Filles et garçons sur le chemin de légalité de lécole à l
Tous les modes de scolarisation y compris l'apprentissage
Histoire de la scolarisation des filles - LELIÈVRE
En collaboration avec Christian Nique Histoire biographique de l'enseigne- ment en France
Léducation des filles : un siècle et demi dhistoriographie
1 janv. 2012 (2) Pour une analyse d'ensemble voir Paul Gerbod
LES GRANDES LOIS SUR LÉCOLE
Pas de véritable organisation de l'éducation. 1969 : les garçons et les filles sont réunis ... 1880 : les filles ont le droit d'aller au collège.
Les femmes et les filles dans léducation : métier délève métier d
30 mai 2018 moyen d'éducation de sa fille : soit elle va à l'école et apprend avec le maître ... La mixité dans les écoles primaires en France ne s'est ...
Lhistoire des élèves en France du XVIe au XVIIIe siècle : des
31 déc. 2018 URL : https://journals.openedition.org/histoire-education/4146 ... 31-44 ; Dominique Dinet « L'éducation des filles de la fin du.
Histoire de lenseignement en France
Éducation manuelle et technique (1977). EN (ENG ENF) École normale d'instituteurs (1833) et d'institutrices (1879) ou de garçons ou de filles.
Une histoire de léducation sexuelle en France: une médicalisation
21 août 2007 sur l'histoire de l'éducation sexuelle en France depuis 1945 qui est ... des féministes dans le souci de protéger filles et femmes contre la ...
Léducation physique comme analyseur de lhistoire de la mixité
22 juin 2016 Certes il est bien question d'une gymnastique pour les filles et non d'une gymnastique mixte
LÉDUCATION DES FILLES : Un siècle et demi dhistoriographie
(2) Paul Rousselot Histoire de l'éducation des femmes en France
[PDF] Histoire de la scolarisation des filles - LELIÈVRE - Numilog
Venard Histoire générale de l'enseignement et de l'éducation en France Tome II « De Gutenberg aux Lumières» Paris Librairie de France 1981 p 628 Page
Histoire de la scolarisation des filles / Françoise Lelièvre Claude
Histoire de la scolarisation des filles / Françoise Lelièvre Claude Lelièvre -- 1991 -- livre
Histoire de léducation des filles en France - Wikipédia
La fin du XIX e siècle est marquée par de grandes réformes républicaines en matière d'éducation qui ouvrent plus largement l'instruction scolaire aux filles
[PDF] Léducation des filles : un siècle et demi d - OpenEdition Journals
1 jan 2012 · Histoire de l'éducation - n° 115-116 septembre 2007 (1) Françoise Mayeur « L'éducation des filles en France au XIXe siècle : historio-
Léducation des filles de la fin du 18 e siècle jusquen 1918
Parias (Dir ) Histoire générale de l'enseignement et de l'éducation en France t 2 De Gutenberg aux Lumières (par F Lebrun) 669 p et t 3 De la
la progression de la scolarisation des filles et des jeunes - Cairn
Les études sur la scolarisation des filles et la formation des femmes 5 http://www tbdjf fss ulaval ca/ pdf /ISU/IPS pdf (consulté le 10 décembre 2020)
[PDF] 1 Classes de filles / Classes de garçons
Extraits de Éducation civique 4ème Editions Nathan Paris 1988 Sciences appliquées classe de in dsétudes coles rurales de garçons Manuel scolaire Paris
[PDF] 1 Léducation des filles à lépoque moderne Martine Sonnet - HAL
Rendre compte de l'éducation reçue par les filles -et de ses permanences ou l'histoire (grecque romaine de France et des pays voisins) le latin
Léducation des filles en France au XIXe siècle : historiographie et
Un changement positif la bibliographie annuelle publiée par la revue Histoire de l'éducation en fait foi s'est opéré dans la dernière décennie Apparaissent
Quelles sont les étapes de la scolarisation des filles en France ?
Chaque année dans le monde, 12 millions de filles sont mariées avant l'âge de 18 ans. Ces filles sont généralement déscolarisées pour subvenir aux besoins de leur mari, s'occuper des t?hes ménagères et des enfants. Les mariages forcés maintiennent les filles dans un statut inférieur à l'homme.Quel sont les cause de la scolarisation de la jeune fille ?
