Guerre de 1939-1945. Archives du Comité dhistoire de la Deuxième
Cartes de la souffrance et de l'action : pièces générales. État des unités : correspondance de militaires allemands carnets de notes de soldats.
INVENTAIRE DES ARCHIVES
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Rapports de gendarmerie et des procureurs généraux
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![Rapports de gendarmerie et des procureurs généraux Rapports de gendarmerie et des procureurs généraux](https://pdfprof.com/Listes/18/8166-18BB18_crimes.pdf.pdf.jpg)
CENTRE HISTORIQUE DES ARCHIVES NATIONALESRapports de gendarmerieet des procureurs générauxInventaire détaillé des dossiers92A, 93A et 107A contenus dansle groupe BB18 1836 à 25302
par Danis HABIB2 0 0 3 Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) page 2 SommairepagesIntroduction ......................................................3 Avertissement ...................................................7 Abréviations ......................................................7 État sommaire .................................................8Annexes .............................................................(ressorts des cours d'appel et des corps d'armée ;
reproductions de deux rapports de gendarmerie)9Inventaire ..........................................................10Index ...................................................................149
Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) page 3 Introductione présent inventaire analyse les rapports rédigés par la gendarmerie et par les procureurs généraux sur les crimes commis, ainsi que sur les incendies déclarés dans leur ressort respectif entre 1891 et 1914.Ces rapports sont contenus dans les articles BB/18 suivants : 1836, 1837, 1873, 1874, 1921,1922, 1958, 1959, 1990, 2021, 2050, 2077, 2108, 2109/1, 2141, 2143,
2177, 2178, 2208, 2211, 2238, 2239/1, 2265, 2267, 2289, 2322/1, 2323,
2347/1, 2348, 2369, 2371, 2398, 2423, 2427/1, 2448, 2450, 2476/2, 2477,
2507/1, 2530/2.CUne procédure criminelle, lorsqu'elle arrive à son terme, génère une masse considérable de
documents, dont celles produites avant que l'action en justice n'ait été déclenchée 1. Au terme du
procès et quelle que soit la décision rendue, ces pièces antécédentes sont versées dans le dossier
de procédure 2. Semblables pièces avaient été adressées (lors de l'enquête préliminaire) par la
gendarmerie, au ministre de l'Intérieur, à la préfecture et aux procureurs généraux. Ces derniers y
apportaient des informations complémentaires et les transmettaient au ministère de la Justice.Ce sont essentiellement ces pièces qui font l'objet du présent inventaire.Argument de l'inventaireLorsque pour son domaine de recherche, le spécialiste de l'archive judiciaire, ayant épuisé
toutes les sources mises à sa disposition, sera tenté de prospecter vers d'autres fonds, son centre
d'intérêt se portera progressivement vers des ensembles documentaires non encore inventoriés et
susceptibles, selon lui, de lui apporter de nouvelles informations. L'absence d'inventairesappropriés et détaillés ne découragera nullement ce spécialiste, qui pourra dépouiller, pour autant
que le temps lui permette, un ensemble de documents de plus en plus précis afin de repérerrapidement l'élément qui lui sera nécessaire pour son sujet de recherche. Les rapports contenus
dans les cartons BB/18 précités en font partie.De fait, la nécessité et le souci d'en préserver la conservation et d'éviter les
communications inutiles en salle de lecture ont été l'argument principal pour l'élaboration de cet
inventaire. Pour autant, l'intérêt historique de ce groupe documentaire n'est pas à négliger eu
