant les échelles et échelons correspondants eten supprimant des bonifications de guerre. D'autre part, à la suiteda décès d'agents retraités des chemins de fer tunisiens, certa inesveuves n'auraient pas reçu de titre de réversion et seraient dansle dénuement, le Gouvernement français no leur servant plus laretraite qu'elles auraient normalement touchées. Il lui demande:les'il est exact que le, décret du 12 Janvier 1960 e pour effet d'entra i-ner une diminution des pensions des agents retraités des chemins deter tunisiens; 2• s'il est exact que le Gouvernement' français ne seserait pas préoccupé du titre de pension de certaines veuves d'age ntsretraités de ces chemins de fer.5268. - 20 avril 1960. - M.Vaschettidemande àM.le ministre desaffaires étrangèresles mesures qu'il compte prendre pour étendreaux anciens fonctionnaires français retraités des cadres chérif ien du29 août 1910 et du décret tunisien du 12 septembre 19.10 relatifs àl'abaissement des limites d'àge des fonctionnaires. . - 20 avril 1960. - M.Vaschettisignale àM.le ministre desaffaires étrangèresla légitime inquiétude des fonctionnaires desanciens cadres tunisiens devant ta non promulgation, à ce jour,du décret d'application de l'article 2 de l ordonnance n• 59-11 du7 Janvier 1959 ètendant auxdits fonctionnaires les droits à reclas se-ment prévus par l'ordonnance du 15 juin 1955. Il lui demande si ledécret à intervenir étendra aux fonctionnaires des anciens cadr estunisiens toutes les possibilités de.reclassement prévues par lesarticles 4, 5. 11 et 12 de ladite ordonnance. secré-taires d'administration centrale. Il lui rappelle que ces agents sontissus du cadre des agents temporaires de catégorieu Anaffecté del'échelle indiciaire 225-500 et qu'ils n'étaient titularisés da ssept ans de services civils et militaires, aux épreuves d'un examenou concours Interne du méme niveau que l'actuel concours d'atta-ché d'administration centrale. La création, en Tunisie, d'un corpsd'attachés d'administration centrale aurait permis à ces agents de quitter le cadre provisoire d'agents techniques du cadre latéralpour retrouver dans le corps d'attachés d'administration l'échelle poraires.Il lui demande les mesures qu'il compte prendre pour permettreà ces agents, pour la plupart.anciens combattants et victimes dela guerre, dont les titres universitaires et les fonctions exercéessont la meilleure preuve de leur valeur professionnelle, de béné-ficier des mesures prises en France.en faveur des 'rédacteurstemporaires de la catégorieoA • et, de ce fait, de ne plus subirles conséquences de la carence du gouvernement tunisien ayantentraîné un déclassement de la catégorie • Aeà la catégoriea Bque la loi du 7 août 1955 n'a fait qu'entériner. ncedu 29 novembre 191-1; 2° le bénéfice des dispositions de la législationfrançaise concernant les limites d'àge pour les victimes des loisde Vichy; 3° le bénéfice des cdsposilions de l'ordonnance du 15 juin1955. bre 1960. Le propriétaire bailleur demande que le fermage soit re'9éle Ii novembre 1960, en substituant d'autres denrées 3 50 p. 100dublé.Ellelut demande si. le calculde cette substitution doit êtrefait sur. le loyer 1939(1,25quintal; ou sur le loyer1959(2,50qula-taux). de l'Est en contrepartie de l'importation en France d'un premierlot de 3.2(0 chevaux do boucherie et dans l'affirmative:lequellesréoaulinns ont été pulses ou prévues pour éviter que cett e Impor-ration ne porte préjudice à l'élevage chevalin français;2 denouvelles opérations de même typesont env_sagée6. nou-veaux réglementent 1a délivrance et le contrôle de ces cartes. Il luirappelle que les commerçants en bestiaux estiment à juste litre qu ele rétablissement de la carte est le meilleur moyen de revaloriserla profession et d'en écarter certains éléments indésirables . Il luidemande: 1° quelles raisons ont retardé d'un tel délai la décisiona prendre; 2° s'il est possible de prévoir à quelle date interviendral'arrêté; 3.si le texte en question tiendra compte des souhaits dela fédération nationale des commerçants en bestiaux: délivrancedes