Les TICE dans la formation initiale des enseignants
La réforme relative à la mise en place du certificat informatique et internet niveau 2. "enseignant" – le C2I2e (créé en 2004) qui doit permettre à tout
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3.1.2. Importance et rôle des médias dans l'apprentissage et l'enseignement. Certificat Informatique et Internet niveau 2 - Enseignant (C2i2e).
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Certificat Informatique et Internet niveau 2 - Enseignant (C2i2e). Il existe plusieurs certificats en informatique et internet que les enseignants.
Questions Vives Vol.7 n°17
Oct 15 2012 du Certificat informatique et internet (C2i) de niveau 2 ciblant les ... le temps de l'enseignement des compétences TIC
*Pages 449
Apr 4 2008 Création du certificat informatique et internet (C2i®) niveau 2 ... Enseignant du premier degré
Gabriella Asaro – Curriculum Vitæ et Studiorum Née à Palermo
Certificat informatique et Internet niveau 2 « enseignant » (C2i2e). 10 janvier. 2011. Diplôme de Doctorat en Histoire moderne et contemporaine à
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2. L'Université Numérique. Paris Île-de-France. Un projet du Ministère Le C2i® (Certificat Informatique et Internet) niveau 1 a pour but de certifier le ...
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Professionnalisation du métier denseignant et informatique `a l
Jan 27 2012 et anciens doctorants) pour leur soutien
Professionnalisation du metier d'enseignant et
informatique a l'ecole elementaire : une approche par la theorie des representations sociales et professionnellesStephanie NettoTo cite this version:
Stephanie Netto. Professionnalisation du metier d'enseignant et informatique a l'ecoleelementaire : une approche par la theorie des representations sociales et professionnelles.Education. Universite Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2011. Francais. Page | 13 (+ 54 points dÕaugmentation) (cf. Figure 2). Figure 2 : Proportion (en %) des personnes ges de 18 ans et plus disposant dÕune connexion Internet leur domicile. Dans le dernier rapport du CREDOC (Bigot & Croutte , 2010), 71% de la popul ation franaise dispose dÕune connexion Internet leur domicile (p.73). Ces internautes, depuis leur domicile, leur lieu de travail, leur tablissement scolaire, un cybercaf, etc. peuvent : changer des messages et des fichiers (!messagerie lectronique, forum de discussion), dialoguer en temps rel (!chat, visioconfrenc e, audioconfrence), re chercher des informations (!recherche documentaire sur le Web), tlcharger des fichiers, acheter des produits de consommation, jouer seul ou en rseau, t lphoner, c outer de la musique ou la radio, regarde r la tl vision (!Tlvision Numrique Terrestre ou TNT), visionner des vidos en streaming, raliser leurs tudes dista nce (!Formation Ouverte et Dist ance ou FOAD), etc. (pour plus de dveloppements, voir la Figure n¡3l ou lÕtude CREDOC : Bigot & Croutte, 2010, pp. 105-126). 1. Ç La banque a ferm dans mon village. Je n'ai pas toujours le temps de me rendre dans la commune voisine en vlo. Et puis, Internet fonctionne les jours fris È. [Questionnaire Enseignant n¡56] 2. Ç Internet, pour relier les hommes, divulguer largement et rapidement son point de vue, dbattre. Peut-tre, est-ce un contre-pouvoir contre le formatage des mdias È. [Questionnaire Enseignant n¡111] 3. Ç La recherche sur Internet permet de trouver rapidement une information, un parcours en voiture, des horaires de train ou de cinma, des recettes de cuisineÉ È. [Questionnaire Enseignant n¡199] 4. Ç Simplifier la communication et les changes, se tenir informer ce de qui se passe dans le monde, raccourcir les dlais de transmission des informations È. [Questionnaire tudiant n¡4] 5. Ç La culture porte de Ç clics È È. [Questionnaire tudiant n¡96] Figure 3 : Cinq interviews tmoignent du principal avantage de l'informatique et dÕInternet. Page | 162 rduites (des mots pleins ou mots Ç analyss È et les mots outils dans le cadre dÕun corpus texte) et dÕautre part, les classes terminales. Elle permet la fois de reprer plus facilement les oppositions vs les similitudes entre les formes (par la mtrique du X!) et de positionner dans lÕespace les classes terminales grce des facteurs (comparables des droites de rgression). Voici quelques commentaires supplmentaires propos de lÕAFC. Tout dÕabord, le nombre de facteurs est dtermin par la taille du tableau de contingence sur lequel lÕAFC est construite : le nombre de facteurs que lÕon peut extraire est gal la plus petite des dimensions du tableau - 1. Ë propos des facteurs, nous devons retenir que le facteur 1 est toujours celui qui extrait le maximum dÕinformations, que le facteur 2 et les autres facteurs supplmentaires dissocient plus finement lÕinertie rsiduelle du nuage de points. Gnralement situ sur lÕaxe des abscisses, le facteur 1 oppose toujours les formes places gauche et les formes places droite du point dÕorigine (de 0, lÕintersection entre lÕaxe des abscisses et lÕaxe des ordonnes). En revanche, le facteur 2 (le facteur 3, le facteur 4, etc.) est gnralement localis sur lÕaxe des ordonnes. Il met en confrontation les formes situes en bas et les formes situes en haut du point dÕorigine. Pour terminer, Ç plus un point est loi n de lÕorigine, plus l e profil de la ligne ou de la colonne associ ce point est caractristique au sens du X! È (Image S.A., 2005, p. 74). Pour dcrire et nommer le conte nu de chaque cl asse terminal e, le logiciel IRAMUTEQ fournit donc la taille de la classe par rapport lÕensemble du corpus (lien avec le dendrogramme), le vocabulaire spcifique de la classe (lien avec les mots outils, les mots pleins et les mots toils), lÕantiprofil de la c lasse (ce quÕelle nÕe st pas), les UCE les plus caractristi ques et une vue dÕensemble avec les reprsentations graphiques gnres par lÕAFC. Mis part le postulat que nous avons prcdemment mentionn (voir p. 160) sur le rapport entre reprsentati ons sociales et mthode ALCESTE, dÕautres limites sont prendre en considration quand on a recours aux logiciels ALCESTE ou IRAMUTEQ. Le corpus soumis ALCESTE doit tre suffisa mment volumi neux pour que les rsul tats lÕissue du passage disposent dÕune certaine pertinence143 et lÕanalyste doit suffisamment conna"tre le corpus pour pouvoir interprter, avec justesse, les rsultats de la CHD et de lÕAFC. La mthode ALCESTE est par aill eurs sous-tendue par un second postulat, clairement explicit par Delavigne (2004) ici : Ç [É] les structures smantiques sont lies la distribution des mots dans le texte et que cette distribution est pertinente È144. Lors dÕun sminaire encadr par lÕquipe REPERE le 15-12-2006, le confrencier Reinert a 143 Nous avons eu lÕoccasion dÕexprimenter cette limite en aidant des tudiants procder des CHD sur leurs corpus de donnes dans le cadre de nos contrats dÕallocataire-monitrice entre 2005 et 2008 et dÕATER entre 2009 et 2011, lÕUniversit de Toulouse II. 144 Prsentation dÕALCESTE par Delavigne : http://www.revue-texto.net/Corpus/Manufacture/pub/Alceste2.html Page | 169 Tests de mise en cause (MEC) * Test sur lÕinformatique Ç dans le cadre de votre vie professionnelle È : n¡33 * Test sur lÕinformatique Ç dans le cadre de votre vie prive È : n¡63 * Te st sur tre Ç enseignant lÕcole lmentaire È : n¡81 * Test sur lÕinformatique Ç dans le cadre de votre vie professionnelle È : n¡14 * Test sur lÕinformatique Ç dans le cadre de votre vie prive È : n¡54 * Te st sur tre Ç enseignant lÕcole lmentaire È : n¡67 Nombre de questions 3 questions 3 questions Informations sur lÕinformatique lÕcole et sur lÕinformatique dans la vie prive * qui pement informatique de lÕcole : n¡3 n¡9 * Sances dÕinformatique : n¡23 n¡25 * Rapport lÕinformatique : n¡27 et n¡ 28 * Form ations en informatique : n¡34 n¡39, n¡41 * quipements personnels TIC : n¡50 n¡54 * Place de lÕinformatique dans la vie prive, dans