Études de communication 44
Jun 1 2015 et Liebes T.
SOCIOLOGIE GENERALE S1 2. La culture MEEF SES – Fabien
Katz Elihu et Liebies Tamar « Six interprétation de la serie Dallas ». Hermes
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC MÉMOIRE PRÉSENTÉ À LUNIVERSITÉ
Six interprétations de la série «Dallas». Hermès 11-12
Les pratiques numériques des femmes fans des feuilletons télévisés
Jun 26 2019 1992 « Six interprétations de la série “ Dallas ” »
Le rôle des personnages principaux de séries américaines dans l
sur la série Dallas (Six interprétations de la série Dallas 1993) qui entre en ligne de compte. La lecture référentielle
Le rôle des personnages principaux de séries américaines dans l
sur la série Dallas (Six interprétations de la série Dallas 1993) qui entre en ligne de compte. La lecture référentielle
Réception par satellite et internet des médias arabes transnationaux
Six interprétations de la série Dallas. Traduit de l'anglais par. Macé Eric et Daniel Dayan. Paris: Hermès
Les jeux dacteurs dans les formes despaces publics au Cameroun
Oct 2 2014 127 KATZ Elihu LIEBES Tamar
Publictionnaire Huma-Num
Sep 20 2015 Liebes T.
Actes de travaux du groupe de travail « Sociologie de la
Sep 11 2022 LIEBES T. & KATZ E.
![Études de communication 44 Études de communication 44](https://pdfprof.com/Listes/38/9769-386124.pdf.jpg)
Études de communication
langages, information, médiations44 | 2015
Pratiques télévisuelles à l'ère du numériqueTelevision practices in the digital age
Élodie
Kredens
etFlorence
Rio (dir.)Édition
électronique
URL : http://journals.openedition.org/edc/6124
DOI : 10.4000/edc.6124
ISSN : 2101-0366
Éditeur
Université de Lille
Édition
impriméeDate de publication : 1 juin 2015
ISBN : 978-2-917562-13-0
ISSN : 1270-6841
Référence
électronique
Élodie Kredens et Florence Rio (dir.),
Études de communication
, 442015, "
Pratiques télévisuelles à
l'ère du numérique » [En ligne], mis en ligne le 01 juin 2015, consulté le 02 novembre 2020. URL http://journals.openedition.org/edc/6124 ; DOI : https://doi.org/10.4000/edc.6124 Ce document a été généré automatiquement le 2 novembre 2020.© Tous droits réservés
Sous l'impact d'internet et des technologies numériques, la télévision connaît desévolutions notoires du point de vue de son offre, de ses modes de diffusion et de ses
supports de programmation. De nouveaux dispositifs transmédia et plurimédia voient notamment le jour et viennent redéfinir les contours de l'" observable médiatique », modifiant ainsi le traditionnel triptyque sémio-pragmatique " production-dispositif- réception ». Dans le dossier de ce numéro, il s'agira d'appréhender les mutations de l'objet télévisuel et de proposer une réflexion sur les rapports qu'entretiennenttélévision et dispositifs numériques. Ce dossier abordera ainsi la question des stratégies
de chaînes en interrogeant les logiques transmédiatiques en jeu dans la télévision mobile et applicative. Il reviendra également sur les usages des dispositifs numériques et leur visée participative pour enfin considérer les pratiques et les représentations télévisuelles en construction. The impact of the Internet and digital technologies has led to significant changes in television's range of offerings, distribution modes and programming formats. New and emerging transmedia and multimedia devices are currently modifying the traditional semio-pragmatic media triptych of "production-device-reception." The thematic dossier of this issue of Études de communication seeks to apprehend television's ongoing transformation and to consider the relationships between television and digital devices. The dossier explores the strategies put into play by TV channels through consideration of the transmedia phenomena involved in mobile television. It also considers the uses of digital and participatory devices, as well as viewers' practices and the emerging representations of the televisual environment.NOTE DE LA RÉDACTION
Comité de lecture du numéro 44 (dossier) : Ghislaine Azémard (Université Paris 8),Stéphane Benassi (Université Lille 3), Mélanie Bourdaa (Université Bordeaux 3), Hélène
Bourdeloie (Université Paris 13), Alain Lamboux-Durand (Université de Valenciennes), Laurence Leveneur (Université Toulouse 1), Marc Lits (Université Catholique de Louvain), Guy Lochard (Université Paris 3), Jacques Noyer (Université Lille 3), Sébastien Rouquette (Université Clermont-Ferrand), Céline Ségur (Université de Lorraine), Sarah Sépulchre (Université Catholique de Louvain), Gaëtan Tremblay (UQAM), GenevièveVidal (Université Paris 13).
