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Chapitre 5 - Morsures humaines avec bris cutané et autres

le sang doit être présent dans la salive de la personne qui mord avant la Lors de morsures avec bris cutané le risque de transmission du VHC est très ...



les-crachats-br.pdf

la salive et les crachats ne sont pas considérés comme des liquides pouvant transmettre le VHB le VHC ou le VIH



Vivre avec lhépatite C

Le virus de l'hépatite C ne peut pas se transmettre par la salive la toux



Hépatite C

Le virus est retrouvé principalement dans le sang. Cependant l'ARN du VHC a été retrouvé en faible quantité dans d'autres liquides biologiques : salive



Guide pour la prophylaxie et le suivi après une exposition au VIH

Centre associatif polyvalent d'aide hépatite C. Montréal potentiel de transmission du VHC ou du VIH



Estimation du risque associé aux activités sexuelles-Fiche ITSS

sang3 mais aucune évidence de risque si la salive n'en contient pas; risque négligeable de transmission du vHB



Mon hépatite C moi et les autres

L'hépatite C n'est pas une maladie contagieuse : elle est due à un virus qui se transmet par le sang. Il n'y a aucun risque de transmission par la salive 



Prévalence de la contamination par le VIH et le virus de lhépatite C

25 mai 1998 de drogue la connaissance des statuts sérologiques à l'égard du VIH et du. VHC. Le recueil de salive était réalisé à l'aide du système ...



VIRUS DE LHEPATITE C (VHC)

Transmission possible du virus par l'intermédiaire du sperme des sécrétions vaginales et de la salive contaminée par du sang . Elle est nulle par l' 



Estimation du risque associé aux activités sexuelles

au virus de l'hépatite. B (VHB) ou au virus de l'hépatite C (VHC) voir plutôt le ... la probabilité de transmission de la syphilis est plus grande.



[PDF] HÉPATITE C

La transmission peut atteindre 36 si la mère est co-infectée par le VIH ou si elle a une charge virale élevée La séroprévalence est aussi plus élevée chez 



[PDF] Mon hépatite C moi et les autres

L'hépatite C n'est pas une maladie contagieuse : elle est due à un virus qui se transmet par le sang Il n'y a aucun risque de transmission par la salive 



[PDF] Hépatite C - INRS

Le risque de transmission soignant-soigné du VHC est très faible néanmoins un certain nombre d'épisodes ont fait l'objet de publications ( 8) En laboratoire 



[PDF] VHC et salive

Pour la première fois une étude française quantifie la présence d'ARN du virus de l'hépatite C dans la salive chez 59 patients co-infectés par le VIH et le



Principaux repères sur lhépatite C

24 jui 2022 · Le virus de l'hépatite C est transmis par le sang Cette transmission est le plus souvent due à : la réutilisation ou la stérilisation 



[PDF] VIRUS DE LHEPATITE C (VHC) - CHU de Rouen

Transmission possible du virus par l'intermédiaire du sperme des sécrétions vaginales et de la salive contaminée par du sang Elle est nulle par l' 



Manifestations buccales de linfection virale C chronique

mots clés : hépatite C syndrome de Gougerot-Sjögren lichen plan buccal purpura thrombopénique auto- virus à transmission nosocomiale [1]



[PDF] Dépistage de lhépatite C - Haute Autorité de Santé

Dans ce contexte la transmission du VHC a été décrite au cours de séances L'évaluation des tests de dépistage à partir de la salive devrait être 



[PDF] Dépistage de linfection par le virus de lhépatite C - DUMAS

8 jui 2012 · transmission n'a pu être retrouvé de nombreuses études ont cherché à mettre en évidence la présence d'ARN du VHC dans la salive



[PDF] VIRUS DE LHEPATITE C (VHC) - CNRACL

La transmission du virus par l'intermédiaire du sperme des sécrétions vaginales et de la salive est possible Elle est nulle par l'intermédiaire des urines 

  • Comment se transmet l'hépatite C par la salive ?

    Il n'y a pas de transmission du VHC par le lait maternel, le partage de nourriture ou de boissons, la salive, la sueur, la toux, le baiser, le toucher et la toilette.
  • Est-ce que l'hépatite se transmet par la salive ?

    La salive des personnes atteintes de l'hépatite B peut renfermer le virus, mais à une concentration beaucoup plus faible que dans le sang. Or, la salive infectieuse peut transmettre le virus si elle est injectée dans le sang. C'est pourquoi les morsures sont dangereuses.
  • Comment vivre avec quelqu'un qui a l'hépatite C ?

