[PDF] LA SOURCE Lausanne ; Laura Desmeules Clinique Le.





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ORGANE INDEPENDANT PARAISSANT UNE FOIS PAR MOIS

A l'Hôpital Dalcr deux Jumeaux



Syndrome de sevrage néonatal

09-Jul-2015 Hôpital Daler. Karine Guillet experte. Hôpital Daler ... sont pas favorables à l'enfant à naître et au bon déroulement de son développement ...



CHRONIQUE FRIBOURGEOISE 2003

en ville de Fribourg sur le thème « Naître en 1900 ». [L] A Fribourg



H EC V S A N T é R A P P O R T A N N U E L 2 0 10

naître et faciliter la communication Centre Hospitalier Voiron - Maternité de Voiron ... Rolle





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Murten • Hôpital intercantonal de la Broye • Hôpital Daler • Centre de radiologie de Cormanon • naître aux femmes concernées. Dans ce but nous avons.



LA SOURCE

Lausanne ; Laura Desmeules Clinique Le. Château



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%20Vol.72%20No.5



LA SOURCE

Nous vivons une année qui voit naître de beaux discours semaines à l'Hôpital Daler à Fribourg est heureuse dans son nou.



N°423

Protestant-Hôpital-Bld circulaire 9 avec l'hôpital Daler



Etudes sur la typographie genevoise su XVe au XIXe siècles et sur

daler de U78; quels Gautier de Metz annonce la dale de la composition de ... aumône à l'hôpital et de le faire bien fonetter au dit lieu. ((.

LA SOURCE

38e année. N° 5. MAI 1927.

LA SOURCE

ORGANE DE

L'ÉCOLE NORMALE ÉVANGÉLIQUE

DE GARDES-MALADES INDÉPENDANTES

FONDÉE EN 1859

ET DEVENUE EN 1923

ÉCOLE ROMANDE DE GARDES-MALADES

DE LA CROIX-ROUGE

LAUSANNE

24, CHEMIN VINET

Abonnement.

Prix : 5 fr. par an. Le journal paraît mensuellement.

Comptes de chèques.

La Sourie (journal, insignes, etc.) : II. 2819.

Le Foyer, Bureau de placement (inscriptions et réinscriptions, %, notes, don du Ier août, journal, etc.) : II. 1015. L'Association (cotisations, etc.): II. 2712. - Présidente: Mlle Clara Droz, 9, Avenue du Mont-d'Or. Téléphone n° 70.75. Assurance-maladie collective de La Source, Lausanne, IL 3444.

Editorial.

Aux lectrices qui, comme dans les cas précédents, nous écriront avec impatience et inquiétude parce que le journal ne leur sera pas parvenu à la date accoutumée, nous faisons toutes nos excuses. Quinze jours de voyage nous ont mis fortement en retard pour tout notre travail. Nous ferons, comme d'habitude, nos efforts, avec l'extrême bonne volonté de nos imprimeurs, pour que des irrégularités de ce genre se reproduisent le moins possible. Mais nous ne cachons pas notre satisfaction à consta ter combien le plus petit retard dans l'arrivée du messager mensuel prend figure de catastrophe pour certaines : c'est la meilleure preuve de l'affection qu'elles ont pour lui.

Insignes.

Nous échangeons gratuitement les insignes-étoffe anciens contre les nouveaux ; et nous en vendons à 1 fr. la douzaine : ajouter timbres pour le retour.

Postes à pourvoir.

12. Suisse : Infirmière pour clinique chirurgicale ; entrée le 10 mai.

13. » Infirmière d'étage (hommes) pour station climatérique ;

date d'entrée à convenir.

14. » Infirmière pour colonie de vacances dans le canton de

Vaud (juin, juillet, août et septembre.)

15. France : Infirmière-visiteuse, capable, à l'occasion, de diriger une

crèche.

16. » Infirmière diplômée pour un service de chirurgie dans

notre poste de Metz.

