PGE PGO
Un candidat ne peut s'inscrire qu'à une seule forme d'admission. Admission aux écoles. Ne peuvent intégrer que les candidats admis qui sont titulaires de leur
Rapport de jury Session 2009 AGRÉGATION ANGLAIS Concours
Les examinateurs ont eu le sentiment que certains. Page 13. 13 candidats ne connaissaient la pièce que de seconde main ou n'en avaient fait qu'une lecture
Rapport de jury Session 2012 AGRÉGATION ANGLAIS Concours
Si les candidats souhaitent évaluer les retombées des mouvements comme beaucoup l'ont fait dans la dernière partie de leur composition
Apprentissage de langlais en section européenne au lycée
12 avr. 2013 Dans le domaine de l'appropriation de la langue par les élèves si l'enseignement d'une discipline autre que linguistique en anglais a comme ...
Langues vivantes 2
16 avr. 2019 Si vous aviez fait davantage d'économies vous auriez pu vous offrir un ... ANNALES DU CONCOURS ECRICOME PREPA 2019 : LV2 ALLEMAND ANGLAIS ...
Langues vivantes 2
16 avr. 2018 Chaque épreuve est notée sur 20. Page 8. ANNALES DU CONCOURS ECRICOME PREPA 2018 : EPREUVE LV2 ALLEMAND ANGLAIS
Le Système international dunités The International System of Units
des poids et mesures publie une version en anglais de ses documents. le perfectionnement du Système international d'unités (SI) forme moderne du.
Concours externe du Capes et Cafep-Capes Section langues
Première épreuve d'admissibilité : composition en anglais notamment la rédaction d'un projet ou d'une note vous devrez ... Tournez la page S.V.P. ...
anglais sequence pedagogique « ellis island and immigration to the
- Why did you bring me here grandpa? Where are we? - We're on Ellis Island. This is where many immigrants arrived when they wanted to live in. America.
fr3.pdf
Tout au long du manuel le pictogramme ? vous permet de localiser les axes L'ennemi
ABCDEFFBDBDBA
ABCADCBEFFDBD
CBEFFD??ABFAD????DB?ED?DB?DBEF?ED
BBDAE?DDBF?BEFB?DED?E
FA?EEBF??AA?DEB?ED
AB?FDDFDB??A?E??B?B??A?DDFAEE??#$%#
??&DDFEF'()F?E*+'' ,FA? ?ED?FA-ABE.?/0?#00E??AD???BA?D$%%%123? ?ED?FA2BF???%35#?0E??AD????A?E ?B?B?2B?A??%#00E??AD???BA?D%%%1A6EE3F? ,BE1CF7?#?/3 1Université Paris-Ouest Nanterre La Défense
Ecole Doctorale Lettres Langues Spectacles
Langues, littératures et civilisations des pays anglophonesThèse de Doctorat
au lycée : représentations et pratiques sous la direction de Madame le Professeur Anne TREVISEUniversité Paris-Ouest Nanterre La Défense
Jean-Luc BRETON
20112 : représentations et pratiques. -témoin if
spécifique que constituent les sections européennes, de la réalité locale des établissements
les élèves inscrits en section européenne ne parviennent pas à une compétence discursive en
anglais plus vaste et plus ciblée que celle des autres lycéens de leur âge scolarisés dans des classes
" ordinaires langue étrangère sur le progrès des élèves.Mots-clefs : sections européennes ; progrès ; langue outil ; langue objet ; expérience de la langue ;
représentations ; approche communicative. Learning English in a high school " European » programme : mental conceptions and practices. This research is based on a longitudinal study of two categories of secondary high school pupils, a and vocational, in which a school subject is taught through English, and a control group of pupils who follow a traditional curriculum in a French secondary school. After introducing thecharacteristics of the programmes, the local conditions and specificities of the schools in which the
observations have taken place, and the pupils who have acted as informants in the research, this mental conceptions they hold of their learning processes and of the teaching they receive. The outcomes of the study are first that the communicative competence of European programme pupils and then that direct experience of communicating in a foreign language has a significant cognitive impact on the language proficiency of adolescents in a school context.Key words : European programmes; progress; mental conceptions; focus on form; language as
