Annexe_méthode de calcul
Si le coefficient de transmission thermique U d'une paroi est défini à partir de l'année de construction : • si le bâtiment date d'avant 1975 la paroi est
Annexe Méthode de calcul TH-C-E ex
9.2.3 Situation 2 : Méthode pour le calcul du bâtiment initial et pour le calcul du projet si le système de ventilation du projet est inchangé par rapport
Méthode de calcul Th-BCE 2012
3 févr. 2010 3.2.5 L'ORGANISATION INTERIEURE DU BATIMENT . ... 7.2.3.3.1 Calcul des besoins de chaud. - mensuels par bâtiment. RT.
Untitled
1 Arrêté du 8 octobre 2021 modifiant la méthode de calcul et les modalités Cette valeur était utilisée pour certains bâtiments construits avant 1975.
ANNEXE II : Méthode de calcul détaillée « Th-BCE 2020 » SOMMAIRE
bâtiment intervenant dans la méthode de calcul sont définis de façon conventionnelle. Le coefficient Bbio exprimé en points caractérise l'efficacité
Comprendre et appliquer la Réglementation Thermique de la
10 mai 2011 10 ANNEXE : MÉTHODE SIMPLIFIÉE POUR LE CALCUL DE U (EXTRAIT DE LA RTAADOM) ... nouvelles de bâtiments en Guadeloupe (RTG)» dans sa version ...
Documents de Travail de la DG Trésor Numéro 2017/02 (Mars 2017
2 mars 2017 3.4 Calcul de la VAN . ... La rénovation thermique des bâtiments résidentiels constitue un ... Annexe –Méthode 3CL-DPE : http://www.rt-.
Comprendre et appliquer la Réglementation Thermique de la
8 ANNEXE : METHODE SIMPLIFIEE POUR LE CALCUL DE U (EXTRAIT DE LA RTAADOM) caractéristiques thermiques de l'enveloppe des bâtiments nouveaux et des ...
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10 mai 2011 10 ANNEXE : METHODE SIMPLIFIEE POUR LE CALCUL DE U (EXTRAIT DE LA RTAADOM) ... nouvelles de bâtiments en Guadeloupe (RTG)» dans sa version ...
Numéro 2017/02
± Mars 2017
Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 1BARRIÈNT DANS
IQUE : QUELS OUTILS
POUR QUELLES ÉCONOMIES ?
Isabelle CAMILIER-CORTIAL*
Alexis LOUBLIER*
Étienne PERROT*
Arthur SOULETIE*1
critiques. * Isabelle CAMILIER-CORTIAL est en poste à la Direction Générale du Trésor au Ministère des Finances (France) isabelle.camilier-cortial@dgtresor.gouv.fr (+33-1-44-87-14-35) * Alexis LOUBLIER est en poste à la Direction Générale du Trésor au Ministère des Finances (France) alexis.loublier@dgtresor.gouv.fr (+33-1-44-87-71-19) * Étienne PERROT est étudiant à (France) * Arthur SOULETIE est en poste à la Direction Générale du Trésor au Ministère des Finances (France) arthur.souletie@dgtresor.gouv.fr (+33-1-44-87-14-30) 1 (UFE) pour les multiples échanges concernant leur enquête. Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 2Table des matières
Résumé ................................................................................................................................. 3
Synthèse ............................................................................................................................... 4
1. Introduction ....................................................................................................................... 6
2. Modélisation de la rentabilité privée et socio-économique des investissements en
présence de défaillances de marché et de comportements irrationnels ...........................10
2.1 Rentabilité privée.........................................................................................................10
2.2 Rentabilité socio-économique .....................................................................................11
2.3 Calibration des paramètres .........................................................................................11
3. Les données ....................................................................................................................12
3.1 .......................................................................................................12
3.2 ..........................................................................................................13
3.3 Coûts et gains associés aux principaux travaux ..........................................................13
3.4 Calcul de la VAN .........................................................................................................14
3.5 Différences méthodologiques par rapport à UFE (2013) ..............................................14
4. .......................................................15
4.1 Comparaison des travaux de rénovation en termes de coûts, durées de vie et
4.2 ...............................................................................16
4.3 Tests de robustesse ....................................................................................................17
4.3.1 ...........................................................................17
4.3.2 Variation des coûts cachés..............................................................................18
5. avec les
préférences socio-économiques sur le stock de gisements rentables ..............................19
5.1 ....................................................................................19