La loi Camille Sée ouvre l'enseignement secondaire aux jeunes filles. La loi du 21 décembre 1880 sur l'enseignement secondaire des jeunes filles fait partie des lois scolaires alors initiées par Jules Ferry, père de l'école primaire laïque, gratuite et obligatoire.Qui a permis aux filles d'aller à l'école ?
À l'école, garçons et filles sont séparés. Les programmes prévoient des cours spécifiques : en primaire, cours de couture et de cuisine pour les filles, travaux du fer et du bois pour les garçons ; au lycée, les filles sont dispensées de latin, de grec et de philosophie et n'ont qu'une initiation aux sciences.
![LES GRANDES LOIS SUR LÉCOLE LES GRANDES LOIS SUR LÉCOLE](https://pdfprof.com/Listes/18/8362-18ECOLE_AUTREFOIS_BACHES.pdf.pdf.jpg)
L'ÉCOLE D'AUTREFOIS?: ????
LES GRANDES
LOIS SUR L'ÉCOLE
FRISE CHRONOLOGIQUE
petites écoles ». Pour les plus riches, ils sont formés par des maîtres écrivains ou des percepteurs.1914-1918 :
Première Guerre mondiale
1923 :
nouveaux programmes de l'enseignement primaire.1924 :
les filles ont le droit de passer le baccalauréat (bac).1924 :
les programmes du collège et du lycée, ainsi que le bac, deviennent identiques pour les filles et les garçons.1936 :
l'école est rendue obligatoire jusqu'à 14 ans.1939-1945 :
Seconde Guerre mondiale
1959 :
l'école est obligatoire jusqu'à 16 ans.1969 :
les garçons et les filles sont réunis au sein des mêmes établissements. C'est le début de la mixité.1833 : naissance d'un véritable enseignement primaire public. La loi de François Guizot, ministre de l'Instruction publique (on parle aujourd'hui de " ministre de l'Éducation nationale »), impose à chaque commune d'avoir une école publique. 1834 : Le ministre François Guizot choisit la méthode simultanée comme modèle
d'enseignement pour toutes les classes.1841 : première loi sur le travail des enfants
interdiction du travail pour les moins de 8 ans.1850 :
la loi Falloux incite à ouvrir des écoles pour les filles1870 :
début de la IIIeRépublique.
1874 :
loi interdisant le travail des enfants avant l'âge de 12 ans.1880 :
les filles ont le droit d'aller au collège et au lycée.1881-1882 : les lois Jules Ferry (nom du
ministre de l'Instruction publique) rendent l'école primaire publique gratuite et laïque.L'enseignement devient obligatoire.AVANT ??????
eSIÈCLE??
eSIÈCLE1. François Guizot, vers 1820,
par Maurin et DelpechCrédit : n° inventaire 1979.00382
2. Élèves de l'école communale
de jeunes filles, Paris XIII e , 1921Crédit : n° inventaire 1979.35870
3. Cité scolaire
Camille-Saint-Saëns, Rouen?:
photographie de classe, 1972Crédit : n° inventaire 2015.6.10.4 1. 3. 2.L'ÉCOLE D'AUTREFOIS
LA CLASSE
AU TEMPS DES PETITES ÉCOLES
LA SALLE
DE CLASSECE QU'ON APPREND
LES ÉLÈVES
L"école est payante et n"est pas obligatoire.
Très peu d'enfants y vont. Il n'y a pas vraiment de salle de classe. La classe se fait dans la maison du maître, dans une pièce à côté de l'église ou dans une grange. Il n'y a pas beaucoup de meubles et de matériel pour apprendre. Quelques bancs, une table, des plumes, de l'encre et du papier, le bureau du maître et sa férule (un bâton plat avec lequel on frappait sur la maison des écoliers pour les punir). C'est tout?!Les enfants apprennent d'abord à lire.Et lorsqu'ils savent lire, les parents doivent
payer le maître pour qu'ils apprennent ensuiteà écrire et - s'ils le payent encore plus -
à compter ! C'est très long et peu e?cace.