17. Angleterre : Garde pour enfant en bonne santé. Poste durable.18.

Egypte : Infirmière pour un hôpital du Caire. 6 L. E. par mois, plus entretien.

19. Suisse : Poste de " mère de famille » dans un orphelinat neu-

châtelois (30 juin).

38e année.Mai 1917.éx :1

LA SOURCE

SOMMAIRE : Avoir de l'ordre. - Nouvelles de l'Ecole. - Çauseries-leçons médicales : La lièvre

typhoïde. - Dispensaire. - Conférence internationale d'infirmières. - Le Foyer gardien

d'Estavayer. Tournée de postes. - Notre directeur à Paris. - Faire-part. - Réunions de

Sourciennes. - Volée 1924-1925. - Boîte aux lettres. - Dons.

Avoir de l'ordre.

Oh ! l'ordre ! l'ordre matériel, l'ordre intellectuel, l'ordre moral ! Quel soulagement, quelle force, et quelle économie ! Savoir où l'on va et ce que l'on veut : c'est de l'ordre. Tenir parole, arriver à temps : encore de l'ordre. Avoir tout sous la main, faire manoeuvrer toute son armée, travailler avec toutes ses ressources : toujours de l'ordre. Discipliner ses habitudes, ses efforts, ses volontés, organiser sa vie, distri buer son temps, mesurer ses devoirs...: encore et toujours de l'ordre. L'ordre, c'est la lumière, la paix, la liberté in térieure, la disponibilité de soi-même, c'est la puissance. Concevoir l'ordre, rentrer dans l'ordre, réaliser l'ordre en soi, autour de soi, au moyen de soi, c'est la beauté esthé tique et morale, c'est le bien-être, c'est ce qu'il faut.

H. F. Ami EL.

NOUVELLES DE L'ÉCOLE

La Journée de La Source.

Nous tenons à annoncer d'avance, afin que chacun en prenne note et fasse ses plans d'été d'après cela, que la Journée de l'Ecole est fixée au jeudi 16 juin. Cette date, correspondant à peu de chose près avec le vingtième anni- - io8 - versaire de l'ouverture de l'Infirmerie, nous donnera l'oc casion de nous réjouir ensemble de ces vingt années de féconde activité.

Dans nos maisons.

Le Tilleul a été occupé le 31 mars par douze de nos élèves et par le personnel ménager de notre Clinique, dont l'aile occidentale du 3e étage a été dès lors livrée aux ouvriers pour l'installation de trois dortoirs de malades, et de lo caux annexes. Le 4 avril, nous avons salué la venue d'une nouvelle collaboratrice en la personne de Mlle Marguerite Ahonney que nous espérons voir décharger notre maîtresse de maison, Mlle Oppliger, de la partie culinaire de sa lourde tâche. L'accroissement de notre activité surcharge beaucoup notre corps de directrices qui, comme chacun sait, ont de la peine à accepter tout allégement de travail. Mlle Müller l'a expié par un séjour forcé au Midi d'où elle s'annonce rentrant, toute remise, dit-elle, ce que nous espérons de tout coeur.

Placements de stagiaires.

MUcs Marguerite Groux et Esther Altbaus, Clinique chi rurgicale, Genève ; Laure Jaunin, Clinique Sylvana, Les Croisettes s. Lausanne ; Laura Desmeules, Clinique Le Château, Leysin ; Alice' Pasche, La Source, Lausanne ; Emma Grossmann, Hôpital Daler, Fribourg ; Hélène Pritsch, Hôpital des Cadolles, Neuchâtel ; Juliette Genillard, Clinique du Crêt, Neuchâtel ; Elise Schwab, Clinique du Dr Julliard, Porrentruy ; Aline Daenzer, Hôpital Israélite, Bâle ; Pauline Fleury, Clinique les Hirondelles, Leysin. - Mlle Hélène Rapin, diplômée, a rejoint ses jeunes compagnes de l'Hôpital de Metz.

Stages terminés.

