[PDF] rapport sur le commerce mondial - 2006





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rapport sur le commerce mondial - 2006

11 déc. 2005 Toutefois du fait de cette hausse



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banques agricoles ont joué très tôt un rôle majeur dans la modernisation de l’agriculture et la bancarisation des agriculteurs La microfinance peut offrir une partie de la réponse car elle possède le grand atout de la proximité qui repose souvent sur une approche mutualiste C’est d’ailleurs une



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rapport sur le commerce mondial - 2006 2006
organisation Mondiale du co MM erce rapport sur le commerce mondial 2006
rapport sur le commerce mondial

MEMBRES DE L"OMC

(11 décembre 2005) afrique du sud albanie allemagne angola antigua-et-Barbuda arabie saoudite argentine arménie australie autriche

Bahreïn, royaume de

Bangladesh

Barbade

Belgique

Belize

Bénin

Bolivie

Botswana

Brésil

Brunéi darussalam

Bulgarie

Burkina Faso

Burundi

cambodge cameroun canada chili chine chypre colombie communautés européennes congo corée, république de costa rica côte d'ivoire croatie cuba danemark djibouti dominique egypte el salvador emirats arabes unis equateur espagne estonie

États-unis d'amérique

ex-république yougoslave de Macédoine (erYM) Fidji

Finlande

France

gabon gambie géorgie ghana grèce grenade guatemala guinée guinée-Bissau guyana

Haïti

Honduras

Hong Kong, chine

Hongrie

iles salomon inde indonésie irlande islande israël italie

Jamaïque

Japon

Jordanie

Kenya

Koweït

lesotho lettonie liechtenstein lituanie luxembourg

Macao, chine

Madagascar

Malaisie

Malawi

Maldives

Mali Malte Maroc

Maurice

Mauritanie

Mexique

Moldova

Mongolie

Mozambique

Myanmar

namibie népal nicaragua niger nigéria norvège nouvelle-Zélande oman ouganda

Pakistan

Panama

Papouasie-nouvelle-guinée

Paraguay

Pays-Bas

Pérou

Philippines

Pologne

Portugal

Qatar république centrafricaine république démocratique du congo république dominicaine république kirghize république slovaque république tchèque roumanie royaume-uni rwanda sainte-lucie saint-Kitts-et-nevis saint-Vincent-et-les-grenadines sénégal sierra leone singapour slovénie sri lanka suède suisse suriname swaziland taipei chinois tanzanie tchad thaïlande togo trinité-et-tobago tunisie turquie uruguay

Venezuela (république bolivarienne du)

Zambie

Zimbabwe

ce rapport est également disponible en anglais et en espagnol (Prix: cHF 60.00)

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Publications de l'oMc

organisation mondiale du commerce

154, rue de lausanne

cH-1211 genève 21 téléphone: (41 22) 739 52 08 isBn 92-870-3353-6 télécopie: (41 22) 739 54 58 imprimé en suisse email: publications@wto.org

© organisation mondiale du commerce 2006

PUBLICATIONS PRÉCEDENTES DU RAPPORT SUR LE COMMERCE MONDIAL 2003
dossier spécial: commerce et développement le rôle du commerce et de la politique commerciale dans le processus de développement le Programme de doha pour le développement essais thématiques: Quelques caractéristiques de l'évolution du commerce sud-sud entre 1990 et 2001

Prix des produits primaires hors combustibles

accords commerciaux régionaux 2004
dossier spécial: cohérence essais thématiques: les préférences non réciproques et le système commercial multilatéral

• la libéralisation du commerce des services effectué au moyen du mouvement temporaire de personnes physiques

indications géographiques 2005
dossier spécial: les normes commerciales et l'oMc essais thématiques: • l'économie quantitative dans le réglement des différends à l'oMc

le commerce international des services de transport aérien: évolution récente et questions de politique

• les délocalisations de services: évolution récente et perspectives 2006
raPPort sur le coMMerce Mondial analyse des liens entre les subventions, le commerce et l'oMc

AVANT-PROPOS

RAPPORT SUR LE COMMERCE MONDIAL 2006

iii aVant-ProPos

Le Rapport sur le commerce mondial 2006 est le quatrième de cette série qui a commencé à paraître en

2002. Comme les précédents rapports, il aborde une question de politique commerciale qui est d"actualité.

Cette année, nous avons choisi comme thème les subventions. Notre objectif est d"aider à mieux comprendre

les questions de politique commerciale complexes auxquelles les gouvernements sont confrontés. Le présent

rapport a pour but non pas tant de formuler des prescriptions, que d"inviter à une réflexion approfondie.

