FINANCE VERTE ET INCLUSIVE : DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE
DOCUMENT. DE RÉFLEXION la définition de politiques écologiques et montre à quel ... pays. Les pays émergents et en développement sont plus.
Evolutions récentes dans loffre et les stratégies de financement du
fondation FARM qui a organisé en décembre 2007 un colloque sur la microfinance pour l'agriculture des pays en développement2.
Diagnostic de croissance du Maroc – Analyse des contraintes à une
pays fournisseurs et qu'elle n'a pas encore produit les effets escomptés sur les exportations du Maroc. 1.1.3 Facilitation de l'accès aux financements.
Solutions mondiales partenariats internationaux - Rapport 2021 de
10 PANDÉMIE ET FINANCEMENT DU DÉVELOPPEMENT : QUELLES SONT LES INCIDENCES DU. COVID-19 SUR LE AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES POUR UN PAYS EN DÉVELOPPEMENT.
GCF: vers un système financier résilient face au changement
de pays en développement ne sont pas encore prêts à s'engager seuls dans le domaine de la Banque Nationale pour l'agriculture et le développement rural.
FINANCES & DÉVELOPPEMENT
3 jui. 2021 Rupa Duttagupta et Ceyla Pazarbasioglu économistes du FMI
Un guide pour la micro finance sensible au genre
Même si la microfinance est née dans les pays réflexion sur le développement durant cette période. ... Cadre 2.1 : Changement des rôles en Arménie.
RAPPORT DACTIVITÉS 2013
pliqué dans les réflexions sur le développement en milieu L'IRAM se compose d'une équipe salariée en France et dans plusieurs pays du Sud
Access for All (French)
Pauvres – Pays en voie de développement. 5. Microfinance – Politique gouvernementale – Pays en voie de développement. I. Banque mondiale. II. Titre. HG178.33.
rapport sur le commerce mondial - 2006
11 déc. 2005 Toutefois du fait de cette hausse
Quelle microfinance pour l’agriculture des pays en
banques agricoles ont joué très tôt un rôle majeur dans la modernisation de l’agriculture et la bancarisation des agriculteurs La microfinance peut offrir une partie de la réponse car elle possède le grand atout de la proximité qui repose souvent sur une approche mutualiste C’est d’ailleurs une
Quelle microfinance pour l’agriculture des pays en
• Évolutions récentes dans l’offre et les stratégies de financement de l’agriculture Cécile Lapenu CERISE/RFM (Comité d’Echanges de Réflexion et d’Information sur les Systèmes d’Epargne-crédit/ Réseau Français de la Microfinance) France • La microfinance répond-elle aux besoins des agriculteurs malgaches ?
Quelle microfinance pour l’agriculture des pays en
Quelle microfinance pour l’agriculture des pays en développement – Réflexion de l’Arménie - au niveau national une banque de plein exercice Elle établit la stratégie générale et coordonne les activités des réseaux
Politiques publiques de microfinance et financement de l
QUELLE MICROFINANCE POUR L’AGRICULTURE DES PAYS EN DEVELOPPEMENT ? POLITIQUES PUBLIQUES DE MICROFINANCE ET FINANCEMENT DE L’AGRICULTURE ENJEUX ET DEBATS Texte introductif à la plénière 3 : Quelles politiques publiques pour améliorer durablement la contribution de la microfinance à l’agriculture Document de travail François DOLIGEZ 1
Division Série Notes Évaluation de xPost - FinDev Gateway
Quelle microfinance pour l’agriculture des pays en développement ? Entre 2005 et 2007 la division Evaluation et capitalisation (EVA) a réalisé plusieurs missions d’évaluation rétrospective d’institutions de microfinance (IMF) exerçant en milieu urbain mais aussi en milieu rural Un accent particulier a été
![rapport sur le commerce mondial - 2006 rapport sur le commerce mondial - 2006](https://pdfprof.com/Listes/21/8146-21world_trade_report06_f.pdf.pdf.jpg)
organisation Mondiale du co MM erce rapport sur le commerce mondial 2006
rapport sur le commerce mondial
MEMBRES DE L"OMC
(11 décembre 2005) afrique du sud albanie allemagne angola antigua-et-Barbuda arabie saoudite argentine arménie australie autricheBahreïn, royaume de
Bangladesh
Barbade
Belgique
Belize
Bénin
Bolivie
Botswana
Brésil
Brunéi darussalam
Bulgarie
Burkina Faso
Burundi
