[PDF] LA NUIT DE VALOGNES - Nanopdf Une nuit à Valognes





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Éric-Emmanuel Schmitt - La Nuit de Valognes

TEXTE INTÉGRAL. Éric-Emmanuel. Schmitt. La Nuit de Valognes. Classiques. &. Contemporains. &. L Y C É E. NOUVELLE. VERSION 2005. REVUE PAR L'AUTEUR 



Au Bonheur des dames

ligne un manteau de velours



Éric-Emmanuel Schmitt - Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran

LA NUIT DE VALOGNES 1991. LE VISITEUR (Molière du meilleur auteur)



Sujet Zola

Dès que le sujet vous est remis assurez-vous qu'il est complet Denise



Le diable amoureux

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LA NUIT DE VALOGNES - Nanopdf

Une nuit à Valognes



Don Juan en France au XXe siècle: réécritures dun mythe.

8 avr. 2014 Résumé. Né en 1630 sous la plume du moine espagnol Tirso de Molina



Victor Hugo - NOTRE-DAME DE PARIS 1482

maient avoir passé la nuit en travers de la grande porte pour rangèrent en ligne devant le public qu'ils saluèrent profondé-.



Analyse comparative du personnage de Don Juan dans la littérature

(publiée en 1945 aux Éditions des artistes) La Nuit de Valognes d'Éric- théâtral s'inscrit dans la durée : la pièce de théâtre en tant que texte publié ...



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d'une œuvre intégrale (livre ou film). › Des pages entières sont consacrées Votre texte est limité à 10 lignes dactylographiées ... La Nuit de Valognes.



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La nuit de Valognes texte Éric-Emmanuel Schmitt mise en scène

La nuit de Valognes texte Éric-Emmanuel Schmitt mise en scène Martin Genest / 2009 Programmes de spectacles Thibault Natalie 1965- auteur Québec (Québec) 



Éric-Emmanuel Schmitt La Nuit de Valognes - DocPlayerfr

La scène évoque le monde magique de Sganarelle celui des croyances occultes et le monde matérialiste mais insatisfaisant de Don Juan Le texte fait en somme 



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[PDF] La Nuit de Valognes

La Nuit de Valognes est une pièce de théâtre de l'auteur français Éric-Emmanuel Schmitt Cette pièce est la première qu'a écrite Schmitt en 1989 à l'âge de 29 





Ebook Théâtre - La Nuit de Valognes Le Visiteur Le Bâillon lEcole

La Nuit de Valognes Le Visiteur Le Bâillon l'Ecole du diable Auteur : Eric-Emmanuel Schmitt Publication : 01/11/2012 Langue : Français



La nuit de Valognes dEric-Emmanuel Schmitt (Fiche de lecture)

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La Nuit de Valognes - Eric-Emmanuel Schmitt - Théâtre contemporain

La Nuit de Valognes ; Editeur Le Livre de Poche; Librairie Générale Française 31 rue de Fleurus; 75006 Paris; France; t +33 (0)1 49 54 37 00 ; Ajouter Un texte 



Commentaire de lauteur sur la pièce - La Nuit de Valognes

+ d'infos sur le texte de Eric-Emmanuel Schmitt La Nuit de Valognes propose ma vision de Don Juan imprimer en PDF - Télécharger en PDF

:
LA NUIT DE VALOGNES - Nanopdf

© Philippe Guérillot

LA NUIT DE VALOGNES

Eric-Emmanuel SCHMITT

Comédie

Une nuit, à Valognes, cinq femmes, qui furent victimes de Don Juan, vont instruire son procès et le condamner...

Mais son véritable châtiment sera l'Amour, amour qui se présente à lui sous une forme qu'il

ne peut accepter...