le foyer : n¡61 et n¡62, n¡64 n¡66 * Rapport lÕinformat ique : n¡10 et n¡11 * Formations en informatique : n¡16 n¡22 * Cert ificat Informatique et Internet niveau 1 Ç tudiant È : n¡26 et n¡ 27 * quipements personnels TIC : n¡38 n¡42 * Place de lÕinformatique dans la vie prive , dans le f oyer : n¡49 n¡53 Nombre de questions 29 questions 21 questions Reprsentations de lÕinformatique dans les deux contextes * Informatique dans le contexte de lÕcole lmentaire : n¡2, n¡14 et n¡15, n¡20, n¡ 26, n¡29 n¡31, n¡44 n¡47 * Informatique dans le contexte de la vie prive : n¡49, n¡67 n¡70 * Informatique dans le contexte cole lmentaire : n¡2 n¡4, n¡12 et n¡13, n¡28 et n¡29, n¡32 n¡35 * Informatique dans le contexte vie prive : n¡37, n¡55 n¡58 Nombre de questions 17 questions 16 questions Informations sur le mtier dÕenseignant au Primaire n¡72 n¡75, n¡79 et n¡80, n¡82 et n¡83, n¡85 et n¡86 n¡60 n¡63, n¡65 et n¡66, n¡68 et n¡69, n¡72 Nombre de questions 10 questions 9 questions Donnes sur les pratiques enseignantes * Dclarations de pratiques en lien avec lÕinformati que lÕcole : n¡10 et n¡11, n¡12 et n¡13, n¡16 et n¡17, n¡18 e t n¡19, n¡21, n¡22, n¡43 * Dclarations de pratiques en lien avec lÕinformatique dans la vie prive : n¡55 n¡59 * Dclarations de pratiques en lien avec le mtier exerc : n¡60, n¡77 et n¡78 * D clarations de futures pratiques en lien avec lÕinformatique lÕcole : n¡5 n¡9, n¡24, n¡31 * Dclarations de pratiques en lien avec lÕinformatique dans la vie prive : n¡43 n¡47 * D clarations de futures pratiques en lien avec le mtier exerc : n¡48, n¡70 et n¡71 Nombre de questions 19 questions 15 questions Page | 178 SOMMAIRE DE LA TROISIEME PARTIE : ANALYSE DES DONNEES ET DISCUSSION GENERALE CHAPITRE 6 - Rsultats du groupe en formation (futurs professeurs des coles) É.É... 179 14. Description de lÕchantillon tudiant ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ..ÉÉÉ.. 179 15. LÕinformatique dans tous ses Ç contextes È ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ.......... 186 16. Mtier dÕenseignant lÕcole lmentaire ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ 210 17. Rsultats de la classification ALCESTE (groupe en formation) ÉÉÉÉÉÉÉ.ÉÉÉ. 221 SYNTHESE DU CHAPITRE 6 ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ 233 CHAPITRE 7 - Rsultats du groupe professionnel (enseignants en poste lÕcole elmentaire) ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ. 234 18. Description de lÕchantillon enseignant ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ. 234 19. LÕinformatique dans tous ses Ç contextes È ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ....... 244 20. Mtier dÕenseignant lÕcole lmentaire ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ. 268 21. Rsultats de la classification ALCESTE (groupe professionnel) ÉÉÉÉÉÉÉÉÉ.. 278 SYNTHESE DU CHAPITRE 7 ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ 288 CHAPITRE 8 - Comparaison des rsultats entre les deux groupes ÉÉ.ÉÉÉÉ...É... 289 22. Comparaison des rponses entre les deux groupes sur lÕinformatique ÉÉÉÉÉÉÉ.. 289 23. Comparaison des rponses entre les deux groupes sur le mtier dÕenseignant ÉÉÉÉ.. 300 SYNTHESE DU CHAPITRE 8 ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ 304 CHAPITRE 9 - Discussion gnrale ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ.ÉÉÉÉÉ 305 Page | 181 Figure 32 : Rpartition par centre de formation et par acadmie des 175 futurs PE sonds. En terme s de localisation, nous avons recuei lli plus de donnes dans lÕacadmie de Toulouse (71%) que dans lÕacadmie de Bordeaux (29%) (cf. Figure n¡32). 