Comité de lecture du numéro 44 (varias) : Pierre Delcambre (Université de Lille 3), Benoît Lafon (Université de Grenoble 3), Laurence Favier (Université de Lille 3), JacquesNoyer (Université de Lille 3).
Études de communication, 44 | 20151
SOMMAIREPratiques télévisuelles à l'ère du numériqueIntroductionElodie Kredens et Florence RioLa télévision à l'ère numérique : entre pratiques émergentes et reconfiguration de l'objetmédiatiqueElodie Kredens et Florence RioRelookez-vous ! Des plateformes numériques à l'appui du spectateur expert de son proprelookNelly QuemenerLa télévision sur smartphone : ressorts et implications du renouvellement des modalitésd'agrégationVirginie SonetLes pratiques de réception télévisuelle dans les foyers à l'épreuve de l'audiovisuel numériqueGuillaume BlancLes pratiques télévisuelles des jeunes à l'ère du numérique : entre mutations et permanencesAmandine Kervella et Marlène Loicq" Du rendez-vous télé » au binge watching : typologie des pratiques de visionnage de séries
télé à l'ère numériqueClément Combes
Du télé-spectateur au télé-visionneur. Les séries télévisées face aux mutations des
consommations audiovisuellesLucien Perticoz et Catherine Dessinges
Varias
De la légitimation à la mise à distance : les journalistes face aux experts dans les débats
télévisés relatifs au terrorisme islamiqueBochra Nemri
La " société de l'information » : entre résurgence et oubli d'un concept cybernétiqueImane Seane
Notes de lecture
Sylvie Périneau (dir.) : Les formes brèves audiovisuelles. Des interludes aux productions webFlorence Thiault
Mattéo Tréléani : Mémoires audiovisuelles. Les archives en ligne ont-elles un sens ?Laure Bolka
Études de communication, 44 | 20152
Béatrice Damian-Gaillard, Sandy Montañola et Aurélie Olivesi (dir.) : L'assignation de genre dans les médias. Attentes, perturbations, reconfigurationsSarah Lécossais
Bernadette Dufrêne, Madjid Ihadjadene, Denis Bruckmann (dirs.) : Numérisation du patrimoine. Quelles médiations ? Quels accès ? Quelles cultures ?Michèle Gellereau
Études de communication, 44 | 20153
Pratiques télévisuelles à l'ère dunumériqueÉtudes de communication, 44 | 20154
IntroductionElodie Kredens et Florence Rio
1 Alors qu'elle était considérée, il y a encore peu de temps, comme le média de masse
incontournable et l'écran le plus massivement regardé, la télévision se voit
concurrencée par l'arrivée d'Internet et sa mise à disposition " à la carte », plus large et
plus flexible, de contenus audiovisuels.2 Une décennie après l'avènement du Web 2.0 et à l'heure où 80 % des internautes sont
présents sur les réseaux sociaux numériques (RSN), une étude d'Ipsos (2013) montreque certains, en particulier les jeunes publics, ont tendance à s'éloigner de la télévision,
sous l'impact de leur appropriation massive des technologies numériques del'information et de la communication. Cette " désaffection » de la télévision française
dite " traditionnelle » est l'une des causes du renouveau et de la volonté des
productions télévisuelles de faire évoluer leurs offres et leurs modes de
programmation. Elle interroge la nature même du média télévisuel.3 Ce dossier d'Etudes de Communication propose ainsi de réfléchir au rapport entre
télévision et dispositifs numériques, en centrant ces questionnements autour des pratiques (modes de consommation et de réception des contenus, pratiques individuelles et collectives, interactivité, etc.) et de la production (genres et dispositifs, mutations des contenus, stratégie d'implication, etc.).4 En ce qui concerne les politiques éditoriales de productions télévisuelles, deux articles(QUEMENER et SONET) permettent à ce dossier, dans un premier temps, d'interroger les
dispositifs et les stratégies de chaînes pour démultiplier l'offre télévisuelle à l'heure de
la télévision mobile et occuper l'espace des RSN.5 Ainsi, Nelly QUEMENER se propose, dans sa contribution, de réfléchir aux stratégies
d'habillage numérique des chaînes, à l'appropriation et à l'usage que les téléspectateurs
peuvent faire de ces dispositifs. En prenant pour cas d'étude les programmes à succèsde relooking de la chaîne M6, elle interroge le développement de " marques-
programmes » qui, via les plateformes numériques dédiées, deviennent une vitrine véhiculant les valeurs de la chaîne. Elle revient ainsi sur le statut de l'animateur de télévision qui dans le cadre de ces émissions particulières incarne le programme pour renforcer l'adhésion du téléspectateur et favoriser l'immersion de celui-ci dans unÉtudes de communication, 44 | 20155
univers numérique spécifiquement pensé par la chaîne et dans lequel se déclinent replay, forums et dispositifs de partage.6 Mais Nelly Quemener montre très bien comment, dans cette ère numérique, laréception active des discours se formalise ailleurs que sur ces plateformes officielles qui
