PLAN LOCAL DURBANISME
Romans Sud Rhône-Alpes et de la communauté de communes de la Raye. Figure 14 – Proportion des formes urbaines d'habitat des différents niveaux de ...
DIAGNOSTIC DU TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL
20 déc. 2016 reproduisant souvent les mêmes formes urbaines standardisées. Elles contribuent à la banalisation des paysages à la dégradation des ...
LIGNES DIRECTRICES INTERNATIONALES SUR LA PLANIFICATION
national s’il y a lieu et de continuer de mettre au point des outils et des indicateurs de suivi » Les lignes directrices ont été conçues pour compléter les lignes directrices internationales sur la décentralisation et le renforcement des autorités locales (2007) et les lignes directrices internationales sur l'accès aux services
N° 131 - oct 2021 L’analyse des formes urbaines : QU’EN
De nombreux territoires se lancent dans la définition et la cartographie de leurs formes urbaines à l’occasion de l’élaboration d’un PLUi En efet l’analyse des formes urbaines peut intéresser ce document à diférentes phases de sa réalisation Un outil d’analyse et de compréhension du territoire
l'élaboration d'un programme local de l'habitat territorialisé
sociaux et des opérations de renouvellement et de requalification urbains d’autre part et pour favoriser la mixité sociale le Plh fixe l’objectif de production de logements sociaux en assurant une répartition équilibrée et diversifiée de l’offre de logements entre les communes
Parc Naturel
Régional du Vercors
REVISION DE LA CHARTE
A.INTROD.UCA C
0,-)&-'**
,121*345* 67489:* 3;<2=7>845:* C 2Groupement :
Acer campestre (David Meyer, Marie Gillet, Sabine Laval) Cap territoire (Sylvie Vallet, Caroline Giorgetti)Contrechamp (Jean-Baptiste Chemery)
Yannick Arama
Frédéric Desglis
3 A.AINTRODUCTION ET CONTEXTE DE LA DEMARCHE ..................................................... 10A B.ADIAGNOSTIC ACTUALISE ET EVOLUTIONS DU TERRITOIRE ....................................... 14A C.A̵̵ PRESENTIELLE .......................... 423AD.AANNEXES ................................................................................................................ 435A
4CHAPITRAGE ....................................................................................................................................................................3A
SOMMAIRE DETAILLE ......................................................................................................................................................4A
A.AINTRODUCTION ET CONTEXTE DE LA DEMARCHE ..................................................... 10A B.ADIAGNOSTIC ACTUALISE ET EVOLUTIONS DU TERRITOIRE ....................................... 14AB.1A" LE PAYSAGE COMME MATRICE DE LA FABRIQUE DU TERRITOIRE » ............................................................................... 16A
B.2ALES CHANGEMENTS CLIMATIQUES, UNE AUTRE APPROCHE TRANSVERSALE DU TERRITOIRE .............................................. 79A
B.3ACARACTERISTIQUES DU TERRITOIRE, RESSOURCES ET PATRIMOINES .............................................................................. 86A
.INITITARODUC ECXLAULMHUHAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIA10A
.INITIBARODUC ECXLAGUSOCXAVL4APC22O3L4ALDA5O LOGtAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIA1eA
.INITINARODUC ECXLAmEUDCmCHALDAVL LGUL4AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAepA
.INITIsARODUC ECXLAUL2C3CLGtAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAeTA
.INITIfARODUC ECXLAUGUO2AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAeBA
.INITI0ARODUC ECXLAOUDC4OXO2ALDACXVG4DUCL2AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIATpTA
.INITIoARODUC ECXLAVLAPC22H3CODGULALDA OC4EX4ASEGU3LEC4L4AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIATpsA
.INITI1ARODUC ECXLAMGS2CrAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIATp0A
.INIBIBAlrDLGU4AVGAMODUC ECXLAXODGUL2IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIATTpA
.INIBINAaUOXV4ACXPLXDOCUL4ALDAME2CDCvGL4AVLAMUH4LUPODCEXAVGAMODUC ECXLAXODGUL2IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIATTBA
5A.m.e!gD TXBGDEDREDMXE..................................................................................................................................................EIem!
A.m.l!gD TXBGD EUPR5BM3D EDCEUPRPsBD E.........................................................................................................................EIlb!
B.4!ORGANISATION TERRITORIALE, EVOLUTIONS DEMOGRAPHIQUES ET URBAINES .............................................................. 178!
A.e.I!hB1MRP MCPTREPR CPCXCPTRRD33DE................................................................................................................................EInS!