Mlles Rose Perrenoud, Lausanne ; Blanche Cbristinet, Bruxelles ; Clara Hartmann, Metz; Pauline Perrin, Bôle; Alice Mar met, Cia rens ; Simone Dubath, Leysin ; Mme

Valentine Becker, Moûtier.

Vendredi Ier avril.

M. M. Vuilleumier : En Palestine, à propos des temps de Passion, avec projections. Gardes venues du dehors: Mlles Esther Vionnet, Clara Droz, Marie Wetli, Angèle Greber, Bertha Aeschbacher, Alice Beyeler, Eugénie Panchaud, Suzanne Monachon, Lucette Winandy, Emica Biedermann, Marguerite Choffat.

Oubliée en mars : Mlle Charlotte Ammann.

CAUSERIES-LEÇONS MÉDICALES

La fièvre typhoïde.

Le rôle de l'infirmière dans le soignage des typhiques est très important, car le traitement de ceux-ci comporte une large part de mesures hygiéniques minutieuses. Le pro nostic de la maladie sera manifestement influencé par la façon consciencieuse et intelligente dont seront réalisées ces mesures et par la volonté persévérante et vigilante que l'infirmière mettra à les appliquer. Aussi n'ai-je point été surpris que plusieurs lectrices m'aient demandé d'aborder ce sujet dans notre petit journal. La fièvre typhoïde est appelée aussi dothiénentérie (mot dérivé du grec et signifiant littéralement : bouton de l'in testin) ; elle a été nommée aussi fièvre putride ou fièvre muqueuse. C'est une maladie microbienne aigue, et le microbe res- --- IIO --- ponsable a reçu le nom de bacille d'Eberth ; ce bacille est très mobile et sous le microscope on le voit se déplacer avec rapidité dans une goutte d'eau, grâce aux cils dont il est porteur. Ces bacilles décrits par Eberth en 1881 sont introduits dans le corps par des légumes, ou des fruits cuits, souillés par des eaux contaminées - rappelons-nous avec quel pro duit on arrose volontiers fraises et légumes, par exemple - ou par de l'eau de boisson, et c'est là le mode de contamina tion le plus fréquent, par des huîtres ayant été en contact avec un milieu liquide souillé, etc. Les matières fécales consti tuent l'agent le plus important de contage. Je me souviens d'un cas où le lait fut l'agent vecteur des bacilles d'Eberth, ce lait ayant été souillé lors de manipulations par un laitier " porteur de germes » : nous verrons plus loin ce que signi fient ces mots. La fièvre typhoïde ou dothiénentérie, est caractérisée par des lésions de l'appareil digestif. Celles-ci sont surtout frap pantes sur l'intestin grêle dont les plaques de Peyer vont être attaquées par le microbe. Ces plaques sont constituées par un amas de cellules spéciales appelées follicules clos nombreux surtout sur la muqueuse de la dernière portion de l'intestin grêle ; ce sont des organes lymphoïdes. Ces plaques de Peyer vont passer, au cours de la fièvre typhoïde, par trois états : le premier, qui est caractérisé par une congestion intense avec lésions de leurs petites artères, constituera la période d'infiltration ; elle peut commencer en moyenne dès le quatrième jour de la maladie. A celle-ci succédera le stade d ''ulcérations, et ces ulcéra tions se produiront dès le dixième jour environ, parfois plus tôt ; il y a alors destruction de la muqueuse intestinale, qui peut être assez profonde pour que le péritoine soit seul à former la paroi de l'intestin. III A ce stade-là succédera, dans les cas favorables, une période de réparation des ulcérations ; cette phase de cica trisation aura une durée moyenne de deux semaines, et elle débutera vers le vingt-cinquième jour environ. Les altéra tions des plaques de Peyer sont souvent moins marquées chez l'enfant ; encore faudra-t-il se souvenir que dans près des trois quarts des cas infantiles, les ulcérations seront mul tiples et profondes ; elles sont exceptionnelles chez le nour risson. La fièvre typhoïde est responsable d'altérations d'autres organes : estomac, rate, coeur, artères, veines, reins, système nerveux, os, etc. ; les ganglions mésentériques sont constam ment augmentés de volume et atteignent facilement le volume d'une noix, qu'ils dépassent souvent. L'infection par le bacille d'Eberth est marquée par une