5.2 Gisement chez les locataires .......................................................................................20
5.3 Ménages à faibles revenus et contrainte de crédit .......................................................21
6. ........................................................22
7. ..........................................................................24
8. Implications en termes de politiques publiques ................................................................25
9. Conclusion .......................................................................................................................27
Bibliographie ........................................................................................................................28
Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 3 rentable pour les ménages compris entre 32 et 51 TWh, hors prix du carbone. En particulier, certains travaux comme les robinets thermostatiques ou les programmateurs sontsystématiquement rentables. Plusieurs défaillances de marché ou biais cognitifs peuvent
réponse. prix sur le carbone augmente le gisement rentable de 5 à15 TWh (pour un prix du carbone de 400 . Il existe par ailleurs, même
avec un prix du carbone, un stock de gisements rentables du point de vue socio-économique mais non rentable du point de vue privé de 6 à 28 TWh. In this paper, using data from the Phebus survey, we show that there is a profitable thermal renovation potential estimated between 32 and 51 TWh of energy savings in the French residential sector, even in the absence of a carbon price. In particular, certain types of thermal renovations, such as thermostatic valves or thermostatic programmers, are systematically profitable. However, households fail to exploit a significant part of these profitable investment opportunities in energy efficiency, due to several market failures or cognitive biases. Several different tools are thus required in response. We show that introducing a carbon price increases the potential of energy savings through profitable thermal renovations by 5 to 15TWh (for a carbon
price, there is an energy savings potential that is profitable from a socio-economic point of view but not from a private point of view, ranging from 6 to 28 TWh. Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 4La rénovation thermique des bâtiments résidentiels constitue un levier essentiel de la transition
énergétique et de réduction de la facture énergétique dans la mesure où le logement
résidentiel représente énergie. La loirelative à la transition énergétique pour une croissante verte (LTECV), votée en 2015, a ainsi
fixé, entre autres objectifs, une cible de 500 000 rénovations par an à compter de 2017. Les
études montrent en général e potentiellement des gisements de rénovation très rentables, mais que les investissements correspondants ne sont pas réalisés car le marchéde la rénovation thermique est caractérisé par de nombreuses défaillances (asymétrie et
locataires, contrainte de crédit) cachés ». Par ailleurs, comportements économiquement irrationnels(biais cognitif, préférence pour le présent, rationalité limitée). Une intervention publique accrue
nécessaire et de fait, e en place pour déclencher les investissements (par exemple : transition énergétique, Eco-PTZ, Les études existantes sur la rénovation thermique portent essentiellement sur des donnéesévaluent rarement le gain à attendre des différents outils mis en place pour lever ces freins.
techniquement accessibles mais pas comment les différentes défaillances affectent . Par ailleurs, à notre connaissance, aucune étude ne fournit uneanalyse distinguant la rentabilité privée de la rentabilité socio-économique des opérations de
rénovation, distinction pourtant indispensable pour la juste conception des politiques publiques. Dans ce contexte, cette étude propose une évaluation des économ (isolation, chauffage, programmation, eau chaude sanitaire), en distinguant leur rentabilité àla fois privée et socio-économique et en tenant compte des diverses défaillances de marché
et des comportements irrationnels identifiés. Une telle distinction est déterminante pour la formulation de recommandations de politiques publiques efficaces et la calibration dunéventuel soutien financier public. À partir des données issues des diagnostics de performance
, Ylios de 2016 sur les coûts et les bénéfices des investissements le de , nous calculons pour chaque opération de rénovation une valeur actualisée nette (VAN). En particulier, nous distinguons , relativement élevé en e préférence pour le court terme plus marquée chez les ménages et un taux -économique plus faible reflétant les gains pour la collectivité au fil du temps. En classant les actions par VAN décroissantes, nous identifions le stock de gisements rentables du point de vue privé et du point de vue socio-économique. Les données permettent important de rénovations thermiques rentables pour les ménages, compris entre 32 et 51 TWh (soit 7 à 11 % de concernent entre 5 et 9 millions de logements, yémissions de carbone.
Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 5 Nous examinons ensuite comment la rentabilité est affectée par les diverses défaillances de marché et les biais cognitifs afin de suggérer des mesures de politique publique adéquates. Cette étude suggère la pertinence, selon les cas, de mesures informatives, de normes ou de mesures favorisant l pour permettre la réalisation des investissements correspondants. Les données soulignent également problème locataire/propriétaire, puisque 12 à 20 TWh se trouvent chez des ménages non propriétaires de leur logement. Par ailleurs, notre étude permet de montrer forte augmentation du niveau de la taxe carbone rend rentable pour les ménages une partie significative des gisements (entre 12 et 15 TWh en plus pour une taxe à400 CO2 en 2030). Enfin, entre 6 et 28 TWh de gisements apparaissent rentables du point
de vue socio-économique mais pas privé, ce qui justifie que des mesures de type subventions puissent être envisagées pour déclencher les investissements ainsi identifiés. permet Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 61. Introduction
Le secteur du bâtiment (résidentiel et tertiaire) en France (45,1 % de la consommation finale en 2014) et émet environ 20 % des gaz à effet de serre (GES). En particulier, le secteur résidentiel représente 30,5 % de la consommation des opérations de rénovation thermique constitue donc un enjeu essentiel de la transitionénergétique
énergétique pour une croissante verte (LTECV), adoptée en août 2015, a ainsi fixé plusieurs
objectifs ambitieux qui concernent directement ou indirectement le secteur résidentiel : Réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) de 40 % en 2030 par rapport au niveau de 1990 et de 75 % en 2050. La stratégie nationale bas-carbone, qui décline ces objectifs par secteur, prévoit une baisse des émissions de 99 MtCO2eq à46 MtCO2eq , soit une
baisse de 54 %. Réduction de la consommation énergétique finale de 50 % en 2050 par rapport à 2012. Rénovation de 500 000 logements par an à partir de 2017, dont la moitié est occupée par des ménages modestes 2020.Plusieurs études mettent en avant des gains potentiellement importants
Unis, 835 Mt de CO2 pourraient ainsi être évitées, correspondant à une économie de 45 Md$
2030, le secteur résidentiel représentant environ 40 % de
techniquement accessible de rénovation énergétique à horizon 2020 (estimé à 89 TWh) et
compris entre 14 TWh et38,5 TWh selon les spécifications retenues. Plus généralement, Allcott et Greenstone (2012)
ées 1980 une littérature importante montrant que certains pour les ménages, -à- issement est inférieur au gain de revenu lié à la baisse de la consommation de prise en compte des externalités liées auxémissions.
Cependant, en dépit des économies potentiellement élevées et donc des gains de bien-être
associés, il existe un sous-investissement manifeste dans ces actions de rénovation même quand celles-ci sont rentables a essayé energy efficiency gap »2. Les différentes explicationsapplicables au secteur du résidentiel (i.e. essentiellement à la rénovation3) peuvent être
rangées dans les catégories suivantes : préférences individuelles marquées (aversion au
, comportements irrationnels, coûts cachés, défaillances de marché. Il est cependant nécessaire de noter qu'une part non négligeable estimations des gisements potentiels et les investissements réalisés pourrait aussi venir Allcott et Greenstone (2012), la plupart des analyses ne tiennent pas compte de la consommation réelle et bâtiment, par exemple en consommant moins quand leur logement a une faible efficacitéénergétique. Ainsi, paradoxalement conduire
effet rebond ») si une partie des2 Cf. Allcott et Greenstone (2012) ou Gillingham et Palmer (2014) pour des synthèses de cette littérature.