égard à la pertinence des informations contenues dans ces rapports.1 Rappelons très brièvement les quatre phases habituelles d'un procès pénal : les enquêtes (de la police
judiciaire) préludent à l'action publique (le déclenchement d'un procès), suivent alors la phase de
l'instruction (ou la préparation du procès) et celle du jugement (la fin du procès). Parmi les pièces
antécédentes produites avant la chose jugée, on peut citer les procès-verbaux de constat du crime ou du délit,
les procès-verbaux d'enquête préliminaire, les mandats d'arrêt, les mandats de dépôt, les rapports sur les
recherches entreprises par les officiers de police judiciaire ou par la gendarmerie, lorsque celle-ci exerce les
fonctions d'officier de police judiciaire, pour retrouver les auteurs d'une infraction et les conditions dans
lesquelles elle a été commise. Selon les résultats, seront dressés des procès-verbaux d'arrestation ou des
procès-verbaux de recherches infructueuses, des états de pièces à conviction, des états de frais, des
commissions rogatoires, des télégrammes adressés au parquet, les lettres de convocation, etc.2 Qui contient (selon les tribunaux) : des pièces de forme (les formalités avant l'action publique), les pièces de
renseignement (sur l'inculpé), les pièces d'information (produites, pour une partie, par le parquet dans le but
de rassembler tous les éléments nécessaires à la manifestation de la vérité afin que le tribunal ou la cour
puisse juger en connaissance de cause). Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) page 4Contenu des rapportsLes rapports analysés dans cet inventaire ne constituent pas un fonds homogène puisque
nous avons opéré un choix délibéré. Ne sont décrits que les rapports de gendarmerie et de
procureurs généraux intéressants les crimes et les incendies et conservés dans la série
chronologique BB/18 1836 à 2530/2 (années 1891 à 1914) sous la rubrique " affaires générales »3.
Ces rapports sont classés, pour les premiers, par date ou par corps d'armée, et pour les seconds par
cours d'appel. Au même titre que les rapports d'expert, ceux analysés ci-dessous sont des éléments
de base d'un dossier de procédure ou de la cause lorsque celle-ci est amenée à l'audience.Les rapports de la gendarmerie, extrêmement synthétiques, traduisent le caractère rituel
administratif, alors que ceux des procureurs généraux, organisés par cour d'appel, s'inscrivent dans
la droite lignée de l'appareil judiciaire.Rapports de gendarmerieFort nombreux avant 1903 (de BB/18/1836 à BB/18/2239/1) et de forme invariable 4, ces
rapports témoignent de l'activité de la gendarmerie. Aux termes du décret du 1er mars 1854 portant
règlement sur l'organisation et le service de la gendarmerie 5, celle-ci, bien que faisant partie de
l'armée, intègre le ministère de la Justice dans ses attributions pour ce qui est relatif à l'exercice
de la police judiciaire et à l'exécution des mandements de justice (art. 86-87, 238 et suivants). À
cet égard, selon les termes du même décret, la gendarmerie est tenue d'adresser des rapports
périodiques aux ministères (art. 76) ; elle a également pour objet de rechercher les crimes, délits
et contraventions, d'en rassembler les preuves et d'en livrer les auteurs aux tribunaux chargés de
les punir pour les événements tels que les vols avec effraction, les incendies, les inondations, les
assassinats, les attaques de voitures (ou de convois de deniers de l'État ou de munitions de guerre),
les émeutes populaires, les découvertes d'ateliers et instruments servant à fabriquer la fausse
monnaie, etc. (art. 77). De légères modifications (notamment en matière de flagrant délit et de
contrainte par corps) sont apportées par la loi du 20 mai 1903 qui abroge celle du 1er mars 1854 6.