sont perçues par les utilisatrices comme des ressources informationnelles et non pluscomme des éléments de distraction liés au programme télévisé. Semble se (re)dessiner
avec cet exemple particulier, une hiérarchie des contenus et une méfiance à l'égard des productions numériques issues de la télévision jugées trop commerciales ou trop grand public.7 Ainsi les outils numériques participent à une mise à distance du média télévisuel pour
devenir des " tribunes d'affirmation de soi » portant sur l'espace public une visionsingulière loin du discours formaté télévisuel. Une double sphère médiatique semble se
construire mettant en concurrence l'univers du divertissement télévisuel et celui des productions numériques individuelles (blogs spécialisés, sites d'expertises, etc.).8 Virginie SONET, sur un autre terrain, celui du smartphone comme écran-terminal
audiovisuel, participe également à mettre en perspective une reconfiguration de l'objettélévisuel en rappelant que les mutations économiques et leurs conséquences
(développement de la TNT et fragmentation des revenus publicitaires), de même quel'offre délinéarisée des chaînes grâce au relais des opérateurs mobiles, impactent la
chaîne de production télévisuelle et donc les programmes eux-mêmes. Elle s'intéresse plus particulièrement à la télévision sur terminal mobile pensée comme un système technique original invitant au renouvellement du produit médiatique en interrogeant le dispositif énonciatif et le modèle de production de l'attention autour, entre autres, des notions de fidélisation et d'immersion.9 En questionnant les pratiques, Virginie Sonet montre comment les applications
enrichies, l'agrégation communicationnelle et la télévision sociale construisent une nouvelle forme de discours télévisuel. Mais les pratiques permettent également de questionner les registres d'entrée de l'audiovisuel sur smartphone et de mettre ainsi en lumière les difficultés nombreuses que rencontre le média télévisuel pour s'imposerdans cette sphère particulière, tant en termes de technologie et de mode de
financement qu'en termes d'usage. Pour exister sur ces terminaux, la télévision doit se rapprocher d'activités connexionnelles et communicationnelles sans pouvoir néanmoins en mesurer efficacement pour le moment l'impact et les retombées d'audience.10 Les stratégies de chaîne sont, comme le montrent les deux articles précédents, àconsidérer dans une logique d'audience et de pratiques téléspectarorielles. Ce dossier
met donc l'accent sur les mutations des pratiques sociales liées à la consommation télévisuelle (BLANC, KERVELLA et LOICQ) en mettant en lumière le genre particulier de lasérie télévisée (COMBES) cristallisant par son succès et ses fortes audiences, les nouvelles
pratiques médiatiques liées au numérique qui viennent (ou pas) remettre en cause les schémas structurels connus (PERTICOZ et DESSINGES).11 Pendant des décennies, la télévision a occupé une place centrale dans les foyers et a
structuré les échanges familiaux et amicaux. En enquêtant au domicile de quarante- cinq ménages, Guillaume BLANC s'interroge sur l'intégration des nouvelles technologies du numérique dans les pratiques télévisuelles ordinaires en se concentrant sur l'espace du domicile qui abrite l'essentiel de la consommation. Au quotidien, il remarque que lesÉtudes de communication, 44 | 20156
possibilités offertes par le numérique viennent davantage compléter que remplacer les pratiques classiques de visionnage dans le flux télévisuel. Il montre par exemple comment les plateformes de replay, encore peu utilisées au final, sont mobilisées dans une optique de rattrapage plutôt que dans une volonté de désynchronisation et de consommation à la carte complètement délinéarisée. Elles permettent en réalité d'introduire de la souplesse dans les contraintes temporelles des téléspectateurs vis-à- vis de la grille de programmation fixe et imposée par les chaînes. En analysant les dynamiques de visionnage, Clément Combes observe par ailleurs que le numérique et son cortège de possibilités techniques permettent une reconfiguration spatiale despratiques télévisuelles au sein du foyer : la télévision, matérialisée à travers le
traditionnel " poste », demeure toujours dans le salon mais elle se décline aussi sur d'autres écrans mobiles (tablettes, ordinateurs) permettant d'investir l'ensemble de l'espace domestique et de différencier des temps de visionnage collectifs et personnelsallant de pair avec des lieux dédiés. Finalement, les technologies numériques
permettent selon les mots de Clément Combes une véritable réappropriation de l'espace-temps du foyer et le développement d'une multitude de cadres de réceptionqui se révèlent dans des pratiques télévisuelles différenciées mais toujours articulées.