3 La plupart de ces problèmes ne se rencontrent pas dans le bâtiment neuf.
Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 7 réinvestie dans de nouveaux usages énergétiques ou dansPar ailleurs, les estimations de performance
énergétique effective peuvent être biaisées (Blasnik, 2010), ce qui conduit également à une
surestimation des gains escomptés. Les écarts entre performance énergétique théorique et
énergétique liée au chauffage (Cayla et al., 2010) ex-post (Suerkemper, 2012)4.Les différences entre les préférences individuelles, notamment une certaine préférence pour
le court terme, socio-économique, -économiquement rentables. Les ménages ont élevé, reflétant une forme de myopie et la valorisation de gains sur une durée plus courte, ce qui réduit mécaniquement la rentabilité des investissements. Newell et Siikamaki (2015) estiment des taux américaines et montrent que les ménages avec un plus faible investissent davantage acité énergétique. Une aversion au risque élevée peut également contribuer au sous-investissement par rapport aux gisements socio-économiquement rentables. dans la rénovation énergétique présente plusieurs risques, avec notamment des in fine Les ménages les plus averses au À ménages peuvent avoir des préférences environnementales qui les poussent à investir dans les technologies réduisant la consommation, même si ces technologies présentent une rentabilité faible. Cependant, Diaz-Rainey et Ashton (2015) montrent que les motivations environnementales sont moins souvent citées que les incitations monétaires comme justification des travaux. De même, la revue de littérature de Schleich et al. (2016) indiqueLes comportements irrationnels ou les biais cognitifs ont également un effet négatif sur
, et peuvent expliquer que des investissements rentables ne soient pas réalisés. La rationalité limitée des agents, i.e. le fapas la capacité (ou pas2014).
Le biais en faveur du statu quo peut expliquer que certains travaux ne soient pas entrepris (Brown et al., 2013). Une forte préférence pour le présent5 peut biaiser les investissements, notamment temps de retour4 La question de la mesure de la performance énergétique réelle des bâtiments sera amenée à prendre de
des bâtiments vise la basse consommation.5 La préférence pour
modéliser avec des préférences hyperboliques (Laibson, 1997). Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 8 assez long. Cohen et al. (2015) réfrigérateurs. La distorsion des probabilités (surestimation des faibles probabilités et sous-estimation des fortes probabilités, cf. Kahneman et Tversky, 1979) pourrait limiter nouvelles technologies plus efficaces6, mais à notre Il peut également exister des coûts cachés comme le fait que les travaux peuvent prendre du privée et socio-économique. Enfin, les défaillances de marché sont nombreuses dans le domaine de la rénovation, et constituent des freins potentiellement très importants Les sont insuffisamment valorisées dès lors que le prix de incluant de multiples externalités (émission de GES, sécurité énergétique). Il gains à attendre de la rénovation thermique. Les ménages peuvent ne pas connaître s. Par ailleurs, travaux rénovation. Palmer et al. (2012) ou Allcott et Taubinksy (2015) montren meilleure information augmente . De même pour Giraudet (2015), un système de garantie de performance permet de réduire Les incitations sont, dans le cas de la relation locataire-bailleur, mal orientées. Les propriétaires en cas ils peuvent ne pas bénéficier directement durées de retour , et locataires à les entreprendre. occupant du logement habité augmentait la probabilité de réaliser des travaux le montant de ces travaux) pour presque tous les usages7. Par ailleurs, en analysant la vitesse de diffusion des technologies, Diaz- Rainey et Ashton (2015) montrent que les ménages propriétaires sont plus souvent des " innovators » ou " early adopter -à-dire des ménages qui adoptent les premiers ces technologies. En France, les propriétaires-occupants représentaient57,6 % des résidences principales en 20138. Le problème locataire-bailleur concerne
La complexité des droits de co-propriété, et notamment la division du pouvoir de décision, dans les travaux de rénovation. long, et de manière incertaine, pour un coût fixe initial important. Il en résulte des6 Liu (2013) montre sur des données chinoises que les fermiers qui distordent les petites probabilités adoptent
7 (cf. Ameli et Brand, 2015 ;
8 Source : Insee et SOeS.
Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 9 nécessaire à la réalisation de ces travaux, qui peuvent rendre difficile le financement des travaux pour les ménages les plus modestes. point de vue socio- potentiellement très diverses qui appellent une réponse différenciée il existe un écart entre le stock de gisements -économique etsocio-économique mais pas du point de vue du ménage peut en théorie être favorisé via une
subvention publique calibrée de manière à rendre le projet tout juste rentable pour le ménage.