Les rapports de gendarmerie sont adressés directement par les chefs de légion au ministrede l'Intérieur ainsi qu'aux procureurs généraux. Ceux-ci les complètent par des pièces
d'information (voir note 2) ou par des pièces annexes (journaux relatant les faits incriminés,affiches, correspondances diverses, etc.) et les communiquent à leur ministère de tutelle.Rapports des procureurs générauxÀ l'inverse de ceux de la gendarmerie, les " rapports » des procureurs généraux découlent
de l'activité du parquet et n'obéissent à aucune norme définie par une circulaire quelconque. De
fait, le terme " rapport » est assez impropre. Nous lui substituerons celui de " dossier ». Les
éléments contenus dans ces dossiers sont très variables. Souvent réduits à une ou deux pièces
(parfois ne subsiste que la chemise), certains dossiers n'offrent aucun intérêt scientifique. D'autres,
en revanche, apportent de riches renseignements et de surprenantes informations complémentaires aux dossiers relatifs aux affaires criminelles conservés dans la sous-série BB/18 des Archivesnationales (les dossiers d'instruction des affaires sont conservés dans les dépôts des Archives
départementales). Le " dossier » que le procureur général adresse à la Chancellerie, contient, outre
le rapport du gendarme ayant constaté le crime ou le délit, des pièces telles que des journaux ou
des décisions de justice. D'autres pièces (rajoutées par la Chancellerie) complètent celui-ci. Il
s'agit des dossiers cotés A (division criminelle), B (division civile), BL (dossier " thématique »), CR
(commission rogatoire), S (dossiers de recours en grâce), etc., plus surprenantes sont des demandes
en révision ou en réhabilitation (demandes tardives puisque celles-ci ne peuvent être faites que 5
ans après une condamnation) ou encore des dossiers de procédure ou d'instruction qui avaient été
demandés au parquet par le procureur général ou par le juge d'instruction pour un complément
3 Chaque dossier de cette série chronologique comporte dans sa cote la lettre A précédée d'un numéro d'ordre
(de 1 à l'infini) et suivie des deux derniers chiffres du millésime. Les " affaires générales » portent les numéros
1 à 200 (exemple : 95 A 98 concerne les accidents de chemin de fer pour l'année 1895, etc., pour plus de
détails sur ces numéros, voir Guide des archives judiciaires et pénitentiaires (1800-1958), Jean-Claude FARCY,
CNRS éditions, 1992, pages 1119-1128). Les rapports de gendarmerie et de procureurs généraux portent les
numéros suivants : 92 A pour les crimes et délits commis en France métropolitaine ; 93 A pour ceux commis en
Algérie ; 107 A pour les incendies déclarés en France ou en Algérie.4 Voir annexes aux pages 9-11.5 Bulletin des lois, partie principale, 1er semestre de 1854, 11e série, tome 3, pages 695-834.6 Bulletin des lois, partie principale, 2e semestre de 1903, 12e série, tome 67, pages 33-108.
Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) page 5 d'information, et qui n'ont pas été rendus. Habituellement conservés aux Archivesdépartementales, ces dossiers se retrouvent ainsi à la Chancellerie.À partir de 1903, sauf exception, les rapports de gendarmerie se raréfient7, et les
procureurs généraux rendent directement compte à la Chancellerie des crimes et délits commis
dans leur ressort. Il ne fait aucun doute alors que certaines affaires (supposées plus graves et par
conséquent plus médiatiques : affaires de la bande à Bonnot ou celle dite de la bande tragique,
assassinat du député Jean Jaurès par Raoul Villain en 1914, etc.), soient mieux représentées que
d'autres. Ainsi, à l'exception de l'Algérie, les rapports sur les incendies ont été systématiquement
négligés. Toujours à partir de cette année, la nature des " rapports » des procureurs généraux
portent sur la pratique des juges d'instruction à rendre des procédures de non-lieu ou sur dessouhaits (de particuliers) à rouvrir une information judiciaire close par une ordonnance de non-lieu,
sur de brefs renseignements concernant le rôle des assises (dates des mises au rôle, dates des arrêts, types de jugements, etc.) ou sur de nombreuses interventions de la Ligue des droits del'homme, etc.Si de nombreux dossiers ne permettent aucune étude de fond sur une affaire particulière,
d'autres autorisent beaucoup d'espoir dans des domaines de recherche spécialisée ou de recherches