A.e.V!êMBMGC5BP CPtXD E TGPTO5UT1BMLyPtXD E................................................................................................................EISm!
A.e.l!xT2P3PC5EDCEO5L3MGDUDRC E.....................................................................................................................................EVme!
A.e.f!otXPLDUDRC EDCE DBrPGD E........................................................................................................................................EVfe!
6 "#@#B#A!Q,48.)(4).!$F!`+,5*9.7a!'4!% "#@#B#2!Q,48.)(4).!@F!`+,5*9.7a!'4!%A.e.S!gP tXD éELT33XCPTR EDCERXP MRGD E...........................................................................................................................EVSe!
A.e.b!q5GyDC E.................................................................................................................................................................EmIm!
B.5!HISTOIRE, CULTURE ET QUESTIONS D̵IDENTITE ......................................................................................................... 326!
A.l.V!KGCDXB EGX3CXBD3 E...................................................................................................................................................Emmc!
B.6!ACTIVITES ECONOMIQUES ...................................................................................................................................... 339!
A.f.I!K1BPGX3CXBDEDCEPROX CBPDEM1BTuM3PUDRCMPBDE.............................................................................................................Emmb!
A.f.V!KGCPrPC5 EvTBD CPsBD E..............................................................................................................................................Emfe!
7A.f.m!KGCPrPC5 ECTXBP CPtXD EDCEODE3TP PB E.........................................................................................................................EmSe!
A.f.e!oUL3TPéEPR DBCPTREDCEvTBUMCPTRELBTvD PTRRD33DE.....................................................................................................EecS!
C.!̵̵ PRESENTIELLE .......................... 423!C.1!DEFINITION ........................................................................................................................................................... 424!
C.2!UNE ECONOMIE DU VERCORS DE PLUS EN PLUS PRESENTIELLE ................................................................................... 426!
C.3!DES PROFILS PRESENTIELS POUR DIFFERENCIER LES ENJEUX ..................................................................................... 428!
C.4!LES QUESTIONS QUE L̵ECONOMIE PRESENTIELLE SOULEVE......................................................................................... 433!
D.!ANNEXES ................................................................................................................ 435!
D.1!URBANISATION OU ARTIFICIALISATION DES SOLS ENTRE 2005 ET 2015 PAR SECTEURS GEOGRAPHIQUES ...................... 436!
D.2!ANNEXE SUR LA COUVERTURE EN TELEPHONIE MOBILE DU TERRITOIRE ........................................................................ 446!
D.3!ANNEXE SUR LES DECHETS ..................................................................................................................................... 448!
8 9 10 #A ,(*)&%(,B(,* 11 ̵̵̵un rendez-vous destiné à faire le point sur les avancées de ce projet, à en ̵̵n pour tous les acteurs concernés à différents titres par ce projet de ambitions qui en résulteront.Au-delà de c es c onsidérations génériques, cette révision doit notamm ent avoir pour toile de fond
̵ ̵ du te rritoire : paysage, ressourc es,Tout p̵̵̵̵ de
suivantes :Sur la base des enseignements favorables ̵̵
parc dans les années qui viennent : ̵̵-tend.
Cette évaluation reposant sur la mobilisation de nombreux acteurs, notamment consultés pouraux a cteurs impliqués ou c oncernés par le projet de territoire inc arné par l a charte de fa ire
ensemble le point sur les acquis ou les manques constatés.̵de ce type de structure.