10% proviennent du CFP de Bordeaux , 19% du site dÕantenne I UFM de Pau, 41% s ont i ssus de lÕ IRFEC de Toulouse et 30% du site dÕantenne IUFM de Toulouse. Figure 33 : Rpartition par cycle dÕapprentissage souhait des futurs PE interrogs. Lorsque nous regardons maintenant dans quel cycle dÕapprentissage159 de lÕcole primaire (question n¡76) les membres du groupe en formation voudraient exerc er l eur mt ier, nous remarquons quÕune majorit dÕentre eux choisissent le cycle 2 (59.34% en cumulant les rponses propos du cycle 2). Mais, dÕautres PE1 et PE2 ont une prfrence pour le cycle 3 (50.85%) et pour le cycle 1 (36.57%) alors que dÕautres sujets choisissent dÕenseigner par exempl e en classes spcialises, en CLIS, etc. (modalit Ç autre rponse È). Par ailleurs, le contenu de cette figure mentionne aussi les sujets qui ont arrt leur choix sur un cycle particulier (ils sont Ç mono- 159 Lorsque nous avons conu la question n¡76, nous avions prvu 4 modalits (cycle 1, cycle 2, cycle 3, autre rponse). Mais, la rpartition des rponses produites par les 175 futurs PE a gnr 5 nouvelles modalits de rponses, car ils ont fait des combinaisons (exemple avec la modalit construite a posteriori Ç Les trois cycles È : 17.14% des sujets ont coch cycle 1 et cycle 2 et cycle 3). Ces nouvelles modalits sont visualises, dans la figure n¡33, par les histogrammes qui sont en bleu. Page | 203 15.2.3. Rsultats au test de MEC Ç vie prive È (groupe en formation) Le graphique n¡47 donne les rponses Ç non È des PE1 et PE2 au test de MEC (question n¡54), o nous avons voulu tester la centralit de 10 items (dtails dans lÕAnnexe 13). Figure 47 : Rponses Ç non È (en %) au test de mise en cause dans la condition Ç vie prive È, propos de l'informatique, pour le groupe en formation (N= 175). Parmi ces 10 items, il y en a 4 qui sont spcifiques la condition Ç vie prive È. Nous rattachons les items pratique, rapide et ncessaire aux catgories mots positifs / modernes et indispensable et puis, travailler dans la cat gorie travail. Et , il y a 6 a utres item s qui sont communs aux deux contexte s dÕvocat ion : outil, crire, Internet, faire des recherches, communication et utiliser dans les loisirs. Nous avons choisi de gnrer cette situation afin de tenir compte des lments, prsents dans la zone du noyau de la reprsentation sociale de lÕinformatique, issu dÕune prcdente recherche (Netto, 2005). Parmi les 7 items perus comme non ngociables dans la reprsentation sociale que les sujets se font de lÕinformatique, il y en a 5 qui sont communs entre les deux contextes dÕvocation. Il sÕagit des items suivants : outil (73%), crire (66%), Internet (63%), faire des recherches (61%) et communication (60%). Ce sont des items centraux dans les deux reprsentations de lÕinformatique. Parmi ces items centraux, nous notifions que lÕaspect communicationnel a dj t repr comme lment cent ral par Ratina ud (2003a, pp. 237-238) dans les deux m mes Page | 206 dÕvocation (rponses aux questions n¡8 et n¡46). LÕitem rechercher est par consquent commun entre les deux reprsentations de lÕinformatique. Si nous regardons maintenant que les 7 premiers items de chaque contexte dÕvocation, il y en a 3 qui sont spcifiques au champ professionnel (catgories dimension technique, B2i niveau 1 et apprentissages) al ors quÕil nÕy en a quÕun seul dans le cha mp socia l de l Õinform atique (catgorie image / vido). Les catgories spcifiques sont en violet dans le tableau n¡48. Nous interprtons la prsence plus importante de catgories propres lÕcole lmentaire par la figure dÕenseignant-expert que les tudiants sont en train de sÕapproprier sur les TICE au Primaire (liens avec la figure n¡ 17 de Pias er & Bataille (2011) et a vec la dfinition de la professionnalit, dÕAballa (1992) : voir dans ce tome, p. 101 et pour la citation, p. 115). 