Des enfants de tous âges sont rassemblés
dans la classe. Ils ont peu de livres pourétudier. Le maître doit consacrer quelques
minutes de son temps à chaque écolier, un par un, pour leur donner les leçons.C'est la "
méthode individuellePendant ce temps, les autres enfants
sont seuls... et font souvent des bêtises !L'école est payante. Seuls les plus riches y vont et peu de temps.À la campagne, il y a très peu d'écoles
et de maîtres. Les filles et les garçons sont souvent mélangés. En ville, on sépare les classes : les garçons avec le maître, les filles avec la maîtresse. 1.Scène de classe, Chibourg, 1842
Crédit : n° inventaire 1994.00597
2. Le maître d'école, Egbert van Heemskerck le jeune, 1687Crédit : n° inventaire 1994.00597
1. 2.L'ÉCOLE D'AUTREFOIS
LESÉVOLUTIONS
DE LA PETITE ÉCOLE
1. Une petite école, Joseph
Beaume, 1830
Crédit : n° inventaire 1993.01335
2. École chrétienne à Versailles,
Antoinette Asselineau, 1839
Crédit : n° inventaire 1997.03011
3. Tableaux de lecture avec ou
sans épellation à l'usage desécoles primaires. Manuel des
élèves, 1849
Crédit : n° inventaire 1985.00380.48
En 1833, toutes les villes construisent des écoles. Les salles de classes deviennent plus confortables et pratiques. Les élèves sont assis à des pupitres, ce sont les bureaux des écoliers. Le tableau noir apparaît dans les salles de classe, il permet de suivre en même temps le cours. Pour les leçons, les élèves utilisent de plus en plus des livres. Les murs de la classe sont décorésd'images imprimées servant aussi aux leçons.On apprend la lecture en même temps que l'écriture avec la plume d'oie, le calcul et la morale religieuse. Beaucoup d'écoles sont religieuses.
Les élèves travaillent selon la méthode
simultanée. Les enfants sont regroupés par niveaux et exécutent les mêmes exercices.L'apprentissage est organisé. Dans la classe,
l'ordre et la discipline doivent être respectés.Il y a plus d'écoles et de classes, donc on sépare les garçons et les filles.
Il faut attendre les années 1960 pour que
les classes deviennent mixtes, c'est-à-dire que les garçons et les filles soient mélangés.LA SALLE
DE CLASSECE QU'ON APPREND
LES ÉLÈVES
1. 3. 2.L'ÉCOLE D'AUTREFOIS
L'ÉCOLE DE
LA III
ERÉPUBLIQUE
À PARTIR DE ????JULES FERRY
Mini?re de l'In?ru?ion publique,
Jules Ferry
a rendu l'école gratuite en 1881.En 1882, la loi rend l'in?ru?ion
obligatoire pour les enfants âgés entre 6 et 13 ans. Mais les parents peuvent choisir que leurs enfants aillent dans une école publique ou privée, ou suivent l'école à la maison.La loi de 1882 rend aussi l'école
laïqueLes professeurs n'ont plus le droit
d'enseigner la morale religieuse dans lesécoles publiques.
Elle e? remplacée par l'in?ru?ion
morale et civique.LA SALLE
DE CLASSECE QU'ON APPREND
Toutes les villes ont une école, souvent installée près de la mairie. Filles et garçons sont séparés. Dans la salle de classe, les bancs et les bureaux en bois sont attachés : on les appelle " des pupitres ». Ils sont inclinés avec un trou pour l'encrier. Les enfants y sont installés deux par deux. Le bureau du maître est installé sur une estrade, c'est la chaire du maître. Elle est en hauteur pour bien surveiller les élèves car ils sont nombreux. Il y a des armoires contenant des livres et divers objets curieux utiles aux leçons : des animaux empaillés, des champignons en plâtre, des minéraux, des squelettes... On trouve aussi dans la classe un boulier, qui permet de faire des opérations mathématiques et des tableaux muraux expliquant la géographie de la France, les sciences, l'hygiène ou la morale. Les élèves apprennent à lire, écrire, compter, maîtriser l'orthographe, mais aussi la morale et l'instruction civique. Ils commencent aussi à étudier l'histoire, la géographie et les sciences naturelles.Les élèves ont des cours de
gymnastique et de pratique artistique.Mais filles et garçons n'apprennent
pas toujours la même chose.Les filles font des travaux de broderie
et de couture, par exemple.Les élèves travaillent selon
la méthode simultanée : l'ensemble de la classe apprend la même leçon.On trouve dans la classe beaucoup
de matériel car les leçons reposent sur l'étude et l'observation d'un objet de la classe, on appelle cela la " pédagogie par l'aspect » ou l'" enseignement par les yeux ».Les objets renfermés dans
les armoires sont destinés aux leçons de choses. 1. 3. 2.1. Boulier
Crédit : n° inventaire 1978.02320.1
2. Tableaux muraux : 2e série : insectes utiles. 87 - Le miel et la cire, 1925, DeryrolleCrédit : n° inventaire 1978.01750.3
3. École de garçons de Damvillers - Leçon d'écriture n° 2, 1899Crédit : n° inventaire 1979.36669.15
ROUEN 2017Les cartables des écoliers sont en cuir. Ils servent à transporter leur précieux matériel qui coûte très cher. Les écoliers écrivent avec des porte-plume, car les plumes d'oies sont abandonnées vers 1850 et sont remplacées par des plumes métalliques. Ils rangent leur porte-plume dans leur plumier.