spécifique. Cette évaluation doit être conf rontée au DHFKLB@établie à partir d'un diag nostic compr enant un inventaire du patri moine et une analyse des enjeux
environnementaux, culturels, sociaux et économiques du territoire ». L'objet du diagnostic est de dresser
un état des lieux faisant ressortir les richesses et fragilités du territoire, avec une approche dynamique qui
regarde : ce que le projet Parc a pu apporter à cette évolution territoriale.ĕ inition les enje ux
stratégiques pour la future charte.Le diagnostic doit confirmer la qualité et la fragilité du territoire à travers les pressions existantes ou
pressenties, notamment les principales intera ctions entre l es activités, le s milieux naturels et l es
̵ Les données de l̵valuation et dudiagnostic vont alimenter des ateliers de travail future charte. 12 Déroulé du projet de révision de la charte :Evaluation et
diagnostic 13 14CA !"#$%&'(")*
,0&/+("&%'* 15 16CAD */,*.#E'#$,*)&@@,*
@#(-"),*!,*/#*F#C-"G+,*!+*" Paysage » désigne une partie de territoire telle que perçue par les populations, dont le caractère résulte
de ̵ paysage, Florence 2000).Sources utilisées pour le diagnostic :
̵- PNRV - Eco-stratégie - Septembre 2018
Inventaire de la diversité des paysages du Vercors - Etude préalable à la révision de charte du
parc- PNRV - Agathe Meriaux - Août 2018 17 !+C=<=LHC+Une KCFLD=+DHG =C@H climatiques alpines ou méridionales, qui se déclinent tant dans la végétation naturelle et la richesse écologique du territoire que dans les pratiques agricoles (pastoralisme, noyeraies, vignes, cultures agricoles et pastorale s qui ont façonné le s lieux comm e des implantations bâti es et f ormes̵̿ activités forestiè res,
nombreuses covisibilités entre versants et entre villages, des routes vertigineuses spectaculaires,
traversés. Des perceptions visuelles variées, dominantes ou dominées, une grande visibilité des
paysages et des échell es visue lles parfois petites, qui confèrent aux paysa ges de grandes sensibilités aux aménagements et évolutions.Des @HESBI=<<=@+GHEEFK=BH@=@+D=+PIFEH FAAFHREH=+DFL@+EF+D=CLHUC=+DNM=LLH=, le couvert arboré relativement stable couvrant la majorité des la banalisation des paysages, à la perte de diversité paysagère et écologique. Dans le même temps, les cult ures biologiques se développent, a insi que le s cultures spécialisées com me les plantes reproduisant souvent les mêmes ABC>=@+ICRFHL=@+@ des pays ages, à la dégradation des silhoue ttes bâties et de s entrées de ville ou villages, à marno-calcaires qui le cernent et le caractérisent. Il est souvent assimilé à un vaste plateau perché mais dévoile une topographie et une géomorphologie particulièrement contrastées qui fondent sa renommée : imposantes falaises ; sommets, crêtes et cols ; larges vallées, plateaux et hauts plateaux ; combes et Le ca lcaire est omniprésent dans le paysage vercus ien : paysage lithiq ue déclinant les motifs caractéristiques du modelé karstique (affleurements rocheux, gouffres, grottes, lapiaz...) ; constructions traditionnelles (à base de roches du res et de molasses tendres), cla piers (am as de pierres issu de Le Ve rcors est le moins préalpin et le plus méridional des mas sifs de la chaîne des mon tagnes subalpines. Le clima t y est donc plus doux et la végétation est sous influen ce a lpine, mais aussi méditerranéenne. Ainsi, les es sences feuillu es cara ctérisent fortement les boise ments. Les ver sants boisés forment des arrière-plans vi suels constants qui ca drent l es perceptions et participent aux le chêne pubescent marque les forêts de ̵étage collinéenet le pin sylvestre caractérise celles du ̵ge subalpin, identitaire de la réserve des Hauts plateaux, abrite la plus la plus vaste forêt de les parties bassessont ce lles des régions bocagères de polyculture et polyélevage, et ont été souvent défri chées. Elles sont sensibles aux modifica tions des pratiques agricoles et à les plateaux de moyenne montagne recouverts de prés de fauche et de pâturages. Ces prairies à aux é tages subalpin e t alpin où les cr êtes vent ées et le urs pentes rocailleuses hébergent les caractéristiques et contraintes du territoire, ont façonné des paysages typiques : activités agricoles et particulières du massif. Les villages et hameaux sont groupés et relativement denses, composés de rues étroites, de volumes bâtis importants et proches les uns des autres, adaptés à la pente, le cas échéant. Il en résulte des