Il s"adresse non seulement aux décideurs mais aussi au public qu"ils représentent ainsi qu"aux personnes et

aux organisations qui cherchent activement à influencer les politiques gouvernementales. Outre le thème

central, le rapport examine brièvement les tendances récentes du commerce et analyse certaines de leurs

caractéristiques les plus marquantes ou tel ou tel aspect particulier du commerce. Cette année, le rapport

passe en revue le commerce des textiles et des vêtements, les flux internationaux de recettes et de paiements

au titre des redevances et des droits de licence, les tendances du commerce des pays les moins avancés et les

effets des catastrophes naturelles et des actes terroristes sur les courants d"échanges internationaux.

Considérant tout d"abord l"évolution du commerce en 2005, on constate que le commerce total des

marchandises a augmenté de 6,5 pour cent en termes réels, contre une augmentation de 9 pour cent en

2004. Le chiffre de 2005 est néanmoins supérieur au taux de croissance moyen de la dernière décennie, qui

était d"un peu moins de 6 pour cent. La scène commerciale a été marquée, l"an dernier, par la hausse des

prix de nombreux produits de base, en particulier du pétrole, tendance qui persiste encore aujourd"hui. Les

conséquences de cette hausse varient considérablement entre les pays développés ou en développement, selon

qu"ils produisent ou non des produits de base. Toutefois, du fait de cette hausse, les pays en développement

en tant que groupe ont vu leur part du commerce mondial atteindre un niveau inégalé depuis plus de 50

ans.

Le dynamisme soutenu des exportations de marchandises de la Chine (en valeur) est un autre facteur qui a

contribué aux bons résultats commerciaux des pays en développement.

La suppression, au début de 2005, des restrictions contingentaires applicables aux textiles et aux vêtements ne

semble pas avoir eu, jusqu"à présent, une incidence majeure sur la demande ou sur les conditions du marché

intérieur chez les principaux importateurs - les États-Unis et l"UE. Par contre, ce qui a sensiblement changé,

c"est la répartition des parts de marché entre les pays exportateurs. La Chine et l"Inde, ainsi que plusieurs

autres exportateurs relativement récents, comme la Jordanie et le Pérou, ont accru leur part de marché, tandis

que d"autres pays qui bénéficiaient auparavant d"un accès préférentiel aux marchés grâce aux contingents ont

vu leur part diminuer. Comme les contingents ont été supprimés, il y a à peine plus d"un an, on ne saurait

être trop catégorique quant à l"évolution future de la situation. L"analyse est compliquée par la réintroduction

de restrictions visant les exportations de la Chine. Dans l"ensemble, la nouvelle situation soulève un certain

nombre de questions relatives au développement qui méritent un examen plus approfondi.

Le bref examen des changements observés dans les flux internationaux de recettes et de paiements au titre

des redevances et des droits de licence donne une indication approximative - qui est loin d"être parfaite

- des tendances de l"investissement et de la production dans le secteur de la haute technologie. Certains des

résultats obtenus n"ont rien d"étonnant. Les pays développés occupent toujours une place prépondérante dans

les transactions dans les deux sens, mais on constate que la part des paiements au titre des redevances et des

droits de licence effectués par plusieurs pays asiatiques est en augmentation.