individuelles.Intérêt de ce groupe documentairePour l'étude des archivesCette masse de rapports de 1891 à 1914 complète et prolonge d'autres fonds : les registres
des enregistrements des crimes et délits conservés aux Archives départementales ignorent souvent
les affaires classées sans suite pour cause d'auteur inconnu ou en fuite ou décédé ou encore
suicidé, etc., et peuvent être ainsi complétés par ce groupe documentaire. De même que les
rapports (et les procès-verbaux) de gendarmerie des séries M (administration générale etéconomie), U (Justice) 8 et Z (sous-préfectures) trouveront un écho à ceux analysés dans cet
inventaire.Au CHAN, les sous-séries F/7 (Police générale) 9, BB/18/6048 et 6049 (incidents auxquels se
trouvent mêlés des gendarmes, [1864]-1930)), BB/18/6586 et 6587 (rapports de la gendarmerie avec les parquets, [1820]-1930), BB/19/7, 8, 29-36 (incendies en 1846), BB/30/258 (incendies en1822-1823) et BB/30/947-949 (rapports des PG sur les délits anarchistes en 1895), etc. 10, devront
absolument être compétées par les rapports de cet inventaire.Pour l'étude de la procédure criminelleLe code d'instruction criminelle de 1808 (par rapport à celui de 1791) se distingue par sa
sévérité à l'égard de la personne poursuivie. La détention " préventive » de celle-ci, selon les
termes de ce code, pouvait être illimitée jusqu'à la fin du procès. La loi du 14 juillet 1865 élargit
quelque peu le champ de la liberté provisoire. Mais il a fallu attendre la promulgation de la célèbre
loi du 8 décembre 1897 11, dite loi Constans, pour qu'un défenseur puisse assister son client lors des
interrogatoires, et ce, dès sa première comparution devant le juge d'instruction. Cette loi renforça
également les formalités à remplir au cours de l'instruction. Cependant, si les droits de la personne
poursuivie furent renforcées, les initiatives procédurales de cette loi bouleversèrent le rôle du
7 Incidence due à l'application de la loi du 20 mai 1903 portant règlement sur l'organisation et le service de la
gendarmerie ? Ou tout simplement destruction réglementée de ces rapports ? Nous n'avons aucune explication.8 Voir détails par départements dans Guide des archives judiciaires et pénitentiaires (1800-1958), Jean-Claude
FARCY, CNRS éditions, 1992, pages 385-1069.9 Voir F7, Police générale, rép. num. détaillé, par Bertrand JOLY et Christèle NOULET, à paraître.10 Pour de plus amples développements, voir De la Justice de la Nation à la Justice de l'État français, guide
des fonds judiciaires (...), 1789-1940, par Ségolène DE DAINVILLE-BARBICHE, CHAN, 2003, sous presse.11 Bulletin des lois, partie principale, 2e semestre de 1897, 12e série, tome 55, pages 1777-1779.
Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) page 6ministère public et des problèmes liés à l'application de cette loi commencèrent à se faire sentir.
En effet, les juges d'instruction, pour éviter la présence de l'avocat, mettent en cause lesinsuffisances de la loi et multiplient les interventions auprès de la Chancellerie, à effet, sinon de la
réformer, du moins d'y apporter des modifications. Les cartons BB/18/2108 et suivants (voirégalement dans BB/18/6153/1), illustrent les problèmes posés par l'application de cette loi du 8
décembre 1897 souvent évoquée mais rarement étudiée 12.Pour l'étude des crimesLes rapports de la gendarmerie (beaucoup plus que ceux des PG), par le détail des
renseignements (sur les auteurs des crimes, sur les victimes, sur leurs activités respectives, sur les
lieux géographiques, etc.) fourniront une donnée très précise ou compléteront une monographie
d'un crime. Certes, il ne s'agit pas d'y trouver de l'extraordinaire comme dans les dossiers deprocédure, mais plus pragmatiquement une analyse synthétique susceptible d'éclairer une lecture
du crime par le tragique, par le sordide (viols d'enfants, infanticide) ou par le macabre (découverte
de cadavre), etc. Les études générales d'un type de crime (parricide, infanticide, etc.) ou l'étude
de type de déviance (attentats à la pudeur, crimes passionnels, etc.), ainsi que l'étude des
catégories de criminels liée à leur " spécificité » (femmes=infanticides, avortement ;
hommes=viols ; ouvriers=rixes, violences familiales, etc.) pourront être complétés par ces rapports.