silhouettes villageoises qualitatives, mises en scène dans le paysage par leurs premiers plans agricoles et environnement de prairies et vergers, socles verdoyants et espaces de présentation parti des situations particulières. La répartition des villages et hameaux génèrent un fort rapport de c ovisibilité.Plus au Sud, de n ombreux villages perchés ou fortifié s (Beaufort-en-Gervanne, industrielle ouverte sur les territoires extérieurs (construction de route, mécanisation, export des produits fermiers, industries textiles, scierie, tournerie, etc.). Les évolutions techniques ont ainsi profondém ent avec la désindustrialisation (certaines productions ont complètement quitté le sol français, par ex. la provoquant une périurbanisation de certains secteurs du massif, le tourisme imprime ses traces sur les carte et de sa précision. Les chiffres comparatifs ne sauraient donc être pris tels que mais donnent un ordre de grandeur. Ainsi, sur le territoire de la charte actuelle, la forêt couvrait environ 40% du territoire de ta ille souvent conséquente, les sites naturels de gorge s, combes , cirques, v allées, montagne s et grottes (27 sites) ; ensuite ce sont les villages, églises, abbayes ou hameaux inscrits dans leurs sites (10 sites) ; enfin des sites plus ponctuels (2 sites) comme la Vierge du Vercors ou la Cour et le mur des réciproquement dans des pays ages urbains et pé ri-urbains, ou dans des paysages m arqués par de Les sous-unités paysagèrespour une approche encore plus fine et représentant généralement des les années 1950 montre des secteurs qui ont peu évolué comme les vals des Quatre Montagnes (les considérablement fermés : en altitude, en pieds et sur les versants ainsi que dans les vallées.+ Le ph énomène de f ermeture du paysage lié au dé veloppement de la cou verture arborée est très peu perceptible depuis 2009. Hormis les petites ou étroites vallées et quelques secteurs isolés, il semble que arbres (noy ers notamment) sont nombreux au sein de s espace s agricoles. Le motif des noyera ies a Les clapi ers (structure pay sagère caractéris tique) qui ponctuent les es paces agricoles de pente sont parfois effacés par la végétation qui les couvre ou ont été supprimés (du fait de la mécanisation ou de le parc ellaire comme les structures arbo rées o u la présence de cla piers semblent stables . Plusi eurs IXLo.CONRrMRlL.URrMRrP3CXEooCGC2URrCRXLR3P4PULU.E2TRrCRXLRGPIL2.NLU.E2RrCNRoLOICXXCNREMRrMRrP3CXEo oCGC2UR (NG=EB??=>=L<+ICRFHL : sur les Quatre Montagne s, le développement urba in (pav illonnaire, étalement, paysagères peuvent être qualifiées de mesurées. Le secteur des 4 montagnes se place toutefois juste zones artisanal es (ex. La Chapelle-en-Vercors, St-Agnan-en-Vercors, confluen ce Bourne-Méaudret, différentes, ne participe pas à la qualité et à la qualification des villages dans le paysage. Sur le secteur (NG=EB??=>=L<+ICRFHL+=<+F>NLFK=>=L<@+ (HAAI@HBL+D =+EF+ACNPI =L naturalité (hauts plateaux ou plateaux boisés du Vercors).Ainsi en 2015, il était observé une progression du VTT, du canyoning et du trail (cf. B.6.3. Les activités touristiques et de loisirs). Ce constat croise celui sur la nécessité de préserver des zones de tranquillité pour la faune : secteurs peu fréquentés favorables à la faune et à la flore, en opposition aux secteurs où les usages et activités de pleine nature, et donc les dérangements, se multiplient (Ile réflexion en cours sur les réseaux écologiques, B.3.2.7).UneA=C>=
Le ̵ ̵ ̵
ponctuell ̵ ̵n de nouveaux marqueurs et de nouvelles
valeurs. 18 B.1.1 FONDEMENTS DU PAYSAGE DU VERCORS
DES RELIEFS EXCEPTIONNELS ET DES FORMES KARSTIQUES CARACTERISTIQUES ̵falaises
5
A.INTRIODUCNRCUR EXNR
RAXLUCLMHR
R 1LMUN0AXLUCLMHR
RBLXNRCURIEGSCNRR
R .OVMCNRCUR4EO4CNR RA.PGE2UNRIMXU.3PNR
R Implantations bâties diverses
R R ACOIaPNRtCHeRvLO.42LI0C20f.E.NsR
rCR EOOC2iE20C20BCOIEONsR R 20 DES IMPLANTATIONS BATIES DIVERSES ET ADAPTEES AUX LIEUX, AVEC UN REGROUPEMENT CONSTANT Les impl̵
̵-̵us
bergeries ponctuent alors le paysage. TRANSFORMATIONS ET EVOLUTIONS DES PAYSAGES DU VERCORS Par définition, la transformation des paysages résulte de ̵̵ premiers hommes, au Paléolithique. Toutefois, la révolution industrielle au XIXe siècle a eu un effe̵
@HUME=+ Sources des données : Forêt actuelle :BD Topo / ̵-major : interprétation PNRV ème
siècle a été r éalisé e à partir de ̵̵-Major (années 1850 environ). Les chiffres ci-après ̵données actuelles de la BDTopo.