76, Avenue Coghen B-1180 Bruxelles contact@panachediffusion.com

Tél +32 (0)2.340.93.30 Fax +32 (0)2.340.93.31 www.panachediffusion.com

Le Spectacle

Une nuit, dans un manoir perdu de la lande normande, cinq femmes se réunissent pour instruire le procès de Don Juan. Ses anciennes victimes veulent l'obliger à épouser la dernière de ses conquêtes. Curieusement, Don Juan accepte. La vie lui aurait-elle déjà fait ce procès ? Cette Nuit est-elle celle de la Justice... ou bien celle des dupes... ? Avec la promesse dès le petit matin d'une sévère et durable gueule de bois pour toutes et tous. Car durant cette Nuit rien ne se passe comme on l'attend et tout se détraque : Les juges-victimes, le sont plus d'elles mêmes que du prédateur. La pure jeune fille, séduite et abandonnée dévoile des talents de manipulatrice digne du plus cynique séducteur en jupon. Le gentil Sganarelle, chroniqueur scrupuleux des frasques de son maître, pourrait bien en être aussi le grand inventeur-enjoliveur . Enfin, la légende est bousculée...Le mythe n'est plus à sa place : Don Juan a été " troublé » par un objet amoureux, et, circonstance aggravante, cet objet n'a pas l'apparence qu'il faut. Pas mal d'illusions humaines seront définitivement mis a mal, à Valognes, au cours de cette Nuit ... " L'amour partagé »... " La pureté des jeunes filles » ... " L'incapacité d'aimer de tous les vils séducteurs »...

Genre : Comédie

Récit de Eric-Emmanuel Schmitt

Mise en scène de Régis Santon

Avec : Pierre Santini, Marie-France Santon, Cécile Sanz de Alba, Sacha Stativkine, Camille Cottin, Vanessa Krycève, Régis Santon, Stéphanie Lanier,

Caroline Alaoui, Mélaine

Costumes de Pascal Bordet

Lumières de Laurent Béal

Durée : 1h45'

10 comédiens sur scène

Une production CS Compagnie : avec le soutien de l'ADAMI. CS Compagnie est subventionnée par la DRAC Ile de France (Ministère de la Culture)

Commentaire de l'auteur sur le spectacle

En s'appuyant sur des acteurs virtuoses et engagés, Régis Santon a su aller au- delà des apparences : jouer ce texte comme une comédie en montrant que ce n'en est pas une ; assumer le rouge et l'or en laissant percer le noir ; lier plaisir du jeu et plaisir de

l'esprit ; mêler passé et modernité dans les costumes ; aller jusqu'à l'épure pour que le

sens passe. Merci. En voyant son spectacle, je me suis dit que, si ces titres n'avaient pas

déjà été choisis par Marivaux, j'aurais pu appeler la pièce La Surprise de l'amour, Le

Triomphe de l'amour, ou Le Dénouement imprévu.

Bruxelles, le 20 septembre 2007

Eric-Emmanuel Schmitt

Commentaire de l'auteur sur la pièce

" Ma première pièce... Il y a toujours quelque chose de miraculeux dans une première fois. La première fois nous

révèle à nous-même, sonne l'adieu aux désirs vague, ouvre l'avenir. Réussie, elle trace

même un destin. Vers 28 ans, ayant vécu mon éducation sentimentale et philosophique, je commençais à

découvrir - ou à subir- ce que j'avais à dire, quels étaient mes obsessions, quelle ligne

fragile - la ligne du doute - allait devenir la mienne. La Nuit de Valognes propose ma vision de Don Juan. Don Juan est un être en perpétuel

mouvement qui voudrait être arrêté. S'il se préoccupait de son plaisir, il pourrait éprouver

de la jouissance ; il pourrait ralentir le temps et l'élargir aux dimensions de l'extase

voluptueuse. Mais, raisonnant comme un soldat, conquérant et seulement conquérant, il n'éprouve rien d'orgasmique dans l'orgasme, juste la délivrance d'une tension, la fin d'une gêne. Son désir mort, il attend qu'en naisse un autre, qu'il réalisera aussi en le faisant mourir. La vie de Don Juan s'est concentrée sur le sexe sans qu'il ait rien compris au