cartes par le parquet ; recours devant le ministre de l'agriculture;Installation de commissions consultatives départementales et natio-nale; sanctions: a) avertissement prononcé par le préfet après avisde la commission lnterprotessionneile départementale; b) retraittemporaire décidé par le ministre après avis de la cunuuission ntd0 prendre leur retraite qu'après un nombre insuffisant d'annéesde versement aux assurances sociales agricoles, ces dernières n'exis- tant pas avant1917. Illui fait remarquer que, de par la naturemême des choses, ces personnes âgées ont davantage besoin desoins médicaux et pharmaceutiques, après leur retraite qu'avant,et qu'il y a une injustice certaine de leur retirer le bénéfice de sprestations de l'assurance-maladie au moment précis où elles enauraient la plus grande nécessité. II lui demande s'il n'envisage pas,à bref délai, peur réparer celte lujusli^.e, d'accorder aux vieux tra-vailleurs de l'agriculture, déjà durement louchés par la modici té dela retraite servie, les mémos avantages que les retraités du régimegénéral, en leur permettant de bénéficier des prestations de amenécrit à un candidat qui, du fait de ses blessures, peut, pendantles quelques minutes d'une interrogation orale, perdre La confianceen soit qu'Il faut en ce genre ''..preuves. Il lui demande s'il nelui parait pas opportun de supprimer la note éliminatoire ou,ce qui parait mieux encore, de supprimer les questions orales enles remplaçant au besoin par des questions écrites. estombes des snldats musulmans morts au Champ d'Honneur, notam-ment celles des militaires de la3eD. 1. A. Les noms de certainsmilitaires sont déformés. D'autres militaires sont inhumés commeétant inconnus. lie plus, les tombes sont mal entretenues ou mémono font l'objet d'aucun entretien. Une importante;personnalitémusulmane n'a pu trouver la tombe de son frère tué aux combatsde Notre-Dame-de-la-Garde, qu'après deux Jours de laborieusesdémarches. 11 lui demande s il compte donner toutes instructionsutiles afin qu'il soit procéder, pour le respect de la mémoire des morts au Champ d'Honneur:leà une identification correcte desnoms des militaires musulmans trhumés au cimetière de Marseilleau moyen 'des archives des unités auxquelles ils appartenaient,2eà une regroupement des tombes de manière à Piller aux famillesdes recherches pénibles et regrettables; 3.à la restauration et àl'entretien des tombes. s1923 et lui demande s'il n'envisage pas d'inclure dans la projetdo loi de finances pour1961des dispositions susceptibles de fairedisparailre le préjudice certain quo subissent actuellement lespersonnelsen cause. dela Médaille de la Résistance, 11 lui demande s'il ne lui semblepas équitable d'ouvrir un nouveau délai afin que les personnes ret qui n'ont pu le faire en temps utile pour des raisons indépendardes de leur volonté puissent constituer rapidement leur dossier. ns.Le paragraphe 1i de cet article indique que des décrets fixerontpour chaque corps la nouvelle limite d'âge et sa durée d'applicati on.r, à ce jour, seule une catégorie de personnels de la caisse desgépft, et consignations semble avoir reçu apliLalion de l'article 169de l'ordonnance ns58-137,précitée. il lui demande: 1.st certainescatégories de personnels civils du ministère des armées doivent bénéficier d'une mise à la retraite anticipée; 2edans l'affirmative,quelles seraient ces catégories; 3.à quelle date le décret prévu auparagraphe 11 de l'article369de l'ordonnance ns5S-1371doit êtrepublié. deViileneuve-l'Archevêque(Yonne) a franchi le mur du son, provo-quant une violente explosion qui a causé d'importants dégâts à Villeneuve-l'Archevéqueet dans les communes voisines, où l'oncompte plusieurs dizaines de sinistrés, et frappé une jeune femme deparalysie. II lui demande: 1° quelles mesures il compte prendre pourque tous les sinistrés soient rapidement et complètement indexes.visés par l'Etat, rame si l'enquête n'établit pas qu'Il s'agiss e d'unappareil français; 2.quelles mesures il compte prendre pour éviterle renouvellement de pareils incidents tant de la part d'avions fran-çais que de la part d'appareils américains et canadiens stationné ssur les hases installées dans la région. 