̵-Major est approximative du fait de la nature même de la VBCT<+FLMH=LL=+MFC<=+
̵^>FJBC+
(milieu 19 ème
siècle) VBCT<+FM (hors bois et lande +/.1*)4*J"
8CBKC=@@HBL+=L
MBIG=C
5IC+E=+?NCH>U
735 ha
Soit 42% du territoire 146 019 ha
Soit 71% du territoire 64 357 ha
Soit 31% du territoire
+ 68% ̵^92:`
103 091 ha
Soit 40% du territoire 174 457 ha
Soit 68% du territoire 76 439 ha
Soit 30% du territoire
+ 69% Les cartes qui suivent présentent :
̵̵artificialisation des sols entre2005 et 2015 ̵ placés en annexe) ̵̵nalyse spécifique par ensembles paysagers à la suite. 22
23
24
B.1.2 PATRIMOINE PAYSAGER RECONNU ET EMBLEMATIQUE
10 sites classés et 29 sites inscrits reconnaissent le patrimoine paysager du territoire : en premier lieu et
26
B.1.3 GRANDS ENSEMBLES PAYSAGERS ET UNITES
PAYSAGERES
̵ Vercors est ide ntifié par d es familles de pay sages " ruraux-patrimoniaux », 25 unités paysagèrespour une vision plus détaillée de la spécificité des paysages, dans leurs
composantes naturelles, anthropiques et culturelles, et de leurs interrelations.
28
29
Ce grand e ns emble se caractérise principalement par de larges va llées versants boisés a ux crêtes et s ommets à la minéralité pro noncée . Des plateaux au relief plus vallonné se distinguent également, essentiellement forestiers ; les cr êtes s ommitales sont en rev anche occupées par des de la localité ; en effet, si le secteur des quatre montagnes est le plus habité et le s infras tructures touristiques les pl us nombreu ses, les plateaux du Vercors central m ontrent une occupation humaine moindre tandis que de plateaux ou gorges sont en revanche exempts de présence humaine. Les Quatre Montagnes (̵0vPLMrOC)
Les plateaux du Vercors central (AXLUCLMRrCRBLNN.CM) Les vallées du Vercors central (BLXRrCR5U0vLOU.20C20BCOIEON) Les plateaux boisés du Vercors (AXLUCLMRrCRAOCNXCN) 30
31
LE VERCORS DES GORGES, PLATEAUX ET VALS ̵
̵+a+l̵̵
A.INTROND.OUTC TD.OU̵ DDE.R̿O
NC.2RrMRIEM3COURlEOCNU.COseR
̵ oC2UCNRrMR3LXR rCR5L.2 U0vLOU.2 0C20BCOIEONTROPrM.NL2UR ̵R Méaudre
Lans 1945-50 2016-18
Herbouilly
1945-50 2016-18
32
̵R &N@=CG=+LF̵̵se maintient dans le
paysage. A.INTROND.OUTC TD.OU̵ DDE.R̿O
̵̵ interne » des espaces agricoles,
Les Rimets
Rencurel
1945-50 2016-18
1945-50 2016-18
33
EVOLUTION DES ESPACES AGRICOLES ENTRE 19̵ILLUSTRATIONS ZOOMS Sources IGN Géoportail
̵R 1945-50 2016-18 2009
1945-50 2016-18 2006
Vernaison
34
̵ppement est plus nuancé.
̵̿O
̵Ile
B.4.4.4 Artificialisation des sols).
̵̵une certaine manière leur silhouette,
ont continué à se ̵ voire de petites 2006 et 2015̵étalement est considéré comme fort (Ile B.4.4.4 Artificialisation des sols).
1945-50 2016-18 2009
35
Sources IGN Géoportail
6HEEFCD^D=^.FL@++
̵R *BE+DI+CBI@@=<++ oLOU.CXXCsR ̵̿O
̵aménagements, en altitude et en pied
de station à Corrençon-en-Vercors, sont à noter. 2006 2016-18
2009 2016-18
36
DEVELOPPEMENT URBAIN ENTRE 2009 ET ̵RATIONS - ZOOMS Bâti e n 194 5
Extension du bâti e ntre 1 945 et 2 009 ̵ Sources IGN Géoportail
u2UOCRjggéRCUR̵̵ ̵̵R
u2UOCR̵ ̵0I.RLR4P2POPRXLR̵
.=@+XIF2009 2016-18
2009 2016-18
37
Souvent comparé à une forteresse, le massif du Vercors se caractérise par un pourtour quasi ininterrompu de contreforts. Ces derniers sont marqués par une ̵quotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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