sexe. Il ne voit dans le sexe que la réalisation égocentrée de sa pulsion, sans soupçonner

les portes qui s'ouvrent alors, le plaisir, la volupté partagée, la relation à l'autre, l'horizon

des sentiments... Don Juan, certes toujours mobile, tourne en rond. A l'écoute de ses seules pulsions, il est

condamné à de perpétuelles exténuations. Sa vie d'aventures est devenue bègue et

ennuyeuse. Je me suis amusé à la contrarier fortement. Dans les versions des XVIIe et XVIIIe siècles, il est puni par le Commandeur, une statue

qui figure le divin. Plutôt qu'un Dieu de colère et de vengeance sorti de l'Ancien

Testament, je dessine un Fils aimant, trop aimant, une figure à la fois christique et

perverse.

Voici la vraie punition de Don Juan : éprouver de l'amour pour un homme, lui qui le

cherchait -si mal- sous le jupon des femmes. Est-ce que cet amour surprenant révèle une homosexualité inavouée ? Certains psychologues ont avancé cette thèse que le donjuanisme, la multiplication des femmes toujours désirée et toujours insatisfaisante, pouvait cacher virilement une homosexualité, révélant un culte ambigu de l'homme. Je leur laisse la responsabilité de cette explication car ce n'est pas, ultimement, ce qui m'intéresse ici. Pour moi, il s'agit surtout de distinguer le sexe de l'amour. L'amour n'a pas de sexe ; il peut se découvrir ou s'épanouir dans la sexualité mais il peut aussi bien s'en passer. L'attachement à l'autre, la fascination renouvelée pour le mystère de l'autre, la dévotion qu'on peut lui porter, tout cela n'a pas grand chose à voir avec les frottements de peau, aussi agréables soient-ils. En cela dans La Nuit de Valognes, j'exposais les thèmes que je repris dans les Variations Enigmatiques. L'amour comme attachement mystérieux à un mystère.

La Nuit de Valognes, grâce à Jean-Luc Tardieu, fut créée en 1991. J'étais émerveillé.

Un enfant devant un sapin de Noël. Avec elle, je connus ma première " première ».

Puis, 100 représentations plus tard, ma première " dernière ». Cela me serra tellement le

coeur que, depuis, j'ai toujours refusé de revoir le spectacle. Pourtant la pièce est

continuellement représentée par des compagnies professionnelles et par des troupes d'amateurs.

Invité mille fois - et avec quelle gentillesse -, j'ai toujours décliné. Dix ans après, une

représentation hommage m'a obligé à revoir La Nuit de Valognes. Surpris, j'en ai

découvert les qualités, et aussi les légers défauts. Un instant, j'ai songé les corriger.

Puis je me suis rappelé le jeune homme de 29 ans que j'étais alors et qui avait écrit ce

texte : il n'aurait sûrement pas supporté qu'un auteur arrivé de 40 ans lui corrige sa pièce.

Par respect pour ce jeune homme, je me suis abstenu. Cependant, à l'occasion d'un déménagement, je suis tombé sur le manuscrit original de la

pièce. En le feuilletant, je me suis rendu compte qu'à la création on m'avait fait changer le

troisième acte. Sous prétexte que c'était ma première pièce, tout le monde était entré dans

mon moulin : mon agent, mon metteur en scène, mes acteurs, mes producteurs. Terrorisé,

j'avais cédé. Or, en relisant l'original, je découvrais que, malgré tout, mon instinct valait

quand même mieux que leurs craintes. J'ai donc rétabli, pour la recréation de La Nuit de Valognes au Théâtre Royal du Parc, en novembre 2005, le trajet initial, tout en profitant de mon expérience pour toiletter le texte. Si un acteur n'a jamais fini de s'améliorer en jouant, il en est de même pour l'auteur. On peut toujours faire mieux, indéfiniment. Mais il n'en demeure pas moins que c'est le premier geste qui compte... »