experience; communicative language teaching.Université Paris-Ouest Nanterre La Défense
Ecole Doctorale Lettres Langues Spectacles
Langues, littératures et civilisations des pays anglophones 3TABLE DES MATIERES
Introduction 8
Chapitre 15
1.1. Les sections européennes 15
1.1.1. Le texte fondateur 15
1.1.2. Les représentations sous-jacentes 15
1.1.3. Implications cognitives et pédagogiques du dispositif 16
1.1.4. Diversité des situations sur le terrain 18
1.1.4.1. Les enseignants des disciplines autres que linguistiques 18
1.1.4.2. Les horaires 20
201.2.1. Pourquoi Chartres ? 20
2126
1.2.4. Le fonctionnement des
291.2.4.1. Le lycée Marceau 29
1.2.4.2. Le lycée Jehan de Beauce 29
1.2.4.3. Le lycée Fulbert 30
1.2.4.4. Conclusion 31
uête 311.3.1. Les sujets et la collecte des données les concernant 31
1.3.2. Le recrutement des sujets et leur adhésion à la démarche 32
1.3.2.1. Pourquoi contribuer à une recherche sur les sections européennes ? 33
1.3.2.2. Pourquoi refuser de participer à une recherche sur
les sections européennes ? 351.3.3. Quelques remarques 37
1.4. Le groupe de contrôle 38
1.4.1. La situation du lycée Racine dans le paysage scolaire parisien 39
1.4.2. Les élèves du groupe de contrôle 40
1.5. Conclusion 41
Chapitre 2. Les inégalités scolaires et leurs représentations 43 432.1.1. Les itinéraires sereins des élèves du lycée Marceau 43
2.1.2. Les itinéraires erratiques des élèves de série professionnelle du
lycée Jehan de Beauce 462.1.3. Situation troublante n°1 49
2.1.4. Les élèves du groupe de contrôle du lycée Racine 51
2.1.5. Situation troublante n°2 53
2.1.6. Conclusion 54
552.3. Groupes dominants, groupes dominés 57
2.3.1. Le sens du placement 57
2.3.2. Les lycéens qui réussissent : " vrais lycéens » et " bons lycéens » 61
2.3.3. Les " nouveaux lycéens » 63
42.3.4. Les " futurs ouvriers » 65
2.3.5. Les découragés 68
2.4. Préoccupations culturelles, préoccupations matérielles 70
2.4.1. Une conception socialement marquée de la culture et de la " vraie vie » 71
2.4.1.1. La musique 75
2.4.1.2. La fréquentation des musées 76
2.4.1.3. La lecture 77
2.4.1.4. Les sports 78
2.4.1.5. La télévision 79
et Internet 792.4.2. Habitus de classe et conditions de vie 81
8586
2.5.2. Un curriculum caché 88
habitus cultivé 92 instance de classement 952.5.4.1. 95
2.5.4.2. Le modèle de la machine cognitive 96
2.5.4.3. La règle du jeu 98
982.5.6. La violence symbolique et la question du sens 102
2.5.7. La postulation égalitaire 104
2.5.8. Conclusion 108
Chapitre 3. des élèves dans leurs productions écrites 1123.1. La nature des productions analysées 113
3.1.1. Ecrits scolaires et écrits sociaux 113
3.1.2. Productions écrites et productions orales 115
1163.2.1. Le nombre de mots 116
3.2.2. La nature des textes : exercices, activités et tâches 117
3.2.3. Les genres discursifs convoqués 120
3.2.4. Des productions écrites pour quels destinataires ? 121
3.3. Quelques exemples tirés des productions écrites des élèves 124
3.3.1. Remarques interprétatives 124
3.3.1.1. Un jugement qui porte uniquement sur des textes 124
125128
3.3.1.4. Sémantique, syntaxe, discours, interaction et expérience 130
3.3.2. La ponctuation 132
3.3.3. Le lexique 135
3.3.3.1. Les savoirs 135
1413.3.3.3. La complexification du lexique 144
3.3.3.4. Conclusion : double énonciation et lexique 144
3.3.4. La morphologie et la syntaxe 146
3.3.4.1. Effets de stagnation ou de régression 147
3.3.4.2. Le domaine verbal 151
3.3.4.3. Conclusion : fossilisation et syntaxe 155
3.3.5. Les suites discursives 155
5 1573.3.5.2. Hypotaxe et parataxe dans les productions des lycéens 158
159availlent deux années consécutives sur les mêmes supports 162