cambodge cameroun canada chili chine chypre colombie communautés européennes congo corée, république de costa rica côte d'ivoire croatie cuba danemark djibouti dominique egypte el salvador emirats arabes unis equateur espagne estonieÉtats-unis d'amérique
ex-république yougoslave de Macédoine (erYM) FidjiFinlande
France
gabon gambie géorgie ghana grèce grenade guatemala guinée guinée-Bissau guyanaHaïti
Honduras
Hong Kong, chine
Hongrie
iles salomon inde indonésie irlande islande israël italieJamaïque
JaponJordanie
KenyaKoweït
lesotho lettonie liechtenstein lituanie luxembourgMacao, chine
Madagascar
Malaisie
Malawi
Maldives
Mali Malte MarocMaurice
Mauritanie
Mexique
Moldova
Mongolie
Mozambique
Myanmar
namibie népal nicaragua niger nigéria norvège nouvelle-Zélande oman ougandaPakistan
Panama
Papouasie-nouvelle-guinée
Paraguay
Pays-Bas
Pérou
Philippines
Pologne
Portugal
Qatar république centrafricaine république démocratique du congo république dominicaine république kirghize république slovaque république tchèque roumanie royaume-uni rwanda sainte-lucie saint-Kitts-et-nevis saint-Vincent-et-les-grenadines sénégal sierra leone singapour slovénie sri lanka suède suisse suriname swaziland taipei chinois tanzanie tchad thaïlande togo trinité-et-tobago tunisie turquie uruguayVenezuela (république bolivarienne du)
Zambie
Zimbabwe
ce rapport est également disponible en anglais et en espagnol (Prix: cHF 60.00)Pour l'achat, prière de contacter:
Publications de l'oMc
organisation mondiale du commerce154, rue de lausanne
cH-1211 genève 21 téléphone: (41 22) 739 52 08 isBn 92-870-3353-6 télécopie: (41 22) 739 54 58 imprimé en suisse email: publications@wto.org© organisation mondiale du commerce 2006
PUBLICATIONS PRÉCEDENTES DU RAPPORT SUR LE COMMERCE MONDIAL 2003dossier spécial: commerce et développement le rôle du commerce et de la politique commerciale dans le processus de développement le Programme de doha pour le développement essais thématiques: Quelques caractéristiques de l'évolution du commerce sud-sud entre 1990 et 2001
Prix des produits primaires hors combustibles
accords commerciaux régionaux 2004dossier spécial: cohérence essais thématiques: les préférences non réciproques et le système commercial multilatéral
la libéralisation du commerce des services effectué au moyen du mouvement temporaire de personnes physiques
indications géographiques 2005dossier spécial: les normes commerciales et l'oMc essais thématiques: l'économie quantitative dans le réglement des différends à l'oMc
le commerce international des services de transport aérien: évolution récente et questions de politique
les délocalisations de services: évolution récente et perspectives 2006raPPort sur le coMMerce Mondial analyse des liens entre les subventions, le commerce et l'oMc
AVANT-PROPOS
RAPPORT SUR LE COMMERCE MONDIAL 2006
iii aVant-ProPosLe Rapport sur le commerce mondial 2006 est le quatrième de cette série qui a commencé à paraître en
2002. Comme les précédents rapports, il aborde une question de politique commerciale qui est d"actualité.
Cette année, nous avons choisi comme thème les subventions. Notre objectif est d"aider à mieux comprendre
les questions de politique commerciale complexes auxquelles les gouvernements sont confrontés. Le présent
rapport a pour but non pas tant de formuler des prescriptions, que d"inviter à une réflexion approfondie.
Il s"adresse non seulement aux décideurs mais aussi au public qu"ils représentent ainsi qu"aux personnes et
aux organisations qui cherchent activement à influencer les politiques gouvernementales. Outre le thème
central, le rapport examine brièvement les tendances récentes du commerce et analyse certaines de leurs
caractéristiques les plus marquantes ou tel ou tel aspect particulier du commerce. Cette année, le rapport
passe en revue le commerce des textiles et des vêtements, les flux internationaux de recettes et de paiements
au titre des redevances et des droits de licence, les tendances du commerce des pays les moins avancés et les
effets des catastrophes naturelles et des actes terroristes sur les courants d"échanges internationaux.