Les cantines scolaires n'existent pas. Pour
déjeuner à midi, certains élèves rentrent chez eux.Ceux qui habitent loin prennent leur repas dans
l'école. Ils partent le matin avec une gamelle qu'ils font réchau?er sur le poêle qui chau?e la classe l'hiver.Pendant la classe, pour se protéger des tâches d'encre, tous les élèves portent une blouse, appelée " sarrau ».En ville, les écoliers portent des chaussures
en cuir appelées " galoches ». À la campagne, comme il faut parfois marcher dans les champs pour aller à l'école, les enfants portent des sabots.L"ÉCOLE D"AUTREFOIS
LAVIE QUOTIDIENNE
L'ÉCOLE DE LA III
ERÉPUBLIQUE
LES OUTILS
DE L'ÉCOLIER
LES HABITS
1.Cartable à 2 poches, en cuir marron, 1930
Crédit : n° d'inventaire 1979.09065
2.Plumier et porte-plume
Crédit : n° inventaire n° 1981.00314
3.Blouse en toile grise, 1958
Crédit : n° inventaire 2009.06200
4.Paire de sabots pour enfants
Crédit : n° d'inventaire 1979.31917
5.Élèves de l'école de garçons
de Chastel-Nouvel (Lozère), 1900Crédit : n° inventaire 1979.36669.84
1. 3. 4. 2. 5.L'ÉCOLE D'AUTREFOIS
JEUX ETPUNITIONS
L'ÉCOLE DE LA III
ERÉPUBLIQUE
LA RÉCRÉATION ET SES JEUXPUNITIONS ET RÉCOMPENSES 1.Six osselets rouges, 1930
Crédit?: n° d'inventaire 1978.01847
2.Sacré-Coeur de Charlesville -
En récréation, carte postale, 1903
Crédit?: n° d'inventaire 1983.00135
3.Férule, 1850
Crédit?: n° d'inventaire 1979.18089
4.Transformations, 1900
Crédit?: n° d'inventaire 1979.32837
5.Bon point. Huppe, 1900
Crédit?: n° d'inventaire 1979.32847.12.
La récréation est un moment important dans
la journée des élèves. Pendant ce court instant, ils peuvent jouer dans la cour. Les écoliers ont des jouets avec lesquels on joue encore aujourd'hui. Ils jouent à la marelle, au cerceau, à la corde à sauter, aux billes (qui sont en céramique) et aux osselets, de petits os provenantdu mouton ou du porc.Les maîtres n'hésitent pas à punir les élèves en les tapant sur la main à l'aide d'un bâton en bois, appelé la " férule ».
L'expression " apprendre ses leçons sur le bout des doigts », qui signifie apprendre par coeur sa leçon, vient du fait que le maître tapait sur les doigts des élèves qui ne connaissaient pas leur leçon. Pour punir un élève, le maître peut aussi faire porter aux mauvais élèves un bonnet d'âne À cette époque, on pensait que l'âne était l'animal le plus bête ! Le maître récompense les élèves pour leur travail ou pour leur bon comportement, par des bons points , des images à collectionner ou bien des récompenses en fin d'année scolaire?: une médaille, des livres de prix. 1. 2. 3. 4. 5.quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] les filles ? l'école
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