3.3.6.1. Les deux yearbooks 162
3.3.6.2. Animal Farm et The glass ménagerie 163
3.3.7. Le cas des lycéennes bilingues 164
ur 1663.4.1. Le stress 166
3.4.2. Les " » 168
3.4.3. Les calques 169
1713.4.5. Interlangues et pidgins 174
3.5. Conclusion 176
Chapitre 4. Les représentations que les élèves et de son fonctionnement 1824.1. Les aspects motivationnels 183
1834.1.1.1. Les élèves de section européenne du lycée Marceau 183
4.1.12. Les lycéens professionnels du lycée Jehan de Beauce 185
1874.1.3. La discipline enseignée en langue étrangère, facteur de motivation ou
de remotivation 1914.1.3.1. Ce que les élèves de section générale perçoivent de
leur enseignement en anglais 1914.1.3.2. Ce que les élèves de section professionnelle perçoivent de
leur enseignement en anglais 192 nseignement disciplinaire en langue étrangère 1934.2. Analyse des représentations des élèves 195
4.2.1. Les représentations du vécu scolaire 196
4.2.1.1. Histoires personnelles 196
4.2.1.2. La perception de la " bonne classe » 199
4.2.2. Les représentations du système éducatif 203
2074.2.4. Les représentations de la discipline " anglais » 211
4.2.4.1. Le contenu de la discipline 212
4.2.4.2. Enseignement de la grammaire et maîtrise de la métalangue 215
4.2.4.3. " Anglais scolaire » et " anglais authentique » 219
4.2.4.4. Anglais et L1 222
4.2.4.5. Anglais et autres langues étrangères pratiquées en contexte scolaire 225
4.2.4.6. Anglais et disciplines non linguistiques enseignées en anglais 227
4.2.5. Les représentations du bon élève 230
4.2.5.1. Définition du bon élève 230
4.2.5.2. Homogénéité et hétérogénéité 231
4.3. Conclusion : les dimensions individuelle et collective des représentations des élèves 234
6 Chapitre 5. Les attitudes et les stratégies des élèves 2375.1. La prise en charge cognitive de leurs progrès par les élèves 237
5.1.1. Qui fait les choix ? 237
5.1.1.1. Les élèves du lycée Marceau 237
5.1.1.2. Les élèves du lycée Jehan de Beauce 239
5.1.2. La question de la gestion du temps 241
5.1.2.1. Les élèves du lycée Marceau 241
5.1.2.2. Les élèves du lycée Jehan de Beauce 243
5.1.2.3. La question de la consommation 245
2465.1.4. La mémorisation et les stratégies métacognitives 249
5.1.4.1. La mémorisation 249
5.1.4.2. Autres stratégies métacognitives 251
5.1.5. La " » 254
2565.2.1. La lecture 257
262262
5.2.2.2 265
5.3. Les voyages et partenariats scolaires 267
5.3.1. Aspects motivationnels 268
5.3.2. Aspects acquisitionnels 270
5.4. Décentration et anomie 276
5.5. Conclusion : rapport " magique » au savoir et réflexion cognitive et métacognitive 280
Chapitre 6. De la langue objet à la langue expérience 285 2866.1.1. Les points de convergence 287
6.1.2. La question de la transdisciplinarité 291
6.1.3. La théorie du " maître ignorant » 297
6.1.3.1. Les dimensions pédagogique et didactique 297
6.1.3.2. La dimension sociopolitique 302
6.1.4. Conclusion : les stratégies discursives de " survie » 305
307309
6.2.2. Identités de groupes 311
6.2.3. Le développement du narcissisme 316
321Conclusion 324
Bibliographie 334
347Index des informateurs lycéens 349
Index des auteurs cités 350
7REMERCIEMENTS
Je voudrais en premier lieu remercier les proviseurs et proviseurs-adjoints des lycées logistique considérable : Monsieur Palluau et Madame Parpaillon au lycée Fulbert, Monsieur Dubusset et Madame Daniel au lycée Jehan de Beauce, Monsieur Sanz, Madame Benchehida et Monsieur André au lycée Marceau, Madame Gory et Madame Martegoutte au lycée Racine. Je souhaite souligner la reconnaissance toute particulière que je dois à Madame Daniel pour porté à ce travail, appui et intérêt qui ont représenté un soutien dans les à qui je suis très reconnaissant, resteront anonymes, mais je ne peux que faire une exception dans le donné la permission ossibilité dans laquelle réflexion lors de ces moments informels. lesFrançoise Gautier et Kathy Hénault ont relu avec sagacité certaines parties de ce travail. Je leur