Les troubles dans des lieux publics, les rixes sanglantes ou non, les charivaris, les attaques de courriers publiques ou de voitures particulières, le banditisme, les attentats anarchistes, lesincidents survenants dans des lieux sacrés, des délits commis par des braconniers, la fabrication et
l'émission de fausse monnaie, etc., peuvent donner lieux à de passionnantes analyses sur lesfacteurs de la criminalité (éléments à compléter évidemment par des sources des Archives
départementales).Pour l'étude des incendiaires et des conséquences des incendiesSi de rapports similaires se trouvent dans les cartons BB/19/7, 8, 29-36 (incendies en 1846),
BB/30/258 (incendies en 1822-1823), ceux de la gendarmerie ainsi que ceux des PG (dans unemoindre mesure) analysés ici donneront des renseignements très utiles sur les victimes, sur les
assurances, sur les activités respectives, sur les lieux géographiques, etc. Ils fourniront également
un apport non négligeable pour l'histoire de l'environnement (incendies des forêts par exemple) ou
pour l'histoire des assurances.Pour l'histoire localeL'intérêt des documents de ce groupe documentaire dépasse largement le cadre de
l'histoire judiciaire " spécialisée » puisque des chercheurs " pluridisciplinaires », s'intéressant à
toute type d'archive pourvu qu'ils dénichent le nom d'une " personnalité » locale ou un fait divers
ayant pour cadre leur commune, y trouveront des pistes singulières pour la rédaction de leursmonographies territoriales ou pour compléter leur généalogie.Enfin, on notera l'intérêt de ces documents pour l'étude des pillages commis par des
indigènes en Algérie ou celle du banditisme en Corse (documentation plus fragmentaire à compléter
par d'autres sources).RemerciementsMesdames Ségolène DE DAINVILLE-BARBICHE et Yvette LEBRIGAND, qui ont accepté l'idée de cet
inventaire ; monsieur Patrick LAHARIE, pour avoir mis à ma disposition son logiciel informatiqued'élaboration d'index.D. H., mars 2003.12 À l'exception de quelques articles dont : Liberté de la défense et loi française du 8 décembre 1897, par
Marie-Renée SANTTUCCI, actes du colloque d'Anvers des 27-30 mai 1993, in Société d'histoire du droit, Bruxelles,
1995, pages 253-270. On trouvera également sur la toile internet, sous les signatures de Jean-François CHASSAING,
de l'Université Paris X, ou de Xavier MOREZ, de l'Université Lyon III, des condensés d'articles sur la place de la
victime dans un procès pénal ou sur des initiatives procédurales des parquets au XIXe siècle.
Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) page 7AvertissementEn raison de leur état matériel, les rapports et les dossiers analysés dans ce présent
inventaire ne sont communicables que selon la procédure dite par extraits : se renseigner auprès du
président de la salle de lecture.Abréviationsanc. : anciennementarr. : arrondissementauj. : aujourd'huicant. : cantoncom. : communedép. : départementimp. : imprimerie ou imprimép. : pièces ou pagesPG : procureur généralQG : quartier généralRI : régiment d'infanteries. d. : sans date
Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) page 8 État sommaireBB18 1836. Année 1891, notices1-451.BB18 1837. Année 1891, notices452-637.BB18 1873. Année 1892, notices
638-666.BB18 1874. Année 1892, notices
667-811.BB18 1921. Année 1893, notices
812-1326.BB18 1922. Année 1893, notices
1327-1536.BB18 1958. Année 1894, notices
1537-1950.BB18 1959. Année 1894, notices
1951-2093.BB18 1990. Année 1895, notices
2094-2200.BB18 2021. Année 1896, notices
2201-2284.BB18 2050. Année 1897, notices
2285-2387.BB18 2077. Année 1898, notices
2388-2474.BB18 2108. Année 1899, notices
2475-2532.BB18 21091. Année 1899, notices
2533-2568.BB18 2141. Année 1900, notices
2569-2671.BB18 2143. Année 1900, notices
2672-2716.BB18 2177. Année 1901, notices
2717-2769.BB18 2178. Année 1901, notices
2770-2786.BB18 2208. Année 1902, notices
2787-2815.BB18 2211. Année 1902, notices
2816-2823.BB18 2238. Année 1903, notices
2824-2873.BB18 22391. Année 1903, notices
2874-2885.BB18 2265. Année 1904, notices
2886-2981.BB18 2267. Année 1904, notices
2982-2988.BB18 22891 et 2. Année 1905,
notices 2989-3046.BB18 23221. Année 1906, notices3047-3089.BB18 2323. Année 1906, notices
3090-3101.BB18 23471. Année 1907, notices
3102-3147.BB18 2348. Année 1907, notices
3148-3157.BB18 2369. Année 1908, notices
3158-3183.BB18 2371. Année 1908, notices
3184-3195.BB18 23981 et 2. Année 1909,
notices 3196-3224.BB18 2423. Année 1910, notices3225-3240.BB18 24271. Année 1910, notices
3241-3244.BB18 2448. Année 1911, notices
3245-3270.BB18 2450. Année 1911, notices
3271-3283.BB18 24762. Année 1912, notices
3284-3286.BB18 2477. Année 1912, notice
3287.BB18 25071. Année 1913, notice
3288.BB18 25302. Année 1914, notices
3289 et 3290.
Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) pageAnnexesRessort des cours d'appelAgen : Gers, Lot, Lot-et-GaronneAix : Basses-Alpes, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, VarAlger : Alger, Constantine, OranAmiens : Aisne, Oise, SommeAngers : Maine-et-Loire, Mayenne, SartheBastia : CorseBesançon : Doubs, Jura, Haute-Saône, Territoire de BelfortBordeaux : Charente, Dordogne, GirondeBourges : Cher, Indre, NièvreCaen : Calvados, Manche, OrneChambéry : Savoie, Haute-SavoieColmar : Bas-Rhin, Haut-RhinDijon : Côte-d'Or, Haute-Marne, Saône-et-LoireDouai : Nord, Pas-de-CalaisGrenoble : Hautes-Alpes, Drôme, IsèreLimoges : Corrèze, Creuse, Haute-VienneLyon : Ain, Loire, RhôneMontpellier : Aude, Aveyron, Hérault, Pyrénées-OrientalesNancy : Ardennes, Meurthe-et-Moselle, Meuse, VosgesNîmes : Ardèche, Gard, Lozère, VaucluseOrléans : Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, LoiretParis : Aube, Eure-et-Loir, Marne, Seine, Seine-et-Marne, Seine-et-Oise, YonnePau : Landes, Basses-Pyrénées, Hautes-PyrénéesPoitiers : Charente-Inférieure, Deux-Sèvres, Vendée, VienneRennes : Côtes-du-Nord, Finistère, Ille-et-Vilaine, Loire-Inférieure, MorbihanRiom : Allier, Cantal, Haute-Loire, Puy-de-DômeRouen : Eure, Seine-InférieureToulouse : Ariège, Haute-Garonne, Tarn, Tarn-et-GaronneRessort des corps d'arméeGouvernement militaire de Paris : Paris, Seine-et-Oise1er corps d'armée (QG à Lille) : Nord, Pas-de-Calais2e corps d'armée (QG à Amiens) : Aisne, Oise, Somme3e corps d'armée (QG à Rouen) : Calvados, Eure, Seine-Inférieure4e corps d'armée (QG au Mans) : Eure-et-Loir, Mayenne, Orne, Sarthe5e corps d'armée (QG à Orléans) : Loiret, Loir-et-Cher, Seine-et-Marne, Yonne6e corps d'armée (QG à Châlons-sur-Marne) : Ardennes, Marne, Meurthe-et-Moselle, Meuse7e corps d'armée (QG à Besançon) : Ain, Doubs, Haute-Marne8e corps d'armée (QG à Bourges) : Cher, Côte-d'Or, Nièvre, Saône-et-Loire9e corps d'armée (QG à Tours) : Maine-et-Loire, Indre-et-Loire, Indre, Deux-Sèvres, Vienne10e corps d'armée (QG à Rennes) : Côtes-du-Nord, Manche, Ille-et-Vilaine11e corps d'armée (QG à Nantes) : Finistère, Loire-Inférieure, Morbihan, Vendée12e corps d'armée (QG à Limoges) : Charente, Corrèze, Creuse, Dordogne, Haute-Vienne13e corps d'armée (QG à Clermont-Ferrand) : Allier, Loire, Puy-de-Dôme, Haute-Loire, Cantal14e corps d'armée (QG à Lyon) : Hautes-Alpes, Drôme, Isère, Savoie, Haute-Savoie, Basses-Alpes15e corps d'armée (QG à Marseille) : Basses-Alpes (en partie), Alpes-Maritimes, Ardèche, Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Var, Vaucluse16e corps d'armée (QG à Montpellier) : Aude, Aveyron, Hérault, Lozère, Tarn, Pyrénées-Orientales17e corps d'armée (QG à Toulouse) : Ariège, Haute-Garonne, Gers, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne18e corps d'armée (QG à Bordeaux) : Charente-Inférieure, Gironde, Landes, Basses-Pyrénées,
Hautes-Pyrénées19e corps d'armée (QG à Alger) : Alger, Oran, Constantine9 Crimes et incendies en France et en Algérie (1891-1914) page InventaireBB 18 1836Dossiers 92 A 91, rapports des procureurs généraux sur les crimescommis dans leur ressort, classement par cours d'appel, 1891.Cour d'Amiens.1.Assassinat à Cuiry-lès-Chaudardes (Aisne), de Pierre-Julien Schégia, par Émile [-Isidore] Colcy,
son gendre, 19 février 1891, 1 pièce.2.Assassinat à Buironfosse (Aisne), de Victoire Hennechart, veuve Alavoine, 23 novembre 1891,
1 pièce.3.Découverte dans un étang, à Saint-Just-en-Chaussée (Oise), du cadavre d'une femme, 1er
décembre 1891, 1 pièce.Cour de Bastia.4.Vendetta en Corse dans laquelle Bernadini aurait été assassiné par trois notables du pays, les
nommés Paoli, Bartoli et Durazzo. Chemise vide, une note indique " voir au dossier 3377A91 ».Cour de Besançon.5.Assassinat de Rosalie Lamboley, veuve Chevalme, le 20 février 1891, à Aillevillers-et-Lyaumont
(Haute-Saône), 4 mars 1891, 1 pièce.Cour de Bordeaux.6.Assassinat d'Orthequiet, avocat stagiaire à Confolens (Charente), par Laroche, employé de
commerce à Bordeaux, 12 et 16 janvier 1891, 2 pièces.7.Tentative d'assassinat par Philémon Pierre et Anne Joubert, femme Lévandier, sur un groupe de
jeunes gens de Corgnac-sur-l'Isle (Dordogne), 27 février 1891, 1 pièce.8.Tentative d'assassinat, par Paulin Laviale, sur François Lagorce, propriétaire à Chaux-Savignac-Lédrier (Dordogne), 27 février 1891, 1 pièce.9.Assassinat de Clément, taillandier à Chasseneuil-sur-Bonnieure (Charente), par Jean Mathieu, 17
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