11 signale à ce propos quel'incident de Villeneuve-l'Archevêque, s'il_est le plus grave, ne con sti-tue pas,un cas unique :'en prrrtfcuilet, dès dé+'tlls'av'aiontété:Câusddans' les mêmes conditions voici:quelques mots,,dans le bourg'deCerisiers (Yonne)i . - 20 avril 1960. - M.Bignonexpose à M.le ministre desarmées.que par sa question no810, il lui demandait notammentsur quels textes certaines autorités se fendaient pour obliger lessous-officiers à comprendre dans une permission de trois jours,valable à compter du jeudi, le dimanche suivant et qu'à la répo nsefaite le 3 juin 19.59. à cette question, aucune précision n'a étédonnée sur ce point. Les autorités continuent systématiquement àappliquer ces errements ou l'intérêt du service n'a rien à voir ,puisque la plupart des établissements militaires sont fermés duvendredi soir au lundi matin. Il lui demande de lui préciser les textesréglementaires, s'ils existent, qu permettent à ces autorités o uqui les obligent à compter obligatoirement dans une permission dedeux a trois jours, les jours chômés ou fériés; et, dans la négative,les mesures qu'il compte prendre pour mettre fin à des mesuresvexatoires. risdans un délai convenable dans un programme subvenlionnahlepar M. le ministre de l'agriculture et lui demande si l'accord quipermet à l'Eiectrlcité de France d'équiper des ensembles d'hatu us-qu'aux environs de la ménagerie. Il est hors do doute qu'aucuneatteinte pour quelque raison que ce soit, ne doit être portée à cetensemble unique que constitue Io palais de Versailles, son parc,etau-delà même de ce dernier, les horizons boisés qui sont partie intégrante du site; qu'en conséquence aucun permis de construirene saurait être accordé dans le secteur considéré, mémo s 'il s'agitd'immeubles bas qui risqueraient toujours d'être visibles au moinsen hiver à travers les frondaisons déhouillées et créeraient5173. - 9 avril 1960. - M.Marquaire,demande à M.le Premierministres'il admet, en démocratie: 1° qu'une très importante délé-gation parlementaire - d'un parti politique principal soutien de sunGouvernement - puisse venir et parcourir quasi officiellementl'Algérie; 2.que bien avant toute ouverture de campagne électorale,elle vienne y faire un vérilable " show " de propagande assorti
depressions intempestives el parfois déplacées. 5247. - 15 avril 1960. - M.Laurioldemande à M.le Premierministresi la censure de la presse telle qu'elle est actuellementpratiquée en Algérie s'exercera à l'égard de la prochaine ca
mpagneélectorale; et quelles mesures le Gouvernement compte prendre à cetégard. 5/01. - 19avril 1900. M.Lobas demandeà M.le Premierministresi, faisant suite au décret du16févrieri957 deremiseenordredela fonction publique, il nedevrait pasêtre pris desdispositions interdisant aux,membrgçs..des,,grands corps de l'Etalde s'évader dans los cadres supériétirs des administrations pri
vées,à Intérêts industriels ou commerciaux, que, précisément, 5200. - 20 avril 1960. - M.Mariottedemande à M.le ministredélégué auprès du Premier ministresi les engagements du Gouver-nement relatifs à la suppression de l'abattement du 1/6 pour lecalcul de la retraite des fonctionnaires classés dans le servicesédentaire seront réalisés dans l'année budgétaire en cou
rs. 23 Avril 1960
ASSEMBLEE NATIONALE
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6265. - 21avril 1960. - M.Tomasinidemande à M.le Premierministre:les'il est exact qu'une somme de près de dix millionsde nouveaux francs provenant de la taxe instituée pour le finance.ment du tonds national de vulgarisation di' progrès agricole a été
détournée de sa destination et versée dans la masse des recette 5286. - 21 avril 1960. - M.Laurioldemande à M.le Premierministresi, à la connaissance du Gouvernement, il existe, en Tuni-sie, des prisonniers civils français aux mains de l'organisation rebe
lleF. L. N. et, dans l'affirmative, quel en est, approximativement, lenombre. MINISTRE D'ETAT