    Il n'y a donc aucun risque dans la vie quotidienne. On peut s'embrasser, se toucher, utiliser en commun toilettes et lave-linge. Il est inutile de laver sa vaisselle de façon particulière. Le virus de l'hépatite C ne peut pas se transmettre par la salive, la toux, la sueur.
  • Les gestes qui protègent de l'hépatite C

    1utilisez toujours un préservatif en cas de rapports à risque ;2ne partagez pas de seringues et tout le matériel utilisé pour l'usage de drogues : cuillers, coton, paille pour inhalation ;3faites-vous dépister pour le VHC si vous êtes à risque d'infection ;
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VIRUS DE L'HEPATITE C (VHC)

Ce document concerne l'évaluation des risques biologique en milieu de soins. Il est complémentaire du guide

EFICATT de l'INRS et a été élaboré puis validé par des médecins du travail des services de santé au travail

des CHU de Angers (Dr Ripault), Bordeaux (Dr Buisson Valles), Lille (Drs Sobaszek et Kornabis), Reims

(Dr Touche) et Rouen (Drs Gehanno et Rysanek). Ce projet, piloté par le CHU de Rouen, s'inscrit dans le

cadre d'un Réseau inter-CHU financé par la Caisse Nationale de Retraite des Agents des Collectivités

Locales.

SOMMAIRE

1 GENERALITES..................................................................................................................................................2

1.1 AGENT PATHOGENE, RESERVOIR, SOURCE.................................................................................2

1.2 EPIDEMIOLOGIE GENERALE...............................................................................................................2

1.3 VIABILITE, RESISTANCE PHYSICO-CHIMIQUE...............................................................................2

1.4 CONTAGIOSITE.......................................................................................................................................3

1.5 INCUBATION.............................................................................................................................................3

1.6 MODE DE TRANSMISSION....................................................................................................................3

1.7 CLINIQUE...................................................................................................................................................3

1.8 DIAGNOSTIC BIOLOGIQUE...................................................................................................................4

1.9 TRAITEMENT............................................................................................................................................4

1.10 POPULATIONS PARTICULIERES A RISQUE.................................................................................4

1.11 EFFETS SPECIFIQUES SUR LA GROSSESSE.............................................................................4

2 EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS..............................................................................5

2.1 CRITERES DE CARACTERISATION DE L'EXPOSITION.................................................................5

2.1.1 EVALUATION A PRIORI ..............................................................................5 2.1.1.1 Critères à priori issus de la bibliographie....................................................................................................5

2.1.1.2 Données d'analyse des accidents de travail (circulaire du 20 avril 1998)..............................................6

2.1.2 CIRCONSTANCES D'EXPOSITION ............................................................6

2.2 GESTION DU RISQUE............................................................................................................................6

2.2.1 ELEMENTS DE NATURE A LIMITER L'EXPOSITION.................................6

2.2.1.1 Protection collective.......................................................................................................................................6

2.2.1.2 Equipements de protection individuelle.......................................................................................................6

2.2.1.3 Vaccinations ou immunité naturelle.............................................................................................................6

2.2.2 PREVENTION SECONDAIRE......................................................................7 2.3 APTITUDE DES SOIGNANTS PORTEURS.........................................................................................7

2.4 MALADIE PROFESSIONNELLE............................................................................................................7

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1 GENERALITES

1.1 AGENT PATHOGENE, RESERVOIR, SOURCE

• Virus de l'hépatite C : virus à ARN de la famille des flaviviridae.

• ARN contenu dans une capside, enveloppé.

• Réservoir uniquement humain

• Six génotypes :

• 1a et 1b : chez les sujets contaminés par transfusion

• 3a : surtout chez les toxicomanes

• 2a, 4, 5 et 6 : plus rares

• Risque infectieux : groupe de classement 3.

1.2 EPIDEMIOLOGIE GENERALE

• Ubiquitaire.

• 170 millions de personnes infectées par le virus de l'hépatite C dans le monde.

• Trois zones de prévalence :

• Zone de basse prévalence : pays scandinaves, Australie, Canada, Suisse.

Prévalence de 0,5%.

• Zone de prévalence intermédiaire : Europe de l'ouest, Etats-Unis.

Prévalence de 1%.

• Zone de forte prévalence : Europe de l'est, Asie, Afrique, Amérique de sud. Prévalence de l'ordre de 2 à 6% selon les pays. • Séroprévalence en France de 1,2% : environ 600 000 personnes infectées dont

1/3 ignorent leur infection.

• Le diagnostic est souvent fait au stade de la chronicité. • Incidence actuelle en France : environ 5000 cas par an, dont plus de 70% chez les toxicomanes.

1.3 VIABILITE, RESISTANCE PHYSICO-CHIMIQUE

• Les données sont limitées.