Considérant tout d"abord l"évolution du commerce en 2005, on constate que le commerce total des
marchandises a augmenté de 6,5 pour cent en termes réels, contre une augmentation de 9 pour cent en
2004. Le chiffre de 2005 est néanmoins supérieur au taux de croissance moyen de la dernière décennie, qui
était d"un peu moins de 6 pour cent. La scène commerciale a été marquée, l"an dernier, par la hausse des
prix de nombreux produits de base, en particulier du pétrole, tendance qui persiste encore aujourd"hui. Les
conséquences de cette hausse varient considérablement entre les pays développés ou en développement, selon
qu"ils produisent ou non des produits de base. Toutefois, du fait de cette hausse, les pays en développement
en tant que groupe ont vu leur part du commerce mondial atteindre un niveau inégalé depuis plus de 50
ans.Le dynamisme soutenu des exportations de marchandises de la Chine (en valeur) est un autre facteur qui a
contribué aux bons résultats commerciaux des pays en développement.La suppression, au début de 2005, des restrictions contingentaires applicables aux textiles et aux vêtements ne
semble pas avoir eu, jusqu"à présent, une incidence majeure sur la demande ou sur les conditions du marché
intérieur chez les principaux importateurs - les États-Unis et l"UE. Par contre, ce qui a sensiblement changé,
c"est la répartition des parts de marché entre les pays exportateurs. La Chine et l"Inde, ainsi que plusieurs
autres exportateurs relativement récents, comme la Jordanie et le Pérou, ont accru leur part de marché, tandis
que d"autres pays qui bénéficiaient auparavant d"un accès préférentiel aux marchés grâce aux contingents ont
vu leur part diminuer. Comme les contingents ont été supprimés, il y a à peine plus d"un an, on ne saurait
être trop catégorique quant à l"évolution future de la situation. L"analyse est compliquée par la réintroduction
de restrictions visant les exportations de la Chine. Dans l"ensemble, la nouvelle situation soulève un certain
nombre de questions relatives au développement qui méritent un examen plus approfondi.Le bref examen des changements observés dans les flux internationaux de recettes et de paiements au titre
des redevances et des droits de licence donne une indication approximative - qui est loin d"être parfaite
- des tendances de l"investissement et de la production dans le secteur de la haute technologie. Certains des
résultats obtenus n"ont rien d"étonnant. Les pays développés occupent toujours une place prépondérante dans
les transactions dans les deux sens, mais on constate que la part des paiements au titre des redevances et des
droits de licence effectués par plusieurs pays asiatiques est en augmentation.Les résultats commerciaux des pays les moins avancés (PMA) se sont globalement améliorés par rapport à ces
dernières années, mais l"augmentation de leur part du commerce mondial, qui était très faible au départ, est
encore bien inférieure à 1 pour cent. En outre, on voit que les résultats sont assez variables selon les PMA,
certains exportateurs de produits de base s"en sortant fort bien. Deux PMA sont à eux seuls à l"origine de
35pour cent des exportations totales du groupe, alors que 13 autres PMA en représentent moins de 1 pour
cent. Des progrès ont été faits à la Conférence ministérielle de Hong Kong où les PMA ont obtenu l"accès
aux marchés en franchise de droits et sans contingent pour au moins 97 pour cent de leurs exportations. En
outre, les PMA seront parmi les bénéficiaires de l"initiative Aide pour le commerce, dont la mise au point
progresse.AVANT-PROPOS
RAPPORT SUR LE COMMERCE MONDIAL 2006
ivLe dernier des courts essais thématiques figurant dans le chapitre I du rapport, qui examine les effets sur
le commerce des catastrophes naturelles et des actes terroristes indique que, si ces événements causent de
terribles souffrances humaines et ont inévitablement des effets sur le commerce, bien souvent, ces effets
sont globalement limités. Certaines branches d"activité sont plus durement touchées que d"autres même si
le renforcement des mesures de sécurité et des restrictions par crainte des risques de terrorisme entraîne
une augmentation des coûts de transaction qui peut avoir des répercussions sectorielles plus larges. Les
gouvernements continuent de chercher des moyens de réduire ces coûts autant que possible.Pour ce qui est du thème central du rapport, les subventions, de nombreux éléments d"information ont été
réunis. Comment définir les subventions ? Qu"est-ce que la théorie économique peut nous apprendre à leur
sujet? Pourquoi et dans quels secteurs les pouvoirs publics ont-ils recours à des subventions ? Quel rôle
l"Accord sur l"OMC joue-t-il dans la réglementation des subventions dans le cadre du commerce international ?