Les résultats commerciaux des pays les moins avancés (PMA) se sont globalement améliorés par rapport à ces

dernières années, mais l"augmentation de leur part du commerce mondial, qui était très faible au départ, est

encore bien inférieure à 1 pour cent. En outre, on voit que les résultats sont assez variables selon les PMA,

certains exportateurs de produits de base s"en sortant fort bien. Deux PMA sont à eux seuls à l"origine de

35

pour cent des exportations totales du groupe, alors que 13 autres PMA en représentent moins de 1 pour

cent. Des progrès ont été faits à la Conférence ministérielle de Hong Kong où les PMA ont obtenu l"accès

aux marchés en franchise de droits et sans contingent pour au moins 97 pour cent de leurs exportations. En

outre, les PMA seront parmi les bénéficiaires de l"initiative “Aide pour le commerce

“, dont la mise au point

progresse.

AVANT-PROPOS

RAPPORT SUR LE COMMERCE MONDIAL 2006

iv

Le dernier des courts essais thématiques figurant dans le chapitre I du rapport, qui examine les effets sur

le commerce des catastrophes naturelles et des actes terroristes indique que, si ces événements causent de

terribles souffrances humaines et ont inévitablement des effets sur le commerce, bien souvent, ces effets

sont globalement limités. Certaines branches d"activité sont plus durement touchées que d"autres même si

le renforcement des mesures de sécurité et des restrictions par crainte des risques de terrorisme entraîne

une augmentation des coûts de transaction qui peut avoir des répercussions sectorielles plus larges. Les

gouvernements continuent de chercher des moyens de réduire ces coûts autant que possible.

Pour ce qui est du thème central du rapport, les subventions, de nombreux éléments d"information ont été

réunis. Comment définir les subventions ? Qu"est-ce que la théorie économique peut nous apprendre à leur

sujet

? Pourquoi et dans quels secteurs les pouvoirs publics ont-ils recours à des subventions ? Quel rôle

l"Accord sur l"OMC joue-t-il dans la réglementation des subventions dans le cadre du commerce international ?

Le rapport tente de répondre à ces questions.

Il n"est pas aisé de définir une subvention. La définition la plus étroite se limiterait aux dépenses budgétaires,

alors que la plus large pourrait inclure presque toutes les mesures gouvernementales ayant pour effet de

modifier les conditions du marché. L"OMC, notamment dans l"Accord sur les subventions et les mesures

compensatoires, adopte une approche qui vise à assurer des chances égales à toutes les entreprises lorsque

les pouvoirs publics accordent un soutien financier. Le rapport examine dans quelle mesure cette définition

et les autres définitions utilisées au niveau national aident les gouvernements à faire des choix en facilitant la

distinction entre les subventions qui faussent la répartition des ressources et celles qui répondent à un objectif

social ou économique défendable. Il ressort clairement du rapport qu"on ne peut pas dire a priori si les subventions sont un moyen efficace

d"atteindre certains objectifs de politique interne. Cela dépend en grande partie des circonstances particulières.

L"analyse économique montre en quoi une subvention peut être utile lorsque la répartition des ressources

par le marché n"est pas compatible avec les objectifs sociaux. À cet égard, la science économique apporte

une contribution importante car elle permet de comparer les coûts des ressources nécessaires à la poursuite

d"un objectif avec les avantages découlant de sa réalisation. L"analyse économique peut aussi indiquer si une

subvention est la meilleure solution possible.

Le rapport montre que les pouvoirs publics peuvent accorder des subventions pour diverses raisons, notamment

pour assurer le développement industriel, pour soutenir la création de savoir par la recherche-développement,

pour atteindre des objectifs de redistribution entre les membres de la société et pour protéger l"environnement.

Parfois, les pouvoirs publics ont recours aux subventions pour des raisons moins défendables ou, du moins,

pour des raisons qui risquent davantage de perturber les relations économiques entre les pays, par exemple

pour arracher un avantage stratégique à des partenaires commerciaux. Le recours aux subventions est

parfois justifié par des considérations qui n"ont qu"un lien indirect ou très lointain avec les considérations

économiques, comme le souci de préserver la sécurité nationale ou de protéger la diversité culturelle. La

science économique est alors d"un grand secours non pas tant pour juger de l"objectif que pour identifier les

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