12 Après une approche empirique concernant la population générale, l'article d'Amandine
KERVELLA et Marlène LOICQ propose une incursion dans l'univers juvénile. En enquêtant auprès de 2540 personnes âgées de 11 à 25 ans par questionnaires et en interrogeant trente-six d'entre elles en entretiens, les auteures dressent un état des lieux de la placede la télévision dans le quotidien des jeunes à l'heure du numérique et du multi-écrans.
Elles apportent des éléments de réponse remettant en question la prophétie de la mort de la télévision et indiquant qu'Internet et télévision se situent aujourd'hui dans un rapport de complémentarité plutôt complexe. Elles montrent ainsi que les pratiques juvéniles actuelles ne sont pas en complète rupture avec celles que l'on observait avantl'arrivée du numérique. Tradition et modernité s'entrelacent : la télévision reste une
occupation privilégiée dans l'agenda des loisirs des jeunes. Elle se consomme
principalement sur le poste et dans le flux de la diffusion quand bien même les jeunes tendent à lui substituer l'ordinateur connecté au web en prenant de l'âge. Même si elleest encore incontournable, la télévision n'est plus le média de référence : elle s'intègre
aujourd'hui dans une consommation audiovisuelle plus vaste du fait du numérique etdes possibilités qu'il induit. La télévision a su toutefois investir le territoire du web en
proposant ses propres plateformes, de même qu'elle a su importer en son sein des formats ou des figures emblématiques d'Internet. Néanmoins, les auteures notent que les contours de l'identité de la télévision s'amenuisent et que les jeunes ont parfois desdifficultés à saisir ce qui relève de l'univers télévisuel dès lors que les contenus ne sont
plus visionnés sur le poste. Pour achever leur réflexion sur les permanences et les mutations des pratiques télévisuelles juvéniles, Amandine Kervella et Marlène Loicq se concentrent sur la question de la sociabilité. La dématérialisation des contenus, leur foisonnement sur le web et leur consommation possiblement désynchronisée negénèrent pas d'autonomisation poussée des pratiques et d'éclatement généralisé des
audiences. En réalité, individualisation et partage se côtoient : d'un côté les dispositifs
de rattrapage, les plateformes en ligne ou encore le streaming permettent une réelle autonomie des consommations. De l'autre, ils n'excluent pas les phénomènes de sociabilité classiquement observés jusqu'alors et particulièrement prégnants autour desséries, massivement appréciées, consommées et dont le succès dépasse le public jeune.
Études de communication, 44 | 20157
13 Dans sa contribution à ce dossier, Clément COMBES rappelle ainsi comment les séries se
sont imposées grâce à de nouveaux modes de visionnage et ont permis l'émergenced'un nouveau " modèle libéral ». Il se propose à partir de là, de réfléchir à la réception
de ces séries télévisées en considérant plus particulièrement les supports et les formats
qui ont un impact déterminant sur la réception elle-même.14 Il se penche ainsi sur les modes de consommation des séries télévisées aujourd'hui
disponibles à la fois dans le flux de la programmation télévisuelle et sur d'autres supports ou plateformes (replay, streaming, P2P, VOD et DVD). Il montre très bien comment se structurent, sans nécessairement s'exclure, deux modalités de visionnage des séries selon que les pratiques s'organisent autour du petit écran et du rythmeimposé par les chaînes ou bien dans une logique d'individualisation et de
délinéarisation que permet le numérique. Mais ce que souligne Clément Combes, c'estquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37[PDF] DMA Hamon Entrance Map - Dallas Museum of Art
[PDF] College Internships | 2017 - Dallas Morning News Interactives
[PDF] Dallas Fort Worth Urban Demonstration Network
[PDF] guide touristique - TravelTexas
[PDF] Dallas Weather Download - Aphex
[PDF] C 10 3 Miscellaeous Costscdr - Dallas World Aquarium
[PDF] Damas Vieille ville
[PDF] The City of Danbury, CT
[PDF] Fiche technique santé- sécurité - Armor All
[PDF] FCI Danbury Admissions & Orientation Handbook - BOP
[PDF] Danbury Fair Mall - Wilmorite
[PDF] Vol 47, No 2371 - Innovation, Science and Economic Development
[PDF] VW Campervans - Danbury Motorcaravans
[PDF] Identification des dangers dans l'HACCP - Afnor