15.3.2. Comparaison des rponses aux tests dÕassociation libre (groupe en formation) Parmi les 23 catgories communes entre les deux context es dÕvocation (vie prive Ð prprofessionnelle171), nous prsentons dans le graphique ci-dessous uniquement les 12 catgories dont les diffrences dÕapparition sont significatives (Khi-deux de McNemar). Nous rutilisons le code de couleurs pour les nommer. LÕensemble des rsultats figure dans lÕannexe 14. Les membres du groupe en formation ont significativement plus voqu 4 catgories pour dfinir ce quÕest lÕinformatique dans la condition Ç vie pr-professionnelle È : ! Dimension technique (X! = 33,96 ; ddl=1 ; p < .0001), ! Outil de travail (X! = 14,66 ; ddl=1 ; p < .0001), ! Dangers (X! = 6,05 ; ddl=1 ; p = .007), ! Difficile utiliser (X! = 3,36 ; ddl=1 ; p = .038). Dans la condition Ç vie prive È, ces mmes individus ont significativement plus voqu 8 autres catgories : ! Communication (X! = 67,91 ; ddl=1 ; p < .0001), ! Image / vido (X! = 30,62 ; ddl=1 ; p < .001), ! Aide pour la classe (X! = 18,05 ; ddl=1 ; p < .001), ! Internet (X! = 4 ; ddl=1 ; p = .045), ! SÕinformer (X! = 4,33 ; ddl=1 ; p = .037), ! Ouverture (X! = 4,64 ; ddl=1 ; p = .019), ! Connaissance (X! = 6,85 ; ddl=1 ; p = .004) 171 Pour conna"tre le sens de la relation qui unit une une les catgories communes aux deux contextes dÕvocation, nous avons choisi de faire Ç vie prive È - Ç vie prprofessionnelle È entre les termes (en pourcentage) qui composent chaque catgorie. tant donn le sens de cette soustraction, il est normal de trouver gauche du graphique les items qui sont plus voqus par les tudiants dans la condition Ç vie pr-professionnelle È et dÕavoir des valeurs ngatives. Page | 222 Le corpus ains i Ç nettoy È, nous avons procd la classi fication ALCESTE avec les paramtrages par dfaut quÕIRAMUTEQ propose. Dans la description des rsultats qui suit, nous avons choisi de traiter ensemble la CHD et lÕAFC afin de proposer une lecture plus dynamique des prises de position exprimes par les sujets dÕenqute. 17.2. PRISES DE POSITION DES FUTURS PE (CHD) Les diffrents lments fournis par IRAMUTEQ (comme les profils, les anti-profils, les arbres maxima des classes terminales) sont autant dÕindices pour mieux comprendre les prises de position exprimes par l es PE1-PE2 sur les objets de re prsentation tudis. La classi fication ALCESTE est galement un m oyen opratoire pour complter lÕanalyse structural e que nous avons faite sur les reprsentations sociales et professionnelles de lÕinformatique et du mtier. Pour cette analyse, 150 des 175 individus ont particip cette classification (soit 85,71% du corpus total). Nous faisons ici un commentaire qui va udra autant pour lÕana lyse de cette classification que pour celle des enseignants. Lorsque nous serons amene parler de futurs PE et dÕenseignants technophobes vs technophiles, ce nÕest pour cibler des personnes qui ont une phobie ou au contraire lÕamour et la passion pour lÕinformatique (voir : Breton, 2000, pp. 16-21), mais plutt des personnes qui ne sont moins attires vs qui sont plus attirs vers cette technologie. Voici le dendrogramme ou lÕarborescence des classes stables terminales : Figure 56 : Dendrogramme fourni par IRAMUTEQ lors de la classification ALCESTE sur les rponses aux questions fermes du groupe en formation (N= 175). Page | 233 SYNTHESE DU CHAPITRE 6 RESULTATS DU GROUPE EN FORMATION (FUTURS PROFESSEURS DES ECOLES) Dans le cadre de ce chapitre, nous avons analys les rponses produites par 175 PE1 et PE2 dans le but de rpondre ces trois questions : quell e est leur reprsentation de lÕinformatique dans la condition Ç lÕcole lmentaire È ? quelle est leur reprsentation de ce mme objet dans la condition Ç vie prive È ? quelle est leur reprsentation du mtier dÕenseignant lÕcole lmentaire ? 1 - Les futurs PE pe roivent lÕinformat ique lÕcole lmentaire trave rs les dimensions praxologique et institutionnelle. Le test de MEC a permis dÕidentifier, au seuil de 50%, ces 6 lments centra ux : Logiciels, Outil, Communiquer, Recherche documentaire, crire et Internet. 2 - Dans la condition Ç vie prive È, ils pensent spontanment des catgories praxologiques (mis part la catgorie Mots positifs / modernes), et surtout la catgorie Communication. Le s 7 lments c entra ux de cette reprsentation sont : Outil, crire, Internet, Travailler, Faire des recherches, Communication et Pratique. Entre ces deux conditions, 4 items sont significativement plus voqus dans le champ professionnel : Dimension technique, Outil de travail, Dangers et Difficile utiliser. Dans la vie prive, 6 items sont davantage voqus : Communication, Image / vido, Aide pour la classe, Internet, SÕinformer, Ouverture, Connaissance et Formations. Deux items issus de la MEC sont galement plus activs dans la condition Ç vie prive È : crire et Internet. 