série de phases classiques et que nous retrouvons, en somme, dans les maladies microbiennes. La première est l'incuba tion, dont la durée est de deux semaines environ ; elle peut être beaucoup plus prolongée et atteindre même quarante jours. A cette incubation, qui est silencieuse, va succéder la période d'invasion, marquée par une élévation de la température. Une lassitude, des saignements de nez, une insomnie accusée sont alors parmi les symptômes les plus constamment observés. C'est à ce moment-là aussi que le malade reste dans un état de somnolence assez marquée ; on dit qu'il est prostré ; il ne répond pas ou à peine aux questions qu'on lui pose. La courbe de la température prend une allure ascendante et, au bout de cinq à sept jours, elle atteint 40° C ; elle varie en moyenne d'un degré dans ses oscillations quotidiennes. Le malade a la bouche pâteuse, une langue très saburrale ; le ventre est souvent un peu ballonné. A une constipation de début souvent rebelle, succède une diarrhée comportant quatre ou cinq selles par jour. Puis la température se fixe aux environs de 40° ; nous sommes alors dans la période d'état. Le malade est en état de prostration absolue, les lèvres sont sèches, la langue est sèche, rouge sur les bords et à la pointe. La diarrhée est très liquide, fétide, et sa couleur a été comparée à celle du jus de melon. La fréquence des selles est variable : deux à douze ou plus par jour, et parfois les selles se produisent sans que le malade en ait conscience. A cette période apparaissent des taches rosées, de deux à trois millimètres de diamètre, sur le ventre, le dos, à la partie inférieure du thorax ; elles sont visibles en général vers le huitième jour. Les urines sont très foncées et leur volume est très dimi nué : elles contiennent assez souvent des bacilles d'Eberth ; il faudra s'en souvenir pour les désinfecter. A noter que la rétention d'urine s'observe souvent dans cette phase de la maladie ; la vessie, qui est parésiée, se laisse distendre et le malade urine par trop plein en quelque sorte, ce qui simule volontiers l'incontinence. La bronchite est fréquente aussi à ce période-là. Le pouls bat entre 80 et 100 pulsations et cette accéléra tion ne va pas de pair avec les oscillations de la température. Si celle-ci marque 39 le matin et 40 environ le soir, le pouls, qui est toujours relativement ralenti, dépasse rarement 100
battements. Et cette discordance entre le pouls et la température sera un signe très important pour aider à un diagnostic hésitant. Il est donc très important que les deux courbes soient établies exactement, avec des chiffres soi gneusement mesurés, lus, ou comptés. Prenez donc avec le plus grand soin et la plus grande régularité le pouls et la tem pérature des typhiques ou des malades qu'on suspecte l'être. - H3 - Vous verrez encore à. ce stade l'état général de votre ma lade s'affaiblir et la diminution du poids s'accentuer rapi dement : le malade maigrit beaucoup. Puis, à la fin de la deuxième semaine ou vers le vingtième jour, ou parfois beaucoup plus tard, la fièvre se met à baisser ; elle décrit des oscillations plus grandes : c'est la défervescence qui commence. Celle-ci, qui est lente le plus souvent, est caractérisée par une diminution de l'abattement, de la stupeur du malade, par un retour de l'appétit, par un pouls qui bat moins vite, qui est lent même parfois, par une langue meilleure. L'amai grissement par contre s'accuse encore considérablement ; c'est la période pendant laquelle le typhique perd le plus de poids : 5, io, 15 kilos ! Puis la température se régularise, elle revient à la normale : c'est la convalescence qui commence. L'appétit se fait plus impérieux. L'infirmière devra veiller à ce que cet appétit, souvent très vif, n'entraîne pas le convalescent à commettre des imprudences : une alimentation très surveillée est encore obligatoire, et tout écart peut être suivi d'une rechute. Aquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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