Bruxelles, le 16 novembre 2005

Eric-Emmanuel Schmitt

Fiche Technique

Durée : 1h45'

13 personnes sur la route

PLATEAU

Ouverture minimum nécessaire : 8 m

Profondeur minimum nécessaire : 9 m

Hauteur minimum nécessaire : 7 m

Pente moins de 3%

Sol tapis de danse peint

Décor sur châssis (3 pans de murs - hauteur = 4m 20)

1 banquette de 1,80m x 0,40m

2 fauteuils

1 fauteuil roulant

1 praticable 1,50 x 1,00 x 2,50

Transport du décor assuré par 1 porteur 50m3

Prévoir : - 2 praticables 2m x 1m

- 1 cyclorama gris sombre - 2 machines à fumée - jeu de frises + pendrillons noirs

LUMIERE

PAR CP 62

PAR CP 61

PC 2 kw prévoir : 3 pieds à crémaillère

PC 1 kw

DEC 1 kw

DEC 2 kw

HORIZIODES

FACE chaude + froide

FACE chaude + froide rattrapage

(À compléter suivant le plan d'implantation établi pour la tournée.) SON

1 lecteur MD

1 lecteur CD

1 diffusion en façade

1 diffusion lointain

Régis Santon

Metteur en scène

Rôle de Sganarelle

Attiré très jeune par le théâtre, il jouera son premier rôle à neuf ans, fera sa première mise

en scène à quatorze et créera sa propre compagnie à dix-neuf.

En 1974, après plusieurs années de créations jouées dans les endroits les plus improbables,

avec quatre " aussi fous que lui », il fera sortir de terre le théâtre Essaïon (titre d'un de ses

premiers spectacles) qu'il dirigera pendant quatre ans, y montant Phèdre, Victor ou les Enfants au Pouvoir, Bilitis, l'Ecole des Femmes, entre autres, et qu'il quittera faute de moyens.

D'un théâtre à l'autre, il montera plus de cinquante spectacles dont de très grands succès

tels que Messieurs les Ronds de cuir d'après Courteline ou le Confort intellectuel

d'après Marcel Aymé. Directeur, depuis quinze ans du théâtre Silvia Monfort à Paris, il mettra

en scène plusieurs pièces dont, en particulier, les Affaires sont les Affaires (Molière du meilleur spectacle en 1995), Mort d'un commis voyageur avec Victor Lanoux et, le dernier,

Do, Mi, Sol, Do ! de Paul Géraldy.

En 1981, il mettra en scène son premier opéra dans le cadre du festival de Saint-Céré

(Orphée aux enfers) puis deux petits opéras de Nicolas Dalayrac (Maison à vendre et l'Amant statue), Faust de Gounod, Tosca de Puccini et remontera Orphée aux enfers à l'Opéra de Dijon en 2005. Parallèlement durant toutes ces années, on le verra comme acteur à la télévision, au cinéma et au théâtre.

Pierre Santini

Rôle de Don Juan

Il fait ses classes au Théâtre National Populaire de Jean Vilar et chez Jacques Lecoq.

Après de nombreux rôles au théâtre et à la télévision, il fonde sa première compagnie en

1975 et monte Rashômon d'après Akutagawa Ryunosuke.

En 1983, il crée le Théatre des Boucles de la Marne, à Champigny. En 2003, il est nommé directeur du Théâtre Mouffetard.

Il est président de l'ADAMI, Chevalier des Arts et des Lettres et Chevalier dans l'Ordre

National du Mérite.

Pierre est surtout connu du grand public pour ses rôles dans de nombreux feuilletons, séries et téléfilms français comme Un Printemps à Paris et Polar de Jacques Bral, Le Courage d'aimer et Les Parisiens de Claude Lelouche, American dreamer de Rick Rosenthal, Les innocents aux mains sales et Une partie de plaisir de Claude Chabrol...

Marie-France Santon

Rôle de la duchesse de Vaubricourt

Au théâtre, Marie-France Santon a interprété plus de 40 rôles : de Phèdre au Théâtre de

l'Essaïon à Tchékhov a dit adieu à Tolstoï au Théâtre Silvia Monfort.