5153. - 8avril 1960. - M.Italienneexpose àM.le ministred'Etatqu'à la Nouvelle-Calédonie ainsi qu'aux fies Hébrides viventactuellement 7 à 8.000 ressortissants du Viet-Nam qui ont été engagésil y a environ vingt-cinq ans par les autorités françaises pour tr
a-vailler dans tes exploitations françaises dé ces territoires, en p ALAIRES.4iR_TFJRELLE$
5188: - if avril 1960. - M.Carter demande à M.le ministre d'Etatchargé dès affaire, culturellet'il-co:mnpte faire étudier, à l'instpr desautres natidns, des armoiries "officielles pourlaV.République, l'ab-sence de ce symbole aboutissant à des improvisations disparates etsouvent déplorables dans les décorations et pavoisements de nosvilles, et mottant également en difficulté les pays étrangers a
ppelésà recevcir des Français illustres et désireux pour ce faire, co 5204. - IIavril1960. - M.Bernasooniappelle l'attention deM.le ministre d'Etat chargéMMaffaires culturellessur l'état trèsnégligé de l'intérieur de la plupart des édifices cultuels,
où pilierset voûtes sont généralement recouverts d'une poussière sé AFT IRES ETRANOERES
6163. - 8 avril 1960. - M.Jean Thomaxorappelle àM.le ministredis affaira étrangèresqu'en vertu d'une loi du 4 août 1956 letouvernement français garantit aux retraités de nationalité fra
5 demanière à leur permettre d'obtenir notamment la réparation dupréjudice causé ou aggravé par l'application du dahir chérif
6270. - 2Q avril 1960. - M.Vaechettisignale àM.le ministre desaffaires étrangèresla situation faite par la loi du 7 août 1955 auxanciens agents techniques du cadre tatéral du gouvernement tuni-sien Intégrés ' dans les cadres métropolitains en qualité de
5711. - 20 avril.1960. - M.Vaxohettidemande. à M.le ministredes.anatres ,étrangèresles. mesures, qu'il cotatpte rendre pour éten-dre aux fonctionnaires des anciens cadres marocains : 1• les disposi-tions-insérées.-à,l'article. 29 ,de la loi. n?.55-556_du3. avens1955rétablissant dans leurs droits les fonctionnaires victimes des loisd'exception du gouvernement deVichy qui ont été privés de toutou partie des mesures réparatrices accordées en suite de l'ordonna
AGRICULTURE
5174 -
9 nvril 1960. - Mn.iThune-Patenôtre,se référantàlaréponse faite le 30 janvier 1960 à sa question n• 3921, exposeaM.le ministre de l'agriculturela situation d'un fermier dont le fer-mage, en 1939, était de1,25quintal de blé à l'hectare. Or, pour lamême exploitation en 1959, son fermage est passé à 2.50 quintaux.La première période triennale du bail en coure expire le 11 ne om-
5201. - Il avril1960. - M.bleuet demande àM.le ministredel'agriculturequelles mesuresd'assainissement et de• soutienilcompte prendre afin de permettre aux transformateurs Industrielsou coopérativesde payerauxproducteursleprix minimum fixé paltun récent décret.
5222. - '12 avril1960. - M.DMouehe exposeà M.lemaniaisdel'agricultureque la presse s'est faite l'échode l'arrivée des beurresImportés, dont l'achat avait été'décidé en Juillet, alorsque nousattons rentrer dans ln période de production massive. Il'luidemandes'il est normal que l'on continue à exiger lavente parlee détaillants,de lait dont la teneur en matière grasse est limitée ; et quellesmesures vont être prises pour conserver un coursraisonnable auxproduits laitiers, alors que par les importations massives, etla
ontdétéioconstituésren ceemplissnttdespfrigormlqueseinsuffgsantsportaats 6241. - 14 avril 1960. - M.René Pleven demande àM.leministre de l'agricultures'il est exact que la S. 1.B. E. V.a venduune partie importante de son stock de porcs congelés à l'Allemagne
ASSEMBLEE NATIONALE
23 Avril 1960
5273. - 20 avril 1960. - M.Guillonexpose à M.le ministre del'agriculturequ'un arrêté du7juillet 1952 a suspendu la percep-tion des droits sur les cartes professionnelles des commerçantsen bestiaux et prorogé leur validité jusqu'à ce que des textes
6283. - 20 avril 1960. - M.Peyretexpose à M.le ministre del'agriculturequ'un grand nombre de retraités des professions agri-coles ne peuvent bénéficier de l'assurance-maladie agricole, n'aya
éesde versement.