• Le VHC serait semblable sur ce plan au virus de l'hépatite B : • Sensible à de nombreux désinfectants : hypochlorite de sodium à 1%, éthanol à 70%, glutaraldéhyde à 2%, formaldéhyde. • Stable à 37°C pendant 60 minutes et à 56°C pendant 30 minutes, mais pas à une température supérieure à 60°C. • Ne peut être inactivé par l'exposition aux UV.

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1.4 CONTAGIOSITE

• Dose infectieuse inconnue.

1.5 INCUBATION

• De 15 à 90 jours

1.6 MODE DE TRANSMISSION

• Dans la majorité des cas, transmission parentérale par transfusion sanguine (risque actuellement réduit en France ; risque résiduel de 1/6 650 000 transfusions soit 6 hépatites/an) ou toxicomanie. • Transmission par du matériel contaminé, mal stérilisé : percing, tatouages. • Transmission sexuelle et mère-enfant très faible.

• Accident exposant au sang (AES).

• Mode de contamination inconnu dans 20 à 30% des cas : facteur méconnu, oublié ou dissimulé (toxicomanie). • La transmission du virus est prouvée par l'intermédiaire du sang et des liquides biologiques contenant du sang. • Transmission possible du virus par l'intermédiaire du sperme, des sécrétions vaginales et de la salive contaminée par du sang . Elle est nulle par l'intermédiaire des urines et des selles.

1.7 CLINIQUE

• Hépatite aiguë peu symptomatique, anictérique dans 90% des cas.

• Puis évolution possible vers :

• Guérison dans 15 à 20% des cas.

• Hépatite fulminante : exceptionnelle.

• Hépatite chronique dans 70% à 85% des cas

• Hépatite chronique :

• Dans 15 à 25% des cas : porteur sain, asymptomatique avec transaminases normales et lésions histologiques minimes. • Hépatite chronique active dans les autres cas, évoluant dans 20% des cas vers une cirrhose dans un délai de 10 à 20 ans, puis éventuellement vers un carcinome hépatocellulaire (3 à 5% par an). • L'hépatite chronique peut parfois être responsable de manifestations auto- immunes : cryoglobulinémie mixte, vascularite, syndrome sec, hépatite auto- immune, hypothyroïdie....

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1.8 DIAGNOSTIC BIOLOGIQUE

• Atteinte hépatique : cytolyse hépatique (transaminases 5 à 10 fois la normale). • Sérologie : séroconversion retardée, de 15 à 30 jours.

• Tests de dépistage : tests ELISA de 3

e génération. • Tests de validation : qualitatifs, meilleure spécificité que les tests ELISA. • Détection de l'ARN viral par amplification génique (PCR) : systématique devant une sérologie positive pour confirmer une infection chronique. • Génotypage : en cas de PCR positive, pour envisager le traitement. • Charge virale sérique : lorsqu'un traitement est envisagé.

1.9 TRAITEMENT

• Interféron pégylé associé à la ribavirine pendant 6 à 12 mois entrainant 65% de

réponses prolongées : la réponse dépend du génotype. • Mesures d'accompagnement : mesures diététiques (limitation de la consommation d'alcool, limitation de la prise de poids...). • Transplantation hépatique dans certains cas de cirrhose ou de carcinome hépatocellulaire.

1.10 POPULATIONS PARTICULIERES A RISQUE

• Populations à risque d'acquisition :

• Patients susceptibles de recevoir des transfusions sanguines (et avec ou d'autres produits dérivés du sang) répétées. • Toxicomanes : drogues intraveineuses ou par inhalation.

• Insuffisants rénaux chroniques

• Voyageurs dans les pays de moyenne ou de forte endémie

• Personnel soignant

1.11 EFFETS SPECIFIQUES SUR LA GROSSESSE

• Risque de transmission mère-enfant faible : <5%, uniquement si ARN positif et en l'absence de co-infection par le VIH ; jusque 20 à 30% quand la mère est co- infectée par le VIH.

• Contamination du nouveau-né :

• Liée à l'importance de la charge virale chez la mère. • Survient le plus souvent au moment de la naissance de l'accouchement: favorisée par un forceps, diminuée par la césarienne.