suis très reconnaissant de cette aide généreusement dispensée et de la pertinence de leurs
suggestions.Je voudrais enfin remercier le professeur Anne Trévise, qui a accepté la tutelle de ce travail, et
criture. 8INTRODUCTION
exercices et activités ressortissant à des méthodologies héritées du passé ont encore cours, et
méthodologique ancien. On peut citer par exemple la méthodologie traditionnelle, dite
" grammaire-traduction », que les instructions officielles de 1901 ont en principe supprimée (Puren, 1988), mais que certains enseignants utilisent encore, par exemple dans des thèmesgrammaticaux. Puren emploie le terme de " théories associatives » (1988 : 66) pour décrire les
langue en domaines de savoir. Ces approches pédagogiques offrent une vision de la langue jeux de construction) de savoirs lexicaux, grammaticaux, phonologiques, et la pratique linguistique son obsolescence, est encore très prégnante dans le paysage éducatif français. représentations des acteurs du système éducatif encore plus. Cependant, la doxainstitutionnelle a, depuis le milieu des années 1960, abandonné les théories associatives pour
promouvoir des " théories cognitives » (166), qui tendent à prendre en compte les processuscelle de la dichotomie entre deux conceptions de la langue étrangère, une conception
disciplinaire (la langue est une discipline scolaire à côté des arts plastiques ou des
9 mathématiques) et une vision pragmatiqueélèves capables de communi
cherchera à rendre naturelles, ou aussi proches de la communication authentique que vivantes ont modifié le statut de la langue étrangère cours de gram il au outil instrumentalisation de la langue ne sont pas polyfonctionnalité et une labilité constitutives quclassique dans les études didactiques, qui consiste à opposer les deux expressions langue objet
et langue outil, pour distinguer deux statuts possibles de la langue vivante dans les situations didactiques et pédagogiques. La mise en place de la réforme du lycée en classe de 2ndenouveau programme pour les langues vivantes, dans lequel est mentionnée la possibilité
élargir le champ des enseignements en langue étrangère, en enseignant une discipline nonlinguistique en langue vivante, notamment en série littéraire » (MEN, 2010). C-à-dire que -
de manière encore timide, certes, mais pourtant explicite - est suggérée pour la première fois
vivante en lui donnant la finalité pragmatique inhérente aux échanges discursifs non scolaires.
La mise en place de ce nouveau dispositif, et la reprise du terme de discipline non linguistique, connu dans le cadre plus étroit des sections européennes (MEN, 1992), reconnaît sans doutefont cours dans des langues autres que le français à des élèves scolarisés par ailleurs dans des
structures tout à fait ordinaires. 10langues vivantes étrangères qui corresponde exactement à la réalité du processus. Car si, dans
ec lequel ils souhaitent interagir, pour en obtenir des informations ou lui en communiquer (la langue en de soi, une expérience affective :Dans la réalité, ce ne sont pas des mots que nous prononçons et entendons, ce sont des vérités ou des
mensonges, des choses bonnes ou mauvaises, importantes ou triviales, agréables ou désagréables,
idéologiques ou ayant trait à la vie (Volochinov, 1929, trad. 1977 : 102-103)1 ; : celangage, pour utiliser la vieille métaphore heideggérienne, on habite la langue. La conséquence est
conséquence est que la communication ne peut -être pas même la plus importante
: 69-70).à propos du sens de ce rapport :
Jndispensable de survie qui force
(Bruner, 1983b, trad. 1987 : 18-19).De toute évidence, il est difficile de ne pas admettre que le même jeu de rapports est aussi à
de L2.1 Volochinov ou Bakhtine r Lecercle (2004 : 101-102).