En 2001, elle est aux côtés de Pierre Arditi dans Joyeuses Pâques de J. Poiret au Théâtre

des Variétés (m.e.s. B. Murat). En 2003, elle joue dans Photos de famille de J.-P. Dopagne

au Théâtre du Renard puis Agrippine dans Britannicus de J. Racine au Théâtre Silvia

Monfort (m.e.s. R. Santon). Elle a également joué dans l'Homme, la bête et la vertu de L. Pirandello (m.e.s. J.-C. Idée), Surtout ne coupez pas (m.e.s. R. Hossein), Monsieur Klebs et Rozalie de R. de Obaldia (m.e.s. J. Rosny).

Elle a été nommée trois fois aux Molières pour la Valse des Toréadors de J. Anouilh, les

Affaires sont les Affaires d'O. Mirbeau et en 2007, pour l'Eventail de Lady Windermere d'O. Wilde (au Théâtre 14 puis aux Bouffes Parisiens, m.e.s. St. Azzopardi). Au cinéma, elle a tourné notamment sous la direction de G. Vergez, C. Serreau, F. Dupeyron, C. Lelouch, C. Berri, P. Braoudé, F. Girod, G. Aghion, M. Deville, M. Blanc, E. Civanyan (Il ne faut jurer de rien), de M. Assaf (les Migrations de Vladimir), P. Boutron (Messieurs les enfants), F. Girod (Passage à l'acte), D. Bourdon et B. Campan (les Trois frères). A la télévision, elle a été dirigée par G. Vergez, G. Marx, N. Companeez, T. Vincent, N. Trintignant, C. Huppert... Elle était dans Marie Besnard avec Muriel Robin et a tourné principalement dans Joséphine Ange gardien (réal. P. Monnier), Zodiaque (I et II, réal.

C.-M. Rome), Père et Maire (réal. R. Musset), Alex Santana négociateur (réal. G. Béhat),

Un amour aller retour (réal. J. Otmezguine), le Grand patron (réal. St. Kappes et réal. CM

Rome), Marie Tempête (réal. D. Malleval), Louis Page (réal. H. de Laugardière), Entre

terre et mer (réal. H. Basle), l'Enfant perdu (réal. C. Faure), le Pénitent (réal. H. de

Laugardière), Hold-up en l'air (réal. E. Civanyan).... Elle a signé deux adaptations et plusieurs mises en scène.

Sacha Stativkine

Rôle du chevalier de Chiffreville, dit " le jeune homme » Formé à Paris au Conservatoire du VIIème arrondissement avec comme professeur Danielle Ajoret, il débute dans la Guerre civile de Montherlant. Puis il joue dans les Affaires sont

les affaires d'O. Mirbeau (Théâtre Silvia Monfort, Théâtre de la Limousine et Théâtre du

Palais-Royal), et dans le Ruban de G. Feydeau (m.e.s. Régis Santon, Théâtre Silvia

Monfort). Il a interprété le rôle d'Horace dans l'Ecole des femmes de Molière, le rôle de

Néron dans Britannicus de J. Racine, le rôle de Sally dans Love and Fish d'I. Horovitz et celui d'André dans Do, Mi, Sol, Do ! de P. Géraldy. Au cinéma, il a tourné avec J.-J. Zilberman dans l'Homme est une femme comme les autres et avec P. Braoudé dans Deuxième vie.