• Allaitement possible

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2 EVALUATION DES RISQUES PROFESSIONNELS

2.1 CRITERES DE CARACTERISATION DE L'EXPOSITION

2.1.1 EVALUATION A PRIORI

2.1.1.1 Critères à priori issus de la bibliographie

• Un accident exposant au sang (AES) est défini comme tout contact accidentel avec du sang ou un liquide biologique contaminé par du sang, suite à une effraction cutanée (piqûre, coupure, égratignure,...) ou une projection sur une muqueuse (conjonctive, bouche...) ou sur une peau lésée (dermatose, plaie...). • Le taux d'incidence des AES était en baisse chez le personnel paramédical en France au cours des années de surveillance 1990-2000. La sous déclaration reste importante pour certains soignants (chirurgiens notamment). Les chirurgiens démeurent la catégorie de personnels les plus exposés en terme de fréquence des A.E.S. avec aiguille pleine. • Une étude prospective effectuée en France en 2000 chez des infirmières de soins (médecine et de réanimation) a conclut à une fréquence de 0,12 AES par infirmière et par an, avec une fréquence des piqûres à 0,08 par infirmière par an : l'incidence des piqûres a été divisée par quatre en 10 ans entre 1990 et 2000. • Les gestes de perfusion et prélèvements veineux sont les plus fréquemment en cause dans les AES potentiellement à haut risque de transmission d'agent infectieux. • Le taux de séroconversion après un AES avec un patient atteint d'hépatite C est de 1,8%. • Il existe depuis 1997, une surveillance des contaminations professionnelles par le VHC chez le personnel de santé en France par l'InVS. o Il existait au 31 décembre 2005, 55 séroconversions professionnelles VHC documentées. o Elles concernent 69% d'infirmières. o Les services où se sont produits les accidents responsables des séroconversions sont essentiellement : ! Hémodialyse (8 cas) ! Hépato-gastro-entérologie (8 cas) ! Urgences / SAMU (5cas) ! Chirurgie (5 cas) ! Néphrologie (5 cas) ! Psychiatrie (4 cas) ! Gériatrie (4 cas).

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2.1.1.2 Données d'analyse des accidents de travail (circulaire du 20 avril 1998)

• La déclaration des AES doit être faite à l'employeur (la direction de l'établissement) et notifiée au service de médecine du travail selon les modalités en vigueur dans l'établissement. • L'interprétation de ces données par le médecin du travail en collaboration avec le C.L.I.N., permet d'identifier les circonstances de survenue des AES (matériel utilisé, geste effectué) et de déterminer, en concertation avec les différents acteurs, les actions à mettre en place (information, formation, organisation du travail, élaboration de protocoles de soins incluant la sécurité du personnel, choix de matériel).

2.1.2 CIRCONSTANCES D'EXPOSITION

• Les séroconversions documentées en France ont fait suite à : o Une piqûre dans 51 cas : prélèvement veineux, pose/dépose d'une voie veineuse, gestes de dialyse, injection SC ou IM, rangement de matériel après un geste, hémocultures... : le plus souvent une aiguille creuse contenant du sang. o Une coupure dans 3 cas. o Un contact sanguin sur peau lésée dans un cas : compression d'une plaie d'autolyse sans port de gants. • Parmi les 55 séroconversions documentées, 25 étaient évitables par l'application des précautions standard.

2.2 GESTION DU RISQUE

2.2.1 ELEMENTS DE NATURE A LIMITER L'EXPOSITION

2.2.1.1 Protection collective

• Apprentissage et respect des précautions standard : pas de recapuchonnnage d'aiguille, utilisation de conteneurs pour aiguilles usagées.... • Information-formation concernant le risque biologique.

2.2.1.2 Equipements de protection individuelle

• Port de gants

• Utilisation de matériel de prélèvement sécurisé

2.2.1.3 Vaccinations ou immunité naturelle

• Il n'existe pas actuellement de vaccin contre le VHC. • Développement d'un vaccin rendu difficile par l'existence des différents sérotypes.

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2.2.2 PREVENTION SECONDAIRE

• Respect des recommandations lors d'un AES : nettoyage et désinfection de la blessure, déclaration, surveillance. • L'interféron n'est pas recommandé pour la prophylaxie post-exposition. • Il existe des discussions sur l'intérêt de la mise en route d'un traitement précoce.

• Voir EFICATT

2.3 APTITUDE DES SOIGNANTS PORTEURS

• Voir avis du Conseil supérieur d'hygiène publique de France section maladies transmissibles relatif à la prévention de la transmission du virus de l'hépatite virale C aux patients par les professionnels de santé (séance du 26 septembre

2003).

2.4 MALADIE PROFESSIONNELLE

• Tableau n° 45 du régime général et tableau n°33 du régime agricole : hépatite

aiguë, hépatite chronique, manifestations extra-hépatiques, cirrhose, carcinome hépatocellulaire.

• Une séroconversion professionnelle VHC peut-être reconnue au titre de l'accident du travail si elle est consécutive à un AES déclaré et suivi biologiquement initial réalisé dans 8 jours suivant l'AES.

3 POINTS FORTS

• Virus résistant dans l'environnement.

• Evolution vers l'hépatite C chronique dans la majorité des cas.

• Pas de vaccin.

• Taux de séroconversion 1,8% après un AES.quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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