11 Cette question me paraît en effet centrale et peu perçue par les enseignants de langue, qui ante que leVolochinov :
et détermine son orientation (1929, trad. 1977 : 122-123).non linguistique. Lorsque ces élèves étudient une discipline en anglais au lieu de le faire en
langue étrangère dans un enseignement de cet ordre doit impliquer pour les apprenants des représentations différentes de la langue, un comportement différent, un investissement différent. Des trois rôles que Porquier et Py attribuent aux élèves ués en situation scolaire - situation de pratiquer la langue en contexte exo-à- avec des locuteurs " naturelsélèves de lycée professionnel, les trois dernières années de leur parcours de quatre en lycée),
et dde ces élèves, par une étude de leurs productions écrites en anglais, là encore sur une durée
s dans deux directions : d bre important de devoirs écrits par ces mêmes élèves au cours de leur scolarité en lycée.Par représentation
la réalité socio-scolaire dans laquelle il se trouve. La notion a don 12 système en question diverses, psychologiques, sociales, pédagogiques, ou institutionnelles. Il conviendra évidemment de faire preuve de prudence dans les interprétations des représentations des élèves, puisque tout matériau humain est par définition labile. interlangue générale, celle que propose Vogel dans un ouvrage plus récent : totalement avec cette langue-cible (1990, trad. 1995 : 19).On parlera de progrès
régression simplificateurs, me semblent correspondre à peu près à ce que mes informateurs eux-mêmes leurs représentations. er(chapitre 1) par brosser un tableau de la réalité des sections européennes et plus
particulièrement de celles sur lesquelles porte cette étude. Bien que régies par un cadre
ministériel général, les sections européennes sont, par nécessité administrative, intégrées au
fois sur les textes officiels régissant leur organisation, sur des études proposées par des
ropéenne. Je chercherai, dans le deuxième chapitre, à mettre enregard la réalité spécifique des sections européennes étudiées et les grilles de lecture que nous
Cette dimension sociolog
simple, qui tient au fait que, dans de nombreux établissements scolaires, le dispositif des 13 dans les apprentissages et appartiennent à des milieux favorisés socialement etculturellement, qui colonisent (Van Zanten, 2001) à leur bénéfice les projets et dispositifs
dérogatoires, ou quasiment dérogatoires, mis en place par les établissements scolaires. Non les apprentissages, mais elle permet aussi de poser le problème politique (au sens originel du scolaire, à différents niveaux. naturel upe,elle acquiert une légitimité culturelle qui modifie les représentations que les membres de ce
groupe se font de la langue et de son apprentissage, et prend, de ce fait, un plus grand
pouvoir trouver une trace de ce changement dans les productions langagières des élèves de cette enquête, dans le sens consacré à une analyse des productions interlinguales des apprenants qui ont participé à ma recherche. Je tenterai de compléter etrévéler sur leurs représentations (chapitre 4), ainsi que sur leurs attitudes et stratégies
(chapitre 5).Les représentations des lycéens, leurs attitudes et leurs stratégies, conscientes ou subies,
correspondent à des réalités scolaires, sociales et sociopolitiques qui dépassent largement le
chercher à savoir si certains lycéens parviennent à parcourir avec succès le chemin qui va de la
-à-dire deviennent en même temps les véritablesauteurs de leurs progrès en L2 et des sujets à part entière dans cette langue étrangère
(chapitre 6). Je tenterai aussi, dans ce même chapitre, de mettre en évidence le lien entre 14 publics spécifiques auxquels c semblé que la question centrale que pose le dispositif des sections européennes est de nature donc aussi cette même dimension sociologique que je convoquerai à la fin de mon étude.érés par les
lycéens concernés et par leurs familles au regard des objectifs des sections européennes, à la
sociaux. Dans toute société, en effet, les problématiques linguistiques et les problématiques
sociales sont fortement corréléesquotesdbs_dbs49.pdfusesText_49[PDF] Anglais phrase passive 3ème Allemand
[PDF] Anglais phrases sur les fêtes que l'on fait en France 5ème Anglais
[PDF] Anglais port d'armes 1ère Anglais
[PDF] Anglais possesion d'armes USA 2nde Anglais
[PDF] anglais pour demain 1ère Anglais
[PDF] Anglais POUR DEMAIN PPC 1ère Anglais
[PDF] Anglais pour jeudi 5ème Anglais
[PDF] anglais pour les nuls pdf ebook PDF Cours,Exercices ,Examens
[PDF] anglais present 4ème Anglais
[PDF] Anglais Present perfect & Preterit 4ème Anglais
[PDF] anglais présent perfect english 4ème Anglais
[PDF] Anglais présentation 2nde Anglais
[PDF] Anglais présentation du film 3ème Anglais
[PDF] Anglais preterit 3ème Anglais