ANCIENS COMBATTANTS
5151. - 8avril 1960. - M.A Quinsondemande h M.le ministredes anciens combattants,s'il est exact que dans le projet de créationa'un nouvel ordre de récompense d'un niveau moins élevé que laLégion d'honneur, il soit prévu la disparition du Mérite combat
tant. 5192. - 9avril 1960. - M.Pécastaingexpose à M.le , ministredes;.anciens combattantsque les eS:bnens d'aptitude professionnellealla empluid réservés aux victimes de la.guerre comportent deséprëuves écrites et orales ' avec uni''niole éliminatoire qnipeut faire perdre le bénéfice d'un long et très satisfaisant ex
5933. - 13avril 1960. - M.Thomazoexpose à M.le ministre desanciens combattanteque plusieurs personnalités musulmanes algé-riennes s'étant rendues au cimetière militaire de Marseille, ont é
tépéniblement impressionnées par l'état dans lequel se trouvent l ARMEES
6152. - 8avril1960. - M.Waldeck Rochetse référant à laréponse faite à sa question écrite n° 403'. relative aux conditionsd'application du décret n°57-965du 26 août1957,fait observer àM.le ministre des arméesque les ouvriers de l'Etat ayant d0interrompre leur service pour cause de maladie antérieurement àla date d'application de la loi fis49-1097du 2 août1949,n'ontpas la possibilité de compenser entièrement leur perte d'annuité
scomme Ils en avaient la faculté sous le régime de la lof du 21 mar 5161. - 8avril 1060. - M.Rleunaudexpose àM.le ministre desarméesqu'en décret dur 31 mars1917n frappé do forclusion Coulesles propositions présentées après cette date pour l'altribulton
5175. - 9avril 1960. - M.Deechizeauxexpose à M.le ministredesarmées que l'article 169 de l'ordonnance ns58-137-idu 30 décem-bre 1938 portant loi de finances pour 1939(Journal officieldu31 décembre 1953, p.12071)prévoit que les fonctionnaires civils del'Etat et des établissements publics de l'Etat pourront faire l'objet
d'une mise à la retraite anticipée, pendant une durée de cinq a 5191. - 9avril1960. - M.fatalesignale à M.le ministre desarméesque, par voie de presse officieuse, les agriculteurs d'Aube-rive (Marne) ont eu connaissance du projet de vente du terraind'aviation militaire situé sur cette commune. il lui demande si lefait,est exact. Dans l'affirmative, il lui suggère d'abandonner leprojet et de mettre '.également le terrain militaire à la dispositiondes anciens propriétaires, qui bénéficieraient ainsi du droit d
e res-lftution directe à un prix fixé en accord avec les domaines. 5253. - 15avril 1960. - M.Robert Baliangerexpose à M. teministredes arméesque, dans la matinée du7avril 1960, un avion militaire àréaction volant à basse altitude au-dessus du chef-lieu de canton
6254. - 15avril1960. - M.Carterdemande à M.le ministre desarméesquelle coiffure doit accompagner le port de l'uniforme degala des officiers.
5272
CONSTRUCTION
5162. - 8 avril. 1960. - M.Emile-Pierre Halboutsignale à M.leministre de la constructionles difficultés que rencontrent leicommunes rurales pour l'équipement en électricité de leurs loti
ssemente, dans le cas fréquent où les travaux ne peuvent être comp 5196. - Il avril 1960. - M.Carterdemande à M. teministre de laConstructionde bien vouloir lui faire connattre quelles mesures ilcompte prendre pour faire échec à un projet d'édification de ma
i-sons d'habitation à Versailles, sur Ica terrains abandonnés par le génie militaire, qui s'étendent de la pièce d'eau des Suisses J
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