3 - Les futurs PE se reprsentent leur futur mtier travers des rponses autour de la dimension pdagogique et plus spcifiquement travers la catgorie Polyvalence. Le test de MEC a permis dÕident ifier 10 items centraux : Enseigner, Pdagogie, Polyvalent, Travailler avec les enfants, SÕinvestir, Libert dÕaction, Ncessiter une prparation, Rle social, Plaisir et Travailler en quipe. Enfin, lÕanalyse de la classification ALCESTE a cibl 5 sujets pistmiques : les futurs PE technophobes profanes, les futurs PE peu convaincus, les futurs PE technophobes, les futurs PE pragmatiques et les futurs PE technophiles. De ux facteurs di scriminent ces profils de classe : un facteur de professionnalisation (les PE1 ignorants vs les PE2 qui prennent position) et un facteur axiologique (rapport lÕinformatique, ngatif vs positif). Page | 249 19.1.1.3. Analyses de similitude Ð informatique lÕcole lmentaire (groupe professionnel) La figure n¡71 fournit lÕanalyse de similitude partir des rpons es cat gorises des enseignants au test dÕvocation libre Ç Informatique lÕcole lmentaire È. Cet arbre maximum comporte 19 catgories au seuil de 3%. Figure 71 : Analyse de similitude sur les rponses la question dÕassociation libre Ç Informatique lÕcole lmentaire È pour le groupe professionnel (N= 245). Arbre maximum en pourcentages de cooccurrence (seuil = 3 %). Il est organis autour des catgories traitement de texte et difficile utiliser (relies entre elles par la dimension technique et pdagogie diffrencie), alors que dans le graphe maximum des 175 tudiants, tout sÕorganise autour dÕInternet et de rechercher. Il y a 7 catgories qui sÕorganisent autour de lÕitem traitement de texte (au seuil entre 3% et 13%) : dimension technique, B2i niveau 1, communication, rechercher, jeux / ludique, Internet et apprentissages. Pour la catgorie difficile utiliser, huit catgories lui sont associes un seuil allant entre 4% et 7% : pdagogie diffrencie, difficults matrielles, outil de travail, indispensa- Page | 265 ! Rechercher (X! = 10,22 ; ddl=1 ; p < .001), ! SÕinformer (X! = 14,69 ; ddl=1 ; p< .0001), ! Ouverture (X! = 10,56 ; ddl=1 ; p< .0001), ! Mots positifs / modernes (X! = 9,94 ; ddl=1 ; p< .001), ! Aide pour la classe (X! = 19,86 ; ddl=1 ; p< .001), ! Connaissance (X! = 9,48 ; ddl=1 ; p< .001), ! Stocker (X! = 12,50 ; ddl=1 ; p< .0001). Figure 79 : Diffrence (en %) du taux d'apparition des items la question dÕassociation libre vie prive - vie professionnelle, propos de l'informatique, pour le groupe professionnel (N=245). Alors que les PE1-PE2 voquent significativement 4 notions (dimension technique, outil de travail, dangers et difficile utiliser) dans la condition Ç vie pr-professionnelle È, nous voyons que dans les mmes conditions il y a davantage dÕitems (N=10) pour qualifier lÕinformatique au Primaire. Parmi ces 10 catgories, la notion de dangers nÕen fait pas partie. Mais, la dimension Page | 288 SYNTHESE DU CHAPITRE 7 : RESULTATS DU GROUPE PROFESSIONNEL (ENSEIGNANTS EN POSTE A LÕECOLE ELEMENTAIRE) Dans le cadre de ce chapitre, lÕanalyse des rponses de 245 enseignants ont permis de rpondre ces questions : quelle est leur reprsentation de lÕinformatique dans la condition Ç lÕcole lmentaire È ? quelle est leur reprsentation de ce mme objet dans la condition Ç vie prive È ? quelle est leur reprsentation du mtier dÕenseignant lÕcole lmentaire ? 1 Ð Dans la condition Ç vie professionnelle È, les enseignants activent une reprsentation oriente vers la pratique des TICE lÕcole complte dÕobstacles de diffrentes natures. Le test de MEC a pu reprer la centralit de 9 items : Outil, Logiciels, Internet, crire, Utiliser dans les loisirs, Pdagogie, Recherche documentaire, Communiquer et Ncessaire. 