Le rapport tente de répondre à ces questions.Il n"est pas aisé de définir une subvention. La définition la plus étroite se limiterait aux dépenses budgétaires,
alors que la plus large pourrait inclure presque toutes les mesures gouvernementales ayant pour effet de
modifier les conditions du marché. L"OMC, notamment dans l"Accord sur les subventions et les mesures
compensatoires, adopte une approche qui vise à assurer des chances égales à toutes les entreprises lorsque
les pouvoirs publics accordent un soutien financier. Le rapport examine dans quelle mesure cette définition
et les autres définitions utilisées au niveau national aident les gouvernements à faire des choix en facilitant la
distinction entre les subventions qui faussent la répartition des ressources et celles qui répondent à un objectif
social ou économique défendable. Il ressort clairement du rapport qu"on ne peut pas dire a priori si les subventions sont un moyen efficaced"atteindre certains objectifs de politique interne. Cela dépend en grande partie des circonstances particulières.
L"analyse économique montre en quoi une subvention peut être utile lorsque la répartition des ressources
par le marché n"est pas compatible avec les objectifs sociaux. À cet égard, la science économique apporte
une contribution importante car elle permet de comparer les coûts des ressources nécessaires à la poursuite
d"un objectif avec les avantages découlant de sa réalisation. L"analyse économique peut aussi indiquer si une
subvention est la meilleure solution possible.Le rapport montre que les pouvoirs publics peuvent accorder des subventions pour diverses raisons, notamment
pour assurer le développement industriel, pour soutenir la création de savoir par la recherche-développement,
pour atteindre des objectifs de redistribution entre les membres de la société et pour protéger l"environnement.
Parfois, les pouvoirs publics ont recours aux subventions pour des raisons moins défendables ou, du moins,
pour des raisons qui risquent davantage de perturber les relations économiques entre les pays, par exemple
pour arracher un avantage stratégique à des partenaires commerciaux. Le recours aux subventions est
parfois justifié par des considérations qui n"ont qu"un lien indirect ou très lointain avec les considérations
économiques, comme le souci de préserver la sécurité nationale ou de protéger la diversité culturelle. La
science économique est alors d"un grand secours non pas tant pour juger de l"objectif que pour identifier les
meilleurs moyens de l"atteindre.quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] RÈGLE 39 OFFRE DE RÈGLEMENT AMIABLE
[PDF] Retour d expérience. Agile dans un contexte traditionnel? Nicolas De Loof. 7 Octobre 2010
[PDF] Inspection académique du Loiret Rédaction du projet d école Boîte à outils. Page 1 : Contrat d objectifs
[PDF] PROGRAMME DE MENTORAT DES CHERCHEURS
[PDF] Contexte. Une gouvernance originale pour un projet de covoiturage collectif
[PDF] Brochure d information cybersurveillance
[PDF] CRÉDIT AGRICOLE ASSURANCES
[PDF] Programme de mentorat
[PDF] Evaluation des propositions sur les micro-entreprises
[PDF] COUR DE CASSATION R E P U B L I Q U E F R A N C A I S E. Audience publique du 6 octobre 2011 Cassation sans renvoi M. CHARRUAULT, président
[PDF] Le Crédit Agricole et le Financement de l Agriculture
[PDF] Protocole d Aide au Permis de Conduire
[PDF] VACATAIRE ENSEIGNANT 2015-2016
[PDF] Nous parlons de tout. Aussi de santé et de maladies psychiques. Informations et conseils pour en parler