Cécile Sanz de Alba

Rôle de la comtesse de la Roche-Piquet

Formée au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique de Paris dans les classes de Georges Werler, Stuart Seide et Daniel Mesguich, on la retrouve

au théâtre dans Pièces en un acte (1 et 2) d'A. Tchekhov (m.e.s. J.-L. Thamin), Le garçon

girafe de C. Pellet (m.e.s. J.-L. Thamin), X... d'après Inserts de J. Byrum (m.e.s. N. Arestrup), Amphitryon de Molière (m.e.s. S. Eine), Les Infortunes d'Arlequin (m.e.s. M. Buscatto), David Coperfield (m.e.s. P. Giros), Les Fous de la Reine (m.e.s. J. Rampal), Le

Secret de l'Aiguille Creuse (m.e.s. G. Gleize)...

et également au cinéma dans Voyage au début du monde, Le Val Abraham de M. de Olivera, Plaisir d'amour de N. Kaplan, L'Etrangère et Divines Amours de J.-F. Ferrillon. Elle travaille aussi pour la télévision notamment avec J. Cortal, A. Friedman, B. Dubois, L. Levy, P. Boutron, O. Langlois, C. Huppert, P. Boutron et plus récemment avec D. Berry.

Vanessa Krycève

Rôle d'Angélique de Chiffreville, dite " la Petite

Après avoir fait ses premiers pas sur scène à l'âge de 13 ans dans le rôle d'Anne Franck

(m.e.s. par R. Lévy), Vanessa entre au CNR de Versailles à 15 ans. Durant ses 3 années de formation, elle interprète Casilda dans Ruy Blas (2003) et Célimène dans le Misanthrope

(2004) et reçoit les Premiers prix et prix d'Honneur décernés par le Théâtre Montansier en

2003 et 2004. Elle rentre à 18 ans au Studio Théâtre d'Asnières dirigé par H. van der Meulen

et J.-L. Martin-Barbaz et intègre en 2006 le CFA du Studio. Elle interprète Junie dans

Britannicus mis en scène par J.-L. Martin-Barbaz en 2007 (pièce reprise cet été en festival

et à la rentrée au Studio d'Asnières).

Camille Cottin

Rôle de Hortense de Hauteclaire dite " la Religieuse »

Au théâtre, elle a joué dans Tchékhov a dit adieu à Tostoï (M. Gavran, m.e.s. M.-F. Lahore),

Do, Mi, Sol, Do ! (P. Géraldy, m.e.s. R. Santon), 15 Août sur palier (J. Franco, m.e.s. S. Castro),

Miracle en Alabama (W. Gibson, adapt. M. Duras, m.e.s. B. Budan), Love and Fish (I. Horovitz, m.e.s. R. Santon), Week-end en ascenseur (J.-C. Barc, m.e.s. S. Castro), L'Année du bac (J.-A. Lacour, m.e.s. P. Müller), le Noël du loup (J.-L. Jeener, m.e.s. Delphin), Barrio Chino (C. Albanel, m.e.s. A. Terezano).

Au cinéma, elle a tourné dans Yamakasi (réal. A. Zeitoun) et dans des courts-métrages tels

que Odile (réal. B. Delgehier), Too late ? Meditate intimate (réal. R. O' Byrne), le Monde merveilleux de Candy (réal. Esra), Fraternité (réal. Femis). A la télévision, E. Dhaene l'a dirigée dans Femmes de Loi, C. de la Rochefoucauld dans P. J., L. Hopkins dans KD2A, O. Doran dans Do mi si la do ré, F. Berthe dans Hep... Taxi !

Stéphanie Lanier

Rôle de Mademoiselle de la Tringle

Disposant d'une solide formation en danse classique et moderne, Stéphanie Lanier intègre l'Ecole Nationale Supérieure d'Art Dramatique (Jean-Laurent Cochet puis Jean Darnel).

Au théâtre, elle a joué dans Désillusion parlementaire de N. Detrois (m.e.s. P. Brigaud),

la Spectatrice de et m.e.s. J. Dragutin, Knock de J. Romain (m.e.s. M. Bénichou), la Visite de V. Haïm (m.e.s. R. Plagniol), la Maison Tellier de G. de Maupassant (m.e.s. J.-P. Hané), Dernier Homme, Dernière Femme de J. Plevnes (m.e.s. N. Kosenkova), Monsieur Amédée de A. Reyanaud-Fourton (m.e.s. J.-P. Dravel). J. Seiler l'a dirigée dans la Maison d'Os de R. Dubillard, L. Bourdil dans les Troyennes d'Euripide, M. Marquais dans D'Honorables canailles de G. Csiky.... En 1999, elle assiste E. Averlant à la mise en scène sur Pinocchio de Carlo Collodi.