2 - Dans la condition Ç vie prive È, ils pensent davantage des catgories praxologiques, et surtout la catgorie Communication. Les 9 lments centraux de cette reprsentation, au seuil de 50%, sont : Outil, Internet, Faire des recherches, Communication, Travailler, crire, Pratique, Utiliser dans les loisirs et Rapide. Entre ces conditi ons, 10 catgories sont significativement pl us voques dans la vie professionnelle : Dimension technique, Traitement de texte, Difficile utiliser, Apprentissages, Dimension organisationnelle, Difficults matrielles, Formation, Outil de travail, Plaisir et Manipuler. Neuf items sont davantage donns dans la vie prive : Communication, Image / vid o, Rechercher, SÕinformer, Ouverture, Mots positifs / modernes, Aide pour la classe, Connaissance et Stocker. Trois items issus de la MEC sont galement plus activs dans cette condition : Communication / Communiquer, Recherche documentaire / Faire des recherches et Internet. 3 Ð La reprsenta tion du mtier sÕorganise autour des cat gories Polyvalence et Vocation et comprend beaucoup dÕlments autour de la dimension pdagogique. Le test de MEC a permis dÕidenti fier 10 items centra ux : Enseigner, Pdagogie, Polyvalent, Ncessiter une prparation, SÕinvestir, Travailler avec les enfants, Plaisir, Libert dÕaction, Travailler en quipe et Rle social. Enfin, la class ification ALCESTE a cibl 4 sujets pistmiques : les enseignants technophobes, les enseignants technophiles brids par le temps, les enseignants pragmatiques brids par le temps et les enseignants technophiles brids par le matriel. Deux facteurs discriminent ces rsultats : rapport lÕinformatique ngatif vs positif (facteur axiologique) et nature des difficults rencontres en utilisant lÕinformatique lÕcole. Page | 292 Informatique lÕcole lmentaire Informatique dans la vie prive Mtier dÕenseignant lÕcole lmentaire Groupe en formation / Futurs PE Groupe professionnel / Enseignants en poste Figure 91 : Comparaison des analyses de similitude des six tests dÕassociation libre entre les deux groupes. Page ! 295 Informatique lÕcole lmentaire Informatique dans la vie prive Mtier dÕenseignant lÕcole lmentaire Groupe en formation / Futurs PE Groupe professionnel / Enseignants en poste Figure 92 : Comparaison des rsultats aux six tests de MEC entre les deux groupes. Page | 302 23.3. COMPARAISON DES REPONSES AUX QUESTIONS FERMEES SUR LE METIER Les rsultats que nous allons exposer proviennent de lÕannexe 23. La moyenne des scores obtenus par les 175 P E1-PE2 en rempli ssant l es chelles dÕattitudes sur Ç Pour vous, la profession Ç enseignant lÕcole lmentaire È es t : È est significat ivement suprieure la moyenne des scores que les ens eignants ont donns cett e question (t = - 2,245 ; ddl=411 ; p < .0253). Autrement dit, les tudiants ont une reprsentation significativement plus positive du mtier quÕils dsirent exercer que les enseignants. Ce rsultat tend complter lÕexplication que nous avons produite propos des c atgorie s dÕassoc iation libre spcifiques chaque groupe (prsence par exemple des catgories difficile et lister difficults chez les enseignants). Ensuite, en procdant lÕana lyse de variance sur cette question, nous nÕavons constat aucune diffrence significative entre les moyennes de scores des classes ALCESTE (F(4, 146) = 1,008 ; p > .05). En revanche, c hez les enseignants , les classes ALCESTE sont significativement diffrenciatrices (F(3, 217) = 3,355 ; p= .0198). Figure 94 : Moyenne du score Ç tre enseignant lÕcole lmentaire È par classe ALCESTE pour les enseignants (N=245). Le graphique ci-dessus rsume le test PLSD de Fisher et nous montre que cÕest pour la classe 3, Ç les enseignants technophobes È (qui dispose du score le plus bas) quÕil y a des diffrences significatives avec le score de la classe 2 Ç les enseignants technophiles brids par le temps