Ensuite, il existe des projets qui sont rentables pour les ménages mais qui ne sont pas réalisés.
asymétrie ou d , le problème peutêtre réduit pa
rentables et peu coûteuses) ou nudge9 (en jouant notamment sur la comparaison sociale) peuvent être adoptés. internalisées en donnant un prix au carbone, via une taxe ou un marché des quotas. Enfin, des mécanismes de subvention peuvent être étudiés pour lever certaines contraintes d au crédit. Les études mentionnées supra, et de quantifier les barrières à , portent essentiellement sur des donnéesaméricaines et évaluent les obstacles de manière séparée, utilisant diverses approches, sans
en proposer une analyse complète. Au niveau français techniquement accessibles10, pas le stock de gisements disponibles ni ne chiffre ldes différentes défaillances identifiées. Par ailleurs, à notre connaissance,aucune étude ne fournit une analyse distinguant la rentabilité privée de la rentabilité socio-
économique des opérations de rénovation, distinction pourtant indispensable pour la juste conception des politiques publiques. de ce document de travaille secteur résidentiel français en fonction de leur rentabilité à la fois privée et socio-
Enfin, nous utilisons ces différentes estimations pour proposer des recommandations destinées à lever efficacement les freins s.Notre étude se concentre sur le parc des résidences principales en France métropolitaine, qui
représentent 82 % du parc total. Par ailleurs, nous ne prenons en compte que les logements construits avant 1990 (soit 75 % du parc) qui sont les logements essentiellement concernés par la rénovation, les normes de performance énergétique étant beaucoup plus exigeantes pour la construction des logements plus récents. En outre, faute de données suffisantes, les rénovations liées au chauffage collectif dans les immeubles sont exclues de notre étude.Le reste du papier est organisé de la façon suivante : la partie 2 présente la modélisation
retenue pour évaluer la rentabilité socio-économique et privée en présence de défaillances de
tionalité des ménages. La partie 3 présente les données utilisées et leur traitement. La partie socio-économique. La partie 5 nalité des ménages sur la rentabilité des gisements. La partie 6 réalise une analyse des gisements9Nudge désigne les mécanismes orientant le choix des individus dans une direction donnée. Allcott et Mullainathan
comportant la consommation des ménages et la consommation moyenne dans le quartier, ainsi que des conseils pour réduire la consommation. 10 entreprises du secteur. Les Cahiers de la DG Trésor n° 2017-02 Mars 2017 p. 10 . La partie 7 discute ces résultats. La partie 8 développe les implications en termes de politiques publiques et la partie 9 conclut.2. Modélisation de la rentabilité privée et socio-économique des
investissements en présence de défaillances de marché et de comportements irrationnels2.1 Rentabilité privée
Nous reprenons et adaptons la modélisation proposée par Allcott et Greenstone (2012), quipermet de séparer la rentabilité privée et la rentabilité socio-économique des actions de
rénovation en présence de défaillances de marché et de comportements irrationnels. La
ménage i e privé, i.e. -à-dire la somme des gains futurs actualisés en déduisant les coûts cachés estimés) est
supérieure au coût des travaux, y compris le coût du crédit contracté pour les réaliser. Cela
peut : (1)Avec le ௧ le prix des énergies à la date t, I௧ une fonction reprenant les préférences du
ménage i et les actions associées à ces préférences, ݁4 APA5 la consommation énergétique
privé, ߬ empê, ou gains non chiffrés11), ܿdu projet12 hors frais financiers, &௧ la dette contractée restante (i.e. la dette initiale moins
pour financer la rénovation (en supposant quele ménage a accès au crédit) et ݎ௧ payé sur cette dette à chaque période, ߠ
les préférences individuelles le coût du dividus13). Pour tenir compte des problèmes de comportements irrationnels, on pose ߛ s :௧ൌL௧quotesdbs_dbs23.pdfusesText_29
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