Au cinéma, elle a tourné dans 36 quai des Orfèvres (réal. O. Marchal), le Coût de la vie

(réal. P. Le Guay), The invisible circus (réal. A. Brooks).

A la télévision, elle a tourné sous la direction de T. Petit, M. Perrotta, F. Berthe, L. Katrian,

M. Poirier, P. Heylbroeck, J.-T. Filippe, I. Noerie, P. Fournier-Bidoz.

Caroline Alaoui

Rôle de Madame Cassin

Caroline Alaoui a fait partie de la troupe du C.R.E.A. dont les créations sont mises en scène par C. Landy et M. Laroche (les Nuits enchantées de Mozart), la direction musicale assurée par D. Grosjman et les chorégraphies par A. Degroat (Espace J. Prévert-Aulnay sous Bois).

Sa formation se poursuit auprès d'Y. Steinmetz et des Sociétaires de la Comédie Française

A. Pralon, C. Mathieu, C. Blanc, S. Bergé et E. Frey, puis à l'Ecole du Théâtre National de

Chaillot auprès de G. Cohen, D. Soulier, M. Lopez, P. Vial - Sociétaire de La Comédie

Française.

Elle joue, entre autres, au Théâtre de la Tempête dans Sous X, au Théâtre du Nord-Ouest

dans Yugaô, au Théâtre Clavel dans les Aspirants, à la télévision dans les Ouchas et

prête sa voix pour des courts-métrages d'animation et des publicités. Parallèlement, elle met en scène 4 pièces pour une troupe d'amateurs (Morceaux choisis et Sacré bastringue ! d'après K. Valentin, Songe d'une nuit d'été de Shakespeare et C'est

ça l'Amour ?).

Claire Baradat

Rôle de Marion

En attente...

Lieu de Création et calendrier des représentations

La Nuit de Valognes

Eric-Emmanuel Schmitt

Création au Festival Off d'Avignon 2007

80 représentations en janvier 2008

Saison 2008- 2009

18 octobre 2008 Espace Albert Camus Maurepas (France)

du 21 au 25 octobre 2008 Comédie de Picardie Amiens (France)

27 novembre 2008 Grand Théâtre Verviers (Belgique)

28 novembre 2008 Le Forum Liège (Belgique)

29 novembre 2008 Centre Culturel de Spa (Belgique)

6 décembre 2008 Centre Culturel d'Auderghem Bruxelles (Belgique)

10 décembre 2008 Théâtre de la ville de Bern (Suisse)

11 décembre 2008 Théâtre de Vevey (Suisse)

Saison 2007-2008

26 octobre 2007 Théâtre Municipal de Grenoble (France)

15 novembre 2007 au 13 janvier 2008 Théâtre Silvia Monfort de Paris (France)

17,18 et 19 janvier 2008 Théâtre National de Nice (France)

Juillet 2007

du 6 au 28 juillet 2007 - Festival Off Avignon - Théâtre Le Lucernaire Notre-Dame

© Philippe Guérillot

La Marseillaise

10/07/07 - Jean-Louis Châles

Don Juan n'existe pas...

Avignon/ Festival Off

Interview. Aux côtés de neuf autres comédiens, dirigée par son mari Régis Santon, Marie-France

Santon incarne la Duchesse de Vaubricourt. Forte et fragile, comme elle.

▪ Au service des plus grands auteurs d'hier et d'aujourd'hui, la dame aux yeux aigue-marine, réveille

de son charme acide les scènes de théâtre. Rencontre avec une comédienne inclassable. Comédienne, mère de famille, auteur-adaptateur, metteur en scène, vous êtes sur tous les fronts...quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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