È, mais galement a vec le score de la classe 4 Ç les enseignants t echnophiles brids par le matriel È. Ces diffrences significatives, propos des rponses aux chelles dÕattitudes sur le mtier, laissent prsager quÕil existerait une tendance tre la fois technophobe et porter un regard ngatif sur le mtier. En outre, et pour complter ces diffrents commentaires, nous avons repr des relations significatives sur les rponses la question sui vante : Ç Parmi les ressources suivantes, lesquelles utiliseriez-vous pour pr parer le con tenu des sances de classe ? È Nous avons remarqu quÕ cette question, les enseignants et les tudiants se sont scinds car parmi la liste des modalits de rponses, et donc parmi toutes les ressources leur disposition, les enseignants se Page | 346 CM1 : Cours Moyen 1re anne CM2 : Cours Moyen 2e anne CMO : Communication Mdie par Ordinateur CN : Cours Normaux CNDP : Centre National de Documentation Pdagogique CNEC : Comit National de l'Enseignement Catholique CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique CP : Cours Prparatoire CREDOC : Centre de Recherches pour lÕtude et lÕObservation des Conditions de Vie (cette dclinaison ne correspond pas scrupuleusement cet acronyme) CRDP : Centre Rgional de Documentation Pdagogique CREFI-T : Centre de Recherches en ducation, Formation et Insertion de Toulouse (notre ancien laboratoire de recherche de rattachement) CRPE : Concours de Recrutement de Professeurs des coles CTICE : Conseiller pour les Technologies de l ÕInformation et de l a Communication pour / dans lÕEnseignement ou pour lÕducation ! D ! DARPA : Defense Advanced Research Proj ects Agency (cÕest lÕagence qui a remplac lÕARPA) DATAR : Dlgation lÕAmnagement du Territoire et lÕAction Rgionale DCA : Defence Communication Agency (en franais, Agence de communication pour la Dfense) DEA : Diplme dÕtudes Approfondies DESS : Diplme dÕtudes Suprieures Spcialises DEUG : Diplme dÕtudes Universitaires Gnrales DEUST : Diplme dÕtudes Universitaires Scientifiques et Techniques DGESCO : Direction Gnrale de lÕEnseignement SCOlaire DUI : Direction aux Usages dÕInternet DVD-ROM : Digital Versatile Disc - Read Only Memory ou Dvdrom ! E ! EAO : Enseignement Assist par Ordinateur EDF : lectricit De France EPO : Enseignement Programm par Ordinateur Educnet : Nom du site Internet de la Direction de la Technologie (DT) EIAD : Environnements Interactifs dÕApprentissage Distance EIAO : Enseignement Intelligent Assist pa r Ordinateur (mais aussi) Environnements Interactifs dÕApprentissage avec Ordinateur EN : ducation Nationale / Le mme sigle signifie galement coles Normales ENEP : cole Normale des Enseignements Priv (de Nouvelle-Caldonie) ENT : Environnement Numrique de Travail EPI : Enseignement Public Informatique ETIC : Enqute sur les Technologies de lÕInformation et de la Communication EVS : Emploi Vie Scolaire ! F ! FC : Formation Continue FOAD : Formation Ouverte et Distance FORTRAN : FORmula TRANslator Page | 361 CHAPITRE 9 - Discussion gnrale ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ.É.ÉÉÉ...ÉÉ..... 305 CONCLUSION ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ...ÉÉÉ 312 BIBLIOGRAPHIE ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ..É.... 316 A Ð Notices bibliographiques des pigraphes ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ..É.. 316 B Ð Notices bibliographiques issues de doubles citations ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ..... 316 C Ð Intgralit des notices bibliographiques ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ..É 318 WEBOGRAPHIE ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ.ÉÉÉ. 338 INDEX DES AUTEURS ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ..ÉÉÉ. 342 GLOSSAIRE DES ACRONYMES ET DES SIGLES É.ÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ..ÉÉ.. 345 TABLE DES FIGURES ET TABLEAUX ÉÉ...ÉÉÉÉÉÉÉÉÉ..ÉÉÉÉÉ...É... 3502011TOU20060>.
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